Au moment où il plastronne au Sénégal, s’offrant même le luxe de porter plainte pour diffamation contre 11 membres de l’opposition et de la société civile, Franck Timis est traqué au Burkina Faso. Une commission d’enquête parlementaire, chargée de faire la lumière sur la gestion des titres miniers sous Blaise Compaoré, a recommandé des poursuites judiciaires contre lui et le retrait du permis d’exploitation de la mine de manganèse de Tambao accordé à Pan African minerals dont il était le Pdg.
Dans son rapport, rendu public hier, mardi 25 octobre, au cours d’une séance plénière à l’Assemblée nationale, la commission dirigée par Ousseni Tamboura reproche à l’homme d’affaires australo-roumain des faits de corruption. Révélant qu’il a versé des sommes d’argent d’une valeur de 5 milliards de francs CFA à François Compaoré, frère et conseiller spécial de l’ancien président déchu Blaise Compaoré, ou à des ministres.
La commission renseigne qu’entre 2005 et 2015, le Burkina Faso a perdu au moins 551 milliards 163 millions 803 mille 556 francs CFA à cause de la gestion calamiteuse des titres miniers et des dommages sur l’environnement du fait de l’exploitation minière. L’enquête a concerné douze mines, deux sites d’orpaillage, trois sites semi-mécanisés et deux sites de carrière. Elle a nécessité 140 auditions concernant 1400 personnes.
Franck Timis est aussi au cœur de l’affaire Petro-Tim au Sénégal. Son entreprise, Timis Corporation, a racheté Petro-Tim Limited, qui détenait 90% des permis d’exploration et d’exploitation des blocs de Saint-Louis offshore profond et Cayar offshore profond. Par la suite, il a cédé à Kosmos Energy 60% des parts héritées de la transaction, gardant les 30% officiellement.
L’opposition sénégalaise et certains membres de la société civile jugent ces opérations douteuses. D’autant que dans le cadre de ses activités, Timis collabore avec Aliou Sall, le frère du Président Macky Sall, qui était d’abord administrateur de Petro-Tim Sénégal avant de passer à Timis Corp. Sénégal, lorsque l’homme d’affaires australo-roumain a racheté Petro-Tim Limited.
Le 13 octobre, Aliou Sall a démissionné de son poste à Timis Corp. Sénégal. Mais il a été maintenu dans le groupe de Franck Timis en tant que responsable du développement des activités de la compagnie sur toute l’Afrique, sauf le Sénégal.
Une démission qui n’a pas fait retomber les critiques et les soupçons de conflits d’intérêts, de fraude fiscale et de népotisme. Des suspicions qui devraient enfler davantage avec les déboires de Franck Timis qui s’annoncent au Burkina Faso, la porte d’à côté.
Afrique
56 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2016 (21:27 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (21:29 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (21:31 PM)Sambajuuf
En Octobre, 2016 (21:32 PM)Wait and see!!
Frank Takoussane
En Octobre, 2016 (21:32 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (21:35 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (21:39 PM)Citoyen Sénégalais
En Octobre, 2016 (21:41 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (21:47 PM)Germany
En Octobre, 2016 (22:08 PM)Frank Takoussane Frank Guéw
En Octobre, 2016 (22:19 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (22:22 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (22:23 PM)Yakhokhatte
En Octobre, 2016 (22:50 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (23:35 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (23:38 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (23:39 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (23:43 PM)Samourai101
En Octobre, 2016 (23:59 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (00:10 AM)Nafy Ngom Keïta
En Octobre, 2016 (01:41 AM)Kiuy
En Octobre, 2016 (05:29 AM)Anonyme
En Octobre, 2016 (05:57 AM)Anonyme
En Octobre, 2016 (06:06 AM)Ndiaga
En Octobre, 2016 (06:26 AM)Anonyme
En Octobre, 2016 (06:51 AM)aliou sall, OFNCA, nafi ngom
Anonyme
En Octobre, 2016 (08:05 AM)Integrity
En Octobre, 2016 (08:37 AM)Enquête parlementaire sur les mines : Un secteur gangrené par la fraude, la corruption, la mauvaise gouvernance…
mercredi 26 octobre 2016, par Pascal YE
Après 90 jours d’investigations, la commission d’enquête parlementaire sur les titres miniers et la responsabilité sociale des entreprises minières a livré ses conclusions, ce 25 octobre 2016. Les commissaires ont réalisé 148 auditions et entendu 1500 personnes. Le secteur minier est source de retombées financières importantes pour le budget de l’Etat et certains budgets locaux. Mais, la mauvaise gouvernance du secteur a engendré sur la période couverte par l’enquête (2005-2015) des manques à gagner pour l’économie et les populations évalués à plus de 551 milliards de francs CFA.
Des recherches documentaires, des visites de terrain sur les sites miniers, des auditions… la commission d’enquête parlementaire sur les titres miniers et la responsabilité sociale des entreprises minières a fouiné pendant trois mois. Pour mener à bien ses activités, la commission d’enquête parlementaire a recruté des experts nationaux et internationaux pour lui donner des analyses pointues dans les domaines juridiques, fiscaux et comptables. Et les résultats auxquelles, elle a abouti à l’issue de cette enquête sont effarants. Et, le moins que l’on puisse dire, c’est que le secteur minier est mal géré et la mauvaise gouvernance était une pratique très répandue dans ce secteur.
Sur les grands faits emblématiques, la commission a retenu, entre autres, la fraude de l’or, la spéculation des titres miniers, le poids exceptionnel des travailleurs expatriés, le monopole de la fourniture de biens et services miniers et le nombre important de Burkinabè vivant de l’exploitation artisanale, le dossier Tambao ou le « casse-tête burkinabè ». Du fait de ces pratiques délictueuses dans ce secteur, l’Etat burkinabè et les populations n’ont pas pu bénéficier de tous les bienfaits de ce boom minier. Mais, ce sont certaines organisations ou individus qui se sont enrichis. Le manque à gagner, sur la période 2005-2015, est estimé à plus de 551 milliards de francs CFA, selon Ousséni Tamboura, le président de la commission d’enquête.
Il faut donc réorganiser le secteur afin qu’il profite à l’ensemble des Burkinabè. Et, à l’issue de ces travaux, la commission a formulé six propositions de lois, quatre recommandations et deux résolutions. Ainsi, la commission recommande au gouvernement :
- le retrait du permis d’exploitation de Tambao à PAT/PAB ;
- l’annulation de tous les permis dur Tin Harrassan et l’ouverture d’une procédure publique et transparente d’attribution de permis à des opérateurs autres que les cimenteries ;
- la création d’une société de patrimoine des mines du Burkina Faso ;
- l’ouverture d’une information judiciaire sur le dossier Tambao contre les anciens ministres des mines, finances et du conseiller spécial du président du Faso (Abdoul Kader Cissé, Lucien Noel Bembamba et François Compaoré) et des poursuites judiciaires contre Franck Timis, ancien PDG de PAN/PAB/PAT pour des faits de corruption.
Les résolutions quant à elles portent sur la mise en place d’un comité de suivi des recommandations de la commission ; et mise en accusation de l’ancien ministre chargé des mines, Salif Kaboré pour sa responsabilité dans le dossier Tambao.
Moussa Diallo
Lefaso.net
Anonyme
En Octobre, 2016 (08:46 AM)Notre assemblée nationale de dormeurs, dirigée par Pa Niasse n'a pas les couilles pour remettre en cause cette transaction de Timis et on a perdu des milliards dans l'affaire.
Comment Aliou Sall peut-il expliquer son train de vie actuel? Au moins 4 grosses 4x4, une super BMW devant chez lui à la Sicap Foire, pour un simple journaliste sorti du Cesti et conseiller économique à l'ambassade du Sénégal en Chine?
Il est tellement riche qu'il a fermé la boutique Gaydel qui était au rez-de-chaussé de sa maison de la Sicap foire, en face de chez Fada. Lorsqu'il était en Chine, il louait la boutique pour avoir des sous mais maintenant il a tout fermé et garé des bagnoles devant. Aliou Sall sera tôt ou tard foutu en prison en 2019 lorsque son gros grand-frère sera chassé du pouvoir avec un coup de pied dans son gros cul
Anonyme
En Octobre, 2016 (09:03 AM)Anonyme
En Octobre, 2016 (10:06 AM)Anonyme
En Octobre, 2016 (11:22 AM)Nikita Massage
En Octobre, 2016 (11:31 AM)Nikita vous bercera, avec ces mains de fée, vous amènera voyager au paradis d’Éden grâce à ces massages que vous trouverez nulle part ailleurs
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Anonyme
En Octobre, 2016 (11:40 AM)Anonymecnnn
En Octobre, 2016 (11:40 AM)Enquête parlementaire sur les mines : Un secteur gangrené par la fraude, la corruption, la mauvaise gouvernance…
mercredi 26 octobre 2016, par Pascal YE
Après 90 jours d’investigations, la commission d’enquête parlementaire sur les titres miniers et la responsabilité sociale des entreprises minières a livré ses conclusions, ce 25 octobre 2016. Les commissaires ont réalisé 148 auditions et entendu 1500 personnes. Le secteur minier est source de retombées financières importantes pour le budget de l’Etat et certains budgets locaux. Mais, la mauvaise gouvernance du secteur a engendré sur la période couverte par l’enquête (2005-2015) des manques à gagner pour l’économie et les populations évalués à plus de 551 milliards de francs CFA.
Des recherches documentaires, des visites de terrain sur les sites miniers, des auditions… la commission d’enquête parlementaire sur les titres miniers et la responsabilité sociale des entreprises minières a fouiné pendant trois mois. Pour mener à bien ses activités, la commission d’enquête parlementaire a recruté des experts nationaux et internationaux pour lui donner des analyses pointues dans les domaines juridiques, fiscaux et comptables. Et les résultats auxquelles, elle a abouti à l’issue de cette enquête sont effarants. Et, le moins que l’on puisse dire, c’est que le secteur minier est mal géré et la mauvaise gouvernance était une pratique très répandue dans ce secteur.
Sur les grands faits emblématiques, la commission a retenu, entre autres, la fraude de l’or, la spéculation des titres miniers, le poids exceptionnel des travailleurs expatriés, le monopole de la fourniture de biens et services miniers et le nombre important de Burkinabè vivant de l’exploitation artisanale, le dossier Tambao ou le « casse-tête burkinabè ». Du fait de ces pratiques délictueuses dans ce secteur, l’Etat burkinabè et les populations n’ont pas pu bénéficier de tous les bienfaits de ce boom minier. Mais, ce sont certaines organisations ou individus qui se sont enrichis. Le manque à gagner, sur la période 2005-2015, est estimé à plus de 551 milliards de francs CFA, selon Ousséni Tamboura, le président de la commission d’enquête.
Il faut donc réorganiser le secteur afin qu’il profite à l’ensemble des Burkinabè. Et, à l’issue de ces travaux, la commission a formulé six propositions de lois, quatre recommandations et deux résolutions. Ainsi, la commission recommande au gouvernement :
- le retrait du permis d’exploitation de Tambao à PAT/PAB ;
- l’annulation de tous les permis dur Tin Harrassan et l’ouverture d’une procédure publique et transparente d’attribution de permis à des opérateurs autres que les cimenteries ;
- la création d’une société de patrimoine des mines du Burkina Faso ;
- l’ouverture d’une information judiciaire sur le dossier Tambao contre les anciens ministres des mines, finances et du conseiller spécial du président du Faso (Abdoul Kader Cissé, Lucien Noel Bembamba et François Compaoré) et des poursuites judiciaires contre Franck Timis, ancien PDG de PAN/PAB/PAT pour des faits de corruption.
Les résolutions quant à elles portent sur la mise en place d’un comité de suivi des recommandations de la commission ; et mise en accusation de l’ancien ministre chargé des mines, Salif Kaboré pour sa responsabilité dans le dossier Tambao.
Moussa Diallo
Lefaso.net
Cvb
En Octobre, 2016 (11:45 AM)Enquête parlementaire sur les mines : Un secteur gangrené par la fraude, la corruption, la mauvaise gouvernance…
mercredi 26 octobre 2016, par Pascal YE
Après 90 jours d’investigations, la commission d’enquête parlementaire sur les titres miniers et la responsabilité sociale des entreprises minières a livré ses conclusions, ce 25 octobre 2016. Les commissaires ont réalisé 148 auditions et entendu 1500 personnes. Le secteur minier est source de retombées financières importantes pour le budget de l’Etat et certains budgets locaux. Mais, la mauvaise gouvernance du secteur a engendré sur la période couverte par l’enquête (2005-2015) des manques à gagner pour l’économie et les populations évalués à plus de 551 milliards de francs CFA.
Des recherches documentaires, des visites de terrain sur les sites miniers, des auditions… la commission d’enquête parlementaire sur les titres miniers et la responsabilité sociale des entreprises minières a fouiné pendant trois mois. Pour mener à bien ses activités, la commission d’enquête parlementaire a recruté des experts nationaux et internationaux pour lui donner des analyses pointues dans les domaines juridiques, fiscaux et comptables. Et les résultats auxquelles, elle a abouti à l’issue de cette enquête sont effarants. Et, le moins que l’on puisse dire, c’est que le secteur minier est mal géré et la mauvaise gouvernance était une pratique très répandue dans ce secteur.
Sur les grands faits emblématiques, la commission a retenu, entre autres, la fraude de l’or, la spéculation des titres miniers, le poids exceptionnel des travailleurs expatriés, le monopole de la fourniture de biens et services miniers et le nombre important de Burkinabè vivant de l’exploitation artisanale, le dossier Tambao ou le « casse-tête burkinabè ». Du fait de ces pratiques délictueuses dans ce secteur, l’Etat burkinabè et les populations n’ont pas pu bénéficier de tous les bienfaits de ce boom minier. Mais, ce sont certaines organisations ou individus qui se sont enrichis. Le manque à gagner, sur la période 2005-2015, est estimé à plus de 551 milliards de francs CFA, selon Ousséni Tamboura, le président de la commission d’enquête.
Il faut donc réorganiser le secteur afin qu’il profite à l’ensemble des Burkinabè. Et, à l’issue de ces travaux, la commission a formulé six propositions de lois, quatre recommandations et deux résolutions. Ainsi, la commission recommande au gouvernement :
le retrait du permis d’exploitation de Tambao à PAT/PAB ;
l’annulation de tous les permis dur Tin Harrassan et l’ouverture d’une procédure publique et transparente d’attribution de permis à des opérateurs autres que les cimenteries ;
la création d’une société de patrimoine des mines du Burkina Faso ;
l’ouverture d’une information judiciaire sur le dossier Tambao contre les anciens ministres des mines, finances et du conseiller spécial du président du Faso (Abdoul Kader Cissé, Lucien Noel Bembamba et François Compaoré) et des poursuites judiciaires contre Franck Timis, ancien PDG de PAN/PAB/PAT pour des faits de corruption.
Les résolutions quant à elles portent sur la mise en place d’un comité de suivi des recommandations de la commission ; et mise en accusation de l’ancien ministre chargé des mines, Salif Kaboré pour sa responsabilité dans le dossier Tambao.
Moussa Diallo
Lefaso.net
Anonyme
En Octobre, 2016 (11:51 AM)Anonyme
En Octobre, 2016 (12:05 PM)Anonymous
En Octobre, 2016 (12:28 PM)Xeme
En Octobre, 2016 (13:11 PM)Mais ce qui se passe, et se qui se passera, en attendant le jour où Aliou Sall répondra devant la prochaine CREI, est un signe pour les patriotes sénégalais. Ils doivent voir là la main de Dieu. Ce qui devrait les encourager à rester du côté de la vérité. Macky et les membres de son pouvoir peuvent tenir sous coupe réglé 99% de la presse sénégalaise, ils peuvent inonder la totalité des médias de phraseurs qui commenceront par décliner leurs diplômes pour donner plus de poids à leurs mensonges qui vont suivre, ils peuvent faire défiler des ministres et le PM devant les médias et devant l'Assemblée, mais quand ils croiront avoir imposé leur chape de mensonge, par une petite aiguille depuis le Burkina Allah libère les sénégalais de la chape de mensonge. Maintenant, il va falloir que le pouvoir de Macky reprenne le travail d’abêtissement des sénégalais par les déluges de mensonges. Et cette fois, ils seront obligés de laver leur Frank Timis au Burkina aussi.
Citoyen
En Octobre, 2016 (13:48 PM)"Leral pourquoi vous ne nous parlez pas des poursuites engagées contre frank timis sall au bourkina faso ? Où bien on vous a payé pour passer sous silence ?"
Expression
En Octobre, 2016 (14:29 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (14:37 PM)Un Compatriote Apolitique
En Octobre, 2016 (14:54 PM)je soupçonne des puissances coloniales, des groupes pétroliers qui ne s'intéressent qu'a spolier nos richesses et à nous maintenir sous leur joug. Faisons attention pour les intérêts de notre Cher Pays. Réfléchissons par et pour Nous.
Mouss Bou Rew
En Octobre, 2016 (14:57 PM)https://www.youtube.com/watch?v=kAd-MJOCyUo
Faarlou
En Octobre, 2016 (15:11 PM)https://youtu.be/XHp-hz8Xn2Q
Leundeumm Kiriiss
En Octobre, 2016 (15:24 PM)Senegal
En Octobre, 2016 (15:52 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (16:19 PM)Timiss
En Octobre, 2016 (16:57 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (18:20 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (20:24 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (21:23 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (21:47 PM)Lep dina léér, inchallah avec ces escrocs sans foi ni loi!
J'aimerais bien avoir les réactions des béni oui-oui de Macky: S .Jules Diop qui maintient dans un article encore en ligne qu'il n'y a pas de débat (pas de problème )par rapport à la nébuleuse Pétri-Tim-Sall;Latif Coulibaly,l'ancien journaliste d'investigation;le premier ministre Boune Dione et même l'expert Birame Diouf qui avait aussi publié une contribution sur Sénéweb en fanfaronnant :"il faut rendre à César ce qui est à César",alléguant que Macky le vorace gourmand avait adhéré à l'Itie(progamme de transparence dans les Industries Extractives)pfff!!!Que du vent! de l'enfumage !!
Le Sénégal a ratifié la Convention Internationale des Droits de l'Enfant.Regardez les milliers de Talibés exploités,maltraités,violés dans l'indifférence totale.
Macky avait crée l'Ofnac,sa vaillante Directrice Nafi Ngom a été éjectée manu militari sans raison valable alors qu'elle semblait s'atteler à sa tâche.Incompréhensible!
Et bla bla et bla bla pour dire qu'on a beau afficher tous les standards mondiaux de transparence,mais cela est loin d'être une garantie de clarté si le fond est mauvais.
Nous avons affaire à des requins et nous n'en voulons plus.
Il nous faudra des Sonko et des Nafi Ngom beaucoup plus nombreux pour espérer sortir du trou.
Ce serait dommage de subir les mêmes déceptions de tous les pays Africains producteurs de pétrole magré le recul que nous avons.
Ps:après la Révolution inchallah ,on devra ,comme les Chinois,créer des camps de travail et de rééducation pour les millions d'esclaves Sénégalais sous la coupe de gourous religieux aussi.
Maniaw
En Octobre, 2016 (15:21 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (16:27 PM)Participer à la Discussion