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Afrique

Guinée : il tente de payer une prostituée avec un faux billet et se retrouve en prison

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Guinée : il tente de payer une prostituée avec un faux billet et se retrouve en prison
En Guinée, un jeune homme de 20 ans a été arrêté, en juillet dernier, après avoir tenté de payer une prostituée avec un faux billet de 100 dollars. C’est le site "Guinéenews" qui rapporte l’information. Le procès d’Ibrahima Sory Fofana, s’est ouvert hier lundi 23 octobre au tribunal de première instance de Mafanco.

Il change sa version des faits

 Dans le procès-verbal rédigé après son audition lors de l’enquête préliminaire, Ibrahima Sory Fofana,  reconnaissait avoir pris la poudre d’escampette, quand les cambistes de l’aéroport de Conakry ont découvert que son billet de 100 dollars était un faux. En effet, après avoir eu des relations sexuelles avec la fille de joie, il l’avait conduit à l’aéroport pour échanger le billet de 100 dollars chez les cambistes. 

Lors de son procès, hier lundi, le jeune homme, a changé sa version des faits. Il dit avoir trouvé le billet de 100 dollars aux abords de l’aéroport de Conakry.

 L’idée lui est donc venue d’utiliser l’argent pour s’offrir une partie de jambes en l’air avec une prostituée. « Je lui avait dit que je ne la paierais qu’après avoir terminé notre relation intime. Je l’avais aussi prévenu que je n’avais pas de petite coupure, et au lieu des 80.000 francs guinéens  qu’elle demandait, je lui paierais 250.000 Francs guinéens (28,89 dollars) » a déclaré le prévenu. 

Après leur galipette, ils se sont rendus à l’aéroport pour échanger le billet de 100 dollars, poursuit-il. Mais ils n’ont pas pu le faire là-bas. On leur a conseillé d’aller à Kipé. Sur ces entrefaites, l’accusé dit avoir laissé le billet de 100 dollars à la prostituée et à son taxi-moto pour qu’ils puissent le partager. Grande fut sa surprise, quand la police est venue l’arrêter deux semaines plus tard, ajoute-t-il.

Une peine d’un an de prison requise contre elle

 La représentante du ministère public lui a rappelé ses premières déclarations lors de son interpellation. Pour la procureur, il est évident que le prévenu tente de déformer les faits. Elle a requis contre lui, une peine d’un an de prison plus en amende d’un million de francs guinéens.

 Le président du tribunal a mis l’affaire en délibéré jusqu’au 06 novembre 2023. Le jeune homme sera donc fixé sur son sort dans quelques semaines.  



4 Commentaires

  1. Auteur

    En Octobre, 2023 (22:03 PM)
    Bernardin il n'y à rien au Bénin ?

    Scandale financier à la SBEE au Bénin: Les précisions de Wilfried Houngbédji....Au sujet  de la malversation financière à la Sbee, le  Porte- parole du gouvernement a laissé entendre qu'il ne s'agissait pas de l'argent de l'État  mais plutôt " des ressources destinées  aux agents des impôts ». Il a précisé que «la loi a prévu des commissions pour eux » et que ces derniers « ont leurs pratiques internes pour les récupérer et les gérer ». Pour Wilfried Léandre Houngbédji, « il semble que l'un d'entre eux et quelques autres se sont montrés habiles pour se servir dans cette cagnotte ». Il a par ailleurs souligné que deux d'entre les fautifs ont été déjà interpellés et sont en train de répondre de leurs actes devant la justice. 
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  2. Auteur

    En Octobre, 2023 (22:05 PM)
     

     

    Les groupes jihadistes qui attaquent le nord du Bénin bénéficient de la complicité des réseaux de trafiquants qui opèrent depuis de longues années dans cette partie du pays. C’est un rapport de l’Institut d’Etudes de Sécurité (ISS) qui le révèle.

     

    Selon le rapport, il n’y a pour le moment, aucune évidence prouvant que des béninois participent directement aux attaques terroristes. Le document souligne qu’il y a plutôt des alliances d’intérêt entre les membres des groupes jihadistes et des acteurs locaux qui sont impliqués dans des activités illicites. D’après Jeannine Ella Abatan, chercheuse au bureau Afrique de l’Ouest de l’ISS, l’étude a révélé par exemple, la collaboration entre les groupes extrémistes violents et les trafiquants de carburant dans la zone litigieuse de Kourou-Koalou à la frontière entre le Bénin et le Burkina Faso. « Les groupes offrent aux personnes impliquées dans ce trafic, des garanties de sécurité pour que le trafic puisse continuer. En retour, les trafiquants de carburant payent une contrepartie financière et fournissent aussi aux groupes terroristes, du carburant qui est une ressource stratégique pour leur mobilité », explique Jeannine Ella Abatan.
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    Auteur

    En Octobre, 2023 (22:40 PM)
    louci sougnou yone ?
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    Auteur

    Mustapha Hihihihihihii

    En Octobre, 2023 (08:11 AM)
    je peux avoir l'adresse de la fille sur la photo...?...elle à l'air super....hahahahahahah....
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