Son visage témoignait encore de la douleur qu'elle ressent depuis le décès de sa fille dans des conditions tragiques. Mais, stoïque, Faty Kaba, encore habitée par la tristesse, nous a accueillis dans sa demeure à la cité Comico de Yeumbeul où elle habite. Elle est revenue sur les circonstances du décès de sa fille Aïcha. Pour elle, sa fille qui était en classe de 5ème au Cem Niague, a perdu la vie par négligence, mais pas à cause d'une somme de 200 000 francs.
La raclette lui a perforé le bas ventre
"Les faits se sont passés vers 11 heures ce le jeudi 12 octobre. Ma fille avait fait une chute au moment où elle nettoyait la terrasse. Elle avait glissé et elle est tombée sur le bâton de la raclette qui s'est enfoncé en elle. Elle a poussé un grand cri avant d'extirper le bâton qui est même sorti avec un bout de sa chair. Puis, du sang a commencé à couler. Après quelques instants, l'écoulement s'est estompé. Les premiers soins ont été effectués par mes voisins avant mon arrivé."
"Ce que le médecin m'a dit…"
"Arrivé à l'hôpital, le médecin m'a dit : "puisque l'enfant est fatigué, nous allons procéder à une chirurgie pour voir ce qu'elle a dans son ventre. Il ne faut surtout pas t'inquiéter, c'est une petite ouverture pour soulager votre fille. Il faut qu'on l'opère''. Et je lui ai dit qu'il n'y a pas de problème. Après s'être renseigné, il est revenu me dire que les frais de l'opération s'élevaient à 200.000 francs Cfa. Mais, que le paiement n'était pas urgent. ‘‘Vous pouvez payer après l'opération'' a-t-il dit. Et je lui ai demandé combien de jours allait durer l'hospitalisation, il m'a dit 4 à 5 jours et m'a demandé si je pourrais rassembler la somme avant cette date ? Je lui ai répondu que oui, mais que je devais d'abord en parler avec ma mère".
"La négligence a tué ma fille"
"Ma fille n'a pas été bien accueillie à l'hôpital. J'ai interpellé le docteur pour lui demander s'il n'avait pas de calmant pour arrêter la douleur de mon enfant. Il m'a répondu: "on lui a administré des calmants". Je lui ai répondu que non. Puis, il m'a demandé d'attendre, qu'ils vont envoyer quelqu'un pour le faire. L'attente pour bénéficier des soins a duré environ deux (02) heures de temps ou même plus. Elle a été perfusée trois (03) fois, devant moi. Il n'y avait pas de contrôle . Il arrivait que la bouteille de perfusion soit épuisée et qu'il n'y ait personne pour arrêter le mécanisme. Le sang de Aïcha remontait dans la bouteille vide. C'est aux gardiens que je demandais de l'aide pour y remédier. C'est à cause d'une négligence que ma fille a subi de telles tortures."
"L'argent n'était pas le problème"
"Quand j'ai eu ma mère au téléphone, elle m'a dit : "Faty, ça (l'argent) ce n'est pas un problème. Même si c'était un million, nous sommes prêts pour le payer. Il faut signer l'autorisation pour qu'elle soit opérée. D'ailleurs, j'arrive". C'est ma mère qui a parlé avec le docteur et a signé l'autorisation. Ils ont dit qu'ils vont l'opérer. Puis, Aïcha est amenée au bloc à 23 heures. Le chirurgien nous a dit qu'elle a été opérée à 3 heures du matin. Quand je suis venue pour leur parler, ils m'ont demandé de faire doucement, car la salle d'opération est pleine. Et en plus, on doit faire des analyses sanguines et de sucre à l'enfant car ils ne savaient pas ce dont elle souffrait."
"Je parle pour sauver d'autres personnes"
"Ma fille a perdu la vie à cause de la négligence. Je le dit et je le répète, si c'est ça qui leur fait mal. Je n'ai aucun intérêt à dire des contrevérités. Je fais ça pour sauver d'autres personnes. Beaucoup de gens ont été amenés devant moi. Même les femmes enceintes qu'on y a trouvées on ne leur accordait aucune attention. Ils ne les regardaient même pas."
93 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2017 (23:10 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (23:10 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (23:30 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (23:35 PM)La récente histoire de la mort tragique d'une fillette à l'hôpital de Pikine a réveillé les vieux demons de la division et comme c'est souvent le cas en pareille circonstance, la passion et la forte charge émotionnelle l'emportent sur la raison et l'analyse lucide.
La toile et les réseaux sociaux s'enflamment avec des vagues d'indignation (très légitime) mais hélas mal orientée, vers la mauvaise direction.
Les Medecins (le corps médical de façon général) sont pris pour cibles : ils sont devenus rapidement l'exutoire, le punching-ball, le mur des lamentations pour dégonfler la gigantesque bulle de colère sociale qui constitue une menace grave de tout régime et au grand bonheur des seuls véritables responsables de ces tragédies récurrentes : les autorités, l'Etat, le régime peu importe l'appellation.
Eh oui médecins et patients sont tous des victimes d'un système pourri qui perdure par la seule absence de bonne volonté de ceux qui nous dirigent.
Il y'a des personnes qui se sont portées volontaires, sans aucune contrainte ni pression, qui ont réclamé nos suffrages électoraux pour régler nos problèmes de santé, de sécurité, d'éducation etc...
Cela il ne faut jamais l'oublier.
Ces mêmes personnes, lorsque le besoin se fait sentir, s'envolent avec l'argent du contribuable pour se faire soigner vers d'autres pays, où leurs homologues investis des mêmes responsabilités, font de la santé de leurs populations une priorité non négociable en mettant en place les moyens et les conditions d'exercice correctes de la Médecine garantissant une qualité de soins et donc en droit d'exiger une obligation de résultats à leurs Médecins.
Il ne faut surtout pas voir dans mon argumentaire une démarche corporatiste de soutien ou de defense de mes confrères médecins.
Pour avoir trop souvent vécu ces situations (qui sont le quotidien dans les hôpitaux et structures sanitaires du Sénégal depuis belle lurette), je crois très humblement être en mesure d'y apporter une analyse lucide sans succomber aux sirènes de la passion et de la colère qui poussent inconsciemment vers des boucs émissaires.
"Les Medecins ont refusé de lui prodiguer des soins faute d'argent...". Cette accusation injuste, inacceptable, colportée comme du copier-coller trop souvent dans un contexte de colère explosive (du reste très légitime) mérite quelques éclaircissements à mon avis.
EFETS NÉFASTES DE LA REFORME HOSPITALIÈRE !
La fameuse réforme hospitalière qui a consacré entre autre l'autonomie de gestion des hôpitaux a engendré des effets pervers que je vous invite à méditer calmement sans passion pour bien situer les responsabilités respectives des uns et des autres.
Loin de moi toute velléité d'absoudre qui que se soit ou de justifier quoi que ce soit : il s'agit juste de présenter la situation telle qu'elle est.
Dans tous les "services d'urgence" du pays (ils ne le sont que de nom pour la plupart), les accompagnants des patients sont reçus par un "administratif" préposé à l'accueil pour les formalités administratives d'admission.
Celui ci (qui n'est ni Médecin ni personnel soignant faut-il le rappeler) réclame des garanties de solvabilité (pour la petite histoire vous n'imaginez pas le nombre de pièces d'identité déposées dans ces services d'accueil comme garantie pour lesquelles les propriétaires disparaissent tout simplement pour ensuite se faire établir un certificat de perte et une nouvelle demande de pièce d'identité).
Ce pauvre "administratif" est investi de la mission "ingrate" du recouvrement des soins car en amont il faut savoir que l'hôpital qui croule sous le poids des dettes vis à vis des fournisseurs en matériels et médicaments, fait une gymnastique périlleuse entre le recouvrement de ses prestations et le règlement de ses créanciers au risque d'être privé de médicaments et de matériels.
Par ailleurs la fameuse "subvention" de l'Etat se limite trop souvent à calmer le front social des hôpitaux avec ses syndicalistes "greveurs" professionnels par l'octroi de "primes", de "motivation" et autres "avances Tabaski" car une grève du personnel de santé est rapidement durement ressentie par les populations et n'est pas la bienvenue pour le régime quelqu'il soit : voilà un jeu pervers dans lequel les deux composantes (État et personnel médical) se complaisent dans une espèce d'accord tacite macabre au grand dam des pauvres populations.
C'est cela la triste réalité.
L'une des conséquences c'est les ruptures récurrentes en intrants : combien de fois des interventions chirurgicales régulièrement programmées, dont les bénéficiaires se sont pourtant acquittés des frais, ont été annulées à la dernière minute pour faute de disponibilité de matériels, de produits anesthésiques, de Champs opératoires, de compresses, de fils de suture, des choses dérisoires : vraiment la honte !
Ainsi dans le cas tragique de cette pauvre il est fort à parier qu'une intervention chirurgicale en urgence était indiquée, que les intrants nécessaires pour son intervention n'étaient pas disponibles (flacons de perfusion, antibiotiques, analgésiques, fils de sutures, compresses, antiseptiques gants stériles etc...comme c'est quasiment toujours le cas ) d'où la prescription d'une ordonnance par le Médecin qui faut il le rappeler n'a d'autre choix que cela : on opère pas avec les mains nues.
Faute de moyens financiers, cette ordonnance salée (à laquelle il faut rajouter le coût de l'intervention ce qui explique vraisemblablement la somme de 200.000 francs rapportée) n'est pas honorée ou l'est avec beaucoup de retard aux conséquences dramatiques.
Dans ces circonstances, affirmer que les médecins ont "refusé" de prodiguer des soins parce que la famille n'a pas payé est une calomnie et un mensonge éhonté gravissime fait à dessein pour trouver un bouc émissaire à la place du véritable coupable : l'Etat qui à la responsabilité de mettre en place un plateau technique adéquat avec des moyens corrects et exiger en contrepartie une obligation de résultats.
La "presse" en cherchant toujours le sensationnel et le buzz en lieu et place d'un travail sérieux d'investigation pour situer les responsabilités, attise le ressentiment vis s vis des médecins, stimule la confrontation entre deux victimes d'un même bourreau au grand plaisir de ce dernier.
Voilà la réflexion à laquelle j'ai voulu vous inviter sans passion et à chacun d'en tirer ses propres conclusions.
Texte signé par Docteur Mamadou Mansour Diouf, anesthésiste réanimateur (France)
Le Vrai
En Octobre, 2017 (23:36 PM)Le vrai.
Anonyme
En Octobre, 2017 (23:42 PM)Le jour du jugement dernier n'est pas bien loin. Tout sera bien clair au moment de rendre compte.
Anonyme
En Octobre, 2017 (00:35 AM)Atou
En Octobre, 2017 (01:02 AM)Indigne
En Octobre, 2017 (04:43 AM)Je Demande Pardon à La Fille M
En Octobre, 2017 (05:25 AM)...
Ziz
En Octobre, 2017 (06:10 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (06:30 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (06:53 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (07:24 AM)Honte
En Octobre, 2017 (07:26 AM)mes condoleances pour sa mere et sa famille
que dieu accorde le paradis a la petite fille de 12 ans
mais vremant j ai honte de voir des gens defendre les medecins et infirmiers ou l etat
ya aucun respect sur les gens dans les hospitaux.
Amiral
En Octobre, 2017 (07:29 AM)Lerder
En Octobre, 2017 (07:31 AM)je témoigne encore une fois ma reconnaissance à l'endroit des agents de santé au senegal. mais dans tous les corps il y a dans gens qui y font la honte. et cette affaire doit être tirée au claire et si toutefois il ya des responsables du cotés du personnel de santé de l’hôpital on les sanctionne sévèrement. en plus les cas de négligence et de manque de considération dans les structures de santé c'est une routine au senegal et cela doit arrêter, il est temps.
Leader
En Octobre, 2017 (07:32 AM)je témoigne encore une fois ma reconnaissance à l'endroit des agents de santé au senegal. mais dans tous les corps il y a dans gens qui y font la honte. et cette affaire doit être tirée au claire et si toutefois il ya des responsables du cotés du personnel de santé de l’hôpital on les sanctionne sévèrement. en plus les cas de négligence et de manque de considération dans les structures de santé c'est une routine au senegal et cela doit arrêter, il est temps.
Anonyme
En Octobre, 2017 (07:38 AM)POURQUOI AUTORISER DES GENS DANS LA SALLE D'OPERATIONS?? OH MON DIEU ... DU JAMAIS VU CA...
Anonyme
En Octobre, 2017 (07:57 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (08:00 AM)Radar
En Octobre, 2017 (08:01 AM)On comprend pourquoi les gens qui ont des moyens préfèrent aller se soigner à l’étranger.
On comprend pourquoi le Chef de l’Etat lui-même et l’Assemblée Nationale évacue les personnalités malades à l’étranger pour leurs soins médicaux.
Les grandes entreprises souscrivent des polices d’assurance santé pour leurs employés qui comportent des clauses d’évacuation sanitaire à l’étranger.
Oui, le secteur de la santé est malade.
Oui, le personnel de santé fait preuve de graves négligences et d’un comportement révoltant au Sénégal. Nous sommes d’accord qu’une enquête doit être faite, les coupables doivent être punis afin que cela ne se reproduise plus.
Anonyme
En Octobre, 2017 (08:10 AM)J'ai vu sur les premiers commentaires que l'Etat se met a genoux durant les magals de Touba... les femmes de Bethio donne des millions , voir des milliards.. et pourquoi le pauvre Senegal emergent ne peut meme pas avoir de bons hopitaux?? Cest lamentable.
SENEGAL DAAL AVANCE WOUL.. WALAHI.. on fait croire aux gens quil est emergent mais ASSANE DIOUF a raison cest le Senegal emmerdant.. Rien ne bouge..
Recemment jetais a ONTARIO rendre visite a mes enfants qui sont etudiants.. mais je me promenais le matin dans le quartier residentiel ou ils habitent... Toutes les maisons sont au meme NIVEAU, tous les IMMEUBLES SONT AU MEME NIVEAU... ALORS QUE LES QUARTIERS DU SENEGAL.. ON VOIT DES MAISONS LONGUES, COURTES, MOYENENNES .. AUCUN URBANISME.tu vois qq1 qui vient construire devant ta maison, un immeuble.. bloquant tes fenetres, ta porte, tout... MAIS QUESTCE QUI SE PASSE EN AFRIQUE... COMME SI NOUS SOMMES MAUDITS... WALAHI... tu vas dans les hopitaux en europe , canada ou amerique meme dans les quartiers les plus pauvres.. les HOPITAUX SONT BONS.. AFRIQUE DAAL ..CEST TRISTE.. mes enfants veulent rentrer apres leursetudes mais cest complique!! walahi
RIP! A LA DEFUNTE... SI JEUNE.ET VULNERABLE
Anonyme
En Octobre, 2017 (08:12 AM)Meth
En Octobre, 2017 (08:27 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (08:35 AM)les journalistes devaient effectuer une enquête avec caméra cachée pour voir l'ampleur de ce phénomène dans cet hôpital.
le directeur,il ne fait que mentir avec des explications qui ne peuvent même pas convaincre un enfant.
j'ai honte pour ce pays.
Anonyme
En Octobre, 2017 (08:35 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (08:36 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (08:37 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (08:40 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (08:41 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (08:43 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (08:45 AM)A-T-IL IMAGINER LE TORD QU'IL A CREER AUX MEDECINS?
l'enfant a été pris encharge, urgence ou pas avant une opération chirurgicale il faut impérativement un minimum d'analyse
il faut arreter de faire des réactions et jugements hatives qui sont souvent subjectives
Anonyme
En Octobre, 2017 (08:49 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (08:54 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (08:58 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (09:07 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (09:07 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (09:12 AM)Ce cas de négligence je l'ai vécu à l’hôpital Dantec avec un médecin étranger trop impoli
Mais bon l'état s'e fou éperdument
Anonyme
En Octobre, 2017 (09:16 AM)Dans les Hôpitaux il y a des charognards aux blouses blanches qui rodent auprès des familles des malades pour leur soutirer de l'ARGENT sans scrupule.
Combien de personnes ont perdus la vie dans les hôpitaux à cause de négligence. Demandez les provinciaux qui débarquent dans les hôpitaux de DAKAR.
Les premiers vautours qui leur sucent le sang sont les personnes subalternes ou agents communautaires qui leur font miroiter une prise en charge sans faille si tu débourses....
Je ne condamne pas ces personnes mais le système de recrutement du corps médical.
Le syndicat de la SANTE a une grosse part de responsabilité dans ce système gangrené par le népotisme et le favoritisme ...
Anonyme
En Octobre, 2017 (09:17 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (09:18 AM)Comment peut on tomber d'une terrasse en glissant. Je suis presque sûr que la terrasse n'avait pas de balcon. Ou on a fait faire à la fille des mouvements funambulistes dangereux.
L'irresponsabilité des parents vient en premier.
Zall
En Octobre, 2017 (09:18 AM)téianal khaléi bi rek
Anonyme
En Octobre, 2017 (09:31 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (09:38 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (09:40 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (09:41 AM)Faya
En Octobre, 2017 (09:43 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (09:56 AM)Talibé
En Octobre, 2017 (09:59 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (10:00 AM)Serment
En Octobre, 2017 (10:00 AM)kou raggaloul yalla mounou lo déf lou bakh
Anonyme
En Octobre, 2017 (10:01 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (10:02 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (10:03 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (10:07 AM)La police doit vérifier si cette petite n'a pas subi des attouchement sexuels: son histoire de bâton qui s'est enfoncé en elle ne tient pas. khana la fille était nue lors du ménage.!! Imaginez la scène: khana tu peux te casser une jambe, un bras... mais que le baton entre dans le trou de l'anus et s'enfonce jusqu'au bout. n'importe quoi!!
Ensuite, à l'hôpital de Pikine, on ne parle de factures qu'à la fin des soins: c'est d'ailleurs le seul hôpital de Dakar qui fonctionne comme ça.
avant de faire une opération, il faut un minimum d'analyses. et puis elle ment quand elle dit qu'on lui a dit que la salle d'opération était pleine.
Même son récit n'est pas cohérent: elle dit elle même que sa fille a été prise en charge dés son arrivée.
Merci d'analyser les situation au lieu de vous lancer dans un débat sur lequel vous n'avez pas toutes les données.
Les médias sont tellement à l'affut d'informations à se mettre sous la dent que la population raconte n'importe quoi pour ameuter les gens.
J'ai une fille de son âge et je suis meurtrie de ce qui est arrivée, je n'imagine même pas la douleur de la mère mais c'est pas une raison pour raconter des contre vérités.
Gathié Ngalama à l'hôpital de pikine.
Anonyme
En Octobre, 2017 (10:10 AM)Laminegolo
En Octobre, 2017 (10:15 AM)MAIS NITT YI AUSSI WARNAGNOU KHOLAT SÉNE BOPOU. CAR NITT GNI AM NASSI GNOU BONA BONE
TÉ GNIÉNN THI GNOU BONN GNOGNOU GNO NÉK SI HÔPITAUX YI ..
DIAMANO BI GNOU NÉK NI, MALAYI SAKH GNIO EUP YEURMANDÉ NITT GNI
ET LA SEULE SOLUTION A CETTE PROBLÈME, C'EST D' ÉTABLIR DES SYSTÈMES DE RÉCLAMATIONS DANS TOUS LES HÔPITAUX POUR PERMETTRE AUX MALADES DE POUVOIR SE PLAINDRE EN CAS DE NÉGLIGENCE OU DE MALTRAITANCE.
NUMÉROTATION DES BLOUSES, PRÉVOIR DES MESURES RÉPRESSIVES INFLIGÉE PAR UNE AUTORITÉ EN CAS D’INEXÉCUTION,
DES CONSÉQUENCES JURIDIQUE. ET LE PROBLÈME SERA RÉSOLU A JAMAIS DANS TOUS LES HÔPITAUX.
Anonyme
En Octobre, 2017 (10:28 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (10:41 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (10:43 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (10:47 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (10:56 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (11:01 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (11:11 AM)Un Simple Citoyen
En Octobre, 2017 (11:31 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (11:50 AM)Je L Ai Vecu
En Octobre, 2017 (12:10 PM)AUCUN ORDRE
Anonyme
En Octobre, 2017 (12:25 PM)Pk
En Octobre, 2017 (12:37 PM)1- l'accueil est nul , rien qu'à l'entrée principale on dirait un camp de concentration avec vigiles très hautins .
2- heures de visite le matin de 6h 30 à 7h 30, pour qui connait à quel point l’hôpital est enclavé....
3- suivi des malades : reste à désirer, comme l'a bien dit la pauvre maman , un proche y a subi le sort sur les perfusions .La bouteille était vide et il n'y avait personne et naturellement le sang ...
bon trop de choses à dire .
Medecin Ecoeurée Par Le Compor
En Octobre, 2017 (13:07 PM)Ma question pourquoi cet enfant n'a pas eu un scanner en urgence pour voir les lésions pour le chir pour le bloc en urgence.
Ou à défaut si le scanner coute cher un bon chirurgien viscéral n'a pas besoin de savoir l'objet qui a blessé la petite . Il y'a une plaie traumatique abdominale : urgence operatoire immédiate point à la ligne !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! va au bloc tout de suite. et découvre les lésions et répare tout de suite.
C'est une course contre la montre .
Pour l'etat de choc cela se gere rapidement avec des medicaments qui stabilisent l'hémodynamique et antibiotiques pour l'infection et surtout bloc en urgence.
La seule chose qui pouvait sauver cet enfant c'était d'avoir la chance de tomber sur un médecin pertinent qui prend les bonnes décisons sans palabrer. Le bloc à 23 heures c'était trop tard . Sauf si il y'avait des urgences plus graves que cette petite .
Encore une fois et là je m'adresse à mon confrére médecin " Cher confrère je suis désolées j'aimerai des explications plus convaincantes . Des cas comme ça j'en vois souvent aux urgences . dés que la personne arrive le chir est appellé et c'est lui qui des urgences appelle l'anesthesiste et surtout appelle le bloc pour le liberer rapidement de toute intervention non urgente et bilan preleve aux urgences et le brancard est poussé au bloc " Car le chirurgien sait sait qu"il a le temps contre lui.
On est des croyants donc on dira que c'est la volonté de Dieu" Qu'il l'acceuille dans son paradis et donne au parents la force de tenir . Mais yalla kou mou nattou diokhnala capacité mougn.
ikhlass. Wa salam
Wa salam .
Anonyme
En Octobre, 2017 (13:15 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (13:23 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (13:28 PM)Des Aicha Diallo il y en a tous les jours
Il faut arrêter désormais les visites organisées dans tous les secteurs nakk
Jai mal au coeur avec beaucoup de senegalais dont certainement le nouveau ministre de la Sante
Lebaolbaol Tigui
En Octobre, 2017 (13:40 PM)Anonymemomar
En Octobre, 2017 (14:14 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (15:51 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (15:51 PM)Elle est traitée mais pas de suivi ! On lui administre des médicaments, des perfusions mais il n'y a pas de surveillance ! Et, l'accompagnant elle-même doit courir chercher de l'aide...
Et bien, pour être franc, c'est le quotidien des hôpitaux publics de Dakar et du Sénégal. Ne nous voilons pas la face et ne cherchons pas à dédouaner les uns et les autres, cela n'avancera à rien. Ce qu'elle appelle négligence, c'est bien de la négligence quand un malade est laisser à lui-même.
Les docteurs et autres intervenants de la santé au Sénégal, sont là plus pour des raisons économiques que par vocation, niou wakh ko té déh nak.
Anonyme
En Octobre, 2017 (15:57 PM)D'AILLEURS LE JUGE DEMBA KANDJI QUI EST APPARU DANS LE MAGAZINE CAPITAL M6 SUR LE TOURISME MÉDICAL DU 15 OCTOBRE 2017, A RECONNU L'INSUFFISANCE DE NOTRE PLATEAU MÉDICAL. IL L'A DIT CLAIREMENT AU JOURNALISTE EN JUSTIFIANT SON DÉPLACEMENT JUSTE POUR UN BILAN MÉDICAL.
59
En Octobre, 2017 (16:20 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (17:03 PM)Belle a eu largement le temps de se vider de ses 5 litres de sang. Wa salam
Anonyme
En Octobre, 2017 (17:10 PM)ou bien vs êtes UN DES LEURS ??
Anonyme
En Octobre, 2017 (18:09 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (21:51 PM)Anonyme
En Octobre, 2017 (21:59 PM)l'enfant est venu à quelle heure à l'hopital?
Anonyme
En Octobre, 2017 (22:45 PM)X
En Octobre, 2017 (10:55 AM)Ceux qui sont visibles ne sont que la partie cachée de l’iceberg
. On est pourri "thi souf ba thi kaw"
Donc éduquons nous enfants à avoir des valeurs, à avoir les bonne attitudes puis les aptitudes
Wa Thiaroye
En Octobre, 2017 (11:33 AM)Anonyme
En Octobre, 2017 (16:10 PM)Ibsondiop
En Octobre, 2017 (16:31 PM)Là bas les sages regardent la télé le son trés fort crient chahutent discutent de leurs petits copains, etc. alors que des femmes comme elles trés fatiguées sont dans la salle d'à côté entrain de crier de douleur. C'est à peine si elles s'occupent d'elles, sinon elles les méprisent quant ces femmes en attente d'accouchement ou déjà opérés les appellent à l(aide
l'année passée mon épouse est restée dans la salle d'accouchement en travail de 6 h du matin à 15 h sans assistance(9 h de travail alors que la norme c'est 6 h) sinon de simples mesures de doigt
n'eût été la vigilance d'un medecin que est venue la voir vers 15 h, elle serait mort avec le bébé
le médecin l'a évacué d'urgence à la salle d'opération en sommant les sages femmes de faire très vite, le bébé est né très fatigué après avoir bu beaucoup de liquide amniotique
il a été hospitalisé pendant 15 jours à la crèche et à la pédiatrie
et le tout m'a coûté plus d'un million de fcfa
c'est la merde dans cette maternité de PRINCIPAL avec les nombreuses stagiaires sans expérience
Aladji Baye
En Octobre, 2017 (20:12 PM)Je ne suis pas convaincu par les explications fournies par la mère de la défunte : " la fillette alors qu'elle faisait le ménage a glissé et tombée sur la terrasse et une manche de raclette l'a pénétré par l'anus jusqu'à se casser et que la fillette a enlevé elle même le bout de manche qui lui a arraché de la chaire en sortant et il y a eu saignement"
Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond dans cette histoire; une manche de raclette mesure plus de un mètre et ne peut pas tenir debout toute seule; soit elle est posée à même le sol ou contre un mur.
Je précise que la maman a dit qu'elle n'était pas présente au moment de l'accident mais qu'elle a été alerté après.
Encore une fois parallèlement à l'enquête qui est entrain d'être menée au niveau de l'hôpital,une autre enquête doit être diligentée au niveau de l'entourage de la défunte.
Anonyme
En Octobre, 2017 (10:16 AM)Tocou
En Octobre, 2017 (11:41 AM)Participer à la Discussion