Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, appelle les gouvernements à mettre fin à "la pandémie mondiale de violence contre les femmes et les filles", soulignant qu'ils peuvent atteindre cet objectif s'ils unissent leurs efforts.
"La pandémie mondiale de violence contre
les femmes et les filles prospère dans une culture de discrimination et
d’impunité. Nous devons faire entendre notre voix. C’est pourquoi j’ai
lancé ma campagne mondiale +Tous unis pour mettre fin à la violence à
l’égard des femmes+", écrit M. Ban dans un communiqué du Centre
d'information des Nations unies (CINU) de Dakar adressé jeudi à l'APS.
Ban Ki-moon déclare qu'il est "fier d’élever la voix avec force et de
[se] joindre à tous ceux qui participent à la campagne +Un milliard de
personnes debout contre la violence+".
Cette campagne "ne doit pas se résumer à une journée de mobilisation ;
ce doit être une journée qui suscite une action", a-t-il souligné.
"En unissant nos efforts, nous pouvons mettre un terme à la violence
contre les femmes et les filles et édifier un monde où chacune pourra
vivre à l’abri du harcèlement et de la peur. Cette démarche aura des
avantages qui se répercuteront bien au-delà des personnes touchées", a
encore écrit le secrétaire général des Nations unies.
"Dans moins de trois semaines, à la réunion de la Commission de la
condition de la femme, la communauté mondiale se rendra au siège de
l’Organisation des Nations unies pour la plus vaste réunion jamais
organisée par l’organisation afin de mettre un terme à la violence
contre les femmes et les filles", a-t-il annoncé.
Selon lui, 18 gouvernements se sont engagés à participer à ce
"rassemblement historique", avec de nouvelles initiatives visant à
mettre fin à "la violence sexiste" en améliorant l’accès à la justice,
en ratifiant les conventions internationales et en renforçant la
protection. Mais aussi "en alourdissant les sanctions et en améliorant
la prévention et l’éducation", a ajouté Ban Ki-moon.
8 Commentaires
Pa
En Février, 2013 (20:25 PM)Founké
En Février, 2013 (20:45 PM)L’esclavage en Mauritanie :
Un esclave est un être qui est considère comme un domestique ou comme un animal domestique il peut être vendu, louer, castre, violé, désocialisé et dépersonnalisé. Il n’a pas le droit de posséder la terre et pourtant c’est une population agraire ou agrairiens, de diriger une prière en présence de son maitre, il n’a pas droit à l’héritage parce que il est considéré comme étant un bien. Au moment ou le petit arabe vie dans l’opulence au même moment le petit noir est l’opprobre de ses parents.les arabes envoient leurs enfants à l’école ou le petit noir est cantonné à des taches ménagères. Cette pratique antique ou anachronique qui appartient au moyen âge continue malheureusement de perdurer dans mon pays. On ne peut pas parler de démocratie dans un pays où Lhomme est considère comme étant un sous homme par ses semblables.
Foutanké
En Février, 2013 (20:46 PM)C’est vrai nous sommes tous mauritaniens mais sachez que nous sommes différents des gens et des autres (notre manière d’être, nos modes de vies notre mode de fonctionnement, notre façon de parlée) mais cette différence doit être vécue dans l’indifférence pour qu’on arrive à bâtir une nation forte, républicaine et pourquoi pas autarcique dans le respect de nos diversités.
Mais vouloir imposer une seule langue à toute la Mauritanie est une erreur, chacun d’entre nous peut exprimer sa Mauritanité tout en respectant l’autre c’est ça qui fait la république. Notre religion doit être le ciment de notre société mais ce la ne doit pas être utilisée à des fins politique
le faite d’ignorer l’arabe n’a jamais empêché le Fidel musulman de pratiquer sa religion avec ferveur, croire que l’on ne saurait musulman quand parlant la langue arabe reviendrai à supposer que dieu n’entend que la langue arabe, ce qui est ridicule .il suffit pour le musulman de connaitre la Fatiha et quelques passage du coran a part ça ce sont quelques formules qui sont nécessaire à la vie religieuse
Notre chère patrie a besoin des hommes intègres capables de mener une politique engagée, affirmée et conjuguée.
Pffff Les Peuls
En Février, 2013 (21:01 PM)Ous
En Février, 2013 (21:57 PM)Pire
En Février, 2013 (22:06 PM)Gackou
En Février, 2013 (23:53 PM)Gardera
En Février, 2013 (01:31 AM)Participer à la Discussion