Le maire socialiste devra faire ainsi face aux hommes du commissaire Ibrahima Diop au Commissariat central de Dakar et ferait mieux de donner des arguments convaincants.
Dans leur lettre, les plaignants dénoncent la destruction de leurs panneaux et expliquent que le matériel estimé à 500 millions a été découpé et emporté par des personnes encagoulées qui ont agi nuitamment. Ils estiment que l'opération a été dirigée par le garde du corps de Barthélémy Dias, impliqué dans l'affaire du meurtre de Ndiaga Diouf.
Dans leur lettre, les plaignants dénoncent la destruction de leurs panneaux et expliquent que le matériel estimé à 500 millions a été découpé et emporté par des personnes encagoulées qui ont agi nuitamment. Ils estiment que l'opération a été dirigée par le garde du corps de Barthélémy Dias, impliqué dans l'affaire du meurtre de Ndiaga Diouf.
29 Commentaires
Anonyme
En Juin, 2015 (07:16 AM)Serigne Bi
En Juin, 2015 (07:21 AM)senegal lounékhh wayy deff ........koussi am gaede corps rek dafani tu le droit de tuer
Las
En Juin, 2015 (07:55 AM)dans quelle condition Bart a été renvoyé de l'ecole.
Anonyme
En Juin, 2015 (08:05 AM)Anonyme
En Juin, 2015 (08:11 AM)Cheikhouna Seck
En Juin, 2015 (08:12 AM)mai senegal on dort sur tout ce fils d'enculé ki dafa rew niou ba yi ko si ,mai bou doné pape dji ni rek lameuneu mél rancunier et nul
Jommiwarrou
En Juin, 2015 (08:13 AM)détruit sans être inquiété
en toute complicité
avec des pouffiasse d'autorité
ou va la cité
qu'adviendra t-il si au sommité
le retour des socialo aux destinés
Serigne Bi
En Juin, 2015 (08:14 AM)Anonyme
En Juin, 2015 (08:15 AM)Dac
En Juin, 2015 (08:46 AM)Anonyme
En Juin, 2015 (08:57 AM)Anonyme
En Juin, 2015 (09:06 AM)le senegal n"avancera jamais avec des gens comme ce voyou arrogant
Booof/
En Juin, 2015 (09:22 AM)Anonymda
En Juin, 2015 (09:30 AM)Fabiola
En Juin, 2015 (10:27 AM)Anonyme
En Juin, 2015 (10:44 AM)Filly
En Juin, 2015 (11:50 AM)Emprisonnement
En Juin, 2015 (13:09 PM)si la charia etait bien appliquee , dans ce foutu et miserable pays , qui pretend etre musulman, en majorite , mais qui est plein de...nafekhes , surtout !
CE FILS DE POURTOUGNAGNA BATARD , DE MERDE merite la pendaison !
..
Un sabre neuf et bien aiguise , serait meilleur , pour lui trancher sa tete de cochon !!!
Un maudit assassin , qui apres avoir tue lachement un frere musulman ,laisse libre , elu maire et depute , vous ne verrez..JAMAIS...cela au Cap Vert , a Bissau ,au Mozambique , ou au Portugal !
Tous les miserables et couillons senegalais qui applaudissent ce kufar
de merde , meritent d ' etre jetes en enfer , car indignes de se faire
appeler des musulmans , vu leurs hypocrisies , et totales indifferences
a toutes les recommendations contenues dans lewe Saint Coran !
DOLENE ROUSSE...SAKHE...!...TCHHIIIMMM...SAKHE ...!.
Especes de faux musulmans pourris , laches et sans aucune vergogne ni dignite !
Connards de senegalais ...vas...!
Anonyme Mane
En Juin, 2015 (13:27 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (14:34 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (16:05 PM)Erik
En Juin, 2015 (16:07 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (16:13 PM)Bintou Une Voisine
En Juin, 2015 (16:39 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (16:54 PM)Alors que la sauvegarde du paysage figure dans le projet de loi Grenelle 2, un rapport sur la publicité extérieure préconise notamment de conférer la responsabilité d'application de la loi aux seuls maires… avec tous les risques que cela engendre.
Amenagement | 19 juin 2009 | Rachida Boughriet
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Panneaux publicitaires sur la RN20
Décriée? par les associations de défense de l'environnement, la publicité extérieure, pourtant encadrée par la loi la loi du 29 décembre 1979, est souvent organisée de manière anarchique et illégale et constitue trop souvent une pollution visuelle. La pression publicitaire continue d'entamer la protection des paysages, en particulier en raison des pré-enseignes dérogatoires, ces panneaux de 1,50 m de long qui se multiplient aux entrées de ville, et des enseignes scellées sur les aires des grandes surfaces, qui ne sont soumises à aucune déclaration préalable. De nouveaux procédés se développent également tels que la publicité sur bâches, les écrans plasma et les dispositifs déroulants au point de défigurer les paysages, avait dénoncé en juin dernier Michel Blain, membre de l'association Paysages de France qui milite depuis des années pour une meilleure application de la loi en vigueur mais aussi pour une clarification des textes. Car jusqu'ici, en complément de la réglementation nationale, les mesures d'implantation pouvaient être définies par les règlements locaux de publicité (RLP) décidés par les communes et créer une multitude de règles, autorisations, dérogations…
Afin de lutter contre la prolifération de panneaux publicitaires illégaux, Nathalie Kosciusko-Morizet, alors secrétaire d'Etat chargée de l'écologie et Hubert Falco, Secrétaire d'Etat chargé de l'aménagement du territoire avaient installé, en novembre 2008, le nouveau Conseil national du paysage et lancé la concertation sur la réforme de législation en matière de publicité extérieure. Je souhaite que le Conseil national des paysages, instance de concertation et de dialogue, puisse être force de proposition sur la publicité extérieure dès la première lecture de la loi Grenelle II, au Sénat en mars prochain, avait alors affirmé Nathalie Kosciusko-Morizet.
Dans le cadre du Conseil national du paysage, le Ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du territoire avait ainsi mis en place trois ateliers thématiques. Le premier sur la publicité et les entrées de ville avec notamment l'urbanisme commercial, le deuxième sur les paysages et l'énergie (développement des énergies renouvelables, rénovation thermique des bâtiments, …) et le dernier sur la biodiversité et les paysages.
Un rapport pour limiter l'invasion publicitaire
Le sénateur du Calvados Ambroise Dupont (UMP) a remis hier le rapport sur la publicité extérieure, enseignes et pré-enseignes, commandé en janvier par le gouvernement. Il propose des mesures pour limiter l'affichage publicitaire aux entrées des agglomérations et lutter contre cette pollution visuelle. La loi de 1979 qui était censée régir la publicité n'est pas appliquée, a déploré le sénateur en remettant ce rapport à Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat à l'Ecologie et Hubert Falco.
Parmi la vingtaine de propositions du rapport, le sénateur recommande de transférer aux maires le pouvoir de réglementer la publicité sur leur commune et de faire la police pour les faire respecter. La double commande Etat-communes ne fonctionne pas, a indiqué Ambroise Dupont, estimant que celui qui élabore la réglementation sur la publicité [doit être celui qui] en assure l'application.
Le sénateur propose également de réduire le format maximum des enseignes à 12 m2 contre 16 m2 actuellement, de bannir des ronds-points les panneaux de pub et de limiter la publicité lumineuse nocturne et les enseignes dans les zones commerciales : un panneau par façade et un seul support scellé au sol par établissement. Il propose aussi de supprimer les ''pré-enseignes dérogatoires'' hors agglomération (qui signalent les commerces, stations-service, hôtels, etc.) et de les remplacer par une signalétique routière.
Le rapport suggère en outre d'interdire la publicité dans un rayon de 100 mètres autour des écoles maternelles et primaires en créant des ''zones de tranquillité''. Par ailleurs, le Conseil National du Paysage sera consulté sur les impacts paysagers du développement des nouveaux dispositifs publicitaires (écrans plasma, véhicules…) ainsi que l'émergence des bâches de grandes dimensions liées à la création publicitaire.
Une responsabilité élargie des communes contestée par les assos
Ce que les maires ne faisaient pas avec les préfets, le feront-ils seuls ?
Collectif des Déboulonneurs
Si la suppression des pré-enseignes et de la publicité autour des écoles sont des mesures intéressantes pour le Collectif des Déboulonneurs, l'association s'oppose à cette proposition de transférer aux maires le pouvoir de réglementer la publicité sur leur commune. Cela risque d'aggraver la situation actuelle alors que plus d'un tiers des affichages publicitaires sont installés illégalement, a dénoncé Nicolas Hervé, membre du Collectif des Déboulonneurs rappelant que le pouvoir de police de l'affichage est actuellement exercé conjointement par les maires et les préfets.
Ce que les maires ne faisaient pas avec les préfets, le feront-ils seuls ?, s'interroge l'association qui s'inquiète de voir les préfets se dessaisir de cette question pour la laisser à la seule charge des municipalités. Cette opposition est partagée par l'association Paysages de France qui juge cette mesure inacceptable. Les maires ont beaucoup de mal à prendre des arrêtés pour réglementer la publicité parce qu'ils subissent des pressions importantes des acteurs économiques locaux, a déclaré Pierre-Jean Delahousse, membre de l'association Paysages de France, interrogé par LCI.fr.
D'autant plus que les recettes générées peuvent s'avérer considérables. Les gains perçus dépendent du quartier où l'affichage est installé. Une publicité installée sur la façade d'un immeuble en bord du périphérique parisien peut rapporter jusqu'à 100.000 € par mois… , avait déjà expliqué Michel Blain, membre de cette association. De plus, avec la Taxe Locale sur la Publicité Extérieure (TLPE)*, en vigueur depuis le 1er janvier 2009, qui a pour objectif de limiter la pollution visuelle et les grandes enseignes ''4 par 3'', les villes devraient engranger des recettes supplémentaires. La taxe concerne tous les dispositifs publicitaires ainsi que les enseignes de plus de 7m2. Les municipalités peuvent décider, par délibération, d'exonérer de cette TLPE les enseignes inférieures à 7 m2 ou à 12 m2 ou encore d'appliquer une ristourne de 50 % entre 12 et 20 m2.
Pour Pierre-Jean Delahousse, retirer le pouvoir de police au préfet va paralyser l'action juridique des associations. Une infraction peut concerner plusieurs communes à la fois. Cette proposition va donc aggraver la situation, a-t-il déploré. A l'instar du Collectif des Déboulonneurs, Paysages de France souhaite que ce pouvoir de réglementation reste du ressort du préfet et que les associations environnementales agréées puissent participer à l'élaboration des règlements locaux relatifs à la publicité.
Le Conseil national des paysages doit se réunir en juillet afin d'examiner les propositions du rapport sur la publicité extérieure. Les mesures retenues devraient être intégrées au projet de loi Grenelle 2 qui sera examiné en septembre au Sénat.
* La TLPE est inscrite dans la loi de modernisation de l'économie du 4 août 2008.
Rachida Boughriet, journaliste
Rédactrice spécialisée
Anonyme
En Juin, 2015 (17:17 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (20:35 PM)Jea
En Juin, 2015 (21:12 PM)Assassin
En Juin, 2015 (07:24 AM)Un maudit assassin , qui apres avoir tue lachement un frere musulman ,
laisse libre , elu maire et depute , vous ne verrez...JAMAIS...cela
au Cap Vert , a Bissau , au Mozambique , ou au Portugal !
Tous les miserables et couillons senegalais qui applaudissent ce kufar
de merde , meritent d ' etre jetes en enfer , car indignes de se faire
appeler des musulmans , vu leurs hypocrisies , et totales indifferences
a toutes les recommendations contenues dans le ...Saint Coran !
DOLENE ROUSSE...SAKHE...!...TCHHIIIMMM...SAKHE ...!.
Especes de faux musulmans pourris , laches et sans aucune vergogne ni dignite !
Connards , vas..
Ce minable serait deja assassine dans tout autre pays , digne surement .
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