Mercredi 24 Avril, 2024 á Dakar
Vendredi 01 Juin, 2018 +33
Politique

Farba Ngom remet les pendules à l’heure

Single Post
Photo : Seneweb.com

(Correspondance). Devant de très nombreux militants venus répondre à son appel, le député Farba Ngom n’a pas mâché ses mots en rappelant à l’ordre ceux qui sont tentés de semer la confusion dans les rangs de son parti et de la coalition au pouvoir. Selon Farba N’GOM qui tenait une rencontre dans la ville de Matam, le Haut conseil des collectivités territoriales aiguise beaucoup d’appétit, mais, cela ne doit pas être source de dérapage, faisant allusion à certaines personnes ayant menacé de présenter des listes parallèles pour l’élection des conseillers de la future institution. « Aucune liste parallèle ne sera tolérée ! », menace-t-il.

À en croire le responsable de l’Alliance pour la République à Matam par ailleurs Maire de Agnam, au total ce sont vingt candidats au poste de conseillers qui ont été proposés et désignés pour le compte du département de Matam. Ce choix, dit-il, a été fait par consensus par la quasi-totalité des responsables politiques de la région au cours d’une réunion tenue à dans la ville de Matam. Une réunion qui a réuni des députés, conseillers économiques, conseillers municipaux et départementaux et les maires de la région. « Ceux qui ont été choisis l’ont été par consensus et c’est le lieu de se féliciter de cet élan unitaire des responsables politiques qui ont fait prévaloir l’intérêt de la région », se réjouit. Farba Ngom. Lequel se félicite également de l’esprit consensuel ayant prévalu dans les rangs de Benno Bokk Yakaar. Selon lui, les partis politiques, membres de ladite coalition ont fait preuve de responsabilité dans le choix des candidats attribuant une mention spéciale au Parti socialiste.

Farba Ngom de préciser que personne n’a été délégué pour choisir qui que ce soit. « Benoît Sambou est le seul mandataire au niveau national pour parler au nom du président de la République et pour le compte de l’Apr. Il n’y a pas d’autres mandataires ! » il n’ya aucun mandataire à travers le pays le seul et unique mandataire qui a été choisi et désigné officiellement par le président de la République n’est personne d’autre que Bénoit Sambou, a-t-il martelé. Justifiant sa démarche, Farba qui explique qu’il n’a été mandaté par personne et de souligner : « je n’ai été mandaté, ni par le président Macky Sall, ni par le ministre Benoît Sambou, je suis là sur mon initiative personnelle en tant que responsable politique ».

Et le député d’inviter les conseillers devant prendre part au vote du 4 septembre prochain de voter pour le triomphe des listes de la coalition Benno Bokk Yakaar. Dans cette rencontre l’ensemble des conseillers pressent à cette réunion, ont tenu à dire qu’ils respecteront le choix final qui viendra des responsables hiérarchiques de leur formation politique.

Ainsi donc tient-il à préciser qu’après la publication des listes des conseillers qui vont siéger au niveau de ce haut conseil, des superviseurs seront choisis pour rencontrer les responsables, une manière d’échanger avec eux sur les véritables motivations de ce choix opéré par le parti. Réconforté par l’initiative entreprise par Farba N’GOM l’ensemble des maires présents à cette rencontre de Matam ont tenu à appeler les uns et les autres à coopérer ensemble pour une cohésion totale au niveau de leur parti, ainsi que pour massification.

Et Farba N’GOM d’inviter les responsables de sa formation à être fréquente au niveau de leurs bases. Une manière selon le Maire de Agnam d’occuper le terrain et de pouvoir s’enquérir au quotidien du vécu des populations au niveau de la base



38 Commentaires

  1. Auteur

    Anonymal

    En Août, 2016 (13:54 PM)
    cet homme n'est pas très aimé dans ce pays et dans sa région. Il est si con.
    Top Banner
  2. Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (13:55 PM)


    «Du nouveau sur le mandat de Macky Sall… Ces lacunes ou omissions de la loi constitutionnelle du 20 mars 2016»-Par M. Ngouda Mboup





    Le 12 février 2016, le Conseil constitutionnel sénégalais considérait que « s’agissant des modalités d’application dans le temps des lois de révision ayant une incidence sur la durée du mandat en cours du Président de la République, que des précédents se sont succédés de manière constante depuis vingt cinq ans ; qu’il résulte de ces précédents, initiés sans texte lors de la révision de la Constitution de 1963 par la loi constitutionnelle n° 91-46 du 06 octobre 1991 et consolidés lors de l’adoption de la nouvelle Constitution du 22 Janvier 2001 et de la révision constitutionnelle n°2008-66 du 21 octobre 2008, avec le soutien de dispositions transitoires destinées à différer l’application de la règle nouvelle, que le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la loi de révision, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle. » (Décision en matière consultative n°1 / C / 2016, Considérants 29 et 30.) Au regard de ces considérants, il est impossible de dire que personne ne l’a remarqué car la Constitution du 22 janvier 2001 et la loi constitutionnelle n°2008-66 du 21 octobre 2008 avaient prévu des dispositions transitoires qui étaient destinées à différer l’application de ces nouvelles réformes qui toucheraient le mandat du Président Abdoulaye Wade, ce qui n’est pas le cas de la loi constitutionnelle n°2016-10 du 05 avril 2016 portant révision de cette même Constitution qui vient de réduire la mandat du Président Macky SALL de sept à cinq ans.



    Si l’on entend en parler aujourd’hui, c’est pour appeler à la correction de certaines lacunes ou omissions : bien que adoptée depuis le 20 mars 2016 et promulguée le 5 avril 2016, rares ont été les spécialistes, du moins à notre connaissance, à avoir consacré des réflexions sur cette nouvelle loi constitutionnelle majeure. Un de nos grands maitres, le Professeur Jacques-Mariel NZOUANKEU, a été l’une des rares personnes à se questionner sur les effets pervers de cette nouvelle réforme, notamment par l’absence de dispositions transitoires mais aussi par la suppression des fondements constitutionnels de la Cour Suprême (elle se trouve ainsi privée de toute base constitutionnelle. La Cour Suprême n’existe plus juridiquement… alors qu’elle est la plus haute juridiction du pays).



    Nous pensons que nous avons l’obligation de nous prononcer sur cette question car la liberté des enseignant-chercheurs est un principe à valeur constitutionnelle qui est au service du peuple et de l’Université. Par conséquent, les grands enjeux juridiques et politiques doivent trouver leur écho sous la plume et la réflexion des enseignant-chercheurs. Le fait pourrait sembler contradictoire : comment une réforme aussi importante a-t-elle pu passer inaperçu ? Mais, selon nous, c’est son caractère important qui doit faire l’objet d’une interrogation et non le fait qu’elle soit passée inaperçu.



    En notre qualité d’enseignant-chercheur, nous allons tenter d’être assez clair pour répondre au principe à valeur constitutionnel qui est d’être au service de la science et du Peuple.







    I- De la durée du mandat en cours du Président Macky Sall



    L’une des grandes certitudes de la science du droit constitutionnel est relative à la division du pouvoir constituant mais aussi et surtout à la distinction entre pouvoir constituant et pouvoirs constitués. Le pouvoir constituant c’est l’organe qui dispose de la compétence constitutionnelle dans l’élaboration ou la modification de la Constitution. Avoir la compétence constitutionnelle implique le pouvoir soit d’élaborer une Constitution, soit de modifier celle-ci. Ainsi, le pouvoir constituant originaire établit ou change la Constitution, alors que la pouvoir constituant dérivé révise la Constitution. Le pouvoir constituant est dit originaire lorsqu’il intervient ex nihilo, à partir de rien ou à la suite d’un changement, d’une rupture ou d’une continuité constitutionnelle. Traditionnellement, il intervient pour établir une Constitution soit à l’occasion de la naissance d’un nouvel État, soit lors d’une rupture juridique ou politique. Exemple : en 2001, la Constitution sénégalaise a été établie par le pouvoir constituant originaire à la suite de la première alternance démocratique de notre pays.



    Il faut aussi préciser que le pouvoir constituant est différent des pouvoirs constitués qui ne sont que des pouvoirs dans la Constitution, c’est-à-dire des pouvoirs publics. Le pouvoir constituant non seulement crée les pouvoirs constitués mais conserve une suprématie sur eux. Autrement dit, les pouvoirs et prérogatives qu’exercent le juge constitutionnel, le Parlement, le Président de la République ou encore le Gouvernement sont des pouvoirs simplement dérivés qui tirent leur source et leurs limites dans la Constitution. Il existe une autre façon de dire cela en mettant en exergue la notion de compétence qui est un pouvoir légal de prendre des actes juridiques. En effet, ce pouvoir constitutionnellement consacré n’appartient pas à ses titulaires en vertu d’un droit propre mais seulement sous la forme d’une compétence d’attribution.



    Le Conseil constitutionnel est un pouvoir constitué qui trouve ses compétences et ses limites dans la constitution. Par conséquent, c’est une juridiction qui ne peut gouverner car le souverain (le Peuple) peut toujours régner en majesté en brisant ses Décisions par le vote d’une loi constitutionnelle. Cette position est d’ailleurs défendue par le Conseil constitutionnel sénégalais lui-même qui refuse de se prononcer sur les lois constitutionnelles. Ainsi, en 2007, le Conseil constitutionnel sénégalais avait déclaré non conforme à la Constitution la loi n° 23/2007 du 27 mars 2007 modifiant l’article L 146 du Code électoral qui instituait la parité dans la liste des candidats au scrutin de représentation proportionnelle pour les élections législatives (Décision N° 97/2007 Affaire N° 1/C/2007). Cette Décision a été brisée par le constituant sénégalais qui est revenu à la charge pour inscrire la parité dans la Constitution à travers la Loi Constitutionnelle n° 2008-30 du 7 août 2008. Cette manifestation de la souveraineté du pouvoir constituant démontre que le Conseil constitutionnel n’est qu’un « aiguilleur » qui ne fait qu’un contrôle procédural et après le Doyen Georges VEDEL, on peut dire qu’il n’a « droit qu’à la gomme et non au crayon. »



    Le 20 mars 2016, le Constituant sénégalais a brisé la décision du Conseil constitutionnel en réduisant le mandat de Macky Sall de 7 à 5 ans. Ainsi, le Peuple vient de démontrer qu’il ne saurait être un souverain entravé. Comme le précise le Professeur Olivier DUHAMEL, « la souveraineté du peuple constitue le principe premier de la démocratie. Le pouvoir vient du peuple. Lui seul peut l’attribuer. Lui seul choisit son dirigeant. Lui seul décide d’en changer. » Par conséquent, si l’on réduit la durée du mandat présidentiel, sans le soutien de dispositions transitoires, cela signifie que cette réforme s’applique au mandat en cours. En effet, en matière constitutionnelle, les réformes sont d’application immédiate. Ainsi, les dispositions transitoires ont vocation à tracer des passerelles entre la loi ancienne et la loi nouvelle. Leur fonction consiste essentiellement à assouplir la réception de la loi nouvelle et à indiquer en conséquence l’application ou pas de loi nouvelle au mandat en cours.



    Par conséquent, nous pouvons soutenir qu’il ne fait aucun doute que si le constituant sénégalais n’a pas jugé nécessaire de prendre en compte la portée sécurisante des dispositions transitoires qui aide à moduler la question de la rétroactivité de la situation du mandat à partir de 2012, c’est parce qu’il a voulu appliquer le quinquennat au mandat en cours du Président Macky SALL.



    Ainsi, à la question de savoir si le mandat de Macky Sall a été réduit ? La réponse est oui. A la question de savoir à quelle date doit se tenir l’élection présidentielle ? La réponse est en 2017.



    II- Du nombre de renouvellement du mandat du Président Macky Sall



    A l’appui de notre propos, nous pouvons, à bon droit, nous rabattre sur les travaux du Professeur Guy CARCASSONNE, qui a bien argumenté l’importance des dispositions transitoires dans la limitation du nombre de renouvellement des mandats de l’ancien Président Abdoulaye WADE. Sur ce point, il ne fait aucun doute que seul le constituant peut abréger la durée du mandat du Président de la République. D’ailleurs, le Conseil constitutionnel sénégalais a eu à le rappeler dans sa fameuse Décision de 2012 en « considérant, que l’opinion exprimée par le président de la République, quelle que soit, par ailleurs, sa solennité, ne peut valoir règle de droit dès lors qu’elle ne se traduit pas par un acte législatif ou réglementaire ; que cette déclaration en elle-même ne saurait en aucun cas constituer une source de droit.» Ainsi, l’oralité ou l’orature quelle que soit leur solennité ne peuvent fonder le droit sous nos cieux. (Décisions nos 3/E/ à 14/E/2012 du 29 janvier 2012.) Ce qui veut dire que l’engagement du Président Macky SALL de faire deux mandats n’a pas de valeur juridique. Toutefois, avec la nouvelle réforme issue du référendum du 20 mars 2016, il ne peut faire au maximum que deux mandats de cinq ans.



    Aux termes de l’article 27-Nouveau : « la durée du mandat du Président de la République est de cinq ans.



    Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs. »



    Cette nouvelle formulation de l’article 27 appelle quelques observations. D’abord, l’article 27, dans le contexte actuel, s’il était accompagné de dispositions transitoires ne limiterait pas le nombre de mandats à 2 pour Macky SALL. En effet, l’article 27 définit le mandat par sa durée qui est de 5 ans. Si nul ne peut exercer plus de 2 mandats consécutifs, cette disposition porte implicitement sur le mandat de 5 ans. Le 1er mandat de 7 ans serait ainsi exclu. Mais cette situation serait juridiquement tenable s’il y’avait des dispositions transitoires tendant à différer l’application de la loi nouvelle car il serait difficile de séparer la durée du mandat et son nombre de renouvellement. Et, sur cette question, le constituant sénégalais a tranché en ne prévoyant aucune disposition transitoire. Par conséquent, Macky SALL terminera son mandat actuel le 03 avril 2017. Ensuite, le constituant sénégalais a enserré la durée du mandat, son nombre de renouvellement ainsi que le mode d’élection du Président de la République dans la clause d’éternité (avant dernier alinéa de l’article 103.) C’est un verrouillage juridique sans précédent dans notre histoire constitutionnelle. Ce qui signifie que le double quinquennat est hors de portée de l’intervention du pouvoir Constituant. La possibilité da faire plus de deux mandats est devenue inexistante dans la mesure où cette disposition visée semble transcender les tergiversations susceptibles d’affecter le quinquennat ou septennat. Désormais, pour se défaire de ces dispositions, il faut obligatoirement changer de Constitution.



    Toutefois, en ne prévoyant pas de dispositions transitoires, on peut se demander s’il ne s’agissait pas d’un piège tendu au peuple sénégalais à travers l’artifice suivant lequel le mandant de 7 ans n’est plus décompté (pour déterminer la renouvelabilité) dès lors que débute un nouveau mandat de 5ans. Nous pensons que le piège des trois mandats était bien là : 7+5+5. Cette mégarde plonge bien sûr l’observateur avisé dans un imbroglio consécutif à deux constats connexes : d’une part, on ne sait pas exactement quelle disposition régit actuellement (août 2016) le mandat en cours du Président : ce n’est pas l’ancienne loi parce qu’aucune disposition en vigueur ne l’affirme expressément au regard de la Constitution (on s’est débarrassé, à la suite du référendum de l’ancienne tournure rédactionnelle de l’article 27 issue de la réforme constitutionnelle2008-66 du 21 octobre 2008, qui portait à sept ans la durée du mandat du Président à partir de 2012) ; d’autre part, la loi nouvelle, consécutive à la réforme constitutionnelle 2016-10 du 5 avril 2016, est restée muette (faute de dispositions transitoires) sur la prise en compte de la situation antérieure qui conférait un début d’exécution du mandat de sept ans du Président en fonction. Pourtant, l’alerte avait déjà été sonnée par le Professeur Mactar CAMARA en ces termes : « finalement, par souci d’honnêteté, le référendum envisagé ne devrait porter que sur la réduction du mandat, pour épargner au Peuple souverain le dilemme d’avoir à se prononcer sur un Projet de loi constitutionnelle fourre-tout et sournois, comportant à la fois des dispositions qui renforcent la démocratie sénégalaise et des dispositions qui la déconstruisent. » Avec des dispositions transitoires, l’actuelle Constitution n’empêcherait pas à Macky SALL (s’il gagnerait en 2019) de briguer un troisième mandat. Sans dispositions transitoires, le Peuple vient de sortir des mailles du filet en ne permettant à l’actuel Président qu’un seul renouvellement de son mandat de cinq ans.



    Les juristes peuvent applaudir à ce remarquable tour de magie juridique qui permet à la Constitution de retrouver une vie juridique presque normale et tant pis si les hommes politiques ont perdu au passage, outre leur manque de foi, toute confiance du Peuple. Les effets pervers persistants de cette réforme risquent d’aggraver encore ce que beaucoup d’observateurs perçoivent déjà comme un rejet des hommes politiques.







    Mouhamadou Ngouda MBOUP



    Assistant de droit public FSJP / UCAD



    Ancien ATER à la faculté de droit et de gestion de l’Université de La Rochelle



    Ancien enseignant à la faculté de droit de l’Université de Grenoble
    {comment_ads}
    Auteur

    Boye Thilogne

    En Août, 2016 (14:29 PM)
    Bravo Farba, tu fais et réfichis mieux que ce faux Almamy Bocoum qui est d'ailleurs un faux type qui a dévalisé toute la caisse de TAD France et il est entrain de politisé le projet de bibliothéque. Mor Almamy bocoum de Thilogne qui est l'opposé de celui de Kanel.
    {comment_ads}
    Auteur

    Senegal Ndiaye

    En Août, 2016 (14:30 PM)
    Rester en contact avec vos amis, parents , et connaissance du sénégal avec son réseau social SNCONECT.COM  :sunugaal: 
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (14:30 PM)
    le grand fouta est dirigé par un gaolo, pauvres de nous
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (14:59 PM)
    C mieux d'être dirigé ^par un gawlo q'un diawando ( almamy bocoum de Thilogne un grand ivrogne)
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (15:45 PM)
    Le bas conseil,c votre problème; choisissez des babouins des gorilles des boukis.A partir de 2017 le peuple sénégalais commencera à solder ses comptes avec le roi lion-dormeur.

    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (15:59 PM)
    bouffon de la republique

    seul maky a osé nommé son griot deputé

    ni senghor, ni diouf ni wade n'ont osé
    {comment_ads}
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    Top Banner
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    {comment_ads}
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    {comment_ads}
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    {comment_ads}
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    Top Banner
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    {comment_ads}
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    {comment_ads}
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    {comment_ads}
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    Top Banner
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    {comment_ads}
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    {comment_ads}
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    {comment_ads}
    Auteur

    Bass

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    La politique au senegal c dificile dire
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (17:20 PM)
    Ignorant; depuis quand le président nomme des débutés, ils sont élus comme le président, con :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot: 
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (17:23 PM)
    il n ya pas d election, c est maky ki nomme

    tu n as rien compris grand ignare devant l eternel

    ce sont des simulacres d election

    baal ma akh dé walla book
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (18:06 PM)
    l ressemble a un poulho con niais comme son patron sans les fetiches cet individu ne pourrait rien faire il n a ni profession ni metier ni beaute aucun feeling ni thiathie
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (20:53 PM)
    Un alphabète de surcroît députe à l'assemblée nationale du Sénégal :roadrunner:  :roadrunner:  :roadrunner: 
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (22:18 PM)
    Le fouta de el hadji oumar, alpha oumar thierno baila pour ne citer que ceux est dirigé par un griot.

    QUELLE HONTE

    Mais soyez patients, ca finira bientôt inchallah.

    Respectueusement à tous
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (01:12 AM)
     :bip-bip:  celui qui s'attaque a Almamy bocoum est un poltron, un tapéte; dévoile ton nom si tu ose le faire au lieu de ltapeler boy thilogne; ce que Almamy bocoum a fait pour thilogne toi tu ne la pas fait; je ne prononcerai pas le nom de ce griot qui quoi qu'il arrive restera griot du fouta; il a toujours quémendé de l'argent en chantant et on lui donne; ne salit pas le nom de Almamy bocoum tu es trop petit; ton griot dont je ne veux même pas citer le nom restera griot
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (01:28 AM)
    {comment_ads}
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (07:01 AM)
    quel guignol
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (07:35 AM)
    {comment_ads}
    Auteur

    Abdoul Sam Thilogne

    En Août, 2016 (08:35 AM)
    Mbaré Sawaly aussi était un serviteur de Thierno Saïdou Kane.

    Quand Almamy était poussé à prorte de TAD il a laissé combien de dette derrière lui. Heureusement qu'il y avait d'autres thilognois comme Mamoudou Samba, El hadji Ka, Samba Kane, Mamoudou Ndiaye, Abdoulaye Ngom, Racine Dia, Baba Amadou Sall....qui étaient la pour nous sortir de cette merde.

    Almamy est un fils de batoula en plus il est ivrogne, jamais un batoula fils de batoula et ivrogne ne sera maire de Thilogne ou responsable dans le bosséa.

    Almamy aussi est un batar. Normalemen son nom de famille doit être Péne. A lire la suite.
    {comment_ads}
    Auteur

    Samba Diallo France

    En Août, 2016 (09:37 AM)
    Tu as raison Mr Sam , Almamy est un ivrogne qui ne respecte personne. même à thilogne il est toujours ivre.

    Je lance un appel à témoins: qui a une fois vu Almamy prié dans la mosquée de Thilogne et poutant il est - 0 m.

    {comment_ads}
    Auteur

    Thilogne

    En Août, 2016 (12:26 PM)
    Almamy Bocoum est un type bien qui aime sa région. Le seul reproche qu'on peut lui faire c'est d'oublier que la patrie passe avant la région et l'ethnie, ce qui me gêne. Peu importe qu'il boive ou qu'il n'aille pas à la mosquée. Ce qui importe c'est les actes qu'il pose pour Thilogne.
    Top Banner
    Auteur

    Anon

    En Août, 2016 (12:27 PM)
    Il vaut mieux un Almamy Bocoum que 10 000 Farba Ndome....euh Ngom.
    {comment_ads}
    Auteur

    Mbaré Bassoum

    En Août, 2016 (12:54 PM)
    ce matin même quequ'un l'a vu entrain de boire au café de rome. C'est pas par ce que Baba Mal l'a chanté qu'il capable.

    un Farba Bosséa ( lamdo bosséa) veut plus 99999999999999999......de cet ivrogne.

    Farba a bien fait si Almamy était élu maire de Thilogne en une semaine il draguer avec tout le budget de la mairie.
    {comment_ads}
    Auteur

    Farba Ngom

    En Août, 2016 (13:23 PM)
    Vous tous vous êtes des mécontents et vous allez tous maigrie. Vous dites que je suis un bâtard , c'est vous qui êtes des bâtards fils de bâtards petits fils de bâtard. Je ne suis pas égale à vos pères ni à ce putain d'almamy Beaucoup ce grand voleur, tous Thilogne le save. Je suis griot et fier et aujourd’hui qui'il pleut ou qu'il neige, que vous soyez pour ou contre je reste et je resterais votre dirigeant. Demandez combien de femme de Thilognois avec qui j'ai coucher. Je suis sur et certains que vous serais surpris encore. Je suis le meilleur et je resterais pour toujours!!!

    {comment_ads}
    Auteur

    Indignes

    En Août, 2016 (13:41 PM)
    A lire les commentaires, je me dis que l'indignité trouve sa capitale dans le Fouta. Ce "peuls" qui insultait les autres ethnies en vantant le fouta devrait enlever ses oeuillères pour constater la bassesse qui règne dans "son" fief.
    Top Banner
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (16:09 PM)
    c quoi c commentaires de merde . voila le quotidien des gens du fouta; debattre sur les castes et appartenances point barre . ainsi ce sera tjrs la zone la moins developpée du pays. arretez s'il vous plais et diversifier les debats afin qu'on sorte de cette misére dont le fouta a toujours connu
    {comment_ads}

Participer à la Discussion

  • Nous vous prions d'etre courtois.
  • N'envoyez pas de message ayant un ton agressif ou insultant.
  • N'envoyez pas de message inutile.
  • Pas de messages répétitifs, ou de hors sujéts.
  • Attaques personnelles. Vous pouvez critiquer une idée, mais pas d'attaques personnelles SVP. Ceci inclut tout message à contenu diffamatoire, vulgaire, violent, ne respectant pas la vie privée, sexuel ou en violation avec la loi. Ces messages seront supprimés.
  • Pas de publicité. Ce forum n'est pas un espace publicitaire gratuit.
  • Pas de majuscules. Tout message inscrit entièrement en majuscule sera supprimé.
Auteur: Commentaire : Poster mon commentaire

Repondre á un commentaire...

Auteur Commentaire : Poster ma reponse

ON EN PARLE

Banner 01

Seneweb Radio

  • RFM Radio
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • SUD FM
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • Zik-FM
    Ecoutez le meilleur de la radio

Newsletter Subscribe

Get the Latest Posts & Articles in Your Email