Réagissant, en marge de la célébration de prière de l’Aïd-el-kébir, vendredi à Thiès, à la question de l’insécurité à laquelle font face les populations, Idrissa Seck considère que c’est un échec du gouvernement. Le président de Rewmi a, par ailleurs, listé les différents maux dont soufrent les populations.
«Je voudrais dire toute ma compassion à l’endroit des populations assaillies par toutes les difficultés qui figurent dans le sermon de l’imam. Je vis toujours avec énormément de douleur, de peine, ces difficultés de ces populations qui sont assaillies par les inondations, les difficultés économiques, le chômage, l’insécurité, les agressions, la prolifération de la drogue, de l’alcool, etc.
Depuis l’antiquité la plus reculée que l'humanité ait connue, la première mission de tout Etat est de garantir la sécurité et la paix. Donc, c’est la première mesure de l’échec du gouvernement. Cette insécurité croissante, naturellement qui est nourrie et alimentée par la pauvreté, le désœuvrement des jeunes, la prolifération de la drogue et de l’alcool.
Donc, nous devons tous nous mobiliser pour que les gens accordent à cette question, pour que le régime accorde à cette question toute l’attention qu’elle mérite. Il faut qu’on s’éloigne de la politique politicienne puisqu’il s’agit là de la vie des gens. Il ne s’agit pas de faire des campagnes médiatiques de promotion mais véritablement de se mobiliser au service des populations qui souffrent dans leur chair».
70 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2015 (14:55 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (14:58 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (14:59 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (15:01 PM)www.degdeug.com
www.degdeug.com
Anonyme
En Septembre, 2015 (15:05 PM)Pour lutter contre la pauvrete, il faut aussi avoir la confiance des populations et être constant dans ses engagements...
Le probleme de Idy est le deficit constance, de confiance et d'humilité...
Anonyme
En Septembre, 2015 (15:05 PM)Les attaques du fantomatique ancien de Thiès contre le gouvernement sur l’insécurité sont un monument d’amnésie et de falsification. La médiocrité de son bilan à Thiès et au gouvernement ne lui confère aucune légitimité à jouer les donneurs de leçons
Anonyme
En Septembre, 2015 (15:07 PM)Un étranger
En Septembre, 2015 (15:17 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (15:20 PM)Perce
En Septembre, 2015 (15:21 PM)Justie l'argent que vole pour tes prestiges sur le dos des thiessois et l'usine d'alcool que tu as implanté à THies alors que tu te dis musulmans
Deug
En Septembre, 2015 (15:33 PM)Ya ay souniou yakaar
Lala
En Septembre, 2015 (16:09 PM)Lala
En Septembre, 2015 (16:09 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (16:20 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (16:22 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (16:27 PM)Bbbqss
En Septembre, 2015 (16:37 PM)Malem
En Septembre, 2015 (16:44 PM)le pèlerinage est un exemple patent .
Idy est le president du vrai changement
Diallo Coco
En Septembre, 2015 (16:59 PM)Atypico
En Septembre, 2015 (17:11 PM)Fama
En Septembre, 2015 (17:16 PM)Souleymane
En Septembre, 2015 (17:20 PM)En 2017 je vote Rewmi incha-allah
Marieme
En Septembre, 2015 (17:22 PM)Fatou Diome
En Septembre, 2015 (17:24 PM)Vive Idy
Rewmi jogna
Mdrr
En Septembre, 2015 (17:27 PM)Vive Idy, 2017 tu as mon vote
Nafy
En Septembre, 2015 (17:30 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (17:33 PM)Macky et son gouvernement, tous des nullards
Fatima
En Septembre, 2015 (17:39 PM)Refane
En Septembre, 2015 (17:40 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (18:58 PM)Tek
En Septembre, 2015 (19:06 PM)Djite Bi
En Septembre, 2015 (20:19 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (20:32 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (21:44 PM)Borom Gualem Gui
En Septembre, 2015 (23:01 PM)Padadji
En Septembre, 2015 (02:52 AM)vous ne pourrez rien
contre macky
Doudou Dubai
En Septembre, 2015 (04:02 AM)De Dubai a Dakar ou je suis en ce moment pour la TAbaski on parle beaucoup de cette diplomatie a Washington avec des nominations telle que Babacar Diagne griot journaliste qu'il faut demander a Maimouna Ndir et Ibrahima Souleyemaane Diop.
Ma Kane Kaane seme la terreur et le banditisme a l'Ambassade. President Macky Sall eveillez vous et attention a Makane Kane et Babacar Diagne avec zero resultat sans oublier la mauvaise image donnait au Senegal a cause d'eux....
Thiessoise
En Septembre, 2015 (09:52 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (09:55 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (09:58 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (10:04 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (10:10 AM)Juriste
En Septembre, 2015 (10:19 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (10:22 AM)Atypico
En Septembre, 2015 (10:23 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (10:41 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (10:47 AM)Ce Idy Seck est la pire chose à souhaiter à un pays qu'on aime : il a été maire de Thiès et il ne s'est jamais soucié du développement de Thiès.
Ki bakhoul.
Il parle d'insécurité alors qu'il a participé à mettre le pays à genoux avec ses milliards volés à ce pauvre pays. Pendant que les populations de Thiès souffraient des inondations, de l'insécurité, de la précarité, il les avait abandonnées pour aller vivre à l’hôtel St James à Paris, alors qu'il a été élu à la mairie pour travailler.
Ce fils de pauvre devenu multimilliardaire qui parle de sa fortune volée des caisse d'un pays pauvre dont les populations meurent tous les jours faute de pouvoir se soigner. S'il n'a pas honte, ayez honte pour lui.
Anonyme
En Septembre, 2015 (10:54 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (11:04 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (11:13 AM):
Momla
En Septembre, 2015 (11:32 AM)Anonyme
En Septembre, 2015 (11:35 AM)Max
En Septembre, 2015 (11:59 AM)Anonymelo
En Septembre, 2015 (12:16 PM)Idy est désespéré et son seul désir est d’être président pour se venger, ce qui n'arrivera jamais car il manque à nos leaders la crédibilité, ils gardent des milliards par devers eux et veulent parler de probité, que ce soit lui ou les dirigeants actuels, s'ils veulent être entendus, le minimum est d'abord de rendre au peuple ce qu'ils lui ont volé.
Tous sont pareils dans le pire, et je ne vois pas pourquoi choisir entre la peste et le choléra.
Anonyme
En Septembre, 2015 (12:16 PM)Pro Usa
En Septembre, 2015 (12:18 PM)Doudou Dubai
En Septembre, 2015 (12:32 PM)De Dubai a Dakar ou je suis en ce moment pour la TAbaski on parle beaucoup de cette diplomatie a Washington avec des nominations telle que Babacar Diagne griot journaliste qu'il faut demander a Maimouna Ndir et Ibrahima Souleyemaane Diop.
Ma Kane Kaane seme la terreur et le banditisme a l'Ambassade. President Macky Sall eveillez vous et attention a Makane Kane et Babacar Diagne avec zero resultat sans oublier la mauvaise image donnait au Senegal a cause d'eux....
Sow
En Septembre, 2015 (12:38 PM)Ano
En Septembre, 2015 (12:58 PM)epargne barraux aux fenetres nous sommes terres ds nos maisons
la nuit c'est le regne de la terreur des bandes armees attaquent des
personnes en plein thies on attend quoi la pour reagir
Diègue
En Septembre, 2015 (13:02 PM)Foudre
En Septembre, 2015 (13:19 PM)A Méditer Sérieusement
En Septembre, 2015 (14:53 PM)Depuis quelques temps dans la sphère médiatique et dans la blogosphère, des sondages et des analyses de politologues se répandent çà et là, pour sonder et explorer les intentions de vote des sénégalais en faveur de potentiels candidats à l’élection présidentielle de 2017. De tous les résultats et avis obtenus, il se dégage essentiellement 3 personnalités, dans un ordre préférentiel (KHALIFA SALL, KARIM WADE et IDRISSA SECK) pour faire face au Président Macky Sall au deuxième tour. Ce qui apparaît constant, c’est la certitude du 2e tour. Ce qui semble très probable, c’est que si les reports de voix au 2e tour entre les 3 candidats opposés au candidat sortant s’effectuent sans faille en faveur du mieux placé, dans tous les cas, Macky Sall sera battu. Compte tenu évidemment des précautions d’usage en cette matière de probabilité qui recèle des marges d’erreur plus ou moins importantes. Toutefois ces photographies d’instantanéité semblent plausibles si l’on se réfère aux jugements des journalistes et autres faiseurs d’opinion prodigués dans les médias.
Cependant dans ces prospectives électorales il y a des incongruités et invraisemblances qu’il convient de souligner. La sélection des candidats bien que non encore déclarés officiellement, relève d’un choix hasardeux et pour quelques-uns, très inconséquent. A moins de vouloir préparer le terrain pour certains, rien de justifiable par les faits, ne les prédispose pour le moment à se positionner pour les présidentielles prochaines.
Khalifa Sall, le premier d’entre eux et le plus adulé pour battre Macky Sall, est dans une position pour le moins incertaine et pour le plus, dans un dilemme inextricable. Partira ou partira pas ? Dans les deux cas, que d’embûches et d’obstacles sur son chemin ! Sa candidature officiellement proclamée suscitera des remous voire des bouleversements tels que sa posture de « marcheur sur le fil du rasoir » sera intenable. Le funambule Khalifa aura la lourde tâche d’expliquer à l’opinion publique comment son parti(PS) va se désolidariser de la gouvernance APR et justifier son opposition tardive au bilan que le président Macky Sall va défendre durant sa campagne. Ce que les partisans de BENNO BOK YAKKAR vont présenter comme un « coup de poignard dans le dos » de Macky Sall, sera lourd à porter pour un candidat ambigu. Son ambiguïté est d’ailleurs sa marque de fabrique : Sera-t-il candidat à la place de TANOR ? Pourra t- il avoir tout le PS derrière lui ? Quelles alliances nouer avec qui ? Autant de perplexité autour de sa candidature, combinée avec les attaques en règle des affidés de la coalition présidentielle, pourrait effriter considérablement sa côte de popularité. Le silence pesant qu’il s’est imposé et son attitude d’embusqué dans sa mairie, pourraient lui être préjudiciables. Le temps lui est compté pour dérouler une campagne crédible afin de contrebalancer le poids de ces handicaps. En outre, l’implantation et la représentation nationales du PS depuis sa perte du pouvoir en 2000, ne cesse de se dégraisser comme du beurre au soleil, par les nombreuses défections enregistrées à la fois sous les régimes PDS et APR. Que pèse Khalifa en Casamance, à Kaolack, à Saint Louis ou à Thiès, pour ne citer que ces quelques bastions électoraux ? Sa prépondérance à Dakar ne suffira pas à garantir sa place au 2e tour des présidentielles. Dakar est un gâteau qui se partage à plusieurs, même si sa part sera plus consistante. Comme on le voit, la carte Khalifa ne sera pas l’as de pique, l’atout gagnant.
Karim Wade, le fils de… Le candidat de son père. L’héritier politique qui n’a de cesse de tout recevoir de Papa. Même en prison la transmission se poursuit. Auréolé parce qu’étant victimisé par l’opinion et embastillé de manière controversée, mais aussi parce que lui prêtant une fortune colossale. Le candidat Karim est pour le PDS la stratégie de l’échec jusqu’au bout. La Mairie de Dakar a été perdue en 2009 à cause de l’équation Karim. Les présidentielles de 2012 ont été ratées à cause de la grossière réforme avortée de la Constitution voulant instituer le ticket présidentiel qui tel un message subliminal, visait à introniser le dauphin Karim. L’entreprise de succession dynastique a fait perdre le pouvoir à son père et est en passe de perdre le PDS. Comment quelqu’un qui n’a jamais gagné une quelconque élection et qui est toujours nommé et désigné à tout, peut-il avoir la carrure d’un potentiel Président de la république ? Sur quoi repose la force politique de Karim ? La réponse est simple : Papa Wade ! Que serait-il sans son père ? Que serait le PDS sans Wade ? Longue vie Papy Wade, parce que le destin politique de votre fils et de bon nombre de vos sujets, repose sur vos frêles épaules. Mais ce qui explique que la candidature de Karim Wade relève du rêve et de l’horoscope version Selbé Ndom, c’est l’écueil constitutionnel sur lequel elle va se heurter et chavirer. Sa double Nationalité (Française et Sénégalaise) est un motif juridique hautement justifié de rejet de sa candidature. Le Président Macky Sall pourrait être tenté de l’élargir de prison, mais dans son projet de révision constitutionnelle, il n’envisage nullement de réviser la disposition interdisant au dépositaire d’une double nationalité de postuler à la fonction de chef de l’Etat. Ce serait un sacrilège pour le peuple et qui le perdrait politiquement. L’on nous dit que Karim a la possibilité de renoncer à sa nationalité Française. Certes, mais il ne suffit pas d’une simple lettre médiatique, c’est une longue procédure soumise à des conditions draconiennes qui aboutit par un décret pris après avis favorable du Conseil d’Etat Français et adopté en Conseil des Ministres Français. Et il ne saurait s’agir d’une simple suspension mais plutôt d’une déchéance irréversible. Pour les élections présidentielles de 2017, il est plus que temps d’engager la procédure, pour la faire aboutir à temps. Nonobstant les délais, Karim est-il disposé à perdre la nationalité Française ? That is the question ? Ses intérêts familiaux et financiers ne l’y prédisposent pas. Absolument pas !
Que signifie alors sa candidature supposée ? Il s’agit de peser sur l’opinion nationale et internationale en accréditant sa posture de « prisonnier politique », pour pousser le Président Macky Sall à la faute en vue de son élargissement.
Si par extraordinaire, la candidature de Karim se réalisait, parce que le président Macky Sall l’aurait gracié, annulé sa dette pénale et rétabli dans ses droits, sa campagne électorale serait toutefois émaillée de conflits en tout genre et de risques réels de violence tant le bonhomme est contesté, clivant et mal aimé dans l’opinion. Ce n’est donc pas le rassembleur idéal pour franchir la barre des 50% des suffrages. De sa génération du concret à sa stature de candidat, combien de partisans hors PDS, pourra-t-il mobiliser ? Pourrait-il utiliser sa fortune supposée et la rapatriée sans heurter et troubler les consciences des électeurs qui votent pour lui confier les trésors de l’Etat. La candidature de Karim est plus que énigmatique, elle est tout simplement impossible au vu de sa situation actuelle.
Idrissa Seck, le sphinx qui attend sagement son heure, observant le délitement de ses détracteurs et la déliquescence de la gestion politique de Macky Sall. Malgré les critiques, les dénégations outrancières et les défections désespérées de nombre de ses compagnons, il campe son destin de présidentiable avec un sang-froid qui déroute ses adversaires qui ne s’y trompent pas. Le « Djibo-katisme » prôné, consistant à réchauffer la transhumance, à réveiller tous les « ennemis » politiques de Idy et à ressusciter les démons de « Il est midi », n’est instauré que pour l’isoler et le neutraliser. C’est un bon signe divin car Djibo se range toujours du côté des perdants. Mais Idy en a vu « des vertes et pas mûres », subi des souillures jusque sur les murs de sa maison, vécu les affres de l’embastillement et surmonté les humiliations de sa famille politique, sans mourir. Tombé à terre sous les coups de son mentor politique, il ne peut que se relever. Comme il le dit si bien : « Un baobab qui se déracine fait un vacarme, mais une plante qui pousse ne fait pas de bruit ». Voilà pourquoi il consolide ses racines pour qu’aux temps des cueillettes, les fruits soient mûrs. Avec ses partisans, il se réfugie dans la réflexion et le travail de collecte des difficultés et aspirations des populations pour préparer l’alternative et l’alternance. Il a compris qu’il ne faut attendre d’arriver au pouvoir pour concocter des PSE et PUDC et perdre du temps à les concevoir, à les promouvoir avant de les exécuter et d’en tirer des résultats. Il avait également compris très tôt que le Sénégal avait essentiellement deux grandes familles politiques qui pouvaient alterner au pouvoir : Les socialistes et les libéraux. Le reste est composé de satellitaires qui gravitent autour d’eux pour les y accompagner. Macky Sall ayant quitté le camp des libéraux, s’est laissé phagocyter par des alliés contre nature et va donc en subir les conséquences. Il a encore compris que la dispersion des libéraux a été orchestrée par Abdoulaye Wade pour faire place nette à son fils Karim. Mais une fois le pion Karim éliminé et le PDS démantelé, la famille libérale pourrait retrouver son héritier légitime et légaliste. Les bouleversements politiques à venir et consécutifs des prochains enjeux électoraux, vont favoriser ces retrouvailles. Et en plus, lorsque la « machine politique » sera en branle pour dérouler son programme politique et son projet de société, il ne s’agira pas seulement d’un éternuement de communiqués qui ébranlent tant les « Yakkaaristes », mais d’un véritable branle-bas de combat politique qui va enfin réveiller les sceptiques de la famille libérale qui comprendront que leur salut est dans REWMI. Réunis et unis dans un grand rassemblement derrière le plus solide et plus clairvoyant d’entre eux, le lion du cayor, tout sera possible enfin pour rectifier le SOPI qui a nourri tant d’espoir et de rêve.
OUI, n’en déplaise aux fabricants d’opinion qui se nourrissent des illusions de la RTS (Racine Talla Sall) et du PSE, Idy-Rewmi est le seul recours crédible, en capacité et en valeur, pour provoquer et incarner la prochaine alternance ! INCHAALLAH !
Chérif ben Amar Ndiaye. Kaadoubitimrew.com
Copie
En Septembre, 2015 (15:34 PM)Thiessois
En Septembre, 2015 (16:31 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (18:32 PM)Vous avez une fois de plus fait preuve d'une incapacité de gouverner ce pays.
En votant pour SALL je pensai très sérieusement que c’était la solution.
Équité = aidez nos militants et prôner la médiocrité à tous les niveaux;
égalité des chances = favoritisme, corruption;
SVP SOUCIEZ VOUS:
* DES PAUVRES QUI SE BATTENT TOUS LES JOURS POUR NE PAS MOURIR DE FAIM
*DES TRAVAILLEURS QUI ONT DES SOUCIES DE FIN DE MOIS.
*DES PAYSANS QUI NE TROUVENT PLUS DE TERRE A CULTIVER
* DES ÉLEVEURS QUI ONT DE LA PEINE A SE NOURRIR ET A NOURRIR LEUR BÉTAIL
*DES PÉCHEURS QUI NE TROUVENT PLUS LE POISSON
* DES COMMERÇANTS QUI NE PEUVENT ÉCOULER LEUR MARCHANDISES.
.......................................
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.....................
QUEL PRÉSIDENT POUR SAUVER LE SÉNÉGAL?
Anonyme
En Septembre, 2015 (09:48 AM)Securite
En Octobre, 2015 (10:40 AM)Frerot
En Octobre, 2015 (11:24 AM)Diop
En Octobre, 2015 (20:10 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (11:40 AM)Participer à la Discussion