Après son audition, hier, par la commission ad hoc de l'Assemblée nationale, dirigée par Moustapha Diakhaté, président du groupe parlementaire “Benno Bokk Yaakaar”, Barthélemy Dias sera fixé sur son sort ce vendredi. Les députés sont, en effet, convoqués en séance plénière ce vendredi 11 novembre 2016 à 16h 00.
Ils vont “examiner les conclusions de la Commission ad hoc chargée de statuer sur la demande de levée de l’immunité parlementaire du député Barthélémy Toye Dias”. Les députés décideront ensuite s'ils vont lever l'immunité parlementaire de leur collègue.
13 Commentaires
Fans
En Novembre, 2016 (14:56 PM)Mome
En Novembre, 2016 (15:11 PM)Mome
En Novembre, 2016 (15:11 PM)Mome
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En Novembre, 2016 (15:11 PM)Mome
En Novembre, 2016 (15:11 PM)Mome
En Novembre, 2016 (15:11 PM)Mamadou
En Novembre, 2016 (15:39 PM)Anonyme
En Novembre, 2016 (17:03 PM)Lynx
En Novembre, 2016 (22:13 PM)A mon humble avis, je crois fermement que le regretté Ndiaga Diouf de son prénom, n'est pas tué là où la plupart veut que ça soit le lieu (SICAP BAOBAB).
C'est vrai que tout le monde avait vu le sieur Dias brandir une arme et tirer, sans qu'aucune vidéo nous montre la cible visé et le corps sans vie de Ndiaga Diouf baigné dans une marre de sang.
D'habitude, les cameraman aiment montrer des preuves irréfutables, mais pour cette fois, aucun nervis n'est montré. Ils ont tous focalisé leur objectifs bien zoomés sur la personnes de Barthélémy Dias, histoire de lui dire "nous te tenons". J'ai l'impression que pour la presse, Barth tirait dans le vide, cause pour laquelle il n'y a aucune prise sur les nervis en général et sur le regretté en particulier.
Ailleurs, ils auraient montré simultanément les deux acteurs. Mais comme il y avait déjà pour le PDS, l'idée de nuire la réputation de Dias, il ne pouvait être autrement.
Je crois que le Pr Abdoulaye Bathily a eu plus de barakas que le Maire de Mermoz-Sacré Cœur. C'est lui plutôt qui était visé par le complot, malheureusement pour eux et heureusement pour lui, il était absent des lieux. Le corps sans vie de Ndiaga Diouf, étant déjà embarqué dans un des véhicule, devenait encombrant et là, il fallait chercher un autre point de chute.
Pour rappel, la police sénégalaise nous a montré une marmite percé par une balle de fusil ou de pistolet. L’orifice faite par balle, n'a pas échappé au cameraman. Et s'il en était de même pour le corps de Ndiaga Diouf?
Les résultats de l'examen balistique non falsifiés sauront nous édifier.
Ne faites pas porter le chapeau à celui qui ne l'a pas acheté.
Nous seront tous un jour jugé pour nos actes commis ici bas. Trop de pouvoir et moins de crédit dans l'au-de-là. MERCI
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