La reconduction de Mahammad Boun Abdallah Dionne à la tête du gouvernement aurait été essentiellement favorisée par Moustapha Niasse. Ce dernier a tout bonnement refusé de céder son moelleux fauteuil de président de l’Assemblée nationale à Mahammad Boun Abdallah Dionne pour permettre au président Macky Sall de nommer un autre Premier ministre, informent des sources. ‘’Niasse a dit niet au président de la République.
Parce qu’il pensait que Macky Sall voulait le trahir. Ceci après l’avoir assommé lors des investitures. Donc, pour exister (politiquement), il n’a pas voulu lâcher son moelleux fauteuil’’, a confié une source anonyme cité par le journal Le Témoin, dans son édition de ce jeudi 7 septembre 2017. Ledit quotidien a aussi souligné que l’entêtement du leader de l’Afp (Alliance pour la République) a chamboulé tous les plans du président Sall.
56 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2017 (13:03 PM)Ok
En Septembre, 2017 (13:04 PM)[email protected]
En Septembre, 2017 (13:09 PM)[email protected]
En Septembre, 2017 (13:09 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:15 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:20 PM)Le Sn Supporter
En Septembre, 2017 (13:22 PM)2emma , quel interet a Macky de disloquer sa coalition Benno qui vient juste de gagner les legislatives?
Non les nos fameux journaslistes devaient nous edifier sur les defis qui attendent le gouvernment Dionne2, rappeler les urgences et les questions economiques et sociales du moment.Malheureusement toujours nous emmerder sur des querelles de personnes.
Si nos pays ne progressent pas c'est a cause des ces journalistes toujours diviser les gens au lieu de parler du progres du pays.
Anonyme
En Septembre, 2017 (13:29 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:31 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:33 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:34 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:36 PM)Primature
En Septembre, 2017 (13:36 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:42 PM)vous inventez,doule rek !
Anonyme
En Septembre, 2017 (13:43 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:46 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:47 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:48 PM)Quitter la Presidence de l'Assemblee apres y voir amener une majorité en 1993.
Le 5eme President de l'Assemblee Nationale du Senegal etait un grand Homme.
Fx
En Septembre, 2017 (13:52 PM)Comment les gens qui travaillent dans ce truc peuvent nourrir leur famille avec des revenus sortant de ce site ?? Aller chercher un travail d'homme digne et quitter cette racaille !
Ddr
En Septembre, 2017 (13:52 PM)Xeltou Kayi Ci Rewmi
En Septembre, 2017 (13:58 PM)Peul
En Septembre, 2017 (13:59 PM)Peulh
En Septembre, 2017 (14:02 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:02 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:08 PM)Anonyme Nada
En Septembre, 2017 (14:08 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:10 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:10 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:11 PM)qu'attend le peuple sénégalais pour sortir dans la rue et sans casser
il faut calmer Macky Sall
BASTA MACKY
Anonyme
En Septembre, 2017 (14:12 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:12 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:16 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:16 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:30 PM)On Verra
En Septembre, 2017 (14:51 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (14:54 PM)Le Député Non Investi De Sénéw
En Septembre, 2017 (15:02 PM)S'il vous plaît vous, aussi, laisser le pouvoir un peu aux autres.
Nioune tam da niou bougga moss si millions yiii,
pour l'amour du ciel,
maye niou niou niame si ngour mi touti
hiihihiihiihihihiihiihihiihihiihihiihihi
Sénégal mo nèkh
Waye waye Baye Tapha Niasse, yeureumandé ngir yalla
bayi niou touti niou thiéppi thiéppi
pleeeeeaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaase!
je peux aller dormir, n'est-ce pas?
hihiihiihihihihihiihihi
Anonyme
En Septembre, 2017 (15:03 PM)Slot
En Septembre, 2017 (15:07 PM)Incompétents le plus souvent, incapables d'analyses et critiques pertinentes, ils sont aussi les marchepieds des politiciens qui savent les manipuler et se servir d'eux comme repoussoirs!
Cette hypothèse envisagée et prêtée a Macky Sall de vouloir mettre son Pm, pour le récompenser du travail remarquable effectue dans l'exécutif, à la tête du législatif où il n y a aucun pouvoir est d'une absurdité sans nom!
Enfin il n y a qu'a voir des émissions radiophoniques et télévisuelles , toutes a la sauce, "Wakh sa Xalat" pour voir cette nullité crasse qui est étalée!
Et le comble est lorsqu'un homme politique est interviewé , il peut débiter toutes les stupidités sans jamais être contrarié ou contredit, car il sait qu'en face il n y a aucun repondannt!
Que c'est affligeant!
Anonyme
En Septembre, 2017 (15:15 PM)Takou
En Septembre, 2017 (15:17 PM)Diozo
En Septembre, 2017 (15:22 PM)Leupaleup
En Septembre, 2017 (15:25 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (15:37 PM)Le Directeur général de la Poste, un autre ami du président-politicien et responsable de l’APR à Thiès, a été lourdement épinglé par les enquêteurs de l’OFNAC. Suite à une plainte faisant état de « l’existence de dysfonctionnements graves au sein du Groupe de la Société nationale de la Poste », les enquêteurs ont mis en évidence « l’existence d’arriérés de paiement d’un montant de plus de quatre-vingts (80 000 000 000) milliards de francs CFA dus au Trésor public, dans le cadre de la compensation du paiement des chèques postaux ». Ce montant a probablement continué de monter. Des spécialistes de finances publiques interrogés affirment que de tels dysfonctionnements n’auraient jamais dû se produire si les services du Trésor public avaient convenablement fait leur travail. Ils expliquent notamment ce dérapage par la tendance lourde qui jette dans la mare politicienne, un nombre de plus en plus grand de hauts fonctionnaires des régies financières. La politisation outrancière de ces régies risque de coûter très cher à nos maigres finances publiques, si elles n’ont commencé déjà à en souffrir.
Les enquêteurs se sont aussi intéressés aux dépenses exécutées, notamment à celles concernant les fournitures de bureau pour lesquelles « des indices graves d’irrégularités avaient été décelés ». Ils ont exactement constaté de graves « pratiques de faux et usages de faux », largement développés dans le dossier qui concerne la Poste. Signalons que ce DG, comme son homologue du COUD, s’adonne au recrutement massif et inconsidéré d’individus sans aucune qualification professionnelle, et appartenant pour l’essentiel à son ethnie et à l’APR.
C’est la mise en cause de ses trois amis et camarades qui a profondément dérangé le président-politicien. N’ayant pas réussi à les faire extraire du Rapport d’activités 2014-2015 de l’OFNAC, il décide de ne pas recevoir la Présidente pour la présentation de ce rapport.
Rappelons quand même que l’article 17 de la Loi n° 2012-30 du 28 décembre 2012 portant création de l’OFNAC dispose : « L’OFNAC établit chaque année un rapport d’activités qui comporte notamment les propositions et mesures tendant à prévenir les actes de fraude ou de corruption. Ce rapport est remis au Président de la République. Il est rendu public par tous les moyens appropriés. » Comme le prévoit donc la loi, la Présidente de l’OFNAC devait présenter au Président de la République le Rapport public 2014-2015. Elle n’y est jamais parvenue, le Directeur de cabinet du Président-politicien lui opposant imperturbablement son agenda chargé. Pourtant, dans la même période, dans l’intervalle de deux jours, le président-politicien reçoit sans aucun problème le Rapport d’activités de la Présidente du Conseil économique, social et environnemental et celui de la Présidente du Haut Conseil du Dialogue social. En réalité, le président-politicien ne supportait pas que le rapport de l’OFNAC fasse état des trois dossiers où ses amis et camarades de l’APR étaient épinglés.
Comme le lui permet la loi, la Présidente de l’OFNAC rend public le Rapport, au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée au King Fahd Palace. Cette initiative, pourtant en accord avec la loi, plonge le président-politicien dans une colère noire et le fait sortir carrément de ses gonds. Après avoir tout essayé, vraiment tout essayé pour la convaincre de quitter à l’amiable la présidence de l’OFNAC, il la limoge le 25 juillet 2016. Dans ces conditions, elle rejoint son corps d’origine, l’Inspection générale d’Etat. C’était sans compter avec la colère du président-politicien qui lui interdit de fait, l’accès à la Présidence de la République. Le Vérificateur général de l’IGE qu’elle fut pendant plus de six ans, est affecté hors du palais présidentiel, dans un modeste bureau annexe qu’elle n’a jamais rejoint.
L’OFNAC, qu’il se glorifiait d’avoir créé pour lutter efficacement contre la corruption, est morte de sa belle mort depuis le 25 juillet 2016, et retrouve dans la tombe la CRÉI. Les autres corps de contrôlés sont surveillés comme de l’huile sur le feu : ils ne présentent plus (publiquement) de rapports et même si c’était le cas, ni citent plus de noms de ministres, de directeurs généraux, etc.
Anonyme
En Septembre, 2017 (15:38 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (15:40 PM)Le Directeur général de la Poste, un autre ami du président-politicien et responsable de l’APR à Thiès, a été lourdement épinglé par les enquêteurs de l’OFNAC. Suite à une plainte faisant état de « l’existence de dysfonctionnements graves au sein du Groupe de la Société nationale de la Poste », les enquêteurs ont mis en évidence « l’existence d’arriérés de paiement d’un montant de plus de quatre-vingts (80 000 000 000) milliards de francs CFA dus au Trésor public, dans le cadre de la compensation du paiement des chèques postaux ». Ce montant a probablement continué de monter. Des spécialistes de finances publiques interrogés affirment que de tels dysfonctionnements n’auraient jamais dû se produire si les services du Trésor public avaient convenablement fait leur travail. Ils expliquent notamment ce dérapage par la tendance lourde qui jette dans la mare politicienne, un nombre de plus en plus grand de hauts fonctionnaires des régies financières. La politisation outrancière de ces régies risque de coûter très cher à nos maigres finances publiques, si elles n’ont commencé déjà à en souffrir.
Les enquêteurs se sont aussi intéressés aux dépenses exécutées, notamment à celles concernant les fournitures de bureau pour lesquelles « des indices graves d’irrégularités avaient été décelés ». Ils ont exactement constaté de graves « pratiques de faux et usages de faux », largement développés dans le dossier qui concerne la Poste. Signalons que ce DG, comme son homologue du COUD, s’adonne au recrutement massif et inconsidéré d’individus sans aucune qualification professionnelle, et appartenant pour l’essentiel à son ethnie et à l’APR.
C’est la mise en cause de ses trois amis et camarades qui a profondément dérangé le président-politicien. N’ayant pas réussi à les faire extraire du Rapport d’activités 2014-2015 de l’OFNAC, il décide de ne pas recevoir la Présidente pour la présentation de ce rapport.
Rappelons quand même que l’article 17 de la Loi n° 2012-30 du 28 décembre 2012 portant création de l’OFNAC dispose : « L’OFNAC établit chaque année un rapport d’activités qui comporte notamment les propositions et mesures tendant à prévenir les actes de fraude ou de corruption. Ce rapport est remis au Président de la République. Il est rendu public par tous les moyens appropriés. » Comme le prévoit donc la loi, la Présidente de l’OFNAC devait présenter au Président de la République le Rapport public 2014-2015. Elle n’y est jamais parvenue, le Directeur de cabinet du Président-politicien lui opposant imperturbablement son agenda chargé. Pourtant, dans la même période, dans l’intervalle de deux jours, le président-politicien reçoit sans aucun problème le Rapport d’activités de la Présidente du Conseil économique, social et environnemental et celui de la Présidente du Haut Conseil du Dialogue social. En réalité, le président-politicien ne supportait pas que le rapport de l’OFNAC fasse état des trois dossiers où ses amis et camarades de l’APR étaient épinglés.
Comme le lui permet la loi, la Présidente de l’OFNAC rend public le Rapport, au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée au King Fahd Palace. Cette initiative, pourtant en accord avec la loi, plonge le président-politicien dans une colère noire et le fait sortir carrément de ses gonds. Après avoir tout essayé, vraiment tout essayé pour la convaincre de quitter à l’amiable la présidence de l’OFNAC, il la limoge le 25 juillet 2016. Dans ces conditions, elle rejoint son corps d’origine, l’Inspection générale d’Etat. C’était sans compter avec la colère du président-politicien qui lui interdit de fait, l’accès à la Présidence de la République. Le Vérificateur général de l’IGE qu’elle fut pendant plus de six ans, est affecté hors du palais présidentiel, dans un modeste bureau annexe qu’elle n’a jamais rejoint.
L’OFNAC, qu’il se glorifiait d’avoir créé pour lutter efficacement contre la corruption, est morte de sa belle mort depuis le 25 juillet 2016, et retrouve dans la tombe la CRÉI. Les autres corps de contrôlés sont surveillés comme de l’huile sur le feu : ils ne présentent plus (publiquement) de rapports et même si c’était le cas, ni citent plus de noms de ministres, de directeurs généraux, etc.
Anonyme
En Septembre, 2017 (16:04 PM)Bounkhatab
En Septembre, 2017 (16:08 PM)Diouffeu
En Septembre, 2017 (16:19 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (16:21 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (16:24 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (16:25 PM)Wolof
En Septembre, 2017 (16:38 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (17:39 PM)Luc
En Septembre, 2017 (21:17 PM)Un peu de respect quand même aux lecteurs qui ont droit à la bonne information et non à la collecte de tissus de mensonges. Mr Niasse qui a un sens élevé du devoir patriotique et du respect de nos institutions n'irait certainement pas à l'encontre d'une décision que le Président de la République estimerait prendre dans l'intérêt de notre pays.
Quelqu'un qui s'est toujours montré loyal dans sa collaboration apportée au Président de la République et que ce dernier apprécie à sa juste valeur ne me semble pas mériter l'étiquette qu'on colle à son dos.
Rapha
En Septembre, 2017 (21:53 PM)Participer à la Discussion