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Découverte : L'histoire jamais racontée de “Diallo Pithie”

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Diallo Pith

Un marchand d’oiseaux, devenu un marchand de rêves. Derrière l’histoire de Diallo Pithie, un homme qui a fait fortune dans la vente des oiseaux en cage dans les rues de Dakar, se cache celle de Amadou Diallo, un opérateur économique hors pair, qui a été le précurseur dans beaucoup de chantiers qui étaient, à l’époque, la chasse gardée des Européens. Grâce aux témoignages de ses enfants, Seneweb retrace la fabuleuse histoire de cet homme, qui a su construire son « senegalese dream » dans le Dakar des années 30. Découverte?!

Vous avez au moins une fois entendu parler de lui. À défaut, peut-être vous êtes passés, se serait-ce qu’une fois, sur la ruelle qui porte son nom : Tally Diallo. Cette route qui quitte Thiaroye et qui mène à Yeumbeul.

Si vous habitez Dakar, vous ne pouvez pas passer à côté de Diallo Pithie. Un jeune venu du Fouta qui a fait fortune dans la vente d’oiseaux. Un commerce lucratif qui lui a permis d’asseoir une renommée internationale. De Dakar à Marseille en passant par New York, Amadou Diallo a fait le tour du monde avec ses oiseaux.

Ses enfants, Alassane (69 ans) et Mamadou, retracent son odyssée. C’est à l’adolescence (16 ans) que « Diallo Pithie » débarque à Dakar. À l’époque, il est accueilli par la famille léboue de Amadou Alassane Ndoye. Il s’essaie à la natation et au cyclisme et travaille parallèlement chez un Français comme travailleur de maison. Il y apprend à parler français et y connut ses premières amours avec les oiseaux.

« En voyant les toubabs s’émerveiller à la vue des oiseaux, cela a créé un déclic chez lui. Et c’est là qu’il s’est demandé pourquoi ne pas essayer de ramener d’autres espèces en dehors de celles qui sont dans la maison », raconte Amadou, un de ses fils.

Sur les quais du vieux port...

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Diallo Pithie, sans le savoir, se lançait ainsi sur un chantier qui allait le rendre riche. Il parcourt les régions du Sénégal à la recherche d’espèces rares. De retour à Dakar, il se rendait au marché Kermel pour vendre ses oiseaux aux Européens, qui se les arrachaient. Le commerce commençait petit à petit à porter ses fruits. Et il commençait à asseoir une petite renommée à Dakar. Les rêves plein la tête, l’argent commençant à couler à flots, il décide de conquérir le marché international. Diallo Pithie décide de se rendre en Europe. « C’était dans les années 30, c’est-à-dire entre les deux guerres mondiales. Il s’est confectionné une grande cage. Il y a mis les oiseaux et a embarqué dans la cale du paquebot qui faisait la navette Dakar-Marseille-Dakar, avec de la provision en mil. Arrivé à Marseille, il a sorti sa cage d’oiseaux et s’est installé sur le quai », explique son fils. Les oiseaux se vendent comme du petit pain.

L’Africain qui venait avec les oiseaux

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Après cette première expérience, il retourne à Dakar et décide de faire la navette Dakar-Marseille. Sur le vieux port, il se fait connaitre comme « l’Africain qui venait avec les oiseaux ». « Il s’est dit si ça a marché à Marseille, pourquoi ne pas essayer de chercher plus loin. Il a alors décidé d’aller à Paris. Le voyage suivant, il a pris ses oiseaux et y est allé ». Pour faire une économie de temps, il décide de faire le trajet par avion. « Il est alors allé voir, à l’époque, le chef d’agence de la compagnie Air France et lui a manifesté son désir de faire voyager ses oiseaux par avion, raconte son fils Alassane. Le monsieur a bondi de sa chaise et lui a demandé s’il allait bien. Il ne pouvait imaginer des oiseaux dans un avion. Mon papa lui a manifesté sa disponibilité à accompagner les oiseaux dans la soute de l’avion. Son interlocuteur lui a répondu que cela n’était pas possible d’autant plus que dans les soutes, il faisait un froid extrême. Et que la température était insupportable pour les oiseaux. Mais, cela ne l’a pas dissuadé. Il a alors répondu qu’il est prêt à tenter le coup, quel qu’en soit le risque. Pas trop convaincu, Air France l’envoie balader, avant de lui manifester plus tard, son intérêt ». 

Birds in the air

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« Les oiseaux ont été mis dans une cage. Il s’est payé un billet d’avion et il est parti », relate Alassane. En dépit de quelques mortalités, Diallo Pithie et ses oiseaux arrivent à bon port. « Il s’est dit avec aussi peu de mortalité, mon problème est donc réglé ». Par la suite, il prend contact avec d’autres commerçants et d’autres compagnies aériennes. Après la France, il investit l’Italie. Et de bouche à oreille, les gens ont commencé à parler des oiseaux du Sénégal. Son succès devient réel. Et dépasse outre-Manche. Il traverse l’Europe, les États-Unis, le Japon, etc. Bref, Diallo Pithie fait le tour du monde.  

Pour l’aider dans ses comptes, le vieux Amadou, illettré, voyage avec son fils Alassane. « Le vieux passait récupérer son argent à Paris, à Marseille, à Stockholm, en Italie. Moi, j’ai fait le tour du monde avec lui. Même aux usa, j’ai été avec lui pour rencontrer les clients, prendre des contacts, de nouvelles commandes. Ce commerce s’est, par la suite, tellement développé que toutes les compagnies aériennes voulaient collaborer avec lui, sachant que les oiseaux payaient tellement cher. Il était finalement choyé comme un roi de sorte que quand il voyageait, on lui offrait même le billet gratuitement du fait du chiffre d’affaires qu’il réalisait à travers le monde », raconte-t-il un brin nostalgique.

Appelez-le désormais, Capitaine Diallo?!

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Ainsi, le vieil Amadou Diallo finit par bâtir un empire grâce au commerce de ses oiseaux. Mais, au détour d’un de ses voyages, le destin le mit sur une autre piste. « Pendant un de nos voyages, je crois qu’on était en Suède, on était rentré tard, il m’a amené au restaurant. Et là, il a commandé du poisson. Quand on a fini de manger, le serveur lui a présenté l’addition. Il a bondi de sa chaise. Il a demandé s’il n’y avait pas d’erreur. Il ne pouvait pas comprendre que le poisson coûte aussi cher en Europe ». À son retour au Sénégal, il décide de se lancer dans le commerce. Et s’engage dans la pêche. « À l’époque, les toubabs avaient le monopole de ce secteur et avaient organisé une mafia pour barrer la route aux Sénégalais », se souvient Mamadou. Celui-ci, de souligner que son père a dû batailler avec les toubabs pour changer la donne.

Mais, le commerce du poisson à l’époque pour un Africain était un véritable parcours du combattant. « Comme pour vendre le stock en Europe, il fallait utiliser les bateaux, les compagnies maritimes à l’image de Delmas et autres l’ont boycotté. Elles s’étaient liguées contre mon père et lui refusaient le transport de son stock de poissons. Il s’est ainsi retrouvé avec le produit sur les bras. À partir de là, il s’est dit qu’il n’arriverait à rien tant que toute la chaine n’était pas en place. La congélation, le transport, les bateaux de pêche, toute cette chaine étaient entre les mains des toubabs », explique le fils. 

Ainsi, il se paie un bateau de pêche. Parce que les variétés qui marchaient en Europe telles que les soles. La pêche artisanale ne pouvait pas nous l’offrir. Ce qui l’a poussé à se payer un navire de pêche. Un jour, il a voulu se payer un stock de poissons que des Français venaient de débarquer, mais ces derniers avaient refusé de le lui vendre. Il s’est dit que cela confirme l’appréhension qu’il avait. Et c’est comme ça qu’il a acheté son premier navire de pêche dans un port français ».

Mais, un autre problème se dressait devant lui : où trouver un commandant pour piloter son navire. À cette époque, seuls les commandants français savaient piloter les bateaux de pêche. Il n’y avait encore aucun Sénégalais capable de le faire. Cela ne le freinait pas pour autant. Il disait qu’il était même prêt à casquer le prix fort pour recruter un commandant de navire européen. À l’époque, il était prêt à payer 100 millions à l’Européen qui accepterait de piloter son bateau de pêche. Il se convainc finalement que la solution était de faire naviguer des Sénégalais comme lui. Malheureusement, aucun Sénégalais ne remplissait les conditions requises pour piloter un navire de pêche. Il est alors allé voir le ministre de la Pêche de l’époque, en l’occurrence Mady Cissokho. Il lui a présenté la situation. Mais, le ministre lui a dit que ce n’était pas possible de trouver un commandant sénégalais, car il n’y en avait pas encore.

Il est allé voir le vieux Seydou Nourou Tall qui était son ami et son marabout. Ensemble, ils sont allés voir le président de la République, Léopold Sédar Senghor. Celui-ci leur a octroyé une dérogation. Il a alors pris un marin sénégalais expérimenté et lui a confié le bateau. Quand on lui disait que c’était risqué, il s’en foutait. Il disait que l’appétit venait en mangeant et répondait à qui voulait l’entendre qu’il arriverait à bout, quel qu’en soit le prix. Et cela même si ça devait lui coûtait des bateaux.

Un premier cargo baptisé « Mame Abdou Aziz Sy »

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« C’est mon bateau. Tant pis, je cours le risque?! C’est en forgeant qu’on devient forgeron. J’arriverai à avoir ce que je veux », disait-il, à l’époque. Et parallèlement, il a dit au ministre : « Je veux, maintenant, qu’on forme des Sénégalais pour qu’ils puissent avoir leurs diplômes, parce que moi, je ne compte pas m’arrêter en un seul bateau. Je veux, à l’avenir, que tous mes bateaux soient pilotés par des Sénégalais. Je veux que les Sénégalais soient formés. Je suis prêt à mettre les moyens qu’il faut. Mais, il faut des marins sénégalais bien formés et capables de piloter des bateaux de pêche. C’est comme cela qu’il a réussi à avoir un premier Commandant sénégalais aux commandes de son bateau. Avec celui-ci, il a fait de bonnes choses », a indiqué Mamadou, le fils ainé de Diallo Pithie. Ce dernier d’indiquer que son papa « a fini par se payer 12 bateaux, tous pilotés par des Sénégalais ».

Alassane, d’ajouter : « Il a eu ses bateaux, il a construit, entre temps, une usine de congélation au Port de pêche, il a créé aussi un atelier pour l’entretien et la réparation des bateaux, il s’est dit qu’il lui restait d’exporter les produits de la pêche en Europe et ailleurs. Et quand il voulait faire une réservation pour envoyer son stock en France, ses interlocuteurs lui répondaient qu’ils étaient pleins. Tout cela découlait de la solidarité des toubabs qui avaient ourdi un complot, à l’époque, pour ne pas ouvrir une brèche à des Sénégalais. Il y avait une mafia. Il s’est dit, qu’à cela ne tienne?! Je vais acheter un cargo pour faire le transport maritime » ». Il a acheté son premier cargo vers 1975 à 600 millions de nos Francs et l’a appelé « ’Mame Abdou Aziz Sy » ». Ensuite, il s’est payé un deuxième cargo à 800 millions qu’il a baptisé « Malick Sy ». Les cargos faisaient toute la Méditerranée, l’Europe et l’Afrique et couvraient, entre autres, Abidjan, Lomé, Ghana, etc.

À ce propos, faute de Sénégalais capables de piloter, il a engagé, au début, des Européens à qui il a confié ses deux cargos, tout en ayant le même esprit. Il a alors financé des Sénégalais pour qu’ils puissent avoir les diplômes de pilote international. C’est ainsi qu’il a eu le premier sénégalais à avoir piloté un cargo. Il s’agit d’un certain Mbodj. Finalement, les deux cargos étaient pilotés par des « » commandants sénégalais » ». Il venait ainsi de boucler la chaine et d’être indépendant parce qu’il disait ne plus vouloir dépendre de personne. « » Mon propre poisson, je le pêche moi-même, je le congèle moi-même, je le stocke moi-même et c’est moi qui le transporte?! », aimait-il à dire. C’est vous dire qu’à chaque fois qu’il y a un obstacle, il estimait que ce n’est pas insurmontable. D’autant que Dieu lui a donné les moyens de les surmonter ».

« L’argent qu’il tirait de la vente d’oiseaux était très important. Il a investi dans l’achat de maisons, mais qu’il a ensuite fini par abandonner. Au début de ses activités, dans le commerce d’oiseaux, il s’était fait construire des baraques dans l’enceinte de notre maison familiale à Thiaroye. Comme les choses prospéraient, il les a aménagés et a construit de grandes voilières dans le site et y a stocké 100 000 paires d’oiseaux, c’est-à-dire 200 000 oiseaux. Et puis chaque jour, on avait des expéditions sur le Japon, sur l’Europe, etc. Et tous les jours, les avions partaient avec nos oiseaux, dans leurs soutes. Il en avait donc gardé un stock important. Lorsque, vers les années 50, il a construit des bâtiments pour les oiseaux, les gens se moquaient de lui. Certains passants disaient que le vieux était devenu fou, lui qui construisait des bâtiments pour les oiseaux, alors que les plus lucides, eux, le faisaient pour les humains.

Un visiteur nommé Senghor

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Par la suite, Amadou Diallo avait acheté, à Thiaroye-Sur-Mer pour les besoins de l’extension de ses activités, des bâtiments pour les perroquets, d’autres pour des pigeons. Et tant d’autres pour les différentes espèces d’oiseaux. “Mon père avait construit des volières bien aménagées, bien aérées, mais aussi avec le confort nécessaire pour les oiseaux. Cela suscitait d’ailleurs la curiosité du président Senghor. Il avait tendance à venir voir les oiseaux, à chaque fois avant d’aller à Popenguine. À la maison, Senghor amenait, chaque semaine, sa famille, mais aussi des invités de temps en temps. Et comme les issues qui menaient vers chez nous, étaient sablonneuses, le président, Senghor y a fait construire une route qui s’arrêtait devant notre demeure. Il venait avec sa famille, voire le vieux, discuter avec lui avant d’aller à Popenguine. Il gérait parallèlement le commerce d’oiseaux qui était son domaine fétiche. Pour lui, il était hors de question, de l’abandonner. Ce sont avec les revenus tirés des oiseaux qu’il finançait la pêche”.

Après le poisson, Amadou Diallo se lance dans la vente de produits horticoles. L’idée lui est venue de la France. C’était en 1974. Un jour, séjournant dans ce pays, il a assisté au débarquement, à l’aéroport, d’une cargaison de haricots. Quand il s’est renseigné, on lui a dit que c’était une denrée très prisée et très chère. Il s’est dit : “» alors, pourquoi ne pas se lancer dans cette filière?? Pourquoi ne pas cultiver le haricot et le vendre à prix d’or. C’est à son retour au Sénégal qu’il a créé, avec un Européen, une société d’exploitation horticole. Il s’est mis ensuite, à faire de la culture maraichère pour l’exportation. C’est comme cela qu’il avait ses trois activités qu’il menait parallèlement », raconte son fils.

Inhumé dans une mosquée dont il a financé la construction  ‘Rien qu’au niveau de la pêche, on avait 800 employés qui y travaillaient. Pour les oiseaux, il y avait même plus, parce que dans toutes les régions, il avait créé des voilières. Au moins, il avait 700 oiseliers attitrés qui travaillaient pour lui. Mais, c’est la gestion de sa flotte de bateau qui avait commencé à le ruiner. Mais, cela ne l’a pas obligé à abandonner la pêche. Il pensait que c’était un problème cyclique. Mais, le problème était réel. Le produit s’est raréfié, beaucoup de licences ont été données. Ce n’était donc, plus comme avant. Les bateaux devenaient vieux, l’entretien devenait de plus en plus cher. C’est comme cela qu’on a finalement arrêté la pêche pour continuer avec le commerce des oiseaux et l’horticulture’. 

Après une vie bien remplie, des défis relevés, le vieux Diallo Pithie a quitté ce monde, le 5 mai 1998 à Dakar. Il a été inhumé à Thiaroye Gare, plus exactement à Tally Diallo, dans l’enceinte d’une mosquée dont il a lui-même financé la construction. Il avait 80 ans (1918-1998). Sa famille, elle, garde de lui le souvenir d’un homme de défis, humble, simple et modeste.

C’est après sa disparition que la famille et les proches ont vu sa dimension. Quand, il rentrait de ses activités, vers 22 heures et parfois plus, il trouvait beaucoup de personnes qui l’attendaient devant la maison. Les gens comptaient énormément sur lui. ‘Quelle que soit l’heure, on l’attendait. Il réglait des problèmes d’argent, conjugaux et des charges sociales. Pour lui, rendre service était aussi important que son travail. C’était un sacerdoce pour lui. Il avait horreur du ‘’m’as-tu-vu’’. Il disait : ‘’jamais la politique’’. Pour preuve, confie son fils ‘le président Abdou Diouf avait fait appel à lui pour l’élever au grade de l’Ordre national du Lion, mais il a refusé. Il recommandait à son entourage de ne jamais dormir sur ses lauriers. À ses enfants, il disait toujours ‘’naagû baxuul’’’ (il ne faut jamais dormir sur ses lauriers). Aujourd’hui, deux de ses fils pérennisent son héritage. Et font de la vente des oiseaux, leur gagne-pain.



66 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (22:46 PM)
    Belle succes story. Pourquoi pas un livre, ou même un film qui retracerait ce parcour remarquable? Un exemple à suivre
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  2. Auteur

    Germany

    En Octobre, 2015 (22:47 PM)
    Yena meuneu kathie. Khana fi lako lire ci seneweb il ya 1ou2 annees. Ca vous l aviez publlie

    Bullschittttttttt

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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (22:48 PM)
    Bravo, bel exemple à suivre mais la narration est laborieuse.
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    Auteur

    Anosurp

    En Octobre, 2015 (22:52 PM)
    Article bien écrit.

    Je n'ai jamais su qu'il avait un sens aussi élevé du business sans prendre la grosse tête.

    Qu'Allah l'accueille au Paradis.

    Amine
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (22:52 PM)
    Beautiful ! :sunugaal: 
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    Auteur

    Rapha

    En Octobre, 2015 (22:55 PM)
    merci pour cet article voila un modèle que la terre de thiaroye lui soi légère
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    Auteur

    Bobard

    En Octobre, 2015 (22:57 PM)
    Ce Monsieur ce qui l'a enrichie ce n'est pas la vente des oissoeux , mais plutot le business DE produit HALIEUTIQUE

    et d’ailleurs il avait une usine de traitement de produit HALIEUTIQUE aub MOLE 10

    on EN SAIT plus que ça NDENE , on sait ,
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (23:06 PM)
    africain dou dem ,le vieux a fonde un empire que ses descendants devaient pereniser voila le resultat sur une generation le business est mort si c etait un toubab ken wakhatouko . :thumbsdown: 
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    Auteur

    Sonar

    En Octobre, 2015 (23:19 PM)
    C'est Alassane qui devait ecrire un livre sur son pere puisqu'il accompagnait dans ses

    voyages et assistait a ses prises de decisions.Deuxiement les ecoles de gestion(management)

    du Senegal devaient revoir le cas "Diallo". Pourquoi pas un sujet de these ou memoire?
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    Auteur

    Salla N'gary Lam Toro

    En Octobre, 2015 (00:12 AM)
    Tout ceci est bien vrai,et encore ses enfants peuvent pas tout raconter par pudeur.

    Papa diallo était vraiment extraordinaire de par sa générosité,sa simplicité et son sens de l'honneur.Il était trés attaché à sa réligion.Je peux affirmer que presque tous les habitants de tally diallo ont bénéficié de ses largesses.J'ai grandi avec quelques uns de ses enfants (Abou; zin?yaya et belles dents). Ils me reconnaitront.Que la terre lui soit légére.



    .
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    Auteur

    Diafa

    En Octobre, 2015 (00:35 AM)
    En tout cas son petit fils Amadou Diallo ne lui ressemble pas du tout
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (00:44 AM)
    C’est avec le cœur meurtri que je lis cet article et le seul souvenir que j’ai de cet homme, ce sont les menaces qu’il avait proférées à l’endroit d’un ami, d’un grand frère, ‘Khamo maye kane, mane kenn dou visiter samaye bagage, même sa moromou baye …’ (Tu ne sais pas qui je suis, personne ne contrôle mes bagages, même ce qui ont l’âge de ton père …). Et le jeune, naturellement intègre qu’il était et qu’il demeure, fit son travail en tant qu’agent du service des Eaux et Forêts.

    Depuis lors, il est devenu un mort vivant. Quand il venait au service il devenait fou et quand il était dans sa ville natale, il était normal.

    Un garçon qui est l’incarnation de l’honnêteté, du sérieux, du respect de la personne humaine…

    Certain qui l’ont connu avant ses déboires ne peuvent plus soutenir de le voir et d’autres ne peuvent pas s’empêcher de pleurer en le voyant.

    Et à chaque fois que l’on veut donner un exemple vivant de cette boutade : ‘L’honnêteté est un délit chez nous’, son nom vient à l’esprit de tous ceux qui l’ont connu.

    ‘Yalna Yallah atté !!!’

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    Auteur

    Germany

    En Octobre, 2015 (01:30 AM)
    Number 15 amine yalla rek mo moune juger domou adama. Louy domou adama kourti kourti ci ziaar ba impressionner moromam

    safoul sounou borom. Yalla rek mo xam. Lou way def sa bop .Mane nak fekewouma guissouma yalla rek mo xam. May niane mou tek niou ci yonou dioup akh rafete diorte.
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (02:22 AM)
    good story,reminded me my childhood a pikine.i use to go and climb over the windows to see hondreds or twousansds of birds all different breeds.nice may good bless you Mame Mbooye.

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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (04:36 AM)
    ça c'est un type de sénégalais qui est de plus en plus rare (bosseur, croyant, pieux perseverant, et surtout sans peur)

    Les NTS :croyants mais le soir au bar ou en boite, couard, paresseux, reveur, et médiocre. Voila un exemple. Pas les politiciens de merde ou les chanteurs pd, ou les stars américaines. Quand je vais à dkr, je vois notre jeunesse, je me demande a part le wolof et la couleur de peau qu'est ce qui fait d'eux de dignes sénégalais africains. La mondialisation ne veut pas dire reniement de soit dami!!!!!!!! Oh my bad je m'aparpille
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    Auteur

    Boy Vegas

    En Octobre, 2015 (05:52 AM)
    il n,etait pas mouride ,,,??????? DAMN..

     :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot: 
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    Auteur

    Anonyme Gnegno

    En Octobre, 2015 (06:06 AM)
    Nous devons suivre ses traces.
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (06:12 AM)
    Je te jure que je pleure en lisant ces lignes, C trop emouvant et pleine d'enseignements historique et educatif.
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    Auteur

    Anonyme1

    En Octobre, 2015 (07:48 AM)
    Et les lecons a tirer de cette affaire? Y penser vous?



    Les toubabs, tojours a se liguer pour nous couler meme chez nous. Il est temps qu on se reveille, vraiment temps. Si j attend nos soit disant plus emminent intellectuels se demandaient sur un plateau de Tele que "si on apprend nos langues, comment est ce qu´on va traduire cosinus et sinus", dixit prof. agrege Sanghare, alors la je me dis que c est pas demain la vieille. Reveillez diantre.
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    Auteur

    Le Sénégalais

    En Octobre, 2015 (08:12 AM)
    Je suis très touché par l'histoire de notre grand père Diallo-Pithe. Nous avons juste ces exemples (au lieu de nous baratiner avec des articles sur le sexe, la lutte...).



    Merci SENEWEB :sunugaal: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (08:18 AM)
    Franchement, le témoignage du 14 m'a refroidi!

    J'espère que c'est pas vrai sinon quel gachis!
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    Auteur

    Lorena

    En Octobre, 2015 (08:46 AM)
    Seul le travail paie ! un bel exemple à suivre, sa famille devrait penser à faire un film sur cet homme de valeur. Fière de lui
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    Auteur

    Eeettthhq

    En Octobre, 2015 (08:50 AM)
    Formidable, un entrepreneur c'est ça.

    L'état peut aider a faire un film sur cette vie, un modéle pour developper le pays, un exemple de croissance externe, comme le font ces Grands Mrs du Groupe Sonatel.
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (08:55 AM)
    les peuls et le pulard sont bénit de dieu car toutes leus entreprises florissent généralement car trop honnétes courageux endurant et croyant diarama poulo
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    Auteur

    Personne

    En Octobre, 2015 (09:07 AM)
    yalla nako yallah kharé adjana té tek lokho si ndiabotam

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    Auteur

    Lipalip

    En Octobre, 2015 (09:20 AM)
    Un article pas comme les autres. J'ai toujours entendu son nom, mais je n'ai jamais lu son histoire. Aussi, je ne croyais pas, totalement aux dires des gens. Mais en lisant au moins l'article je comprends un peu le parcours de cet homme de défis.

    Bonne journée à tous. Et merci à celui qui a voulu partagé l'information.
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    Auteur

    Deugdji

    En Octobre, 2015 (09:21 AM)
    Je suis honoré véritablement honoré de cette histoire. KI JAMBAR DEUG LA. Un success history à enseigner aux jeunes entrepreneurs. Voilà des histoires qui nous avancent mais des politiques toujours des politiques à la con, on en a marre. DEUK KOM MO KAY DOKHAL.
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (09:23 AM)
    Comme quoi, voila une histoire qui mérite reflection. Ce Mr Diallo Pithie a fait travailler dans son usine de poisson tous les jeunes thiaroyois et thiaroyoises chomeurs de l époque.

    Encore, faudrait il rappeller que Thiaroye a donné beaucoup de fils dignes dans ce pays.

    En plus Diallo Pithie avait hebergé plusieurs familles démunies chez lui. Bravo!



    Voilá une gifle sur les fesses de ce minable qui passe son temps á isnulter les Pulaars sur le web, sous couvert de la lacheté de l anonymat.
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    Auteur

    Tds

    En Octobre, 2015 (09:43 AM)
    belle histoire.ce genre de personne doit etre immortalise .que le bon dieu puissant l accueille a son paradis.pourkoi pas un film pour son parcours.j ai beaucoup aime.
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (09:55 AM)
    L’institut Panafricain des Arts Divinatoires IPAD lance une formation

    pour devenir voyant professionnel.

    Cette formation ouverte à tous, prépare et accompagne les personnes qui

    dans un but professionnel souhaite réaliser des consultations de voyance.

    Cette formation propose pendant 10 jours une approche complète du métier

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    fonctionnement de la capacité de voyance.

    Démarrage du stage prévu le 26 octobre 2015

    Les places sont limitées renseignements au 33 823 54 72



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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (09:59 AM)
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    Auteur

    Anonyme Alpha

    En Octobre, 2015 (10:05 AM)
    Voilà un vieux qui n'a jamais aimé la politique. Un père très modeste, trés pieux et qui nous a toujours montré le bon chemin pour developer notre pays le Sénégal. mais domage pour son homonyme Me Amandou SALL qui ne compte que sur la politique pour se faire un nom. :sunugaal: 
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    Auteur

    Max

    En Octobre, 2015 (10:16 AM)
    Diarama, Que le TT Puissant l'accueille dans son Paradis. Diambar Deug. Foula, Faïda, Kham sa bopp, Gueum Yala.

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    Auteur

    Sene

    En Octobre, 2015 (10:32 AM)
    J'AI FRÉQUENTÉ USINE HARICOT A THIAROYE SUR MER, LA MAMAN D'UN AMI NOUS Y ENVOYAIT VERS 23 H POUR CHERCHER DES HARICOTS, BEAUCOUP DE FEMMES TRAVAILLAIENT DANS CETTE USINE. NOUS PARTIONS EN CHASSE AUSSI LA - BAS POUR LES OISEAUX QUI ÉCHAPPAIENT DE CHEZ LUI AVEC NOS LANCE PIERRES DANS CE LIEU QU'ON APPELAIT
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (11:09 AM)
    Mais où va t on la .tout le monde exulte devant le succès de cet homme.mais svp cet homme a vendu notre patrimoine national aux européens.ces oiseaux étaient notre fierté .aujourdhui plus de bel perroquet ou autre jaune rouge ,rouge gorge flamboyants ..le sénégalais n a aucun respect pour l environnement .et ils st entrain de le payé.avance du désert ,manque de pluie,vent de sable....
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    Bravoure

    En Octobre, 2015 (13:04 PM)
    Un vrai diambar, bel exemple pour la jeunesse, pourquoi on en parle pas beaucoup dans le pays. :brawoo:  :brawoo:  :brawoo: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (13:15 PM)
    vous voyez sont unis contre les autres races noirs jaune arabe ou noirs ou rouge alors que nous sommes tous les memes poulars wolofs sereres on passe notre temps à se diviser sur des futilités du genre ethnie suivons l'exemple de cheikh anta diop kouame kroume etc nous sommes freres

    je suis hal poular mais pour wolof ou serere ou poular sont tous mes freres au meme rang suivi des arabes et des toubabs
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (13:19 PM)
    Si allo pithie un exemple à suivre. Il est mon père et je reste fier de un. Je suis entrain d'écrire son histoire . Veiller visité la page Diallo PITHI sur Facebook
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    Anonyme

    En Octobre, 2015 (13:19 PM)
    C UN TOUCOULEUR UN HALL PULLAR ON A LA PELLE

    TOUCOULEUR BOU MOUY TEDD MACKY DIOUDOGUOUL



















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    Anonyme

    En Octobre, 2015 (14:02 PM)
    voilka un grand entrepreneur qui est parti de zéro à héro...
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    Thiessois

    En Octobre, 2015 (14:09 PM)
    oh c est un exemple de reusssite comme il y en a pas bea ucoup helas. Nous devons nous en rappeler souvent. ce sont nos heros donc des exemples a suivre. ce qui me frappe le plus c est que ce sont des gens qui n ont pas ete a l ecole francaise,comme d ailleurs Monsieur Mboup acctuellement, comme Serigne Samb rahmatou lah alaihi, qui aussi est un grand exemple a suivre . C est a croire que pour reussir dans les affaires il faut eviter l ecole des blancs. voire aussi aliko dangote, pur produit aussi de l ecole des Daaras que j ai entendu.Il nous en faut des dizaines, des centaines voire des milliers.allons y les gars, rien n est perdu d avance il nous faut seulement nous battre.
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (14:32 PM)
    Salut pouvez vous nous raconté sa fin , est - il resté toujours riche , ses enfants ont-ils pris la reléve , que sont devenue ses proches .



    Je pose cette question le sénégal comptaient beaucoup d'homme riche , mais une fois qu'il quitte la vie , ils ne laissent pas grand chose , juste leurs prénom et nom ( maname séniyy tourr rk mofiy désss , mais dunu guiss ni entreprise bou fi déss ni quelques choses bouga hamni daguay ham que ligéyou ki mo takh lolou nékk fi ba légui ) les libanais par exemple ils deviennent riche et leurs fils continue la reléve sans bruit



    Ndiouga kébé - lobatt fall - Djily mbaye par exemple .



    Le pére de yérim sow est peut etre les rare personne a avoir fait quelques choses sans bruit

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    Muhammad

    En Octobre, 2015 (16:09 PM)
    ALLAHOU AKBAR! :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal: 
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    Auteur

    Ceo

    En Octobre, 2015 (17:49 PM)
    Des hommes de cette qualite sont bien rares de nos jours ..Au Senegal tout le monde ou presque competis a qui vole le plus dans le laps de temps le plus court..ou qui ment et fait du dore marteau au mieuxx..
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    Anonyme

    En Octobre, 2015 (18:16 PM)
    ca me rappelle un peu ma jeunesse au niveau de thiaroye gare et la rue Diallo tally.

    C'est un nom quim'a vraiment marque.Que le Dieu tout puissant l'accueille dans son paradis.
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (19:50 PM)
    En tout cas Boudone europe ci, kasso bi lay moudjie. Protegez la faune....laissez kelk chose aux generations futurs. Guiss guene allou kanda noumou moudjie...entre mermoz et le village de ouakam. ..dakar verdure zero. .rien k du beton splendeur nada ...vu d en haut la ville a l air d une ruine
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    Un Ancien De La Sosap Des Anne

    En Octobre, 2015 (22:06 PM)
    Je connais tres bien le defunt Dialla Pithie, je travaiilais comme marin a la SOSAP ( Societe Senegalaise d'Armement a la Peche) dans les annees 74-75. Il etait toujours en thiaya sur les quais de peches, controllant tout et tous. Bien qu'il etait illetre personne ne pouvait le tromper sur l'argent.

    Je connais aussi le Captaine Mbodj don't l'article parle en haut, l'un des premiers officiers de marine marchande ainsi que le feu Jean Mendy que Dieu ait pitie de son ame

    Depuis lors helas je ne suis plus retourner au Senegal.

    SOSAP bateaux de peche, Yene,Pointe de Sangomar,Gandiol, Niomré , Djofondor,Marsassoum, Soumbedioune, et d'autres que j'aI oublier

    Que le Dieu misericordieu l'accueille dans son parade.

    RIP Mr Diallo
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    Trudat

    En Octobre, 2015 (01:10 AM)
    Ce vieux est un genie. Il faut suivre ses pas.
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (01:13 AM)
    Maintenant on nous donne l'histoire des peuls liye raam si niak la dieume. Guinee n'es pas Senegal
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (11:43 AM)
    aimerai voir son histoire et sa photo sur les cahiers des ecoliers plutot que les lutteurs ou les....
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    Auteur

    Anonymerat

    En Octobre, 2015 (13:30 PM)
    Tant bien que belle et examplaire comme parcours, il a n'empeche vide' du Senegal de toutes ses rares especes d; oiseaux pour le pays des toubabs.



    je rigole...Quel brave type

    Bonne journee.
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (14:32 PM)
    Un Grand Homme, qui a réalisé de belles choses

    R.I.P !!!
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (21:57 PM)
     :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :fbhang:  :fbhang:  :fbhang:  :fbhang:  :fbhang:  :fbhang:  :fbhang:  :fbhang:  :fbhang:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :xaxataay:  :xaxataay:  :xaxataay:  :xaxataay:  :xaxataay:  :xaxataay:  :xaxataay:  :xaxataay:  :xaxataay: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (00:48 AM)
    Je suis enthousiasmé par le récit de ce brave , un bel exemple autant pour notre jeunesse et pour nos décideurs pour engager des combats économiques aux parcours embûches par des loby sénégalais et étrangers vivant parmis nous . Sans ce livre , j ’ avoue que je resterai du reste avec beaucoup de respect au simple vendeur d ’ oiseaux . Il a pris des risques énormes pour son pays puisse son exemple imprégner les jeunes dans ce combat à gagner sur la maîtrise de l ’ agriculture , de l ' Agro industrie et du consommer LOCAL. PIERRE NDIAYE DG LES MAMELLES JABOOT

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    Auteur

    Kokou

    En Octobre, 2015 (16:19 PM)
    C'est avec gaieté de coeur que je lis cet article, voilà un vrai sénégalais, un grand patriote et travailleur qui n'avait aucun complexe vis-à-vis des blancs. Il a osé investir et permis à beaucoup de ses compatriotes de gagner leurs vie. Qu'ALLAH déverse sa grâce et sa lumière sur lui.

    Amine. :thumbsup: 
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    Ala Kii

    En Octobre, 2015 (16:33 PM)
    j'avoue que je ne savais pas qu'il avait un parcours aussi riche et pleins d'enseignements. Son cursus doit être enseigné à nos jeunes qui sous-estiment certains emplois. Ils doivent savoir que le Sénégal regorge de ressources sur quoi nous pouvons compter au lieu d'aller dans les embarcations de fortune.

    Vraiement je suis fière de notre cher Papa DIALLO pithies de par son courage et par sa reconnaissance envers les Lébous.

    Que DIEU lui rétribue toutes ces bonnes actions et l'accueille dans son Paradis :brawoo: 
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    Anonyme: Gm Cdant De Bateau

    En Octobre, 2015 (21:17 PM)
    Moi meme, aujourd'hui cdt de Navire, je confirme qu'a ma sortie de l'ecole nationale maritime, j'ai fais mon premier embarquement en tant qu'eleve officier pont sur le Malick-Sy et ensuite sur l"Abdoul-aziz-Sy en 1975. A l'epoque nous naviguions entre l'Afrique et l'Europe pour transporter le poisson et les crevettes. Actuellement apres 40 ans sur les flots, je suis tjours en activite. Le vieux Diallo nous a rendu un tres grand service. C'etait un modele. Il etait courageux et endurant au travail. Le pays a besoin de modeles pareils. Dans mon livre "Baba le garnement de Thiaroye" publie chez Edilivre. j'ai ecris sur l'episode que j'ai passe sur ses navires. Que Dieu l'accueille dans son paradis. Amen
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    Auteur

    Saer

    En Octobre, 2015 (22:02 PM)
    merci
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (12:55 PM)
    Le Sénégal d'aujourd'hui a besoin de l'exemple de cet homme comme reference à la génération actuelle;
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    Auteur

    Serigne Koki

    En Octobre, 2015 (20:58 PM)
    Un jour je venais lui vendre ma récolte de haricot;son fils le boiteux, me manqua de respect;ils nous appela tous les deux loua mon calme,et dit à son fils:tu fais le malin parceque je suis ton père et propriétaire de l'usine,rien d'autre.Le comportement de ce monsieur,..prouve qu'il a accepté d'être bien éduqué contrairement à toi;je te rappelle que ,mon père,ton ailleul, vivait d'aumône au village.Il m'encouragea et me donna beaucoup de tuyaux tires du saint coran.Je lui dois beaucoup.Il fut séduit quand il apprit que j'étais directeur dans un grand établissement du pays et rappela son fils...............
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (10:50 AM)
    C'est l'un des meilleurs articles de Seneweb depuis bien longtemps. Ce vieux baroudeur, self made man, est un exemple à suivre. Aux critiques que j'ai lues, je dirais (si elles sont basées sur des faits avérés) que nul n'est parfait. Mais entre un ou deux hommes qui a un problème ponctuel et tous ces gens (des milliers, voire des millions) qui ont vu leur vie changer du fait des initiatives de Diallo Pithie, je crois que le bon est très largement au dessus du mauvais. Ce vieux entrepreneur a donné vraiment du sens à sa vie. En tout cas moi, je lui tire le chapeau. Que Dieu le bon Dieu l'accueille dans son paradis.  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">  
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    Anonyme

    En Octobre, 2015 (10:52 AM)
    C'est l'un des meilleurs articles de Seneweb depuis bien longtemps. Ce vieux baroudeur, self made man, est un exemple à suivre. Aux critiques que j'ai lues, je dirais (si elles sont basées sur des faits avérés) que nul n'est parfait. Mais entre un ou deux hommes qui ont un problème ponctuel et tous ces gens (des milliers, voire des millions) qui ont vu leur vie changer du fait des initiatives de Diallo Pithie, je crois que le bon est très largement au dessus du mauvais. Ce vieux entrepreneur a donné vraiment du sens à sa vie. En tout cas moi, je lui tire le chapeau. Que Dieu le bon Dieu l'accueille dans son paradis.  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">  
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (15:58 PM)
    DIAPOU AY PITHIE DI LÉEN DIAY, NDAM AMOU CI
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    Auteur

    Anonyme

    En Octobre, 2015 (12:54 PM)
    waaw quelle histoire :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo: : :sunugaal: 
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    Auteur

    Ategui

    En Mars, 2016 (12:17 PM)
    Je peux dire que ,cette histoire m'a donné le courage et cela m'a montré que c'est l'effort avant le reconfort.Si seulement tous les jeunes de l'Afrique pouvais savoir que,ne pas avoir honte et mener une activité,quelques soit celles-ci peux les amener à être riches.Je vous le jure,l'Afrique n'auras plus de problèmes.Les Jeunes Africains ont hontent de travailler chez eux. :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">   :brawoo:    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  
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    Auteur

    Mbidou

    En Juillet, 2017 (08:20 AM)
    Dites nous il vient de quel village du Fouta ? AuFouta, on est fier de tout et de rien.
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