C’est le terme qui sied puisque les enquêteurs de la section de recherches ont débusqué la cession d’un site de 25 hectares situé au niveau du Champ de tire des Mamelles à 2.7 milliards FCFA alors qu’ils devaient couter entre 60 et 70 milliards FCFA.
Libération de ce samedi 1er décembre révèle que les gendarmes de la section de Recherches de Dakar ont découvert un scandale d’état en la vente d’un site situé au niveau du champ de tir des Mamelles au groupe Kharafi, en marge du sommet de l’Oci qui s’est tenu à Dakar, au mois de mars de l’année 2008. A en croire le journal lu par Setal.net, ce sont 25 hectares qui ont été bradés à 2,7 milliards, soit 7000 francs le mètre carré alors que dans la zone, le mètre carré est estimé à 300 000 francs Cfa. Ce qui fait que ce terrain devait couter entre 60 et 70 milliards FCFA. Pis, l’hôtel qui devait sortir de terre sur ce site n’a jamais été livré jusqu'à ce jour et selon Libération, le chantier est à l’arrêt, alors que ses propriétaires sur le papier essayent de le revendre à 13 milliards FCFA. La seconde audition de l’ami de Karim Wade, Bibo Bourgi avait trait avec ce scandale même s’il a durant son face à face avec les gendarmes de la SR juré qu’il n’a aucun lien avec le groupe Kharafi.
39 Commentaires
Sow
En Décembre, 2012 (10:14 AM)Sirecapvert
En Décembre, 2012 (10:19 AM)Club Adiana
En Décembre, 2012 (10:20 AM)Xxxxxxx00000000000xxxxxxxx
En Décembre, 2012 (10:20 AM)Coplan-bis
En Décembre, 2012 (10:21 AM)Tij
En Décembre, 2012 (10:22 AM)Firgui
En Décembre, 2012 (10:23 AM)Rêveurs Arrivistes
En Décembre, 2012 (11:12 AM)Lyns
En Décembre, 2012 (11:16 AM)Voleur
En Décembre, 2012 (11:19 AM)ARRETE MINISTERIEL n° 6102 MEPNBRLA en date du 25 mai 2009 autorisant la SENEGALAISE DES INDUSTRIES à occuper un périmètre de 328 ha dans la forêt classée de Bandia (Région de Thiès).
Article premier. - La société SENEGALAISE DES INDUSTRIES, Société anonyme, immatriculé au Registre du Commerce et du Crédit Moblier sous le numéro SN-DKR-2007-B11971, dont le siège est sis au 45 rue Raffanel à Dakar, BP 578, est autorisée à occuper une partie de la forêt classée de Bandia, d’une superficie de 328 ha aux fins d’exploiter une concession minière dans le cadre d’un projet de cimenterie, auprès de l’administration en charge des Mines.
Dira
En Décembre, 2012 (11:39 AM)Amadoubatouks
En Décembre, 2012 (11:50 AM)Listo
En Décembre, 2012 (12:01 PM)1- une face, offiocielle publiée, annoncée et et publique!
2- une face, cachée, consubtantielle et qui est la contrepartie du deal!
Par exemple dans ce terrain de 25 ha aux Mamelles, l'on dira aux Sénégalais qu'il a été vendu à 2,7 millardss cfa , bien entendu, en "habillant" cette vente des arguments comme un hotel y sera construt qui donnera des emplois aux Sénégalais etc etc, mais la contrepartie réellle qui est plus ou moins le différentiel entre 100 mlilards cfa, la valeur vénale actuelle du terrain et le trop modique 2,7 millards cfa publiés, sera versé ailleurs, en immeubles, numéraires, actions de sociétés etc...
On a rien invité, toutes les pratiques mafieuses sont répertoriéees depuis longtemps, il y a seulement qu'aujourd'hui les Sénégalais sont scandalisés, ébaubis de savoir de pareilles frauduleuses se passiaent à leur insu et de surcroit avec des gens en qui ils avaient tellement confiance, et dont ils croyaient qu'ils travaillaient pour le développement de notre cher pays!
La vente de Sonacos à seulement 6 millards de cfa à Jabert, alors que cette unsine valait au moins 15 fois procéde du meme stratagéme!
Que cela plaise ou non, il y a eu des gens qui ont bradé le patrimoine national qui leur était confié, pour s'enrichir eux: les preuves sont en train d'etre réunies, compilées et il est évident que cela ne peut rester en l'état!
Karim Peine De Mort
En Décembre, 2012 (12:19 PM)Lem
En Décembre, 2012 (12:24 PM)Css
En Décembre, 2012 (12:30 PM)Amadoubatouks
En Décembre, 2012 (12:43 PM)Amadoubatouks
En Décembre, 2012 (12:47 PM)Mackyapr
En Décembre, 2012 (12:55 PM)Dans la journée du mercredi 22, des jeunes de l’APR sont partis provoqués les ouailles du PDS venus soutenir Karim wade. La conséquence tout le monde la connait ; cela a aboutit à une bataille rangée qui aurait pu dégénérer et aboutir à l’irréparable. Pour ma part c’est un acte irresponsable de la part de ces jeunes de l’APR. De tels actes vont à l’encontre des valeurs de paix, d’harmonie, de non violence, qui sont les lignes directrices du président Macky Sall et du parti. Et d’ailleurs il ne sert à rien de tirer sur un cadavre (PDS), cela ne créera que l’indignation des gens de valeurs. Il ne faut pas prôner la rupture et reproduire les actes malsains des libéraux. La violence organisée par Farba Senghor et les jeunes de l’UJTL ont toujours suscitées le dégoût de la part du peuple. Il faut apprendre de l’histoire qui nous a montré que le peuple sénégalais a changé :
- Il n’aime pas les gens belliqueux ;
- Il n’aime pas les insolents ;
- Il n’aime pas les violents ;
- Il aime plus les actes que les promesses ;
- On ne peut plus le corrompre par l’achat de conscience (l’achat de cartes, tee-shirt, petites sommes d’argent pour remplir les cars…) ;
- Il n’aime pas les promesses non tenues ;
- Il n’aime pas l’injustice ;
- Il est allergique à la promotion familiale.
Le régime wadien qui n’a pas intégré ces changements de mentalité du peuple sénégalais, en a payé les conséquences. C’est à l’APR d’apprendre des erreurs du PDS pour ne pas commettre les mêmes errements.
Les violences de mercredi ont causé des conséquences irréversibles sur l’image de macky sall. Il faut que les partisans sachent raison gardée et agissent avec intelligence et stratégie afin de faire de la politique autrement. Il faut que nos responsables et gouvernants sachent que sur certains dossiers, le silence est d’or. Le peuple nous a élus pour être dans les bureaux et non dans la rue. Sortir dans la rue pour contrecarrer les manifestations de nos opposants renvoie à l’image de l’esclave affranchit, qui revient à la maison du maître : Nous étions dans la rue comme opposants et le peuple sénégalais nous y a sorti le soir du 25, pour nous loger au palais, donc c’est insensé de vouloir y retourner. Laissons la rue aux opposants qu’ils en fassent leur demeure éternel, cela ne dérange ni le peuple, ni l’APR. Restons au palais et dans les bureaux, les administrations pour accomplir, ce pourquoi les sénégalais nous ont élus. La violence n’a jamais rien résolu.
Aucun État ni individu ne peut être en sécurité dans un monde d’insécurité. Les valeurs de la non-violence, dans les intentions, dans les pensées et dans les pratiques, sont passées de l’alternative à la nécessité. Ces valeurs s’expriment dans leur application entre états, groupes et individus.
Nous sommes convaincus que l’adhésion aux valeurs de la non-violence initiera un ordre plus civilisé et pacifique, dans lequel des systèmes de gouvernement plus justes et plus efficaces, respectueux de la dignité humaine et de la sacralité de la vie pourront devenir une réalité.
Nos cultures, nos histoires et nos vies individuelles sont en interrelations et nos actions sont interdépendantes. Aujourd’hui comme jamais auparavant, nous croyons que c’est une vérité qui nous attend : notre destin est commun, un destin qui sera déterminé par nos intentions, nos décisions et nos actions d’aujourd’hui.
Nous sommes absolument convaincus que créer une culture de la paix et de la non-violence, bien qu’étant un processus long et difficile, est un objectif noble et nécessaire. Affirmer ces principes est un pas, d’une importance vitale, pour garantir la survie et le développement du Sénégal et parvenir à un monde sans violence.
L’APR est préoccupé par la nécessité de mettre fin à la propagation de la violence à tous les niveaux de la société et, surtout, aux menaces qui pèsent au niveau global et met en péril l’existence même de la nation. Pour nous la liberté de pensée et d’expression est à la racine de la démocratie et de la créativité ; nous reconnaissons que le culte de la violence, tel qu’il s’exprime à travers la culture populaire, contribue à accepter la violence comme normale et admissible ; nous sommes conscients que la violence cause le plus grand dommage aux plus faibles et aux plus vulnérables ; la paix n’est pas seulement l’absence de violence, mais aussi la présence de justice et le bien-être des peuples.
Le Sénégal a besoin d’approches et de mécanismes efficaces pour la prévention et la résolution des conflits de manière non-violente, et qu’ils produisent de meilleurs résultats quand ils sont appliqués dans la phase la plus précoce possible.
C’est sur ceux qui sont investis du pouvoir que repose la plus grande responsabilité de mettre fin à la violence, quel que soit le lieu où elle se manifeste et de la prévenir chaque fois que cela est possible. Les valeurs de la non-violence doivent triompher à tous les niveaux de la société, ainsi que dans les relations entre l’État et le peuple.
La propagation de la violence politique nous oblige à nous intéresser au problème de la place occupée par l’Etat dans la sphère globale. Une telle question est particulièrement importante dans un Etat de Droit comme le nôtre, car pour le sens commun, la violence est souvent considérée comme une quasi absence de l’Etat, elle en est même souvent l’antinomie. La présence de la violence au sein de la nation, brouille l'image de notre route. Elle enrichi la dimension du nihilisme et de l'absurde. Cette fatalité négative, assombri l'évolution positive de notre Nation. Il faut que l’Etat reprenne son monopole de la violence. Avec Wade, l’Etat s’est déculotté laissant la place à une vraie anarchie à tous les niveaux. Un Etat ne doit son salut qu’au monopole de la violence ; un peuple est comme un prédateur s’il sent la moindre faiblesse en face, il fonce et écrase. Nous sommes arrivés au même stade que certains pays juste avant qu’ils ne sombrent dans des guerres. Quand je vois des citoyens se bagarraient devant la porte principale d’une gendarmerie sous les regards impuissants des gendarmes qui restent sans réactions, je me demande où est l’Etat : Il est absent. Et je dis à ce dernier :
« Ressaisis toi, avant qu’ils ne te saisissent par le coup ».
Dr. Abdourahmane KANE
Coordonnateur Départemental
Du Réseau des Enseignants de
L’APR
[email protected]
Manu Chao
En Décembre, 2012 (13:27 PM)Nous ne savons toujours pas si ces audits sont sous tendus par un désir politicien de produire des effets d expiation - nous ne l oublions pas, jusqu en 2009 Macky fut un des hommes de Wade - si, ou bien, ils sont motivés par une réelle volonté de changer definitivement les choses, ce qui correspond à la demande des Senegalais; et dans ce cas nous sommes prêts à accorder à Macky les circonstances les plus atténuantes:
Fekkee ka ci boleewoon
Leuk
En Décembre, 2012 (13:29 PM)Coplan-bis
En Décembre, 2012 (13:48 PM)Pepes
En Décembre, 2012 (14:01 PM)Assez De BÉton Sur La Mer !
En Décembre, 2012 (14:10 PM)Faut Le Foutre En Taule
En Décembre, 2012 (14:47 PM)Pepes
En Décembre, 2012 (14:51 PM)Bobo
En Décembre, 2012 (14:54 PM)La preuve est il se disent tous musulmans avec des grands chapelets de facon ostentatoire mais le senegalais est un athé né. La fin du monde commencera par le senegal
Teralgane
En Décembre, 2012 (15:17 PM)Ibra
En Décembre, 2012 (15:59 PM)UNE EVIDENCE pourquoi tous les hommes politiques et les marabout font tout pour soustraire leurs progenetures de l emprise de l analphabetisme d illetrisme bref de toute s les les tares de la societe senegalaise.Seuls sont victimes des gourous et autres des pauvres qui n ont pas pu donner une education a leurs enfants
Famille
En Décembre, 2012 (16:56 PM)Venez découvrir nos produits sur mesure pour la famille au Sénégal sur WWW.SUNU DISCOUNT .COM livraison en moins de 48H!!!
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Fernad Mendy
En Décembre, 2012 (17:28 PM)DIAS est un citoyen courageux juste dont le peuple besoin. Karim et compagnie doivent être arrête d'abord comme on le fait à tout voleurs.
VIve les audits, arreton les voleur de la républi
Fernand Mendy
En Décembre, 2012 (17:37 PM)Maintenant si leur voleurs esclaves refusent les audits, Bravo à jean paul dias
Fernand Mendy
En Décembre, 2012 (17:44 PM)New Money
En Décembre, 2012 (19:12 PM)LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 29.11.2012 à 16h12 • Mis à jour le 01.12.2012 à 18h23
Par David Larousserie
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Internet continue de faire vaciller les bases des secteurs les plus établis : la musique, le cinéma, le commerce, la presse. Et maintenant les banques ! Une technologie, Bitcoin, fêtera son quatrième anniversaire en janvier 2013 avec la promesse de créer un réseau de transactions financières décentralisé, anonyme et sans frais.
Tout le contraire des échanges monétaires actuels, basés sur des banques centrales, des transactions identifiées et des frais de traitement entre les parties prenantes. En outre, comme souvent dans ces technologies, une vision politique est palpable : la conviction que le système monétaire actuel, fait de monopoles bancaires, conduit aux crises financières.
En fait, Bitcoin, inventé par Satoshi Nakamoto (un pseudonyme), est à la fois une monnaie virtuelle (mais convertible en dollars, euros...) et un protocole d'échange sécurisé à la manière de BitTorrent, qui permet l'échange de fichiers de pair à pair.
Environ 200 000 transactions ont déjà été enregistrées grâce à 15 000 ordinateurs sur le réseau. Un petit millier de sites Web acceptent les bitcoins comme dons ou comme moyen de paiement. Le cours du bitcoin, après avoir atteint un sommet de 30 dollars (23 euros) en juin 2011, a chuté à 2 dollars, cinq mois plus tard, avant de revenir aujourd'hui autour d'une dizaine de dollars (les cours sont recensés sur le site bitcoincharts. com). Rien de très impressionnant, comparé aux échanges mondiaux en monnaie réelle ou en produits financiers.
Pourtant, la Banque centrale européenne (BCE) s'y est intéressée dans un rapport sur les monnaies virtuelles publié en octobre. Elle décrit bitcoin comme "la monnaie virtuelle ayant le plus de succès", "en compétition avec le dollar ou l'euro" et "similaire à des monnaies conventionnelles". Bitcoin se distingue d'autres types de monnaie virtuelle comme les "crédits", utilisés pour progresser dans un jeu vidéo que l'on gagne en jouant ou que l'on peut acheter (et parfois échanger en retour).
Le réseau social Facebook a aussi développé ce genre de système. Mais, chaque fois, une autorité centrale contrôle et traite les échanges. Avec Bitcoin, tous les noeuds du réseau sont à la fois dépositaires du livre de comptes, vérificateurs, émetteurs de monnaie, et acheteurs et vendeurs.
Comment fonctionne ce réseau ? Chaque transaction entre deux utilisateurs se fait en réalité entre deux adresses électroniques à la manière d'un e-mail. Sauf qu'un utilisateur peut choisir une adresse différente pour chaque paiement, assurant ainsi l'anonymat. Un ensemble d'informations liées à cette transaction est signé électroniquement par un système de chiffrement à double clé. Le réseau peut ainsi vérifier l'authenticité de la transaction. Grâce au contenu du fichier, il est aussi possible de s'assurer que les bitcoins échangés existent bien dans le livre de comptes public, diffusé dans tout le réseau.
L'étape-clé consiste à écrire cette nouvelle transaction dans ce livre. Elle passe par la résolution d'un défi mathématique lancé aux ordinateurs, et dont le gagnant, sorte de banquier central provisoire, aura le privilège d'ajouter cette ligne supplémentaire. Il s'agit d'une phase de hachage de fichier, c'est-à-dire de transformation d'un gros fichier en une empreinte numérique plus courte et unique. Les ordinateurs "prennent" la nouvelle transaction et lui ajoutent un nombre avant de "hacher" l'ensemble.
Le but étant de trouver le nombre qui donne une empreinte particulière (beaucoup de zéros au début). Une fois ce nombre trouvé, les autres noeuds vérifient aisément que c'est le bon. La transaction se trouve alors indestructiblement liée à la chaîne de l'ensemble des autres transactions ; toute modification changerait l'empreinte.
Si, pour frauder, un utilisateur voulait payer deux fois avec le même argent très vite (moins de dix minutes), une seule des deux transactions serait validée par le réseau - l'autre restant orpheline car les deux ont des empreintes différentes. L'ordinateur ayant résolu le défi remporte 50 bitcoins. Pour éviter l'inflation, cette récompense est divisée par deux régulièrement, probablement avant la fin 2012. Le nombre de bitcoins en circulation est donc limité à 21 millions, mais ils sont divisibles jusqu'au cent millionième, ce qui laisse de la marge... La difficulté du défi est aussi relevée à chaque augmentation de la puissance de calcul.
La vie du réseau a déjà eu des hauts et des bas. Des sites Web fournissant des services pour Bitcoin ont été attaqués et les bitcoins en dépôts volés. "La faille utilisée ne concerne pas le protocole lui-même", assure Pierre Noizat, qui vient de lancer Paymium, une entreprise de paiement en vraie monnaie utilisant le réseau Bitcoin. La BCE fait état aussi des possibilités de blanchiment d'argent grâce à ce service anonyme. Mais le cash possède également ce défaut. Des acteurs de poids comme Wikipedia refusent les dons de cette nature. D'autres, comme la plate-forme de blogs WordPress, les acceptent. Récemment, Adi Shamir et Dorit Ron, de l'Institut Weizmann en Israël, ont analysé le livre de comptes et montré que près de 80 % des bitcoins ne circulent pas. "En novembre, des "soldes géants" ont été lancés. Trente mille dollars ont été échangés", se réjouit Jon Holmquist, qui travaille pour Coinabul, lequel convertit des bitcoins en or.
Pierre Noizat, également auteur d'un livre pédagogique sur cette monnaie (Bitcoin, monnaie libre, lulu. com, 160 p., 26,16 €), croit beaucoup au potentiel de cette technologie en tant que réseau de transactions. Son système, Paytunia, est équivalent à une carte de crédit (en vraie monnaie) ou à un paiement par mobile sans contact, mais il utilise Bitcoin pour valider les transactions, qui reviennent ainsi moins cher. Le porteur gère de plus son identité et peut donc être anonyme.
Le système est facile à mettre en oeuvre chez les marchands, qui n'ont pas besoin d'installer de nouveaux terminaux ou logiciels. Il leur suffit de communiquer une adresse qu'un téléphone peut "photographier et reconnaître", précise Pierre Noizat, qui assure avoir des milliers d'utilisateurs. "Il y a un mouvement général de remise en cause des systèmes hiérarchiques pour des systèmes plus horizontaux. Il faudra du temps pour que Bitcoin s'impose, mais 2013 pourrait être un tournant", prédit-il.
La BCE, dans son rapport, prévoit d'ailleurs de réévaluer les risques divers, aujourd'hui considérés comme élevés, en cas de succès de cette monnaie.
Ragal Yala
En Décembre, 2012 (21:54 PM)Sage
En Décembre, 2012 (23:19 PM)Mais
En Décembre, 2012 (00:35 AM)Ngouda
En Décembre, 2012 (04:09 AM)Lyns
En Décembre, 2012 (09:58 AM)Participer à la Discussion