Sous la présence de Serigne Mountakha Mbackè, représentant le Khalife Général des Mourides, le colloque sur le Soufisme organisé depuis le 2 novembre dernier s'est refermé à Touba en grande pompe. Étaient présentes plusieurs personnalités et plusieurs délégations dont, particulièrement, celle de la Mauritanie venue représenter la famille de Cheikh Sidya Baba.
Autour de plusieurs sous-thèmes dont fondamentalement celui qui a traité de la pensée soufie face aux défis de la vie, une centaine de professeurs venus du monde entier ont échangé pendant 5 jours autour du thème général : « Quel rôle pour le Soufisme dans la Oumma Islamique? ». Lequel a livré des conclusions lues par le professeur Galaye Ndiaye. Ainsi, il a été retenu la nécessité d'unifier les efforts pour pouvoir se départir des vicissitudes de la vie. Il a été alors demandé aux Cheikhs soufis de jouer leur rôle dans l'éducation, dans l'agriculture et veiller à la propagation des enseignements des Cheikh soufis.
Un exemplaire du Coran écrit par des enfants issus d'écoles coraniques de Touba, en un jour, a été présenté à l'assistance.
6 Commentaires
Wade
En Novembre, 2014 (09:26 AM)Bc
En Novembre, 2014 (09:53 AM)Surtout pour ces innombrables "marabouts" parasites qui se permettent de brûler les biens d'autrui,qui dégainent leur pistolet comme au Far-west,et qui sont de véritables jouisseurs.
Xaasxass
En Novembre, 2014 (09:56 AM)N'doye
En Novembre, 2014 (12:38 PM), quand DIEU aurait créé le monde et l'univers, sans oublier, en ce qui nous concerne, quelle lagues parlaient Abraham, Moïse, Yankob Isakha. Quand j'entends les musulmans évoquer les paroles d'Abraham(Ibrahima) et de Moïse(qu'ils nomme Moussa) je pense qu'on induit les Sénégalais en erreur, parce que ces prophètes ne parlaient pas une seule phrase en Arabe.
y a 65 millions d'années, des mammifères ont survécu à la chute d'une météorite. En serions-nous capables si un tel scénario se répétait ?
Les études biologiques contemporaines nous ont apporté des données intéressantes sur les conditions nécessaires à la survie et à la pérennité des espèces vivant sur notre planète. Depuis les débuts de la vie terrestre, il y a près de quatre milliards d'années, plusieurs millions d'espèces sont apparues (le nombre exact est très incertain). La grande majorité de ces espèces est aujourd'hui éteinte. Des périodes d'extinction, à différentes époques, ont largement contribué à ces disparitions. Les biologistes en recensent cinq majeures pendant le dernier milliard d'années.
Nous savons maintenant que les espèces qui perdurent sont celles qui savent s'adapter aux changements de conditions climatiques imposés par de grandes perturbations planétaires. Ces perturbations proviennent pour certaines de la tectonique des plaques (d'abord appelée dérive des continents), pour d'autres des variations millénaires de la distance entre le Soleil et la Terre (cycles de Milankovitch), pour d'autres encore des chutes de météorites géantes.
Les tortues existent depuis plus de deux cents millions d'années. Elles ont traversé toutes les crises. À côté de ce brillant palmarès, l'humanité ne semble pas faire bonne figure : après moins de dix millions d'années de présence, nous sommes déjà dans le collimateur de l'extinction que pourrait provoquer la crise écologique que nous avons contribué à faire advenir.
Un exploit de nos ancêtres
Il est intéressant de mentionner ici le grand exploit réalisé par nos ancêtres mammifères d'il y a soixante-cinq millions d'années. Ils ont réussi à survivre aux perturbations provoquées par la chute de la météorite de Chicxulub et à s'adapter aux changements de toute nature qui s'ensuivirent. Rappelons qu'une fraction majeure des êtres (...)
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En Novembre, 2014 (13:01 PM)Deug
En Novembre, 2014 (21:40 PM)Participer à la Discussion