L'Institution de prévoyance retraite du Sénégal (Ipres) a minimisé hier, après l'avoir reconnu par la voix de son Directeur général, l'affaire dite de fraude d'un montant de "400 millions Fcfa" sur les tickets de restauration.
Mamadou Sy Mbengue d'assurer avoir "lancé un audit, en tant que dirigeant responsable", pour faire toute la lumière sur cette nébuleuse affaire qui n'a pas encore révélé tous ses secrets.
Selon le quotidien Libération, "cet audit n'est qu'une manière de retarder les sanctions, car des agents de l'Ipres formellement mis en cause, dont l'assistante de Mamadou Sy Mbengue, sont toujours en poste".
"Cette affaire est la face visible d'un dérèglement général"
À vrai dire, poursuit le journal, "cette affaire n'est que la face visible de l'iceberg puisqu'un vent de dérèglement général souffle sur l'Ipres". Et, ce ne sont pas retraités du Nord qui diront le contraire. En effet, plusieurs retraités de Matam et Ouroussogui payés par La Poste n'ont toujours pas perçu leurs pensions. Pis, aucune explication ne leur a été donnée pour expliquer ce retard.
Pendant ce temps, le Centre médico-social de l'Ipres traverse une situation catastrophique. D'ailleurs, "ceux qui étaient venus se faire consulter, jeudi dernier, ont, pour la plupart, rebroussé chemin pour la bonne et simple raison que presque tous les médecins étaient dans la Walo pour une journée de consultation médicale gratuite qui devait se tenir le vendredi".
Les mêmes sources renseignent que le Centre fait face à une pénurie de médicaments depuis au moins deux mois sans que la direction générale ne trouve une solution à ce problème crucial. Dans l'ensemble, "c'est le management de Mamadou Sy Mbengue, qui se prévaut de l'amitié de la Première dame, qui est en cause".
22 Commentaires
Aza
En Juillet, 2019 (06:35 AM)Le Juste
En Juillet, 2019 (07:49 AM)Lala
En Juillet, 2019 (07:59 AM)Hassan
En Juillet, 2019 (08:08 AM)Mois (manque de pitié ) . Et personne ne dit rien NDEYSANE les retraités généralement analphabètes ne connaissent pas leur DROIT.
La 400 millions ce n’est rien par rapport à ce qui se passe réellement. Décryptage des propos du DG pour voir toute l’incompétence. Un protégé du système .
Le Juste
En Juillet, 2019 (08:25 AM)Frapp
En Juillet, 2019 (08:31 AM)Deug
En Juillet, 2019 (08:47 AM)ça n'existe nulle part au monde
Faye Sall
En Juillet, 2019 (08:54 AM)Wahdji
En Juillet, 2019 (09:22 AM)A mon avis, il faut que LES ASSOCIATIONS DE RETRAITES APPROCHENT INDIVIDUELLEMENT LEURS MEMBRES QUI SONT LES VERITABLES ACTIONNAIRES DE L IPRES POUR DRESSER UNE PLAINTE COLLECTIVE AUPRES DU PROCUREUR GENERAL DE LA REPUBLIQUE
A mon avis, il faut que LES ASSOCIATIONS DE RETRAITES APPROCHENT INDIVIDUELLEMENT LEURS MEMBRES QUI SONT LES VERITABLES ACTIONNAIRES DE L IPRES POUR DRESSER UNE PLAINTE COLLECTIVE AUPRES DU PROCUREUR GENERAL DE LA REPUBLIQUE
A mon avis, il faut que LES ASSOCIATIONS DE RETRAITES APPROCHENT INDIVIDUELLEMENT LEURS MEMBRES QUI SONT LES VERITABLES ACTIONNAIRES DE L IPRES POUR DRESSER UNE PLAINTE COLLECTIVE AUPRES DU PROCUREUR GENERAL DE LA REPUBLIQUE
A mon avis, il faut que LES ASSOCIATIONS DE RETRAITES APPROCHENT INDIVIDUELLEMENT LEURS MEMBRES QUI SONT LES VERITABLES ACTIONNAIRES DE L IPRES POUR DRESSER UNE PLAINTE COLLECTIVE AUPRES DU PROCUREUR GENERAL DE LA REPUBLIQUE
Apr ; Akimou Petrolou Rewmi
En Juillet, 2019 (09:46 AM)Recrutement
En Juillet, 2019 (10:35 AM)Le ministre des finances kényan, Henry Rotich, un des piliers du gouvernement du président Uhuru Kenyatta, a passé la nuit du lundi 22 au mardi 23 juillet derrière les barreaux.
Le projet devait coûter 46 milliards de shillings (397 millions d’euros). Or, c’est un prêt de 63 milliards de shillings qui a été contracté par le Trésor. Soit 17 milliards de trop, auxquels s’ajoutent des centaines de millions débloqués (notamment en compensations foncières) pour ces infrastructures qui n’ont jamais vu le jour. Car, cerise sur le gâteau, le contrat avait été octroyé à la société italienne CMC Di Ravenna, alors même qu’elle entrait en liquidation.
Abdoul
En Juillet, 2019 (11:20 AM)Nation . Par ailleurs il faut que les restaures soient représentés au conseil d’administration.
Tous ces projets hôteliers et immobiliers qui ne finissent jamais sont des mangeoires (gouffres à bouffer). Tout le monde le sait mais on n’y peut rien .
Que de frustrations . Ce n’est pas par ce qu’on ne sait pas mais on n’y peut rien faute dé justice en notre faveur.
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