Après les revendications de primes faites par des militaires sénégalais déployés dans le cadre de la mission de l’Organisation des Nations-unis en Côte d’Ivoire (Onuci), l’État-major général des Armées a tenu a apporter des précisons dans un communiqué rendu public par la Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA).
L’État-major général des Armées sénégalaises a précisé les montants des droits réclamés par des militaires sénégalais, notamment la prime de fin de campagne en Côte d’Ivoire. En effet, selon la Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA), le paiement des primes aux militaires engagés dans les Opérations de maintien de la paix (OMP) est régi par des textes réglementaires harmonisant les droits individuels sur tous les théâtres d’intervention. Aux éléments de la compagnie en renforcement qui réclament une prime de 100.000 FCFA par jour (soit trois millions par mois), l’État-major rappelle que le paiement des primes aux militaires engagés dans les Opérations de maintien de la paix (Omp) est régi par des textes réglementaires.
La Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA) a cité une série de droits, outre l’alimentation gratuite, des primes et des indemnités, notamment la prime de fin de campagne à chaque membre du contingent. Selon l’État-major général des armées, cette prime est régie sur la base d’un taux mensuel fixé à 500.000 francs CFA pour les officiers, 420.000 pour les sous-officiers et 340.000 pour les MDR (militaires du rang). La prime est payable au Sénégal le jour même de l’arrivée du contingent depuis la plateforme de l’Aéroport militaire de Yoff où l’accueil est organisé, lit-on dans le communiqué qui précise que «cette prime est l’objet de revendications irréalistes et sans fondement légal de la part de certains militaires».
«Le retour du contingent se prépare comme pour tous les autres et sous ce rapport, les mêmes dispositions règlementaires retenues pour tous les militaires sénégalais en intervention à l’extérieur seront appliquées au contingent du Senbat11/Rci, dont le retour au Sénégal est prévu du 15 au 18 octobre 2011», indique le communiqué de la DIRPA.
29 Commentaires
Dieudonné
En Octobre, 2011 (09:00 AM)79/2 Cincinnati/ohio/usa
En Octobre, 2011 (09:04 AM)Freelance
En Octobre, 2011 (09:12 AM)Gratos
En Octobre, 2011 (09:14 AM)Il faut rectifier le tir car cela n'est pas normal
Checo
En Octobre, 2011 (10:08 AM)Xuli Beul
En Octobre, 2011 (10:23 AM)Eldorado
En Octobre, 2011 (10:25 AM)Gt
En Octobre, 2011 (10:28 AM)Checo
En Octobre, 2011 (10:31 AM)Broum
En Octobre, 2011 (11:22 AM)Sorcellerie : les 200 commandos en fin de mission de l’Onuci réclamant leur prime ensorcelés.
Une délégation en provenance de Dakar composée d’officiers de l’État-major Général des Armées étaient venues négocier avec les 200 commandos en Côte d’Ivoire. Rappelons que ces 200 commandos spéciaux réclament le paiement de leur solde avant de retourner au Sénégal. Après l’échec des négociations, les membres de cette délégation ne voulant pas rentrer les mains vides avec un échec total de la mission qui leur était assignée en sont arrivé au "mystique". Selon nos sources de bonne foi, les négociateurs envoyés par l’Etat-major sont partis à Dioulabougou pour ensorceler les 200 commandos spéciaux en vue de les ramener au bercail.
De retour de ce quartier de Yamoussoukro, une chèvre vivante a été enterrée dans le camp militaire « à l’insu des Diambars » où logent ces 200 commandos mais ces derniers campent toujours sur leurs positions. Ce qui à pousser les membres de la délégation à repartir chez leurs fétiches qui ont estimé que ces commandos sont protégés et c’est pourquoi ça n’a pas marché.
Après une première tentative manquée, une substance donnée par les féticheurs a été ajoutée au manger des soldats. Comme par hasard, pour la première fois depuis qu’ils sont en mission ce Lundi, il y a du poulet au menu. Ils l’ont consommé tout naturellement ce repas. A la fin du repas, tous les soldats qui l’avaient consommé tombent en transe, criant et courant chacun de son côté. On peut dire dès lors qu’on les a atteints mystiquement. Ils se sont dispersés en criant comme des fous affirment notre source comme s’ils avaient tous perdu la raison. Certains soldats sont ont même rejoints la capitale économique Abidjan, d’autres sont dans le camp dans un état indescriptible et ne pensent désormais qu’à rentrer.
C’est un sentiment de malaise et de culpabilité qui s’est installé dans la base. C’est vraiment regrettable que des éléments de la grande muette utilisent ces manœuvres et artifices pour en arriver à leurs fins.
Darfour
En Octobre, 2011 (11:29 AM)Xlt
En Octobre, 2011 (11:46 AM)Mansaly
En Octobre, 2011 (12:34 PM)C'est l'etat qui essaye de gagner de l'argent en "louant" a l'ONU son personnel pour une plus value.Il faut se rendre a l'evidence que cette armee est differente de celle de 1960.
TOUT LE MONDE EST BIEN INFORME AUJOURD'HUI.
Le soldat a la meme information que le General,il faut gerer les troupes autrement
Casques Bleu
En Octobre, 2011 (12:41 PM)UNE FOIS DE RETOUR AU SENEGAL LES SOCIALISTES ET LEURS GENERAUX TE FONT ATTENDRE LONGTEMPS AVANT DE TE DONNER LA MISERABLE SOMME DE 450.000 OU 500.000 FR POUR MENTIONNER DANS TON LIVRET INDIVIDUEL :
Moi
En Octobre, 2011 (12:51 PM)j insiste que le blèm dans l 'armée c est nos chefs qui ne sont la que pour leur seul intéret. qu ils sachent qu ils vont partir un jour. continuez a rester la inertes. l 'histoire a déja retenu cela. je vs prie à avoir bcp plus de retenue au nom de la postérité. je vous en prie; nuos n avons que notre pays PRESERVONS LE. si ça brule cela ne va épargner personne y compris vous et moi. réfléchissons Y un instant.
Gnakhdiom
En Octobre, 2011 (13:21 PM)Partout, des hommes en armes. Casques vissés sur la tête, armes au poing et la mine grave, ils fouillent la ville. De fond en comble. Au sein de la garnison de Markala, la hiérarchie militaire est sur les dents. La nervosité est palpable.
Dans la nuit du jeudi au vendredi dernier, six, des 24 élèves officiers présumés auteurs du « bahutage » du 3 octobre dernier qui a fait cinq morts dans les rangs de leurs cadets, à l’Ecole Militaire Interarmes (EMIA) de Koulikoro, auraient pris la clé des champs. Comme par magie.
Pour la seconde fois consécutive, la hiérarchie militaire vient de faire preuve de légèreté dans l’exécution des ordres.
La première fois, c’était le 3 octobre dernier, sur le site de Tientienbougou, à Koulikoro. Selon les premiers éléments de l’enquête, les encadreurs de l’EMIA se seraient gardés d’intervenir. En dépit des cris des victimes qui leur parvenaient.
Retirés dans une mangueraie, à environ 200 m de là, ils continuaient de savourer leur vin. Comme si de rien n’était.
La seconde fois, c’est dans la nuit du jeudi au vendredi dernier où, les six élèves officiers se seraient fondus dans la nature.
Transférés, dans la nuit du 9 au 10 octobre derniers au camp militaire du Markala, quelques heures seulement après les mesures disciplinaires et administratives prises à leur encontre, par le ministère de la Défense, les 24 élèves officiers étaient censés être sous bonne garde. Sans moyen de communiquer avec l’extérieur.
Du moins, jusqu’à leur passage devant la justice pour « sévices corporels ayant entraîné la mort ». Au nombre de 53, tous les élèves officiers de la 3e année de l’Ecole Militaire Interarmes de Koulikoro sont radiés des effectifs de l’armée. Sur les 53, 24 auraient participé au « bahutage » du 3 octobre dernier qui a coûté la vie à cinq de leurs cadets. Il s’agit de 21 Maliens, un Burkinabè, un Sénégalais et un Togolais. Mais de bonnes sources, ces 24 élèves officiers, présumés auteurs de la mort de leurs cinq cadets étaient en possession de leur téléphone portable. La suite, on la connaît.
Selon une source proche de la gendarmerie, qui a requis l’anonymat, tout sera mis en œuvre pour que les fugitifs soient retrouvés. Et remis en cellule.
En attendant, les enquêtes se poursuivent. Afin de faire la lumière, toute la lumière, sur les circonstances de leur évasion au camp militaire de Markala. Affaire à suivre
Bardaa
En Octobre, 2011 (13:31 PM)POUR SE FAIRE DE L'ARGENT SUR LE DOS DE CES BRAVES DIAMBARS.
ALORS QUE NOUS AVONS BESOIN DE SECURITE EN CASAMANCE ET AILLEURS AU SENEGAL.
Thiés
En Octobre, 2011 (13:37 PM)Nureyni
En Octobre, 2011 (14:24 PM)IL Y A UN DIEU QUI VEILLE SUR TOUT
O TOI PRESIDENT, GENERAL OU OFFICIER SUPERIEUR
UN JOUR VIENDRA, TU MOURRAS, TU RENDRAS COMPTES
TON SEIGNEUR TE DEMANDERA " O MON SERVITEUR, QU'AS TU FAIT DE LA PRIME DE CES 200 COMMANDOS ENVOYES EN COTE D'IVOIRE?"
CE JOUR-LA IL N'Y AURA PERSONNE POUR TE GARDER, PERSONNE POUR TE SECOURIR, O PRESIDENT, O GENERAL, O OFFICIER SUPERIEUR SOIT JUSTE AVEC CES PAUVRES SOLDATS QUI SE SONT SACRIFIES POUR LEURS PAUVRES FAMILLES, CETTE GRANDE NATION, QUI EST LE SENEGAL, QUI NE T'APPARTIENT NULLEMENT, O PRESIDENT, O GENERAL, O OFFICIER SUPERIEUR SOIT JUSTE ET TON SEIGNEUR SERA JUSTE AVEC TOI!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! WASALAM
Bill Mansa
En Octobre, 2011 (15:03 PM)Massop
En Octobre, 2011 (16:53 PM)Babasou
En Octobre, 2011 (17:53 PM)@maassop
En Octobre, 2011 (18:06 PM)Ce sont des foutaises. Si ces militaires ont des reclamations a faire, c contre leur Gouvernement qu'ils doivent le faire mais non pas en terre de mission car les Nations Unies ne leur doivent rien. C'est absurde.
Ignard
En Octobre, 2011 (18:25 PM)Meme les forces militaires americains en operations speciales pour les nations unies n'ont pas trois a une remuneration pareille.
Militaires, ressaisissez vous.
Demm lenn ngimbii. Bougen Accesse GALSEN, ngen doogga GREW, NGEN DEF COUP D'ETAT sakh Ndaax mou tanne.
WA SALAM
Oh
En Octobre, 2011 (18:53 PM)Taf
En Octobre, 2011 (19:21 PM)Kouka
En Octobre, 2011 (19:38 PM)le colonel kébé est un pédé oubien
ouest est sa femme.
Ss
En Octobre, 2011 (19:48 PM)Un Sénégalais
En Octobre, 2011 (20:12 PM)De plus pourquoi attendre leur retour au Sénégal pour payer alors que les autres sont paysés sur place avant de partir ???? Il me semble que s'ils ont travaillé pour l'ONU, c'est à l'ONU des payer.
Le Sénégal doit en finir une fois pour toutes avec ces histoires. Jean Meissa Diop écrivait il y a quelques années dans le Wal Fadjri, qu'il est temps que l'armée soit transparente sur cette question pour qu'on en finisse avec «ce débat d'épicier».
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