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SARAYA - Raddho, Lsdh et Amnesty dénoncent «l’usage excessif de la force»

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Affrontements a Khossanto:Raddho, Lsdh et Amnesty dénoncent «l’usage excessif de la force»

La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho), la Ligue sénégalaise des droits humains (Lsdh) et Amnesty international Sénégal déplorent les affrontements de ce lundi 13 février 2017 à Kobokhoto, commune de Khossanto, dans la région de Kédougou, entre villageois et forces de sécurité.

Lesquels ont causé la mort de Yamadou Sagna, 25 ans, originaire du village de Kobokhoto et tué par balle au cours de ces affrontements avec des agents des douanes. Et suite auxquelles des dizaines de cases et des greniers contenant des récoltes auraient également été brûlés par des grenades lacrymogènes tirées par des gendarmes, relèvent lors organisations de défense des droits de l’homme.

Dans un communiqué conjoint dont copie est parvenue à Seneweb, la Raddho, la Lsdh et Amnesty International Sénégal «dénoncent l’usage excessif de la force pour disperser les manifestations pacifiques».



10 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Février, 2017 (11:17 AM)
    Évasion financière monstre à partir des cartes Visa prépayées de BGFIbank, le Groupe Chaka cité dans l’affaire

    Un milliard neuf cent millions de francs CFA ont été subtilisés à partir des cartes bancaires prépayées de la BGFIBank, indiquent des sources concordantes au sein de cette banque. À l’effet de quoi, une douzaine d’agents de la structure bancaire a été interpellée en fin de semaine dernière, parmi lesquels Martin Réténo (l’un des responsables de la monétique), Kery Bouka (directeur du département informatique), Pearce Bouyou (responsable produit). Soupçonné d’avoir fomenté le coup ou d’en avoir discrètement supervisé la réalisation, l’Ivoirien Edgard Anon (ADG, directeur du territoire et donc de toutes les filiales nationales et sous régionales) a été, lui aussi, interpellé à l’aéroport de Libreville alors qu’il rentrait d’un voyage à l’étranger, le dimanche  12 février dernier.

    Ayant d’abord été relâché par les agents de la Police de l’air et des frontières (Paf), il a été prié, ce lundi 13 février en arrivant à son lieu de travail, «de rendre les clefs du véhicule et de l’habitation de fonction pour résider dans un hôtel en attendant la suite de l’enquête ouverte par la Police judiciaire», indique une autre source de la banque. Il lui serait reproché d’avoir conduit le projet de carte Visa prépayée lancé par BGFI, en rejetant les services de sécurité et de vérification proposés par Visa, l’entreprise promotrice de la fameuse carte bancaire internationale. Autrement dit, BGFIBank devait assurer elle-même la sécurité du système et s’engageait ainsi sur tous les risques y afférents. Cette imprudence lui coûte aujourd’hui la perte sèche de 1,9 milliard de francs CFA. Aucune assurance n’ayant été prise, Visa International ne saurait procéder au moindre remboursement ni à un quelconque dédomagement.

    Selon des sources policières concordantes, une dame de nationalité ivoirienne est arrivée il y a quelque temps à Libreville et a procédé à l’acquisition de plusieurs centaines de ces cartes Visa prépayées, littéralement vendues à la criée ces derniers mois par la banque d’Henri-Claude Oyima. Elle a ensuite quitté le Gabon avec sa cargaison de cartes. L’alerte ayant donné lieu à la découverte du pot aux roses a été lancée par Visa International après avoir constaté de nombreux retraits de montants importants à partir de trois pays d’Europe dont la Suisse et la Belgique. «Tous ces retraits frauduleux ont été effectués avec les cartes bancaires achetées par la dame ivoirienne», soutient une source proche du dossier.

    Il serait également reproché à Edgard Anon d’avoir externalisé la sécurisation des cartes Visa prépayées de BGFIBank, la confiant à Chaka Card Systems, une entreprise n’ayant fait ses preuves qu’en Afrique l’Ouest et spécialisée dans les plateformes de personnalisation de cartes et des solutions d’identification et de sécurité. Il n’est cependant pas encore indiqué si Edgard Anon avait quelques intérêts dans ladite structure.

    La semaine dernière une folle rumeur sur les réseaux indiquait que de nombreux clients de BGFIBank ne parvenaient pas effectuer les opérations utiles avec les fameuses cartes prépayées, tout comme celles d’un bon nombre d’étudiants de l’Université Omar Bongo ont été «avalées», c’est-à-dire non restituées par les guichets automatiques de banque. Marc Ona, figure de la société civile gabonaise, a notamment indiqué que «c’est de façon confidentielle que les centaines de clients, détenteurs de cartes Visa prépayées BGFIBank ont appris l’arrêt de ce produit bancaire. Quid des clients qui ont déposé de l’argent sur ces comptes virtuels ? Ceux qui se plaignent de ne pas pouvoir utiliser les cartes sont gentiment priés d’écrire une lettre de réclamation pour se faire rembourser.»

    Pour l’heure, de nombreux directeurs seraient suspendus de leur fonctions au sein de BGFI tandis que tous les contrats, passés par Edgard Anon avec des prestataires extérieurs, ont été rompus. L’enquête se poursuit qui devrait certainement innocenter bien de personnes actuellement en garde à vue et permettre de faire payer les vrais auteurs de cette grosse entourloupette financière.

  2. Auteur

    Anonyme

    En Février, 2017 (12:02 PM)
    dans un ÉTAT dit de droit où le président n'est préoccupé qu' à nommer sa famille ,belle famille et son clan ethnique voila ce que cela donne.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2017 (12:05 PM)
    un agent de la force publique est soupçonné de bavure,il fait l'objet de poursuites judiciaires c'est ceque l'on attend des pouvoirs publics, alors,des personnes se soulevent, malgré tout, et commettent des violences et des incendies de locaux publics et ces organisations n'ont rien à dire que de fustigier l'abus de l'utilisation de la violence par l'Etat,allons messieurs soyez serieux ! vous tenez un langage qui vous décredibilise, quand on oppose la violence ouverte à la violence de la force publique on a egalement tort et on est condamnable et vous ne le ditent pas,arretez de ne voir que d'un seul coté,on ne vous entend jamais saluer de bonnes initiatives,les droits de l'homme ce n'est pas des condamnations unilaterales dans un seul sens c'est également encourager des actes meritoires.
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2017 (12:16 PM)
    Mal géré, ce genre de problème aboutit à la naissance de rébellion aux conséquences que nous connaissons!
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2017 (12:26 PM)
    Ils sont vraiment malhonnêtes ces diables. C'est quoi une manifestation pacifique: attaquer des forces de l'ordre, se rebeller et mettre le feu à des édifices publics? Vous avez déjà presque bruler la Gambie avec votre manque de retenu et votre sens partisan.
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2017 (12:44 PM)
    il est plus simple d'aller changer les textes de loi qui régissent l'emploi de la force

    lisez l'instruction n°20 du 10 novembre 1970, au lieu de divertir les honnetes citoyens par vos positions partisanes et basées sur aucun renseignement fiable

    avant de donner un avis aussi grave de conséquences aux yeux de l'opinion, il faudrait vous déplacer et prendre les versions réelles

    vous n’êtes pas des avocats de défense mus pas l'argent pour défendre des causes coupables

    le droit de faire usage des armes est bien reconnu par la loi sénégalaise et si les conditions sont réunies, c'est pas vos avis à la con qui vont faire que les forces de l'ordre vont faillir à leur mission de rétablir l'ordre public

    force restera à la loi
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2017 (12:51 PM)
    l’auxiliaire de douane qui tiré sur sagna et un ancien braqueur de la route qui vient juste de sortir de prison qui utilisait son arme pour faire des braquages un bandit de renommé
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2017 (12:52 PM)
    la douane n'a til pas le droit de saisir une marchandise non declarée et si le contrebandier refuse d'obtemperer ou veut reprendre son bien de force vous voulez que la douane reste sans reagir l'usage de la force doit s'appliquer

    il fautr que les ong arretnt de defendre lindispline et le libertinage l'anarchie dans ce pays
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2017 (15:30 PM)
    C'est vrai. Dans ce pays on est en train de laisser le terrain à la défiance de l'autorité et à la violence populaire en fustigeant et stigmatisant les FDS.

    Dans cette histoire, on n'a pas encore défini les circonstances et situé les responsabilités. Mais on a vite fait d'accuser les forces de l'ordre, la force de l'état.
    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2017 (21:37 PM)
    quelque soit le problème, le douanier est mieux formé que le jeune homme.Il doit savoir se maitriser
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