Le président de la Fédération internationale d’Athlétisme, à en croire les radars et antennes de nos confrères de L'As, aurait foulé le tarmac de l’aéroport Léopold Senghor. Lamine Diack est très attendu, depuis la débâcle du Sénégal dans ce qu’il est convenu d’appeler la double candidature sénégalaise au Comité international olympique (Cio), pour faire toute la lumière sur cette affaire. Pour l'instant, ce n'est pas encore officiel, mais il pourrait faire face à la presse demain, mercredi, annoncent nos confrères.
7 Commentaires
Esportere
En Juillet, 2013 (13:47 PM)Y'en a marre des querelles de clochers, on veut de jeunes dirigeants capable d'impulser un nouveau souffle à notre sport
Maïmoune
En Juillet, 2013 (13:53 PM)Candidatures au CIO ?
C'est dépassé, l'actualité est aux rapports de Keïta que le Président Macky Sall voudrait mettre au feu alors que c'est trop tard, les Américains et les Européens en ont fait copie dès hier.
Le Président Macky Sall va essayer de faire du dilatoire en mettant le coude sur les conclusions de l'enquête qui montre que plus de vingt officiers et 52 policiers sont tous impliqués, mais Latif Coulibaly ne l'acceptera pas et préfèrerait démissionner.
Il ne restera que Mimi Touré qui sera récompensée par une nomination à la Primature dès le mois de Novembre au plus tard !
De Ouga, selon une chaine panafricaine, le Président Macky Sall aurait donné ordre pour que les résultats de l'enquête dont on lui a donné la quintessence ne soit pas rendu public pour éviter que nos partenaires dans la lutte contre le trafic de drogue n'aient pas une mauvaise opinion de notre pays! Il faut choir, la transparence totale, la gouvernance vertueuse ou la raison d'Etat !
A nous, peuple de dire ce que nous voulons car les trois jours à venir nous réservent des surprises qui ne plairont pas aux honnêtes patriotes !
True
En Juillet, 2013 (13:59 PM)Koumpeuuu
En Juillet, 2013 (14:05 PM)Liens bok ! niou xol
Diagnambaya
En Juillet, 2013 (14:29 PM)Que vient il faire dans cette affaire sénégalienne (tchim) de double candidature.
Allez vieux tonton, poursuivez votre carême et ne venez pas nous enquiquiner avec vos certitudes et vos leçons de morale
Maïmoune
En Juillet, 2013 (15:31 PM)Le Senegal Digne
En Juillet, 2013 (18:51 PM)Nous étions tous surpris hier de voir autant de blancs et de drapeaux africains dans une manifestation pro-Gbagbo en Europe. Alors qu'on a du mal à les apercevoir dans les manifs pro-Mandela, devant la clinique de celui qui jouit d'une opinion favorable des deux côtés de la barque, ils débordent pour la cause de Gbagbo.
Le paradoxe s'explique lorsqu'on déchire le voile du racisme primaire et qu'on arrête de catégoriser les hommes en fonction de la couleur de leur peau. Dans cette mobilisation qui ne cesse de grandir, je préfère voir l'humanité qui se soulève pour défendre les principes élémentaires et rationnels qui devraient régir notre coexistence.
En fait la vague de blancs, venue gonfler le rang des manifestants pro-Gbagbo est celle des Egyptiens. C'est par leur drapeau qu'ils brandissent qu'on les reconnait. Ils ont compris que ce qui les révolte aujourd'hui est le même que ce qui révolte les Ivoiriens dans les rues d'Europe depuis deux ans et demi. La ligne de démarcation est nette. Derrière toutes les crises crées de toutes pièce dans les Etats tranquilles, il y a un seul conflit qui traverse le temps depuis des millénaires: celui de la force brutale contre les principes de base de notre aspiration légitime à être des humains. Les détenteurs de la force brutale et terroriste défendent dans les conflits qu'ils créent des intérêts bassement matériels et civilisationnels. Les pauvres, les faibles, hier, les serfs, esclaves, les colonisés se battent pour faire valoir leur droit à l'humanité, à la fraternité à l'égalité et à la liberté.
Je lisais hier matin dans un organe panafricain que le parti politique du président Morsi demande à ses partisans de rester dans la rue jusqu'à ce que ce dernier retrouve son fauteuil présidentiel.
Qu'est-ce que l'armée égyptienne, Adly Mansour et Mohamed Elbaradei croyaient? C'aurait été trop facile de réunir quelques milliers de manifestants dans les rues d'une ville pour renverser un chef d'État démocratiquement élu, s'emparer du pouvoir et se prévaloir d'une certaine légitimité. Le président Morsi, quel que soit ce qu’on peut lui reprocher, est le chef d'État élu de l'Égypte. Il est le chef que le peuple désormais libre d'Égypte s'est donné.
Nous ne pouvons faire comme si le coup d'État en Égypte était la continuation de la révolution. Celle-ci a pris fin avec une élection démocratique. La démocratie a ses règles et ces règles ne sont nullement édictées par la combinaison qu'on pourrait faire entre la rue et un coup de force.
Tant que l'élection de Morsi n'est pas remise en cause selon les principes de la démocratie Égyptienne, tous les égyptiens, je dis bien tous, pourraient descendre dans la rue avec toute l'armée égyptienne, cela ne rendrait pas Morsi destituable. Une fois encore la démocratie a ses règles et c'est elle la fin de la révolution et non le moyen. Ceux qui ont marché contre Morsi devront montrer qu'ils sont plus nombreux que ceux qui marchent aujourd'hui pour Morsi.
Comment vont-ils s'y prendre?
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