Invité de l'émission de la RTBF "69 minutes sans chichis" ce jeudi 25 janvier, Michel Preud'homme n'a éludé aucune question. Morceaux choisis. Tempérament "Je pense qu'il y a eu différentes périodes et différents moments. Il y a des moments où je suis très calme aussi", a tempéré Michel Preud'homme. "Cela dépend également des groupes que j'entraîne. Par exemple, au Standard, j'avais un groupe avec Sergio Conceiçao et Sa Pinto (l'entraîneur actuel du Standard, ndlr). C'étaient des gens déjà fort bouillants.
Là, je devais un peu tempérer. A Bruges, par contre, ils étaient très gentils, bien ordonnés et il fallait les faire sortir de leur coquille. J'essaie de compenser un trop d'une équipe ou un trop peu. Une partie de mes réactions est contrôlée pour mon équipe. Mais il y aussi des réactions d'injustice. Si on ne réagit pas, on va croire que tout le monde est d'accord et qu'il n'y a pas de problème. J'ai parfois exagéré dans mes réactions mais sans insulter personne".
Souhait "Si je reprends dans le football, c'est de faire le bon choix et que je puisse conserver certains moments comme j'ai eu avec mes proches pendant ces derniers mois. Si je deviens entraîneur de l'équipe nationale, je sais qu'il faudra gagner le championnat d'Europe des Nations. Donc, vous pouvez me souhaiter cela", a conclu MPH.
1 Commentaires
Anonyme
En Janvier, 2018 (19:36 PM)Participer à la Discussion