Le Sénégalais Saliou Niang, condamné à mort en Gambie, et incarcéré à la prison Mile Two en attendant son exécution, vit des moments difficiles. Momodou Sowe, le chef de protocole du Président Yahya Jammeh, arrêté en décembre 2012 et détenu dans cette prison avant d être libéré il y a quelques temps, explique que l’état de santé de Saliou Niang est très préoccupant. “Saliou Niang ne conserve en lui que la seule faculté de réciter le coran et de chanter les poèmes de Serigne Touba. Pour le reste, le garçon a complètement refusé de se battre contre les conditions dures de la prison de Mile Two. Il ne se lave plus et ne s’alimente que quand la faim l’y oblige vraiment. Pourtant, c’est lui qui apprend à beaucoup de détenus à lire le coran. C’est pourquoi toutes les deux semaines, nous le neutralisons au sol pour lui verser quelques litres d’eau sur le corps afin d’éviter qu’il ne tombe complètement malade’’, raconte l’ancien chef de protocole de Yahya Jammeh dans les colonnes de “Enquête”.
Père d’une fille aujourd’hui âgée de 10 ans, Saliou Niang a été arrêté en 2007 puis condamné à la peine capitale par un tribunal de Banjul pour un meurtre commis sur un pêcheur, à la suite d’une bagarre qui les a opposés sur la plage de Gunjur, un village à l’ouest de la Gambie. En début décembre 2012, Yahya Jammeh avait envoyé une mission au président Macky Sall pour lui assurer que Saliou Niang sera gracié. Mais jusqu’à ce jour, il n’a jamais tenu parole. Mieux, Yahya Jammeh a annoncé samedi dernier que tous les détenus condamnés à mort dans son pays seront bientôt exécutés. Saliou Niang risque ainsi de subir le même sort que les sénégalais Tabara Samb et Djibril Bâ, exécutés en 2012.
L’ancien collaborateur de Jammeh révèle que Saliou Niang n est pas le seul sénégalais détenu à la prison de Mile 2. Ils sont des dizaines poursuivis pour trafic de drogue, vol, meurtre etc.
47 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2015 (07:31 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (07:43 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (07:59 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (08:08 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (08:10 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (08:14 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (08:15 AM)à chaque pays ses lois
là-bas c 'est ainsi qu'est faite la lois
Anonyme
En Juillet, 2015 (08:16 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (08:18 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (08:22 AM)C'est avec Jammeh que la peine de mort est devenue la règle dans ce petit pays; cette peine est appliquée aux meurtriers mais elle est directement appliquée à ceux que yaya Jammeh soupçonne de vouloir le détrôner. Il apeure ses sujets par les nombreuses exécutions secrètes, par sa police politique et ses pratiques magico-sataniques. Tous les grands dictateurs se ressemblent dans leurs stratégies de domination de leur peuple, du début à la FIN.
Yayahsamapresidente
En Juillet, 2015 (08:29 AM)Dffegg
En Juillet, 2015 (08:30 AM)Isef
En Juillet, 2015 (08:32 AM)mais au fait yaya est vraiment CCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCCC
Anonyme
En Juillet, 2015 (08:33 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (08:39 AM)ici c toi...
Anonyme
En Juillet, 2015 (08:41 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (08:54 AM)En plus Yaya avait promis la grâce à Macky. Ki moom j'ai beau étudier son cas pathologique de sa haine du sénégal, je ne trouve pas d'explication.
Anonyme
En Juillet, 2015 (08:56 AM)Caroline Du Vercher
En Juillet, 2015 (09:02 AM)j ai comme l'impression que seuls les sénégalais ne défendent pas leurs compatriotes à l'extérieur même si ceux si ont tort, ca s'appelle la solidarité nationale
quelqu'un disait dans le siècle dernier que les négres ne sont pas solidaires c'est pour cela ils sont faciles à dominer mais je commence à y croire, je connais pas les autres africains je connais que les senegalais à partir de ce que je lis sur votre site mais je pense que le manque de solidarité est inné en vous et relève aussi quelque part d'un manque de courage
vous êtes un peuple qui se dénigre et s'autoflagelle en permanence
Anonyme
En Juillet, 2015 (09:02 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (09:09 AM)Fizer
En Juillet, 2015 (09:12 AM)Mané
En Juillet, 2015 (09:18 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (09:19 AM)ney ci biir deukk ba pare di rey sen askan ben par ben
Le Templier
En Juillet, 2015 (09:26 AM)S'il ne relève pas de la méconnaissance, prôner le contraire est de l'hérésie, un signe d'incroyance et d’hypocrisie.
Anonyme
En Juillet, 2015 (09:27 AM)nous n'avons jamais eu des dirigeants patriotes sinon la guambie n'aurait jamais existe à l'interieur du senegal
la partie ou habitent les noirs en mauritanie appartiens naturellement au senegal
Anonyme
En Juillet, 2015 (09:43 AM)Le Pandore
En Juillet, 2015 (09:44 AM)Na Gooré
En Juillet, 2015 (09:53 AM)Ano
En Juillet, 2015 (10:17 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (10:50 AM)Collectif Ena
En Juillet, 2015 (10:53 AM)Le déroulement de l’épreuve de présélection (tests psychotechniques) du concours d’entrée à l’Ecole Nationale d’Administration (ENA), cycle A, le dimanche 28 juin 2015 à l’UCAD, a été marqué par un incident pour le moins inexplicable.
Près d'une quarantaine de candidats dont le seul ‘’tort’’ est de s’être présentés au concours avec des photocopies certifiées conformes de cartes nationales d’identité, des passeports, ou encore des permis de conduire, en lieu et place de leurs cartes nationales d’identité, indisponibles, se sont vus exclus des salles d’examen.
Le collectif des candidats ainsi recalés, par ma voix, entend dénoncer vertement ce qu’il serait convenu d’appeler une forfaiture.
Loin de nous l’idée d’exprimer, au travers d’une critique facile et destructive, l’amertume et le désarroi nés de cette éviction aussi inopportune qu’injustifiée. Bien au contraire, il s’agit simplement d’éclairer l’opinion sur les péripéties de la mesure ayant conduit à l’interdiction de concourir de ces candidats avant de conclure au mal-fondé de la décision. Par ailleurs, occasion ne pouvait être mieux trouvée pour inviter les services de l’ENA à repenser certains aspects concernant l’organisation courante du concours.
Il me plaît de rappeler, d’emblée, que les dossiers de tous les candidats convoqués, y compris ceux des "exclus", ont été préalablement validés par les services de l’ENA, après examen de l’intégralité des pièces constitutives de chaque dossier, comprenant, entres autres, une copie légalisée de la carte nationale d’identité.
Les candidats étant autorisés à subir les tests psychotechniques à travers la publication de la liste nominative des postulants, suivie de leur convocation, la seule formalité à accomplir le jour de l'épreuve par les soins des surveillants est de confronter les identifiants figurant sur la liste validée à ceux figurant sur la pièce d'identification du candidat, impliquant bien évidemment une reconnaissance faciale. A cette étape doit s’ajouter, le cas échéant, celle de l’émargement du candidat.
Dès lors, c'est une lapalissade que de préciser qu’une photocopie certifiée conforme de la carte nationale d’identité, un permis de conduire, ou encore un passeport en cours de validité seraient amplement appropriées, ledit passeport présentant même autant, voire plus de fiabilité que toute autre pièce d’identification.
En dépit de cela, tous les candidats munis de pièces d’identification autre que la carte nationale d’identité ont été invités par le collège des surveillants, après décision du jury, à quitter les salles d’examen.
Autour de cet imbroglio, difficile de faire l’impasse sur l’indécision des surveillants quant à l’admissibilité des pièces d’identification litigieuses et le renvoi incompréhensible du Président du jury au Directeur Général de l’ENA, pour examen et suite à donner à l’autorisation desdites pièces, tant révélatrices sont leurs approximations.
S’étant finalement décidé à assumer la plénitude de ses attributions, le Président du jury, d’invoquer les termes de la convocation et la concertation en interne sur la mesure, pour asseoir sa décision péremptoire de rejet des autres pièces d’identification.
L’autre fait saillant au sujet de l’exclusion, et cette fois ci impressionnant de ruse, demeure la fermeture à clés des salles par les soins des vigiles après que les candidats ont été invités à se rapprocher du Président du jury pour se faire autoriser, le cas échéant, à participer au concours.
La mesure d’exclusion appelle de notre part les observations ci-dessous.
Sur la forme, l’opposabilité même de la convocation, support de la condition tenant à la présentation indispensable de la carte nationale d’identité, est à bien des égards discutable
Dans un premier temps, il est à noter l’entorse faite au procédé classique de convocation des candidats par voie postale nonobstant le dépôt par chaque postulant d’une enveloppe timbrée avec mention de l’adresse du candidat au titre des pièces constitutives du dossier. Précisant que l’information relative à la substitution de la convocation postale par celle électronique n’a jamais été officiellement portée à l’attention des candidats.
Par suite, les candidats diligents n’ayant pas reçus leurs convocations à l’adresse indiquée sur les enveloppes timbrées se sont rapprochées de l’ENA, avant d’être renvoyés, par les services chargés du volet information, à des SMS à recevoir et devant faire office de convocation.
Finalement, les candidats ne seront convoqués que par courriers électroniques que nombre d’eux ne recevront que le mardi 23 juin 2015, soit à 3 jours ouvrés de l’épreuve, et c’est le même mail qui renvoie à un autre communiqué en ces termes « la présente convocation est disponible par voie de presse, d’affichage à l’ENA, à l’UCAD et sur le site www.ena.sn ».
Tout en s’accordant sur la légalité de la convocation électronique ainsi que celle du communiqué-convocation, l’on constatera que la justesse de la réception de ladite convocation rend impossible toute tentative de mise en conformité avec le formalisme exigé, d’où le caractère inopérant de l’avis.
En définitive, les candidats dans l’attente de recevoir les SMS, peuvent valablement se prévaloir d’un défaut de convocation, lesdits SMS, reçus la veille du concours, valant uniquement rappel.
Sur l’énoncé du formalisme litigieux, se prêter à l’exercice de la reformulation, fût-il délicat, nous semble bienvenu. En de termes clairs, il est exigé, à travers la convocation, aux candidats disposant de cartes nationales d’identité de se munir desdites cartes pour accéder aux salles d’examen.
A contrario, et logiquement, les candidats ne disposant pas de cartes nationales d’identité, notamment pour motif de perte, ne sont pas concernés par la présentation indispensable de ces cartes, le préalable lié à la disposition de la pièce faisant défaut.
Sur le fond, rappelons à l’endroit de ceux-là qui invoquent le pouvoir discrétionnaire de l’auteur pour légitimer la mesure contestée, que cette compétence discrétionnaire ne saurait se muer en arbitraire.
Ainsi, une mesure prise dans l’exercice de la compétence discrétionnaire ne devrait en aucune manière titiller les limites de l’erreur manifeste d’appréciation, et en l’espèce, tout esprit éclairé saurait déceler aisément l’impertinence de l’exclusion des candidats.
Dans le même ordre d’idée, l’opportunité de toute mesure administrative prise dans l’exercice de la compétence discrétionnaire doit être considérée. A ce propos, le rappel de Jean-Etienne-Marie-PORTALIS, en marge de l’inauguration du code civil français, illustre à suffisance ce formalisme exagéré quand même il ne s’agit là que d’un acte administratif « Les lois ne sont pas de purs actes de puissance ; ce sont des actes de sagesse, de justice et de raison. Le législateur exerce moins une autorité qu’un sacerdoce. Il ne doit point perdre de vue que les lois sont faites pour les hommes et non les hommes pour les lois ; qu’elles doivent être adaptées au caractère, aux habitudes, à la situation du peuple pour lequel elles sont faites… ».
Notons à l’endroit des auteurs de la mesure que par delà le texte, l’esprit et, tantôt, par delà le texte et l’esprit, l’opportunité.
Enfin, sur le registre de la comparaison, les passeports en cours de validité ont bien été admis quelques semaines plutôt à l’occasion du concours d’entrée au Centre de Formation judiciaire (CFJ), section Magistrature.
Pour couronner le tout, et porter l’iniquité à son paroxysme, les candidats au concours direct d’entrée au cycle B, munis de photocopies certifiées conformes de cartes nationales d’identité, de passeports et de permis de conduire en cours de validité, se sont vus autorisés à passer les épreuves de présélection.
Il s’agit assurément là d’une rupture d’égalité caractérisée au préjudice de tous les candidats du cycle A, le défaut d’identité entre les Présidents de jury des cycles A et B ne changeant en rien à cet état de fait.
Dire que nombre de candidats parmi les « exclus » seront atteins par la limite d’âge à la prochaine édition du concours.
Et dire que des candidats se sont déplacés depuis la France uniquement pour prendre part au concours.
Au titre des autres aspects afférents à l’organisation, et que l’ENA gagnerait à perfectionner, l’on insistera opportunément sur la répartition inégale du temps entre les différents candidats appelés à plancher sur les épreuves de présélection.
La justesse du nombre de surveillants ou l’absence de coordination étant notée, des candidats ont pu poursuivre le traitement des épreuves au-delà du temps imparti et 5 minutes au moins durant, alors même que d’autres ont vu leurs copies brutalement reprises.
Dans le même sens, le formalisme autour de l’identification des candidats en amont contraste avec le défaut d’émargement de bien des candidats à la fin de l’épreuve.
Dans ces conditions, il n’est pas exclu qu’un candidat se fasse substituer pour les besoins de l’épreuve, la poursuite des entrées et des sorties des candidats pendant même la phase de l’émargement aidant. Sur ce point également, la comparaison avec l’émargement contradictoire pratiqué lors du concours du CFJ s’impose.
Au regard de tout ce qui précède, nous membres du collectif des candidats « exclus » du concours direct à l’ENA, cycle A, tout en acceptant fatidiquement d’être sacrifiés, du moins pour l’heure, sur l’autel de la postérité:
- Exigeons la non prise en compte sans condition de la candidature des « exclus »au titre des trois (3) participations autorisées pour le concours direct d’entrée, cycle A ;
- requérons la levée de la restriction liée à la limite d’âge au profit des candidats évincés et âgés de plus de 33 ans à la date d’ouverture du prochain concours ;
- invitons les dirigeants de l’ENA à plus de cohérence dans le déroulement des épreuves pour préserver l’égalité des chances entre les candidats.
Vivement l’équité et la mesure!
Le Collectif des candidats ‘’exclus’’ du
concours direct d’entrée à l’ENA au cycle A
Mye
En Juillet, 2015 (11:26 AM)Au Sénégal c'est le laxisme qui prime !!
Anonyme
En Juillet, 2015 (11:33 AM)Fierté
En Juillet, 2015 (11:38 AM)c fini
Anonyme
En Juillet, 2015 (11:47 AM)Quand les Américain exécute un meurtrier, alors là, tout le monde applaudit.
Qu'est ce qui se passe ? Où sommes nous et où va t-on ?
Fattttttté
En Juillet, 2015 (11:49 AM)si l'information est vraie comme l'indique l'ISLAM, il ne faut pas oublier que le pêcheur aussi avait besoins de vivre et a une famille aussi
[Rapporté par Tirmidhi ] Le Prophète (Sallah Aleyi wa Salam) a dit :
« Si vous saviez le quart de ce qui vous attends aprés la mort vous auriez préferer ne jamais naître. »
Ignorant Sénégalais
En Juillet, 2015 (11:57 AM)Liberte 2
En Juillet, 2015 (12:05 PM)L'accuse doit disposer d'avocat pour sa defense ce qui permettrait de voir plus clair sur ce qui s'est passe reellement, c'est sur qu'il y avait des temoins occulaires et que tous les temoins soient entendues par les juges.
C'est injuste de condamner les gens pour meutre comme ca banalement sans proces et ensuite les executer comme si la personne a volontairement commis un meurtre premedite.
Les conditions des detenus a miles 2 sont deplorables meme les animaux ne meritent pas un tel traitement. ''Mboka soxor baxoul'' Macky Sall doit durcir un peu le ton il est trop mou devant Yaya Jammeh.
Mahajunga
En Juillet, 2015 (13:11 PM)Je suis 1000 X d’accord avec vous et vous remercie votre analyse est très correcte et que le bon Dieu nous donne rapidement un président comme Yaya que je respecte beaucoup.
Moi aussi j'apprécie bcp ce ke fais le président gambien k'on devait avoir au Sénégal pour redresser notre pays. chacun se permet tout faire à kelke stade ke se soit dans la vie quotidienne et les gens restent impunies. Trop d'indiscipline, de magouille, de non respect des lois et règlement. Ce qu'on vit au quotidien est infernal et je supplie Dieu de nous donner un Président comme Yayha Jammeh. que Dieu te prête longue vie.
Anonyme
En Juillet, 2015 (13:34 PM)Hiro Kawazaki
En Juillet, 2015 (14:02 PM)Kou ray rayal, Kou def niari Korité wala Tabaski nga todj lou bonnam.
Bayyil Jolof mann niouy wakh rek
Anonyme
En Juillet, 2015 (14:43 PM)ça sera une porte d'entrée des jadiste au Sénégal
et la Casamance sera totalement déstabilisée
les rangs les des rebelles séparatistes vont grossir
nous sénégalais nous avons intérêt à ce que la Gambie soit stable
et Yaya est bon pour sa stabilité
regardons la Lybie avec les conséquences direct sur les voisins
et l'Iraq?
Anonyme
En Juillet, 2015 (15:34 PM)Yomb
En Juillet, 2015 (17:08 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (19:32 PM)Gouney Dakar
En Juillet, 2015 (08:22 AM)Participer à la Discussion