Depuis une semaine environ, le terminal vraquier, géré par la société Necotrans, n’assure plus de service pour le compte des entreprises extractives comme les cimentiers ou les phosphatiers. En plus clair, les exportations et les importations de ces entreprises sont aujourd’hui bloquées. La Sococim et les Ciments du Sahel, entre autres, voient ainsi leurs importations de combustibles stoppées à quai, avec l’interdiction de débarquer, renseigne le journal Le Quotidien dans sa livraison de ce matin. Cela, sur ordre de la Direction de Necotrans, le concessionnaire du terminal vraquierm, précise le journal. Une situation qui s’est installée après la décision unilatérale du concessionnaire européen d’augmenter les tarifs de ses prestations de manutention, les faisant passer de 2000 francs CFA à 3800 francs CFA, soit quasiment le double. Une hausse que les industriels ne comptent pas suivre. Et pour le moment, ils fonctionnent grâce à leurs réserves de combustibles, qui risquent de s’épuiser très vite. Ils appellent à trouver une solution.
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10 Commentaires
Anonyme
En Janvier, 2016 (08:54 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (08:59 AM)Faites attention waaye Necotrans.......Senegal dou Congo RDC, wala Guinée, Wala lou ma mounoul wakh
Anonyme
En Janvier, 2016 (08:59 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (10:50 AM)Diaw
En Janvier, 2016 (12:09 PM)Baye Libasse
En Janvier, 2016 (12:34 PM)Les liner terms
Les liner terms sont utilisés en affrètement de navire pour déterminer la prise en charge des charges d’embarquement et de débarquement
Liner in – Liner out
Les charges d’embarquement au port de départ et celles de débarquement au port de destination, sont incluses dans le fret donc prises en charge par la ligne
Liner in – Free out
Les charges d’embarquement sont incluses dans le fret alors que celles de débarquement sont à la charge du réceptionnaire
Free in – Free out
Les charges d’embarquement au port de départ sont payées par le chargeur et les charges de débarquement au port de destination le sont par le réceptionnaire.
Par ailleurs, les taux de fret tiennent compte du temps passés à quai pour les opérations de chargement ou de déchargement.
Avant l'arrivée de TVS, un navire pouvait facilement faire plus de 15 jours à quai et actuellement, avec les investissements réalisés; les cadences sont montées en flèche et le temps de séjour a été réduit de plus 60%.
Vous comprendrez donc que le gain de productivité devrait être partagé entre l'opérateur économique qui voit son taux de fret réduit et le manutentionnaire dont les investissements ont permis cette hausse de productivité.
C'est comme cela qu'il faut analyser ce dossier mais pas autrement svp.
Anonyme
En Janvier, 2016 (14:06 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (14:45 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (21:24 PM)west african countries needs its own monetary and economic policies not ones dictated by the west (France)
Anonyme Fans
En Janvier, 2016 (23:32 PM)Participer à la Discussion