Des actifs en augmentation à deux chiffres, un résultat net qui double et un siège flambant neuf. La banque panafricaine, implantée dans 35 pays du continent, a fière allure au terme d’un exercice 2010 finalement bien négocié. Est-elle pour autant immunisée contre la crise ?
La plus panafricaine des banques africaines a bien négocié son virage 2010, suite à sa réorganisation en trois pôles (banque de proximité, banque de grande clientèle et banque d’investissements). Avec un résultat net qui a quasiment doublé (132 millions de dollars) et un total bilan en augmentation de 16%, dépassant les 10 milliards de dollars, la banque dirigée par Arnold Ekpe a consolidé son modèle d’institution panafricaine au service du secteur privé africain. La banque compte un réseau de 755 agences réparties dans 35 pays dont 32 en Afrique.
Meilleurs standards de gestion
La plupart des indicateurs comme l’encours des dépôts, en augmentation de 22%, reflètent cette tendance à la reprise, même si le produit net bancaire (PNB) qui a atteint 900 millions de dollars n’aura progressé que de 3%. La faute à la stagnation des ressources générées par la marge sur intérêt. Sur ce point, ETI épouse la tendance très actuelle, favorable aux produits issus des commissions bancaires. Aussi, cette forte augmentation du résultat net ne peut découler que d’un retour aux meilleurs standards de gestion.
En augmentation de 33%, le dividende distribué est de 0,4 cent de dollar américain par action. Les 180 000 actionnaires se partageront 39,7 millions de dollars.
Le groupe s’est attaqué aux charges d’exploitation, ce qui lui permet pour la première fois d’afficher un coefficient d’exploitation en deçà du taux de 70%, pulvérisé en 2009 sous la poussée d’une impressionnante expansion géographique. A titre de comparaison, la plupart des banques maghrébines (à la notable exception de la BMCE Bank) ont des taux variant de 38 à 45%. Ce retour vers l’orthodoxie est aidé par une baisse des charges de l’ordre de 1% consécutive à une réduction d’effectifs (1000 personnes). En fait, la cure d’amaigrissement imposée à l’agence du Nigeria (celle-ci enregistre des bénéfices) et l’arrêt d’ouverture de nouvelles agences ont contribué à cette maîtrise des charges.
Sur d’autres chapitres, le groupe a souffert de la dépréciation des 18 monnaies africaines auxquelles il est exposé par rapport au billet vert américain. A cause de ces pertes de change, le groupe n’a réalisé qu’un résultat net avant impôt de 169 millions de dollars au lieu de 177 millions de dollars. De quoi certainement améliorer les capitaux propres. En 2010, le groupe a investi 92 millions de dollars dans le renforcement des filiales.
Dividendes
Si l’analyse du bilan permet de mesurer les performances de l’institution panafricaine, le marché, lui, ne s’intéresse qu’à un indicateur : le dividende servi. En augmentation de 33%, le dividende distribué est de 0,4 cent de dollar américain par action. Les 180 000 actionnaires se partageront 39,7 millions de dollars. En définitive, le groupe s’est renforcé en 2010. L’investissement de 30 millions de dollars dans le siège de Lomé (immeuble de sept étages, 5000 mètres carrés de bureaux, deux annexes) exprime les ambitions d’un groupe qui veut acquérir « une envergure mondiale », comme l’a rappelé si bien Arnold Ekpé dans son adresse aux actionnaires. Le groupe qui vient d’ouvrir une représentation à Londres pour la banque de gros compte ouvrir ensuite des bureaux à New York et à Pékin.
51 Commentaires
111
En Juillet, 2011 (15:33 PM)Immigre
En Juillet, 2011 (15:34 PM)Merci de votre collaboration
Fonctionnaire Senegalais
En Juillet, 2011 (15:36 PM)Werr
En Juillet, 2011 (15:37 PM)Dani
En Juillet, 2011 (15:40 PM)111
En Juillet, 2011 (15:44 PM)Reply_author
En Mai, 2022 (22:24 PM)Det
En Juillet, 2011 (15:44 PM)Abi
En Juillet, 2011 (15:46 PM)Mame Sokhna
En Juillet, 2011 (15:53 PM)Pudding
En Juillet, 2011 (16:04 PM)Medo
En Juillet, 2011 (16:08 PM)Right
En Juillet, 2011 (16:23 PM)Bra
En Juillet, 2011 (16:29 PM)Seck
En Juillet, 2011 (17:07 PM)Makhtar Ndoye
En Juillet, 2011 (17:15 PM)COMPAGNIE DES BANDIT ET ASSASSINS ORGANISE sur lles ordre de MADELEINE DIenG
Mann
En Juillet, 2011 (18:21 PM)Tu fais n'importe quelle demande, pas d'accusé de réception.
Les relevés de compte, n'en parlons pas. Elle les envoie aux clients quand elle veut.
Doit-on s'étonner que Paris traine en queue de peleton des places financière mondiales ? J'attends de rentrer au Sénégal pour quitter cette banque artisanale et "unprofessional".
Wade Waw Wkhét
En Juillet, 2011 (18:27 PM)Zoumer
En Juillet, 2011 (18:38 PM)Loool
En Juillet, 2011 (18:46 PM)rewmi nou nek biss bununiwé wade diékhalna ma lem samay bagage té kham ni moussiba mogui niw
Journalistes De Chiottes
En Juillet, 2011 (18:49 PM)Ancien Client
En Juillet, 2011 (18:51 PM)Nulle
En Juillet, 2011 (19:51 PM)Bisous
Ayoba
En Juillet, 2011 (20:09 PM)Yuu
En Juillet, 2011 (20:15 PM)Ma
En Juillet, 2011 (20:33 PM)Reply_author
En Mai, 2022 (08:31 AM)Reply_author
En Mai, 2022 (10:19 AM)Sonko est un homme béni!
Plus il reçoitde coups, plus il avance a Grand Pas vers son objectif !!!
Et Dieu le met de plus en plus dans le coeur des hommes! Baayiléénko moo geun si yéén!
Bien respectueusement!
Doflaa
En Juillet, 2011 (20:44 PM)M124d
En Juillet, 2011 (21:27 PM)Il faut avoir un peu de respect vis à vis de l'Afrique "Banque Panafricaine" riche et pays africains pauvres.
L'hacktiviste Sénégalais
En Juillet, 2011 (21:54 PM)J persiste et je signe qu'il y'aura tot ou tard des scandales entre l'etat du senegal et ecobank...
Arame Sarr
En Juillet, 2011 (22:05 PM)Revenons au scandale qu’on a eu écho ces dernières semaines qui a eu lieu dans la Capitale du Rail (Thiès) concernant le Chef d’Agence de La Banque Panafricaine ECOBANK et de la fameuse jeune fille. D’après nos sources, le brave monsieur a eu à menacer la jeune fille d’enlever la grossesse à 5mois ou en cas de refus il allait tout nier concernant la paternité de l’enfant et nous savons tous que l’avortement est INTERDIT au Sénégal surtout à ce stade avancé de la grossesse où elle risquait d’y passer parce qu’il voulait sauver son ménage et sa réputation ce qu’il a du oublié pendant qu’il filait du mauvais coton avec la jeune fille. D’ailleurs de sources sures il a changé de lieu de résidence, reste à voir si l’affaire sera tiré au clair. Une procédure est en cours afin de mettre au clair cette histoire d’avortement qui de jours en jours montre les faces cachées que peuvent avoir certains hommes. En attendant la suite des événements, nous invitons toutes les filles à faire très attention car il y’a des milliers de femmes qui subissent des harcèlement sexuels qui restent impunis et d’autres sont menacées par des hommes qui se croient tout permis, tapis dans l’ombre pour mettre fin à des vies qui n’ont pas demandées à naitre.
Eva
En Juillet, 2011 (22:43 PM)Leuk
En Juillet, 2011 (23:14 PM)Ecobankier
En Juillet, 2011 (23:21 PM)Une caissière de l’agence Ecobank de Tilène, Ndeye Rokhaya Gueye, a été inculpée et placée sous mandat de dépôt vendredi dernier, pour un détournement de fonds portant sur des dizaines de millions de francs.
La brigade de recherche de la Gendarmerie nationale, saisie par la direction de la banque Ecobank, a procédé à l’arrestation de la dame, Ndeye Rokhaya Gueye, qui est passée aux aveux lors de son interrogatoire.
Elle fera face au tribunal hors classe de Dakar mardi prochain. Il y a quelques mois, quatre caissiers avaient été écroués après un retrait Westerns Union illégal, dans la même agence de Tilène
Ecobankier
En Juillet, 2011 (23:25 PM)Ecobank au cœur d’un scandale
La Direction générale d’Ecobank-Sénégal est éclaboussée par une affaire qui risque de lui faire perdre un de ses plus gros clients, la société de pétrole Itoc en l’occurrence. À travers de faux ordres de virement, plus de 54 millions de F Cfa ont été délestés des comptes Ecobank d’Itoc qui a finalement déposé une plainte contre X devant le parquet. L’enquête de la Division des investigations criminelles (Dic) a fait tomber un haut cadre de la Direction générale, D.B., ainsi que ses trois amis S.G, M.L.G et L.S. dont il utilisait les comptes établis dans d’autres banques pour nicher les fonds détournés. Déférés hier au parquet, le mis en cause et ses trois complices seront inculpés et placés sous mandat de dépôt par un juge dans les prochaines quarante-huit heures. L’affaire va en instruction.
En plus des risques réels de perdre un très gros client, Itoc en l’occurrence, la Direction générale de Ecobank-Sénégal est éclaboussée par un scandale aux senteurs nauséabondes. Depuis jeudi dernier, un de ses cadres, D.B., était placé en garde-à-vue à la Division des investigations criminelles (Dic). À la suite d’une prolongation, c’est hier qu’il a été déféré devant le Procureur de la République, en même temps que ses trois amis et complices S.G., M.L.G. et L.S. À l’origine, un pillage organisé des comptes de la société pétrolière Itoc depuis la direction générale. En fait, de faux ordres de virement étaient émis par D.B. qui approvisionnait dans le même temps les comptes de ses amis logés dans différentes banques de la place. Une fois les virements effectués, ses complices récupéraient l’argent et touchaient ainsi une « commission » de la part de B.
Ayant découvert un trou de plus de 54 millions de F Cfa dans ses comptes, à travers de faux ordres de virement, Itoc a déposé, via son conseil, une plainte contre X devant le Procureur de la République qui a imputé le dossier aux hommes du commissaire Idrissa Cissé. Une enquête rondement menée par les éléments de la Dic, notamment en remontant l’origine des faux ordres de virement, a conduit dans le même temps à l’interpellation de B. Face aux éléments de preuve qui lui ont été présentés, notamment les faux ordres de virement qui portent sa signature, le cadre de Ecobank-Sénégal n’a pu que reconnaître les faits et dévoilé aux enquêteurs son modus operandi. C’est ainsi que ses amis, qui évoluent tous en dehors du secteur bancaire, ont été interpellés entre vendredi et dimanche dernier. Le principal mis en cause et ses complices ont été présentés hier devant le ministère public. En faveur d’un retour de parquet, ils seront inculpés et placés sous mandat de dépôt aujourd’hui par un magistrat instructeur. C’est donc dire que l’affaire n’a pas encore connu son épilogue. Et il est fort possible que la direction générale de Ecobank se constitue partie civile car cette affaire risque d’écorner sérieusement son image.
C. M. G
Ecobank, ses comptes et ses « dossiers »
Ecobank est décidément une banque bien spéciale. Ce n’est pas la première que de pareilles affaires éclaboussent la banque. Il y a de cela quelques mois, une rocambolesque affaire d’interception d’un envoi Western Union avait été élucidée par les hommes du lieutenant-colonel Moussa Fall. À l’origine du scandale, une plainte du nommé Mamadou Saliou Diallo, responsable d’une Organisation non gouvernementale basée à Dakar. Dans le cadre d’un jumelage, une Ong danoise a viré une importante somme d’argent à sa « sœur » sénégalaise pour l’appuyer financièrement. Quand le responsable de l’Ong est allé à Ecobank pour percevoir l’argent, il s’est entendu dire qu’il…était déjà passé prendre l’envoi ! Après en avoir informé son bienfaiteur, Mamadou Saliou Diallo a déposé une plainte qui a atterri devant la Section Recherches de la gendarmerie nationale. Les réquisitions des hommes en bleu ont permis d’identifier le caissier à l’origine de l’opération de décaissement. Entendu, il a expliqué s’être conformé d’autant qu’il a décaissé l’argent après communication du numéro confidentiel, d’un mot de passe en sus d’une pièce d’identité. Les vérifications de la gendarmerie avaient révélé que l’argent avait été effectivement retiré par un nommé Mamadou Diallo et non Mamadou Saliou Diallo ! Et le numéro de la carte d’identité communiqué par le récipiendaire du virement s’est révélé faux. Le caissier avait été déféré.
Auparavant, quatre caissiers (un homme et trois femmes) de l’Agence Ecobank Tilène avaient été arrêtés par la brigade de gendarmerie de Thiong. Ils avaient été déférés au parquet en même temps que le nommé Abdoul Aziz Diop dans une affaire de pillage d’un compte bancaire. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, ce dernier, qui n’a pas de compte à l’Agence de Tilène, avait pu effectuer des retraits dans le compte bancaire d’un tiers. Même si le total des retraits n’était pas trop élevé (700.000 F Cfa), il n’en demeure pas moins que le fait était assez grave.
C.M.G
Staff Ecobank
En Juillet, 2011 (23:50 PM)Encore un scandale à la Ecobank
Alors que l’affaire des quatre caissiers de son Agence de Tilène déférés au parquet à la suite du pillage d’un compte bancaire est encore fraîche dans les mémoires, Ecobank se retrouve encore sous les feux de l’actualité. Un de ses caissiers a été présenté hier au maître des poursuites par la Section Recherches de la gendarmerie nationale. À l’origine, un envoi Western Union destiné au nommé Mamadou Saliou Diallo et encaissé par…Mamadou Diallo à l’aide d’un faux numéro de carte d’identité. Comment ce dernier a-t-il pu être informé de l’envoi d’argent pour user de manœuvres frauduleuses, afin de le récupérer ? C’est la question qui a intrigué les gendarmes tout au long de leur enquête toujours en cours. Car l’affaire est loin de révéler tous ses secrets.
A ce rythme, il est fort à craindre pour l’image de Ecobank-Sénégal. Une rocambolesque affaire d’interception d’un envoi Western Union a été élucidée par les hommes du lieutenant-colonel Moussa Fall, qui ont communiqué les résultats de leurs investigations, hier, au parquet de Dakar, non sans déférer devant le Procureur de la République un caissier de la banque. À l’origine du scandale, une plainte du nommé Mamadou Saliou Diallo, responsable d’une Organisation non gouvernementale basée à Dakar. Dans le cadre d’un jumelage, une Ong danoise a viré une importante somme d’argent à sa « sœur » sénégalaise pour l’appuyer financièrement. Quand le responsable de l’Ong est allé à Ecobank pour percevoir l’argent, il s’est entendu dire qu’il…était déjà passé prendre l’envoi ! Après en avoir informé son bienfaiteur, Mamadou Saliou Diallo a déposé une plainte qui a atterri devant la Section Recherches de la gendarmerie nationale. Les réquisitions des hommes en bleu permettent d’identifier le caissier à l’origine de l’opération de décaissement. Entendu, ce dernier explique s’être conformé d’autant qu’il a décaissé l’argent après communication du numéro confidentiel, d’un mot de passe en sus d’une pièce d’identité. Les vérifications de la gendarmerie révèlent que l’argent a été effectivement retiré par un nommé Mamadou Diallo et non Mamadou Saliou Diallo ! Et le numéro de la carte d’identité communiqué par le récipiendaire du virement s’est révélé faux. Autant de faits qui laissent penser aux gendarmes que le caissier en sait plus que ce qu’il a dit. Car comment Mamadou Diallo, qui a réceptionné l’envoi, a-t-il pu être informé de l’effectivité de l’opération, avant d’user de manœuvres frauduleuses pour encaisser l’argent ? Une question parmi tant d’autres qui ont conduit les hommes du lieutenant-colonel Moussa Fall à déférer hier le caissier devant le parquet avant son placement sous mandat de dépôt. Non sans poursuivre les investigations autour de cette affaire aux relents de scandale. Il faut dire que ce scandale est le deuxième du genre à Ecobank en l’espace de quinze jours. Récemment, comme le révélait « L’As », quatre caissiers (un homme et trois femmes) de l’Agence Ecobank avaient été arrêtés par la brigade de gendarmerie de Thiong. Ils avaient été déférés au parquet en même temps que le nommé Abdoul Aziz Diop dans une affaire de pillage d’un compte bancaire. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, ce dernier, qui n’a pas de compte à l’Agence de Tilène, a été présenté comme tel et a pu ainsi effectuer des retraits dans le compte bancaire d’un tiers. Même si le total des retraits n’était pas trop élevé (700.000 F Cfa), il n’en demeure pas moins que le fait est assez grave. Jamais deux sans trois ? En tout cas, les gendarmes, qui ont entendu le directeur administratif et financier de la banque, continuent de creuser sur cette affaire qui est peut-être loin de révéler tous ses secrets.
Ecobankier 4
En Juillet, 2011 (23:58 PM)La banque panafricaine les verrous. De quoi s’agit-il exac- très vite découvert après un donc de l’ampleur d’une épidémie. ECOBANK, ou disons sa représentation nigérienne est depuis quelques temps dans la ligne de mire avec notamment cette histoire d’épidémie de tuber- culose dans ses locaux et tout récemment ce dossier dit de scan- dale financier rapporté par certains de nos confrères. Dans le souci du respect de l’équilibre de l’informa- tion, nous avons cherché à vérifier tout ce qui a été dit sur cette banque. Tout d’abord pour ce qui est de la dernière information à savoir le scandale financier, qui n’en est pas un en réalité, mais plutôt une indé- licatesse de certains agents de la boite, tout semble rentré dans l’or- dre, les malfrats sont appréhendés et se trouvent actuellement sous tement ? ECOBANK/Niger, c’est comme toutes les institutions de ce monde avec ses bonnes et mauvai- ses graines. Comme le dit l’adage, le bon ne se reconnaît pas à l’œil nu mais à l’œuvre, en terme de compétence bien sûr.
Alors, quelques agents d’ECOBANK/Niger (plus précisé- ment deux agents selon nos sour- ces) ont eu la malicieuse idée d’ef- fectuer une opération bancaire illé- gale. Il aurait tout simplement ren- floué un compte bancaire à partir d’un autre de façon frauduleuse, sans autorisation du client débité, tout ce qui est contraire aux règle- ments bancaires. C’est cela l’histoi- re de la bagatelle somme disparue. Mais comme à ECOBANK, on est très professionnel, le manège est contrôle interne commandé par le Directeur Général en personne. Et les malfrats sont sous les verrous. Rien donc de scandale financier.
C’est le lieu d’évoquer l’autre affai- re, celui de l’épidémie de tuberculo- se. Là également il y a eu de la démesure. A ECOBANK, chaque année que Dieu fait, tous les agents sont soumis à un bilan de santé. C’est coûteux mais à ECOBANK le précieux slogan « la santé n’a pas de prix » n’est pas une vaine expression. Il est de rigueur. Alors lors de ce bilan sanitaire, il s’est trouvé que deux agents ont été effectivement déclarés porteurs du bacille, responsable de la tubercu- lose. Ces deux malades ont été rapidement pris en charge et isolés conformément à la règle. Rien Rien aussi du licenciement de qua- tre (4) agents qui auraient révélé l’affaire.
Les 4 agents en question ont bénéficié d’un départ négocié effectué dans les règles de l’art, c’est-à-dire avec versement d’in- demnités et autres avantages conformément à la législation du travail en vigueur. Car ECO- BANK/Niger, en dehors de son travail de banque est une entrepri- se citoyenne soucieux du bien être des Nigériens. La preuve, elle emploie environ 200 agents dont plus de 95% sont des Nigériens. Elle fait aussi du caritative, en témoignent ses divers dons et aides dans les hôpitaux par exem- ple.
Eco
En Juillet, 2011 (00:03 AM)Au moment où les enquêtes n’ont pas encore livré tous les secrets dans l’affaire des 7 milliards de GNF détournés, un autre non des moindres éclate à l’Ecobank. Il s’agit cette fois-ci d’un scandale portant sur une affaire de vol de 75 millions de GNF. En effet, il y a 3 mois que le caveau de l’agence de la Belle Vue est plein. Pour faire face à cette situation, la Direction n’a trouvé d’autre solution que d’improviser un bureau loti dans un couloir servant de passage dans les locaux de la même agence de Belle Vue. Où l’on garde les recettes de l’agence de Hamdallaye dans des males cantines – une cinquantaine- fabriquées avec les soins des forgerons, SVP. Et pour fermer ces males cantines, les autorités de Ecobank font recours aux cadenas de 1000 GNF l’unité. Et tenez-vous bien pour garder un montant de 50 milliards de GNF et dans le même soi-disant bureau.
Ce n’est pas tout, l’armée de stagiaires qui comptent les sous venant de l’agence de Hamdallaye n’a aucun contrat avec Ecobank Guinée. Après donc la disparition des 75 millions de GNF, ce sont deux suspects : la cheffe de caisse Georgette Williams et le manutentionnaire Aboubacar Cissé qui ont été arrêtés et mis sous les verrous. Sans aucune forme de procès, selon nos informations. Au moment où nous mettions sous presse, ces deux personnes étaient au Commissariat de Bonfi. Face au scandale, le Directeur général de Ecobank et le Contrôleur interne Abdourahamane Diallo sont également mis en cause.
On accuse précisément le dernier cité de contourner l’orthodoxie bancaire qui voudrait que l’argent de la clientèle soit gardé dans un caveau et non dans un bureau non adapté. Joint au téléphone, hier lundi 08 octobre, M. Abdourahamane Diallo de s’étonner : « Qui vous a donné mon numéro de téléphone ?» Interrogé pour qu’il s’explique par rapport aux accusations qui pèsent sur lui, il nous demandera gentiment de nous adresser à la Direction générale de la Banque. Il était 10h précises. Nous avions déjà appelé, quelques minutes auparavant, le Directeur général pour sa part de version. Il était 8h 54. M . Ekué avait promis de nous rappeler quelques minutes plus tard. Mais en vain. Nous sommes revenu à la charge pour rappeler M. le Directeur général.
Son téléphone portable a sonné deux fois de suite sans qu’il ne le décroche. Au contraire, le téléphone se coupait aussitôt qu’il sonnait. Puis, nous changerons de numéro pour le rappeler une troisième fois. Et cette fois, c’est une dame, son assistante, qui décroche son téléphone. Elle indique que son patron est en réunion et qu’il ne pouvait nous recevoir maintenant. Elle nous orientera vers le chargé de communication de Ecobank. Joint, Thierno Moussa Diallo lui aussi dira que le DG est effectivement en réunion. Il faut l’attendre, dit-il. « Il va vous rappeler s’il vous l’a promis. Dans les 21 pays où évolue le Groupe Ecobank, seul le directeur général est habilité à parler aux medias. C’est une procédure interne», précise Thierno Moussa Diallo.
Nous y reviendrons.
Un Client Pas Content
En Juillet, 2011 (00:04 AM)Flitif
En Juillet, 2011 (00:51 AM)Ce n'est pas comme ça qu'on acquiert la performance mais c'est la voix la plus rapide pour aller vers la faillite car ce que vous décrivez ici est en totale déphasage d'avec la réalité.
un client
Ngossooo
En Juillet, 2011 (01:22 AM)Employé De Ecobank
En Juillet, 2011 (02:25 AM)Un proverbe chinois dit : « Les vérités qu'on aime le moins apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir. "
Si vous n’avez jamais participé à l’émission Koh Lanta, Ladies and gentlemen, je me pose la question de savoir si la banque Ecobank, et en particulier, l’agence de Yoff ne serait pas le centre d’inscription à ce jeu ?
Muni d’un chèque endossable, j’entrais dans la banque à 16h 13 précise en espérant y ressortir quelques minutes après.
Après une attente d’une trentaine de minutes, l’indicateur sonore m’appela à me rapprocher de la caisse 3 contenue dans un petit box où étaient installés trois agents.
Comme d’usage, je présentais alors mon chèque et ma carte d’identité pour paiement. La préposée à l’opération dans une courtoisie certaine me fit comprendre que je devais patienter le temps qu’on vérifie la SIGNATURE.
Patientant calmement, j’assistais à une remise au point d’une dame qui, visiblement était frustrée par le service et qui tentait tant bien que mal de contenir sa colère. Je me mis alors à penser qu’elle devait faire partie « des clients difficiles » pour reprendre l’expression des agents souvent fautifs.
Patientant calmement, je distribuais des sourires par ci, par là dans le but de trouver une âme charitable qui aurait pitié de mon attente. Eh oui, il faut désormais faire pitié pour qu’on vous aide dans cette banque, dans les banques en général au Sénégal.
1 h, 2h, 3 h d’attente ne suffiront toujours pas pour avoir pitié de ma personne. Pauvre de moi ! Comme un condamné attendant son heure, j’en profitais pour lire un communiqué en direction des chers clients. Communiqué qui disait entre autre :
Changement de plateforme informatique
Nous avons l’honneur de porter à votre connaissance que nous sommes dans un processus de changement de nos progiciels bancaires. Cette migration permettra d’élever notre niveau de service vers les meilleurs standards.
Les travaux d’implémentation du nouveau progiciel sont en cours. D’ores et déjà nous faisons appel à votre compréhension pour les éventuelles perturbations que ce projet occasionne.
Nos équipes commerciales se tiennent à votre entière disposition pour tout renseignement éventuel.
Nous vous remercions déjà de votre patience et vous réitérons notre engagement pour mieux vous servir.
La direction
Free
En Juillet, 2011 (03:19 AM)Banque
En Juillet, 2011 (04:17 AM)Lamine
En Juillet, 2011 (09:04 AM)Pombiter
En Juillet, 2011 (09:41 AM)Moi j'ai clôturé mon compte et je suis allé à la SGBS. C'est bcp mieux, ils sont plus professionnels.
A ECOBANK, pour avoir un découvert, il faut 3 visas des responsables. 3 c'est trop. Quelque fois, il faut en chercher un pendant une heure. C'est pour cela que le client titulaire de compte attend une bonne heure pour enfin toucher de l'argent.
Pour payer les chèques, c'est pareil.
Les procédures de la banque sont trop lourdes.
Le personnel féminin domine. Je n'ai rien contre les femmes. Certaines ne prennent aucun risque. Elles fuient leurs responsabilités. Elles ont peur de commettre une faute.
Il y'a aussi de vraies frustrées dans le personnel. Elles font tout pour énerver les clients et pour les faire partir. C'est le moyen qu'elles ont trouvé pour se venger de leurs supérieures hiérarchiques.
Le client d'ECOBANK est un pigeon. Aucune erreur ou faute ne lui est épargné.
Les chefs d'agence ne pensent qu'à percevoir des commissions. Ils n'hésitent pas à rejeter les chèques des clients pour toucher les frais de rejet de 10.000 FCFA.
Pendant ce temps, le client est dans la me.rde. Il est fâché pour toujours.
Pfff
En Juillet, 2011 (10:05 AM)Yadaly
En Juillet, 2011 (11:04 AM)Moussa
En Juillet, 2011 (12:06 PM)Cbao
En Juillet, 2011 (12:22 PM)Ecobankier
En Juillet, 2011 (13:44 PM)Tiriri
En Juillet, 2011 (17:14 PM)Participer à la Discussion