La crise en Europe touche le "pêcheur au Sénégal et l'informaticien en Inde"

5 Commentaires

1. 

   Jetrix

   En Juillet, 2012 (19:34 PM)

   moma sonal sama book mi kéne dieudouko

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Reew
En Juillet, 2012 (20:05 PM)
                                            



ENCORE 4 HEURES D'HORLOGE ET LE 18 JUILLET SERA MORT.      



TENONS BON LES GARS;IL N'Y A PAS JUSQUE LA DE CATASTROPHE...



SAUF LE CAMION DE SABLE RENVERSE DANS LE TUNNEL DE KARIM.



                                  
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Deug
En Juillet, 2012 (22:15 PM)
pour arrêter la crise mondiale , il faut bloquer les chinois pour 1 an et vs verrez le résultat.
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Sursusr
En Juillet, 2012 (22:38 PM)
Les chinois sont responsables de la crise : monnaie très sous évaluée, fausses aides à l'Afrique, intérêt a sens unique, produits de médiocre qualité vendus uniquement aux pays pauvres qui n'en ont pas besoin, accaparement des terres dans les pays en voie de développement, 25% de la population mondiale qui dispose seulement de 5% des terres cultivables, plus grands pollueurs de la planète, régime sans démocratie et avec des droits de l'homme douteux, égémonisme dans tous les pays pauvres, exploitation a outrance des ressources des pays en développement avec en contre partie des babioles, épuisement des ressources halieutiques (poissons) mondiales principalement en Afrique, dons infimes afin que les pays receveurs achètent leur production ce qui est vital pour les chinois, aucun mélange de culture, racial, ou sociétal, etc etc
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Samory Aw
En Juillet, 2012 (07:36 AM)
L'Afrique devraient orienter ses flux commerciaux sur le continent. Le poisson y trouverait bien sa place, la demande est bien présente, nous africains aimons les fortes saveurs. Il faut des procédés de concervation autres que ratditionnels pour élargir la gamme de produits de poissons et autres produits de mer. FAISONS CONFIANCE AU SAVOIR DE NOS INSTITUTIONS COMME L'ITA aulieu d'écouter les discours européocentristes qui nous plombent. Aux associations de pêcheurs de prendre langue avec l'ITA. Il faut bien ammorcer le mouvement de concertation plutôt que de vouloir vaille que vaille enjamber l'océan. Ce monsieur n'est pas plus connaisseur du marché du poisson que le pêcheur.
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