Les aéroports secondaires sont appelés à jouer un rôle important dans le développement du tourisme au Sénégal, a souligné, mercredi, à Paris, le directeur général de l’Agence des aéroports du Sénégal (ADS), Pape Maël Diop.
C’est pour leur faire jouer ce rôle que l’Etat du Sénégal a décidé, conformément aux objectifs du Plan Sénégal émergent (PSE), de "mettre aux normes" ces infrastructures, par la mise en œuvre d’un "plan de modernisation" de 100 milliards de francs CFA, a expliqué M. Diop.
Il s’entretenait avec des journalistes, dans le cadre de la 39ème édition du salon du tourisme IFTM Top Resa, qui s’est ouverte mardi à Paris, au Parc des expositions, porte de Versailles.
Plus de 80 entreprises du secteur du tourisme participent à cet évènement qui prend fin vendredi.
On peut signaler la présence à cette rencontre, côté sénégalais, de la SAPCO (aménagement des zones touristiques), du FONSIS, de l’APIX (investissements), de l’AIBD et de l’ADS (aéroports) et de l’ANACIM (météo).
L’objectif de cette politique de "modernisation" des infrastructures touristiques est de renforcer la sécurité dans ce secteur et de permettre aux touristes de "visiter le Sénégal des profondeurs", a précisé Pape Maël Diop.
Il dit avoir évoqué avec les partenaires du Sénégal la perspective de l’ouverture, le 7 décembre prochain, de l’Aéroport international Blaise-Diagne.
Il s’agit, selon lui, de rassurer ces partenaires, en ce qui concerne les normes de sécurité et de sûreté de cet ouvrage aéroportuaire.
La 39ème édition de l’IFTM Top Resa réunit pendant quatre jours, du 26 au 29 septembre, des acteurs du tourisme à Paris.
Créé en 1978, le salon baptisé "Top Resa" avait lieu à Deauville et était dédié aux loisirs.
En 2008, le salon change légèrement de nom pour s’appeler "IFTM Top Resa".
Il emménage ensuite à Paris et devient un salon "multi-cibles", couvrant tous les motifs de déplacements : loisirs, affaires, événementiels.
5 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2017 (15:37 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (15:46 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (15:58 PM)Anonyme
En Septembre, 2017 (16:32 PM)Doff Niit
En Septembre, 2017 (20:59 PM)Je me demande comment nous sommes arrivés à ce stade de désintéressement de nos dirigeants à la bonne formation de l’avenir de notre pays. Que nous apporte la Turquie de Erdogan jusqu’à ce que le Président Macky Sall, le Premier ministre B A Dionne et le Ministre de l’éducation nationale Sérigne Mbaye Thiam veulent sacrifier l’avenir de milliers d’enfant sénégalais innocents. Pourtant les services politico-stratégiques sénégalais doivent savoir que la Turquie de Erdogan n’est pas viable, car la Turquie de Erdogan risque de finir comme la syrie. Déjà sur le plan économique, ce pays est en chute libre. La turquie est de plus en plus isolée sur la scène internationale. D’ici quelques mois la guerre contre les kurdes va reprendre de plus belle, car les kurdes (irakiens, turques et syriens) vont accélérer la création de leur état. D’ici trois ans, la turquie , avec Erdogan, sera à genoux. Peut-être nos autorités actuelles se disent qu’ils ne seront plus là, car ils perdraient les élections à venir. Malheureusement, ils ont oublié que le Sénégal sera toujours là.
Nos dirigeants ont-ils oublié cette règle élémentaire qui veut qu’un pays n’ait pas d’amis et n’a que des intérêts. L’intérêt immédiat que peut tirer nos dirigeants sur cette affaire vaut-il l’anéantissement de l’excellent cursus scolaire qu’aurait pu avoir ces milliers d’enfant sénégalais ? Je ne le crois pas, car la vraie richesse du Sénégal réside dans la qualité de ses ressources humaines.
Chers dirigeants, (Président Macky Sall, Premier ministre B A Dionne, et Ministre de l’éducation nationale Sérigne Mbaye Thiam), on vous a confié notre Sénégal pour que vous défendez nos intérêts, nous sénégalais, et pas vos intérêts ni ceux d’un fou dictateur sanguinaire turc.
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