Le secteur privé national ne veut plus être roulé dans la farine. En effet, ayant depuis longtemps, et surtout durant ces derniers jours, décrié l’octroi de l’exécution projets du plan Sénégal émergent à des étrangers, les privés nationaux veulent maintenant que leurs parts dans les projets soient non seulement identifiées, mais que cela soit écrit.
«Nous avons souligné l’importance au niveau du Premier ministre l’importance à bâtir une meilleure communication sur les projets du Pse et surtout veiller à ce que la part du secteur privé national dans tous les projets soit non seulement bien identifiée, mais surtout que cela fasse l’objet d’écrits, pour qu’on ne dise pas ‘‘nous en avions parlé mais on ne l’a pas fait’’» a indiqué Mansour Cama, Président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal ce lundi au sortir d’un conseil interministériel. Ce dernier estime qu’au sortir de la rencontre, la voix du privé national, sur ce point, a été entendue par le premier ministre : «Nous avons été entendus et des décisions ont été prises» dit-il.
5 Commentaires
Sn
En Octobre, 2014 (22:58 PM)Le Peuple
En Octobre, 2014 (23:24 PM)Zadig
En Octobre, 2014 (23:27 PM)Weuz
En Octobre, 2014 (03:00 AM)B.goor
En Octobre, 2014 (12:50 PM)le salaire décent;
les respect des cotisations sociales;
le respect du code du travail;
bref de veiller sur les lois et règlements qui lient les employeurs et employés, pour une bonne application.
pour infos :
la quasi-totalité de nos chefs d'entreprises peuvent être assimiles à des suceurs de sangs en particulier ceux qui évoluent dans le secteur portuaire.
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