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Economie

Résumé de l’actualité économique internationale du vendredi 28 novembre 2014

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Résumé de l’actualité économique internationale du vendredi 28 novembre 2014



-NEW DELHI- La croissance en Inde a ralenti au deuxième trimestre (clos fin septembre) à 5,3% sur un an, après une progression de 5,7% au premier trimestre, selon les statistiques officielles publiées vendredi.
Ce résultat, bien que légèrement supérieur aux prévisions des analystes (+5,1%), devrait renforcer les appels en faveur d'une baisse des taux d'intérêt réclamée par le patronat et le gouvernement pour accélérer les investissements. La banque centrale indienne (RBI) réunit mardi son comité de politique monétaire. Le ministre des Finances, Arun Jaitley a récemment pressé le gouverneur de la RBI, Raghuram Rajan, de baisser les taux, estimant que l'inflation galopante était désormais maitrisée et qu'il était temps de favoriser une relance de l'activité.

Au deuxième trimestre, la croissance a été portée par le secteur énergétique (+8,7%) et l'immobilier et les services financiers (+9,5%) mais l'industrie manufacturière a quasiment fait du sur-place (+0,1%). Il s'agit pourtant d'un enjeu crucial pour le gouvernement de Narendra Modi qui a lancé une campagne afin d'attirer les investissements industriels étrangers.
Modi, arrivé au pouvoir en mai, a fondé sa campagne sur la relance de la croissance et de l'investissement, après deux années de croissance inférieure à 5%. L'Inde a connu une croissance d'environ 8% pendant les années 2000 et a besoin de maintenir ce rythme pour absorber les millions de nouveaux actifs qui arrivent chaque année sur le marché du travail.

-MILAN- Le taux de chômage en Italie s'est établi en octobre au niveau record de 13,2% de la population active, selon des chiffres provisoires publiés vendredi par l'Institut national des statistiques (Istat).
Il s'agit du taux de chômage le plus élevé enregistré depuis la création des statistiques mensuelles (en 2004) et trimestrielles (en 1977). Le taux est en hausse de 0,3 point par rapport à septembre (revu en hausse à 12,9%) et de 1 point sur un an. Il est également nettement supérieur aux attentes des économistes (12,5%).
Selon des données corrigées des variations saisonnières, les personnes à la recherche d'un emploi étaient au nombre de 3,41 mio en octobre en Italie (+2,7% sur un mois et +9,2% sur un an).


En octobre, le nombre de personnes actives s'est établi à 22,374 mio, soit une baisse de 0,2% par rapport au mois précédent, et stable sur un an. Le taux d'emploi s'est parallèlement établi à 55,6%, en baisse de 0,1 point sur un mois et en hausse de 0,1 point sur un an.
Chez les jeunes actifs de 15-24 ans, le taux de chômage est également en hausse de 0,6 point par rapport à septembre à 43,3%. Sur un an, le taux de chômage est en hausse de 1,9 point de pourcentage. Les jeunes chômeurs représentent 708'000 personnes, soit 11,9% de cette tranche d'âge dans le pays.


-NEW YORK- Les cours du pétrole, laminés par la décision de l'Organisation des pays exportations de pétrole (Opep) de maintenir son objectif de production, ont chuté de plus de 7 dollars à New York vendredi et sont passés sous la barre des 70 dollars à Londres.

Le baril de référence (WTI) pour livraison en janvier a reculé de 7,54 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex) par rapport à la dernière clôture officielle mercredi (jeudi était un jour férié aux Etats-Unis), pour s'établir à 66,15 dollars, son plus bas niveau en clôture depuis septembre 2009.
Au moment de la clôture à New York, le baril de Brent échangé à Londres est lui passé vendredi sous la barre symbolique des 70 dollars pour la première fois depuis quatre ans et demi et est descendu jusqu'à 69,78 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE).
Cette dégringolade est la conséquence directe de l'annonce par l'Opep du maintien de son plafond de production à 30 millions de barils par jour (mbj), niveau auquel il est fixé depuis trois ans, et ce malgré la très forte chute des cours du brut depuis l'été.
L'Opep va continuer d'inonder le globe de son pétrole dans l'espoir d'enterrer la production de pétrole de schiste américaine, dont le boom menace de plein fouet les parts de marché des membres de l'organisation, a commenté Phil Flynn de Futures Group.


-CHICAGO- Les cours du blé ont été tirés vers le haut cette semaine à Chicago par des conditions météorologiques en Russie, en Ukraine ou aux Etats-Unis faisant craindre des dommages sur les récoltes. Les prix du maïs et du soja ont profité d'une demande solide.

"Les courtiers surveillent de très près le temps dans les pays de l'ex-Union soviétique, où les températures glaciales pourraient affecter la production", explique Jason Roose de US Commodities. Aux Etats-Unis, les inquiétudes sur la qualité du blé d'hiver persistent après la vague de froid qui s'était abattue dans le centre du pays mi-novembre.
En Australie, c'est la sécheresse qui incite les observateurs à réviser leur estimation de production à la baisse.
"La perspective d'une offre moins importante que prévu sur le marché mondial fait monter les cours du blé, qui entraînent dans leur sillage le reste des produits agricoles", selon Jason Roose.
Les cours du maïs et du soja étaient aussi soutenus par une demande qui reste solide, comme signalé par un rapport hebdomadaire du ministère américain de l'Agriculture publié vendredi.

-ABIDJAN-La BRVM a clôturé sa séance du vendredi 28 novembre 2014 en légère baisse par rapport à la séance précédente. L’indice BRVM 10 est passé de 259,98 à 259,74 points, soit un repli de 0,09%. L’indice BRVM Composite, pour sa part, a cédé 0,05% à 243,96 points contre 244,07 précédemment.

La valeur des transactions s’est établie à 55,14 millions de FCFA contre 4,76 milliards de FCFA, jeudi.

 La capitalisation boursière du marché des actions se chiffre à 5929,31 milliards de FCFA. Celle du marché obligataire s’élève à 1 163,98 milliards de FCFA. Le titre le plus actif en volume est Ecobank Transnational Incorporated TG avec 189 000 actions échangées. Le titre le plus actif en valeur est CIE CI avec 14,28 millions de FCFA de transactions.


-NEW YORK - Wall Street a terminé près de l'équilibre vendredi une séance écourtée à l'occasion de Thanksgiving, le marché soupesant l'impact de la chute des prix de l'or noir sur les secteurs de la distribution, du transports ou de l'énergie.
Selon des résultats définitifs à la clôture, le Dow Jones Industrial Average est resté quasi stable, grignotant 0,49 point, à 17'828,24 points, et décrochant in extremis un nouveau record.
Le Nasdaq, à dominante technologique, s'est apprécié de 0,09% ou 4,31 points, à 4791,63 points.
L'indice élargi S&P 500 a lâché 0,25% ou 5,27 points à 2067,56 points. Il avait clôturé à un nouveau sommet mercredi à la veille de Thanksgiving, férié aux Etats-Unis. "La séance est surtout marquée par la décision de l'Opep", l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, de ne pas réduire sa production malgré la déroute les prix de l'or noir depuis l'été, a souligné Peter Cardillo de Rockwell Global Capital.
Dans la foulée de cette annonce jeudi, les cours du Brent à Londres et du WTI à New York sont descendus à leur plus bas niveau depuis 2010. "C'est une nouvelle à double tranchant", a commenté le spécialiste. "C'est bon pour le consommateur, mais si les prix continuent de glisser, cela peut aussi se traduire par des émeutes (dans les pays dont les revenus reposent principalement sur l'exploitation du brut) et des troubles géopolitiques", a-t-il estimé.


-NEW YORK-Les prix du coton échangé à New York ont légèrement progressé cette semaine, une demande solide permettant de contrecarrer la baisse des prix de la fibre blanche en Chine.

Les cours sont tombés jusqu'à 58,53 cents la livre lundi, à leur plus bas niveau depuis 2009, "dans le sillage d'un fort recul des prix sur le marché chinois ZCE", indique Sharon Johnson, agent de courtage pour KCG Futures. Ils ont ainsi accentué un peu plus la chute de la fibre blanche à l'œuvre depuis le printemps "alors que la récolte américaine est attendue en hausse de 30%, à 3,6 millions de tonnes, par rapport à l'an dernier", soulignent les analystes de Commerzbank.


Les cours se sont ensuite stabilisés mardi et mercredi dans un marché tranquille à l'approche de la fête de Thanksgiving jeudi, férié aux Etats-Unis et suivi d'une séance écourtée vendredi.

La bonne tenue des chiffres sur les ventes à l'étranger publiés en fin de semaine par le ministère américain de l'Agriculture ont toutefois permis aux prix de se redresser, avec des commandes atteignant 310'000 balles.
"Il faut noter que le marché du coton résiste plutôt bien à la chute des cours du pétrole", déclenchée jeudi par la décision de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole de ne pas diminuer leur production malgré la surabondance d'offre sur le marché mondial, relève Sharon Johnson.
"Une baisse des prix du pétrole suggère d'un côté une baisse des prix des textiles synthétiques et aurait tendance à peser sur ceux du coton", explique-t-elle. Mais dans le même temps, "cela signifie aussi que les consommateurs dépensent moins d'argent pour l'essence et en ont plus à consacrer à d'autres produits, comme les vêtements", ajoute-t-elle.  La livre de coton pour livraison en mars, le contrat actuellement le plus échangé sur l'InterContinentalExchange (ICE), évoluait vendredi à la mi-séance à 60,48 cents contre 59,52 cents en fin de semaine dernière.
L'indice Cotlook A, moyenne quotidienne des cinq prix du coton les plus faibles sur le marché physique dans les ports d'Orient, s'échangeait à 66,85 dollars les 100 livres contre 65,90 dollars vendredi dernier.


-LONDRES - L'Organisation internationale du cacao (ICCO) a revu le surplus de production mondiale de cacao à la hausse pour la saison 2013/14, qui s'est terminée fin septembre, selon un communiqué publié vendredi.

Selon la quatrième estimation de l'ICCO, le marché mondial du cacao a affiché un excédent d'offre de 53'000 tonnes la saison dernière, contre un surplus de 40'000 tonnes estimé en août dernier.
La forte progression de l'offre mondiale, maintenant calculée à 4,365 millions de tonnes (+10,6% par rapport la saison 2012/13) contre 4,345 millions en août, explique la hausse du surplus de production.
Le marché mondial du cacao avait souffert d'un manque à gagner de 222'000 tonnes en 2012/13. Mais la saison dernière, l'Afrique de l'Ouest, principale région productrice de cacao, a bénéficié de bonnes conditions météorologiques pour la culture du cacao.
De plus, les récoltes principales de cacao en Côte d'Ivoire et au Ghana pour la saison actuelle (2014/15) ont commencé sous de bons auspices, avec des livraisons de fèves de cacao en augmentation dans les ports de Côte d'Ivoire (+64% au port de San Pedro selon les analystes de Commerzbank). Ces dix dernières années, le marché du cacao a été pour moitié en surplus et pour moitié en déficit, selon l'ICCO.


-BRASILIA- Le Brésil, septième économie de la planète, est sorti de la récession technique au 3e trimestre avec une faible croissance de 0,1% de son PIB par rapport au 2 T, a indiqué vendredi l'Institut brésilien de géographie et statistiques (IBGE, public).

L'IBGE explique que l'industrie et le secteur des services ont commencé à entamer une relance par rapport au deuxième trimestre. Après deux trimestres consécutifs de ralentissement économique, le Brésil était entré en récession à la fin du premier semestre.

Par rapport à la même période de 2013 cependant, l'économie brésilienne enregistre un recul de 0,2% au 3e T. Fin septembre, la Banque centrale du Brésil avait revu à la baisse à 0,7% sa prévision de croissance pour cette année, contre 1,6% il y a trois mois.
Peu après, le 7 octobre, le Fonds monétaire international (FMI) avait fortement réduit également sa prévision de croissance du Brésil pour 2014, attendant désormais une modeste hausse du PIB, à 0,3% contre 1,3% auparavant.
Ce chiffre coïncide avec les attentes du marché, qui table sur 0,29% selon les dernières prévisions des analystes concernant la première économie d'Amérique latine, soit un net ralentissement par rapport à la croissance enregistrée ces dernières années.


-PARIS- Toujours à des niveaux plancher,  les taux d'emprunt ont terminé sans grand changement vendredi sur le marché obligataire en zone euro après le recul de l'inflation en zone euro au mois de novembre.

Il s'agit d'une séance essentiellement "technique", a relevé René Defossez, un stratégiste obligataire de Natixis. Le résultat du chômage en zone euro et le chiffre d'inflation sont ressortis comme "attendus" par les marchés, suscitant d'autant moins de réaction, fait-il remarquer.

L'inflation est tombée à 0,3% en novembre sur un an dans la zone euro contre 0,4% en octobre, un chiffre qui rapproche inexorablement la zone euro de la déflation. De son côté, le chômage est resté stable en octobre.
"La faible inflation en zone euro, la décision de l'Opep de conserver ses niveaux de production qui ajoute de la pression à la baisse sur l'inflation vont augmenter la probabilité de voir la BCE renforcer son soutien l'année prochaine", affirment dans une note les économistes de Crédit Agricole-CIB.
Les attentes sont grandissantes vis-à-vis de la Banque centrale européenne qui se réunit jeudi prochain.
"Nous nous attendons à ce que Draghi (président de la BCE, NDLR) laisse entendre qu'une nouvelle dose d'aide est prévue et pourrait être mise en place l'année prochaine", renchérit Marco Valli, chef économiste pour la zone euro chez UniCredit. Dans ce contexte, les dettes d'État sont restées globalement plébiscitées par les investisseurs, touchant de nouveaux plus bas en séance.


-OTTAWA- L'économie canadienne a enregistré une croissance de 2,8% en rythme annuel entre juillet et septembre, portée surtout par les dépenses de consommation et les exportations, a annoncé vendredi l'institut national de la statistique.

Cette progression est nettement supérieure à la prévision médiane des analystes, qui tablaient plutôt sur une croissance de 2,1% au troisième trimestre.
L'institut Statistique Canada a également révisé à la hausse la progression du PIB au deuxième trimestre, à 3,6%, contre 3,1% initialement.
Le PIB a augmenté de 0,7% au troisième trimestre, par rapport au deuxième, après une hausse de 0,9% au deuxième trimestre, par rapport au premier. La croissance de l'économie au troisième trimestre s'explique notamment par les dépenses de consommation des ménages, qui ont crû de 0,7%. Les ménages ont surtout investi dans des biens durables et semi-durables, notamment dans l'achat de véhicules, qui ont augmenté de 4,6%.
Ils ont aussi investi beaucoup dans le logement, le secteur du bâtiment affichant une hausse surprise de 12,5%. Les investissements des entrepreneurs dans le secteur étaient en hausse, tout comme le marché de la revente ou les mises en chantier de nouvelles maisons.
Les exportations de biens et de services ont augmenté de 1,7% au troisième trimestre, un rythme supérieur à celui des importations (1%). Le secteur des services a aussi contribué à la hausse, notamment le commerce de gros et au détail, de la finance et des assurances.



4 Commentaires

  1. Auteur

    Amy

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    Auteur

    Deug La Vérité

    En Novembre, 2014 (11:23 AM)
    LE FRERE DU PRESIDENT MACKY SALL A LA RECHERCHE DE L'OR NOIR : Dirigé par le journaliste Aliou Sall, jeune frère du chef de l’Etat Macky Sall, le groupe sénégalais Petro-Tim vient d’obtenir deux permis offshore au nez et à la barbe de Tullow Oil. Aliou Sall selon african intelligence, un journal d’influence économique, est dans la rechercher minière et pétrolifère. Alors que Tullow Oil négociait depuis plus de deux ans pour les permis Cayar Offshore Deep et Saint-Louis Offshore Deep (AEI nº630), c’est une société inconnue, Petro-Tim, créée le 9 juillet 2012, qui les a finalement obtenus. Petro-Tim est une filiale de Petro-Asia, une des multiples compagnies dirigées par Frank Timis. Ce dernier est également président du conseil d’administration d’African Petroleum, qui est aussi présent dans l’offshore sénégalais (le groupe a obtenu deux permis en novembre dernier).

    Petro-Tim est présidé en Afrique de l’Ouest par Aliou Sall, frère du président Macky Sall et par ailleurs fondateur du nouveau magazine trimestriel « Gouvernances ». Très connecté en Chine, Aliou Sall a été pendant six ans ministre-conseiller à l’ambassade du Sénégal en Chine, où il était en charge des affaires économiques. Il n’a aucun antécédent connu dans le pétrole. L’attribution de deux permis à son entreprise a suscité des tensions au sein de Petrosen, la société pétrolière nationale, et précipité le départ de son directeur, Ibrahim Mbodji.

    L’exploration des permis Cayar Offshore et Saint-Louis Offshore, qui couvrent des profondeurs d’eau importantes, va nécessiter des moyens financiers et techniques considérables. Côté mauritanien (les deux permis sont situés sur la frontière entre les eaux sénégalaises et mauritaniennes), l’exploration des zones situées aux mêmes latitudes a été confiée cette année à Kosmos Energy. Les capacités financières de Petro-Tim, qui a trois mois d’existence, sont jusque-là inconnues. Affaire à suivre.
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