A l’instar de nombreux pays, le Sénégal doit faire face à une augmentation de la fréquence des catastrophes naturelles, nous informe la dernière édition d’Africa’s Pulse de la Banque mondiale publiée le 29 septembre dernier.
Toujours, renseigne le rapport de la Banque mondiale, les catastrophes naturelles telles que les sécheresses et les inondations ont eu un impact négatif sur la croissance et augmenté la vulnérabilité de l’économie tout entière. Le pays est vulnérable à quatre principaux risques naturels: la sècheresse, les invasions acridiennes, les inondations, souvent à l’origine d’épidémies, et une hausse du niveau de la mer accompagnée d’érosion côtière.
Pour protéger la croissance et garantir les moyens de subsistance, le rapport affirme que «l’Etat doit mettre en place des systèmes de gouvernance solides et efficaces pour gérer ces catastrophes économiques, sociales et climatiques».
4 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2016 (16:17 PM)Cheikh Mbacke Sakho
En Octobre, 2016 (16:39 PM)sommes nous pas en democratie? il n'a menace personne. il a seulement avertit le peuple senegalais l' afrique et le monde entier.
ou bien on est en democratie ou bien en dictature?
le senegal n'est pas un pays islamique. et il ya une difference entre marabout et royaume. le prophet mohamed(psl) avait separe ces deux.
tout le monde est egal devant dieu. le coran est pour tout musulman quique ce soit.
liberez lui.
Anonyme
En Octobre, 2016 (17:36 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (17:44 PM)Participer à la Discussion