Policier en service au Commissariat urbain de Louga, A. W. vient d’hypothéquer sérieusement sa carrière au sein de la police. Accusé de viol sur une technicienne de surface, il aurait par la suite «incendié son domicile», pour organiser avec succès sa fuite. Il est activement recherché par ses collègues.
L’atmosphère du Commissariat de police de Louga est morose. Un des agents en service est accusé de viol. Il s’agit du policier A. W qui aurait abusé sexuellement d’une technicienne de surface officiant dans une banque de la place. L’affaire qui est sur toutes les lèvres à Louga, s’est ébruitée dimanche dernier. Selon des sources concordantes, le policier et sa victime se connaissaient parfaitement. Mieux, ils entretenaient une relation amoureuse. Dimanche dernier, le policier A. W a demandé à sa compagne de le rejoindre chez lui, pour passer un moment d’intimité. Une demande acceptée sans réserve par la demoiselle.
Se préparant à vivre une soirée torride en compagnie de sa copine, le policier adepte de l’eau de feu, en a ingurgité une bonne quantité, au point de s’enivrer. A l’arrivée de sa dulcinée, A. W n’a pas perdu du temps pour passer aux préliminaires, agrémentés par des câlins et autres trucs et astuces. Bouillant d’envie de satisfaire sa libido, le viril policier est passé sans opposition, «aux choses sérieuses». Seulement, ayant visiblement bien apprécié cette partie de jambes en l’air, il a souhaité récidiver, mais s’est heurté au refus catégorique de la demoiselle, épuisée. Décidé à s’envoyer vaille que vaille, une nouvelle fois au nirvana, le policier use de ses biceps pour la contraindre. Sa dulcinée réplique en usant à son tour de ses cordes vocales. Ameuté, le voisinage intervient et permet à la victime de se tirer d’affaire. Seulement, celle-ci a vidé les lieux sans piper mot de sa mésaventure. Le voisinage qui n’avait pas besoin de se faire un dessin pour comprendre ce qui venait de se passer, a avisé la police. Sur place, les limiers qui ont retrouvé leur collègue, encore sous l’emprise de l’alcool, l’ont abandonné sur place. Ce n’est que le lendemain sur instruction du commissaire, qu’ils se sont rendus à son domicile pour le cueillir, mais ont été stoppés dans leur élan par un incendie qui venait de se déclarer dans la chambre de A. W. L’incendie circonscrit au bout d’une trentaine de minutes, ils se sont alors introduits dans la chambre de A. W qui n’avait toujours pas montré le bout du nez. Et, ce fut le coup de théâtre. Pas l’ombre du policier qui a visiblement profité de l’embrasement des flammes, pour fondre dans la nature. Il est, depuis, activement recherché par ses collègues.
10 Commentaires
Jean
En Septembre, 2012 (14:44 PM)Reply_author
En Août, 2023 (22:41 PM)Soguy
En Septembre, 2012 (15:40 PM)Surcouche
En Septembre, 2012 (15:52 PM)Berov
En Septembre, 2012 (15:52 PM)Nympho
En Septembre, 2012 (16:29 PM)Bachus
En Septembre, 2012 (18:14 PM)Al Kat Ty
En Septembre, 2012 (09:16 AM)Le Fou
En Septembre, 2012 (13:19 PM)Deberi
En Septembre, 2012 (10:51 AM)Comment un journaliste peut prétendre qu'un homme a brûlé sa maison parce qu'il est accusé de viol??
Pour faire simple, quel est le sens de cette phrase stupide: "ils se sont alors introduits dans la chambre de A. W qui n’avait toujours pas montré le bout du nez. Et, ce fut le coup de théâtre. Pas l’ombre du policier qui a visiblement profité de l’embrasement des flammes, pour fondre dans la nature. Il est, depuis, activement recherché par ses collègues. "
C'est du journalisme de pacotille.
Ibou Ngaté
En Octobre, 2012 (11:02 AM)Participer à la Discussion