Divorcé il y'a de cela 3 ans, Abdoul Aziz Cissé et Maman Coulibaly Traoré, ont soldé, hier, leurs comptes devant le tribunal des flagrants délits pour une affaire de coups et blessures volontaires. Il faut dire que la dame qui soutient avoir subie stoïquement des violences dans son ménage n'a pas, dans le cas d'espèce, hésité à attraire à la barre son ex-époux. À l'en croire, tout a commencé le 4 septembre dernier, lorsque de retour de chez une amie où elle avait passé le week-end, elle a été interceptée aux alentours de 8 heures du matin par son ex-époux qui semblait l'attendre. L'ignorant royalement, la dame soutient qu'elle a été surprise de voir ce dernier lui intimer l'ordre de le suivre chez lui. Refusant catégoriquement d'accéder à la demande de son ex-mari, Maman Coulibaly soutient que ce dernier qui était apparemment sur les nerfs n'a pas hésité à se ruer sur elle pour la violenter.
«Il m'a donné plusieurs coups de poing, sur la mâchoire gauche», a-t-elle dit à la barre avant de signaler que lorsqu'elle est tombée, ce dernier est revenu à la charge pour lui donner un coup de pied à la tête. C'est dans les mêmes circonstances qu'elle a également révélées que son ex-mari l'avait menacé de mort. Une version corroborée par le témoin Ndèye Fatou Guèye, l'amie de la plaignante chez qui cette dernière avait passé la nuit. Estimant que le mis en cause était très menaçant ce jour-là, le témoin a souligné qu'elle a, elle-même, subi les foudres du prévenu.
Des allégations qui ont été formellement démenties par son ex-mari qui a souligné que c'est elle qui est venue chez lui pour lui réclamer des frais pour les soins médicaux de ses enfants. C'est donc dans ces circonstances, selon lui, qu'ils ont eu des échanges de propos aigres-doux. «Pour la faire sortir de la maison, je l'ai seulement tiré dehors avec le bras», a dit le prévenu comme pour dire qu'il n'a jamais levé la main sur elle. «C'est la mère de mes enfants après tout», dira-t-il.
Prenant la parole, le procureur de la République a souligné que le certificat médical, joint au dossier, est un élément objectif. Sur ce, il a demandé la condamnation du prévenu, même s'il n'a pas voulu requérir une peine, du fait, dira-t-il des enfants issus du couple.
Si la partie civile a réclamé la somme de 500.000 francs à titre de dédommagement, les avocats de la défense ne sont pas tellement convaincus des accusations qui pèsent sur leur client, ils ont, malgré tout, sollicité la bienveillance de la loi, ou tout au moins une disqualification des faits en violences et voies de fait.
À l’issue de son délibéré, le tribunal a condamné Abdou Aziz Cissé à une amende ferme de 150.000 francs.
«Il m'a donné plusieurs coups de poing, sur la mâchoire gauche», a-t-elle dit à la barre avant de signaler que lorsqu'elle est tombée, ce dernier est revenu à la charge pour lui donner un coup de pied à la tête. C'est dans les mêmes circonstances qu'elle a également révélées que son ex-mari l'avait menacé de mort. Une version corroborée par le témoin Ndèye Fatou Guèye, l'amie de la plaignante chez qui cette dernière avait passé la nuit. Estimant que le mis en cause était très menaçant ce jour-là, le témoin a souligné qu'elle a, elle-même, subi les foudres du prévenu.
Des allégations qui ont été formellement démenties par son ex-mari qui a souligné que c'est elle qui est venue chez lui pour lui réclamer des frais pour les soins médicaux de ses enfants. C'est donc dans ces circonstances, selon lui, qu'ils ont eu des échanges de propos aigres-doux. «Pour la faire sortir de la maison, je l'ai seulement tiré dehors avec le bras», a dit le prévenu comme pour dire qu'il n'a jamais levé la main sur elle. «C'est la mère de mes enfants après tout», dira-t-il.
Prenant la parole, le procureur de la République a souligné que le certificat médical, joint au dossier, est un élément objectif. Sur ce, il a demandé la condamnation du prévenu, même s'il n'a pas voulu requérir une peine, du fait, dira-t-il des enfants issus du couple.
Si la partie civile a réclamé la somme de 500.000 francs à titre de dédommagement, les avocats de la défense ne sont pas tellement convaincus des accusations qui pèsent sur leur client, ils ont, malgré tout, sollicité la bienveillance de la loi, ou tout au moins une disqualification des faits en violences et voies de fait.
À l’issue de son délibéré, le tribunal a condamné Abdou Aziz Cissé à une amende ferme de 150.000 francs.
11 Commentaires
Tef
En Septembre, 2011 (13:20 PM)Dopo Poro
En Septembre, 2011 (13:29 PM)Patisco
En Septembre, 2011 (13:32 PM)Tef
En Septembre, 2011 (13:59 PM)Merci à tous hackers, le site facedakar connaît des pertubations sérieuses. la lutte continue
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Tef
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Ndiaganiao
En Septembre, 2011 (14:10 PM)Cependant, à l’opposé de la plupart des religions, il y a certains cas, dans la religion musulmane, dans lesquels le mensonge est non seulement toléré, mais, en fait, recommandé. Le livre de l’érudit musulman Afif A. Tabbarah intitulé «L’Esprit de l’Islam» a pour but de promouvoir cette religion. À la page 247, Tabbarah déclare : «mentir n’est pas toujours une mauvaise chose, bien sûr ; il y a des occasions dans lesquelles dire un mensonge est plus profitable, meilleur pour le bien-être général et pour la réconciliation entre les gens que dire la vérité. C’est pour çà que le Prophète dit que celui qui (à l’aide du mensonge) amène les gens à la réconciliation, fait le bien ou dit une bonne parole, n’est pas coupable de fausseté.»
Beuré DAANOU , wade et ses alliés 10% au premier tour !!!!!!!!!!!!!!!!!
Tribunal
En Septembre, 2011 (21:49 PM)Plethore
En Septembre, 2011 (22:19 PM)Johnnybegood
En Septembre, 2011 (23:24 PM)Laisse Les
En Septembre, 2011 (22:38 PM)Rafinette
En Septembre, 2011 (13:32 PM)Participer à la Discussion