Medina Sabakh : Violents affrontements entre élèves et forces de l'ordre

5 Commentaires

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   Goyane

   En Mai, 2015 (17:25 PM)

   teugeul léne policier yi goyane rek legui niou calme                    

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Anonyme
En Mai, 2015 (17:27 PM)
Les gendarmes de Keur Ayib auraient-ils perdu leur sang froid ? La situation est critique dans tout l'arrondissement de Médina Sabakh?
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Anonyme
En Mai, 2015 (05:53 AM)
Merci Anonyme. Toi au moins tu as ose appeler un chat un chat. En fait on peut se demander pourquoi quand les gendarmes commettent des bevues comme c'est souvent le cas, les journalistes parlent de Forces de l'ordre et ne les nomment jamais, alors que des que la Police intervient pour disperser une violente manif d'etudiants, ils s'empressent de crier aux "actes barbares, aux violences sauvages" et j'en passe commis par la POLICE. Comble de mauvaise foi et de haine, pour illustrer l'article ci-dessus, on montre des berets rouges, c'est a dire des policiers du GMI, donc de la POLICE. Heureusement, tout le monde sait que la Police n'intervient pas a Medina Sabakh qui est une zone rurale devolue a la Gendarmerie, malgre les efforts du journaliste de faire accroire le contraire en parlant de "paisible ville de Medina Sabakh".
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Anonyme
En Mai, 2015 (07:27 AM)
Journalisme d'approximation! certainement que le journaliste n'est pas allé sur le terrain pour mieux comprendre.

Cet article est très incomplet et n'étale pas les raisons de la révolte des élèves face à l'excès de zèle des hommes en bleu. Loin de Dakar, ces gendarmes pensent encore que les populations rurales ont peur d'eux, ce est loin d'être vrais. Ses jeunes sont bien instruits et il faudrait arrêter de perturber leur scolarité à quelques semaines des examens, avec toutes ces crises que l'école publique vient de traverser.

Pour des cérémonies habituelles de FOSCO autorisées par le sous-préfet pour 72h, les gendarmes ont arrêté le président du gouvernement scolaire dans au cours d'une manifestation festive nocturne et l'ont gardé au frais. Ceci a irrité ses camarades qui, en demandant sa libération ont été chargés par les gendarmes à coup de grenades lacrymogènes jusque dans les maisons. Avec de multiples arrestations et déferrement à kaolack, la situation a vite dégénré.

J'en appelle au retour au calme, au sens des responsabilités et du dépassement, à la maîtrise de soi.

Des relations très heurtées entre gendarmes et populations n'arrangent personne et notamment pas la gendarmerie connue jadis pour son professionnalisme!

Libérez les élèves arrêtées pour qu'ils retournent à l'école et évitez d'embraser toute la zone!

A bon entendeur, salut!
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Gainde Fatma
En Mai, 2015 (15:51 PM)
Le contenu de cet article reléve d'un amateurisme pur et dur.Il revient au chargé du'proof read"

avant la publication de tout ce qui est signé par seneweb;de lire ,voire s'il le faut relire, ce que

est posté en ligne et qui est accessible des 4(quatre )coins du globe.Il y va de la crédibilité du

journal...Ku manul bawo.Lu fi yaxu yaw....
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