Plus de 40 chefs d'État et de gouvernement vont se rendre la semaine prochaine à Davos, une station de sports d'hiver suisse, pour discuter des défis et conséquences de la "4ème révolution industrielle", a annoncé mercredi à Genève le WEF (Forum économique mondial).
Ces chefs d'Etat et de gouvernement seront aux côtés de quelque 2.500 leaders économiques et d'opinion, qui assisteront à ce 46ème forum annuel, prévu du 20 au 23 janvier dans cette station de sports d'hiver, transformée en camp retranchée pendant quelques jours pour des raisons de sécurité.
Ces chefs d'Etat et de gouvernement seront aux côtés de quelque 2.500 leaders économiques et d'opinion, qui assisteront à ce 46ème forum annuel, prévu du 20 au 23 janvier dans cette station de sports d'hiver, transformée en camp retranchée pendant quelques jours pour des raisons de sécurité.
Parmi les chefs d'État et de gouvernement figurent Mauricio Marci (Argentine), Justin Trudeau (Canada), Alexis Tsipras (Grèce), Joe Biden (USA), David Cameron (G-B), Manuel Valls (France), Joachim Gauck (Allemagne) et Benjamin Netanyanu (Israel).
Selon Klaus Schwab, président fondateur du WEF, "la 4ème révolution industrielle fait référence à la fusion des technologies", notamment dans le monde digital, ce qui "a des effets très importants sur les systèmes politiques économiques et sociaux". "L'objectif de notre réunion cette année est de mettre en place un système de compréhension commun" de cette révolution industrielle, a encore ajouté M.Schwab.
Concernant la présence américaine, le WEF a indiqué que ce sera la plus importante délégation jamais venue à Davos.
Selon Klaus Schwab, président fondateur du WEF, "la 4ème révolution industrielle fait référence à la fusion des technologies", notamment dans le monde digital, ce qui "a des effets très importants sur les systèmes politiques économiques et sociaux". "L'objectif de notre réunion cette année est de mettre en place un système de compréhension commun" de cette révolution industrielle, a encore ajouté M.Schwab.
Concernant la présence américaine, le WEF a indiqué que ce sera la plus importante délégation jamais venue à Davos.
Outre M. Biden, le Secrétaire d'Etat John Kerry sera aussi présent, de même que Ashton Carter (Défense), Sylvia Matthews Burwell (santé), Michael Froman (Commerce), Jacob Lew (Trésor), Penny Pritzker (Commerce), Loretta Lynch (justice) ainsi que plusieurs gouverneurs, des sénateurs et des membres de la chambre des représentants.
La Corée du Nord n'est plus conviée
"Nous ne pouvons maintenir l'invitation que nous avions lancée l'an dernier" pour l'édition 2016 du Forum fin janvier, a déclaré un porte-parole du WEF dans une déclaration transmise à l'AFP.
La Corée du Nord avait accepté cette invitation et annoncé début janvier que le ministre des Affaires étrangères assisterait au Forum, une première depuis 18 ans.
La Corée du Nord n'est plus conviée
"Nous ne pouvons maintenir l'invitation que nous avions lancée l'an dernier" pour l'édition 2016 du Forum fin janvier, a déclaré un porte-parole du WEF dans une déclaration transmise à l'AFP.
La Corée du Nord avait accepté cette invitation et annoncé début janvier que le ministre des Affaires étrangères assisterait au Forum, une première depuis 18 ans.
Mais moins de 24 heures plus tard la Corée du Nord annonçait avoir mené son premier essai "réussi" de bombe à hydrogène, déclenchant une vague de réprobation internationale.
"Après ce test (...) nous avons informé la Corée du Nord que la participation à Davos serait conditionnée par l'existence ou la possibilité de sanctions", précise le porte-parole.
La décision d'inviter la Corée du Nord avait été prise en raison "des signaux positifs émanant du pays", le forum de Davos se voulant "une organisation impartiale et neutre dédiée au dialogue et aux efforts de réconciliation".
"Après ce test (...) nous avons informé la Corée du Nord que la participation à Davos serait conditionnée par l'existence ou la possibilité de sanctions", précise le porte-parole.
La décision d'inviter la Corée du Nord avait été prise en raison "des signaux positifs émanant du pays", le forum de Davos se voulant "une organisation impartiale et neutre dédiée au dialogue et aux efforts de réconciliation".
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