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Diffamation : Cheikh Yérim Seck fait face à Thioro Baalbaki ce mardi

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Diffamation : Cheikh Yérim Seck fait face à Thioro Baalbaki ce mardi

Un malheur ne vient jamais seul. Cheikh Yérim Seck risque d’être extrait de sa cellule de la prison centrale de Rebeuss et conduit, deux fois de suite, au tribunal régional de Dakar. Mercredi, il répondra du viol présumé de la demoiselle Ndèye Aïssatou Tall, 20 ans, pour lequel il a été placé sous mandat de dépôt.


Mais avant cela, il va comparaître ce mardi devant le tribunal correctionnel de Dakar pour diffamation. La plaignante n’est autre que  l’ex-dauphine de miss Dakar, Thioro Baalbaki. Le 3 mai dernier, le site «Dakaractu» avait publié un article signé par Serigne Diagne dans lequel on pouvait lire : «la jet-setteuse dakaroise Thioro Baalbaki serait aperçue il n’y a pas très longtemps au Maroc en compagnie d’un puissant et très riche homme d’affaires. Notre source nous révèle même qu’elle a passé beaucoup de temps avec lui et a fait des choses pas du tout catholiques…». Ce qui n’a pas pu au mannequin qui non seulement a soutenu qu’il ne s’est jamais rendu au Maroc à la date indiqué, mais aussi «Dakaractu» l’a diffamé. Par le biais de son avocat, il a ainsi envoyé deux citations directes à Cheikh Yérim Seck en sa qualité de Directeur de publication et Serigne Diagne, auteur de l’article. Le dossier qui avait été évoqué une première fois avait été renvoyé. Thioro Baalbakis réclame aux prévenus la somme de 150 millions.



39 Commentaires

  1. Auteur

    Door

    En Septembre, 2012 (08:51 AM)
    sacré yérime !!!
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  2. Auteur

    Yu

    En Septembre, 2012 (08:53 AM)
    koy rekkkk.
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    Ndeysane

    En Septembre, 2012 (08:54 AM)
    Yala mom boulay natou dangay yakarniii yow la gueneu bagn mé nak Yérim courage rekkk li ça t'apprendra bcou de choses
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    Ndiakhoume

    En Septembre, 2012 (08:54 AM)
    Pour koi ne pas croire ce ke dit cheikh yérim dans cette histoire. Tout est possible. La fille a peut etre consenti et elle né pas mineur donc il peut etre libre hein.

    Il faut analyser avec bcp de prudence les propos de la fille.
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    Le Baol Baol

    En Septembre, 2012 (08:57 AM)
    nit kou bakh dou yéné moromoudioulitam louniaw
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    Beugs

    En Septembre, 2012 (08:58 AM)
    c un faux type ce monsieur,c dommage k les sénégalais viennent de le découvrir
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    Siguil

    En Septembre, 2012 (09:00 AM)
    Cheikh Yerim est certes fautif, vis à vis de la morale, de sa famille et de la religion, mais il faut admettre que cette fille n'est pas exempte de reproche, car comment une fille de 19/20 ans peut avoir le toupet de sortir chez elle librement et aller dans une chambre d'hotel sans savoir ce qu'elle y faisait. Si elle avait tout simplement besoin de rester discuter avec CYS pourquoi elle ne se contenterait pas d'un autre endroit moins suspect et moins tentant.

    Loin de moi, l'idée de défendre CYS, mais il faudra aussi rééduquer nos enfants et leur inculquer des valeurs de morale, de probité? de discernement et de dignité pour éviter ce genre de faits, qui ne peuvent être jugés sans le moindre risque d'erreur judiciaire.



    Yala reka kham!!!!!!!
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    C'est Facile....

    En Septembre, 2012 (09:05 AM)
    ET SI C'ETAIT VRAI QUE THIORO SE SERAIT ENVOYéE EN L'AIR AVEC.....?

    ELLE AURAIT GAGNé AU CHANGE 150 MILLIONS (ce qui est peu probable ) ET LA DESASTREUSE RENOMMé DE PORTER DES COUPS à UN HOMME DEJà à TERRE

    CE QUI SEMBLE-T-IL EST LE CADET DE SES SOUCIS à ELLE ....
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    • Auteur

      Reply_author

      En Août, 2023 (01:11 AM)
      tout à fait daccord avec vous
      pas de culte de l'excellence à l'ISRA
      Le personnel devient contre productif dés l'obtention du CDI
       
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    Laye

    En Septembre, 2012 (09:06 AM)
    Ce qui lui arrive peut arriver à tous bon dakarois...ces filles de Dakar sont très dangereuses;elles ne pensent qu'à l'argent.ATTENTION!!! :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla: 
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    2568

    En Septembre, 2012 (09:08 AM)
    Seul Dieu sait ou se situe la vérité alors mandou!!!!!!!!!!!!! Je suis une fille mais je sais que les filles sont capables de tout juste pour avoir de l'argent et c'est malheureux.
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    Mbeur Galle

    En Septembre, 2012 (09:09 AM)
    Il est fautif sur tous les dossiers un usurpateur qui tourne sa veste en une seconde un vaux rien un arriviste quoi qu on dise il à tort sur le viol une vierge on ne la force pas sur rien si on n est galant broussard doof reew. Cr kon
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    Modou Modou

    En Septembre, 2012 (09:13 AM)
    Attention Cheikh Yerim SECK Bou dano lay geuna meuna khekh dé.....
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    Mounira

    En Septembre, 2012 (09:17 AM)
    SACRE VIOLEUR!

    Je connais bien Yerim il est bien coupable c'est un

    Maniaque sexuel , un frimeur il attire ses proies en de cachant sur sa connaissance de l'islam ,

    Moi Meme il m'a fait la Meme chose dans Sa voiture en plein almadies par chance je me suis débattue

    Et j'ai réussi a me sauver aidé le qu'il accepte de soigner don addiction au sexe

    PAUVRE MARC DUTROUX !
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    Amie De La Victime

    En Septembre, 2012 (09:23 AM)
    bonjour vous savez aissata n a pas tout dit la première foie que yerim l a invitait a ouest-foire c'était chez son copain le nouveau DG DU B S D A MOUNIROU SY aissata tu devait tou dir ma puce

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    @laye

    En Septembre, 2012 (09:24 AM)
    MAIS CELLE-Là S'EN EST TIRéE EN SAIGNANT ABONDAMMENT ...CE QUI DU RESTE L'A POUSSé à ACCUSER SON AMANT YERIM SECK DE VIOL , FAUTE D'ARGUMENTS EXPLIQUANT LE POURQUOI DE CES SAIGNEMENTS à SA MèRE .....on est en pleine gynecologie là les amis !!!
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    Akassah.

    En Septembre, 2012 (09:28 AM)
    Ce k thioro n'a pa dit clairman cé k cheikh yerim à tou fait pour lavoir mais cet fille à caréman refusé. Il la suivi en france, thioro à encor refusé. Ici cé un chantage de yerim. Yalla bakhna il é démasqué avec la fille Tall. Yerim et Boubs son lé + plus grand danger des fille à Dakar. Je sui une anciene manekin qui a areté car mà famye ne voulais plus. Il faut interoger les filles elle dirons bocou de chose sur Boubs et yerim Seck
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    Diakhaaay

    En Septembre, 2012 (09:39 AM)
    Mounirou Sy est le pire des intellectuels sénégalais, le lèche-cul de Youssou Ndour qui convoque des hadiths tout le temps dans ses jérémiades comme Idrissa Seck, Cheikh Yerim Seck : les tartuffes. Mounirou Sy a montré son vrai visage dès sa nomination au BSDA.
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    Diarga

    En Septembre, 2012 (10:00 AM)
    Tiaga yirime seck
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    Zountou Fall

    En Septembre, 2012 (10:02 AM)
    la plupart des hommes senegalais riches b*leur maitresse à dubai ou au maroc :haha:  :haha:  :haha: car c'est beaucoup plus discret ....et sans oublier que les femmes utilisent le prétexte d aller acheter de la marchandise pour faire du commerce :haha:  :haha:  :haha: .....je vous parle en connaissance de cause
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    Cc

    En Septembre, 2012 (10:14 AM)
    c aux petites filles de laisser les hommes mariés tranquille, mais elles s'y trouve leur compte et les parturbes les ménages des gens. C elle qui est allé le trouver à l'hotel, et on dit que c une fille bien éduquée
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    Nani Amie De La Victime

    En Septembre, 2012 (10:23 AM)
    bonjour vous savez aissata n a pas tout dit la première foie que yerim l a invité a ouest-foire c'était chez son copain le nouveau DG DU B S D A MOUNIROU SY aissata tu devais tout dire ma puce elle se flirtait et se frottait avec yirim c'est pas leur 1ere rencontre. En plus elle a perdu sa viginité ya longtemps. elle n'avait pas l'occasion de le camoufler. le sang kel a vu c'est ses regles elle a indisposé
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    Moi

    En Septembre, 2012 (10:33 AM)
    MOI ENTOUT CAS JE L ADMIRé BOUCOUP MAI MINTENANT JE SAI

    PLUS
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    2012-todj.todj

    En Septembre, 2012 (10:36 AM)
    Mounirou Sy va mal depuis que son coquin, copain est aux arrêts. Yerim et Mounirou sont les plus grands bouchers des filles. Dommage, les médias sont devenus des vitrines pour les maniaques pour devenir des stars . Ma soeur n'a jamais partagé l'admiration que j'avais pour Mounirou quand il intervenait dans les débats télévisés. Elle disait sobrement : soobman-la, gueumoul daara, jiggén, rek. Yerim est une canaille qui doit être punie ou soignée par décision de justice.
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    Lala

    En Septembre, 2012 (10:41 AM)
    En tout cas je ne voudrai pas etre à la place de Yerim
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    2012-todj.todj

    En Septembre, 2012 (10:46 AM)
    Nani tu mens, fénn rek. Elle était vierge comme ta maman lors de sa nuit de noce. Et puis, nous parlons de l'autre bêtise de Yerim Seck avec Thioro. Recadrons le débat.
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    Nana Amie De La Victime

    En Septembre, 2012 (11:35 AM)
    todj todj tu connais meme pas aissata Tall . c'est ma camarade de classe on se frequentait. on s'est vu 5 jours avant le scandale. Je la connais tres bien elle me cache rien elle me raconte tout. elle etait amoureuse de yerim seck. seulement aissata tall a eu yerim dans l'ordre elle a gagné c'est ce qu'elle voulait. Je demande au juge de faire bcp attend sur ce dossier. C'est une grosse menteuse. ces parents sont innocents ils ne savent rien de ce qui se passe.
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    Reew

    En Septembre, 2012 (11:37 AM)
     :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry:  :cry: 



    IL FAUT QUE CES JOURNALISTES VEREUX PAYENT PECUNIAIREMENT.



    C'EST TRES DISSUASIF.



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    Eva

    En Septembre, 2012 (12:25 PM)
    Nani ne serais - tu pas une proche de CYS, désolé je ne te crois pas cesse de mentir djiguéne dou yakh dérou moromane Basta...
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    Le Juge

    En Septembre, 2012 (12:27 PM)
    Il faut s’offusquer de la fausse échappatoire de la plupart des juristes qui estiment ne pas vouloir se prononcer sur une affaire pendante devant la justice. Or, dans un passé encore récent, ces ouailles de la versatilité et girouettes de la tartufferie se sont données à cœur joie pour des débats épiques de doctrine, avant et après, à propos de la décision du conseil constitutionnel relative à la constitutionnalité et à la validité de la candidature controversée de l’ancien président de la République, Abdoulaye Wade, à la présidentielle de février et mars 2012.



    Dans l’affaire Aïssatou Tall c/ CheikhYérim Seck, il n’y a pas eu de viol mais conjonction sexuelle réciproquement consentie entre deux personnes majeures de sexe opposé (qu’importe l’écart de la majorité d’âge entre les deux parties) et jouissant de la plénitude de leurs facultés mentales dans un lieu privé et discret à l’abri des regards et des mœurs.



    Comment une jeune femme de 20 ans habillée a pu se faire dévêtir et ôter son linge intime (slip) sans opposer une résistance déterminée et farouche, sans crier et laisser des traces, stigmates et séquelles de griffures sur le corps de son présumé violeur ? D’ailleurs, les employés de l’auberge ne sont-ils pas vite venus s’enquérir de la situation lorsqu’il y a eu pénétration phallique et dépucelage à cause des cris, a fortiori ils auraient rappliqué à la phase préliminaire du flirt et du déshabillement vestimentaire si elle avait hurlé ? Quel est l’état de ses habits ? Avec quels habits a-t-elle pu quitter l’auberge si ceux-ci ont été arrachés et malmenés par le présumé violeur ? Comment le présumé auteur de viol sexuel a pu simultanément s’occuper à enfiler, peut-être, un préservatif à usage sexuel et en même temps user de force physique pour contrecarrer et contenir les velléités de résistance de sa potentielle victime qui disposait de la liberté de ses deux mains, ses bras, ses coudes, ses jambes, ses dents pour mordre et ses cordes vocales pour crier ? Comment un soi-disant génie primée au concours général, une nouvellement préinscrite à Montpellier pour des études supérieures a pu accepter de se rendre dans une auberge, pour un premier rendez-vous aussi galant, et de monter dans une chambre où elle aperçoit un homme torse nu sans redescendre aussitôt ? Pourquoi n’a-t-elle pas exigé qu’elle préfère attendre plutôt le monsieur à la salle d’attente publique ou dans toute autre pièce accessible au public ? Une femme qui est crédible et respectable n’a rien à faire dans la chambre d’un homme qu’elle vient, récemment, de connaître à peine. Ce n’est pas l’endroit le mieux indiqué pour faire ample connaissance, à moins de vouloir approfondir la curiosité de la découverte réciproque :…l’intimité !



    En réalité, elle y est venue pour un but bien précis et a délibérément offert sa virginité même si elle a avisé son partenaire de son état de vierge néophyte mais n’a pas opposé une résistance même molle avant la pénétration phallique, puis a pris peur (remords et regrets postérieurs ?) quand un jour ses parents découvriraient son manque de vertu au moment du mariage ainsi que son futur mari. Elle a voulu se défaire de sa virginité en se faisant passer pour une victime comme çà, arrivée à Montpellier, elle pourra continuer ses frasques sexuelles loin de la surveillance austère de ses parents et, si par mégarde, elle vient à tomber enceinte, elle pourra faire un tour dans les pays voisins de la France et se faire avorter en toute tranquillité ! Donc il lui fallait se défaire au préalable de cette virginité à Dakar avec un homme célèbre et feindre la victime !



    Par rapports aux cris aigus de soprane prétendument de détresse et d’alerte au secours, il est très facile de les expliquer et justifier :

    - d’abord, le premier rapport sexuel d’une fille ou d’une femme vierges est toujours douloureux quand il s’agit de la perte de l’hymen car l’étroitesse de son intimité n’a jamais été habituée à des pénétrations fréquentes pour un élargissement, a fortiori pour les femmes habituées à la conjonction sexuelle qui, à chaque relation avec un partenaire, procèdent à la lenteur et de petites poussettes de la pénétration phallique pour que l’appareil féminin constricteur se réapproprie progressivement à l’accoutumance ;



    - ensuite, il y a le facteur possible des mensurations de l’appareil génital mâle et le facteur du passage rapide et précipité à l’acte sexuel alors que l’organe féminin, peut être, n’a pas encore été préparé aux préliminaires, notamment l’autolubrification vaginale qui signe l’élargissement progressif de l’orifice féminin en vue d’une facilitation glissée de la pénétration phallique.



    Les cris perçants entendus par quelques employés du personnel (lequel positionné à l’extérieur ne peut témoigner avec certitude sur ce qui s’est réellement passé intra muros dans la chambre) se justifient, peut être, par ce qui précède au vu de l’inexpérience de la fille qui appréhende avec crainte son premier acte sexuel.

    Par suite, on pourrait courir le risque de l’instrumentalisation de la justice pour en faire une affaire de corporation où les magistrats se rendent des services entre eux. Ce qui y conforte est le choix porté sur la personne d’un bleu de la profession en la personne d’un tout nouveau magistrat sorti fraîchement de sa formation judiciaire à l’ENA pour tenir les rênes de l’audience de flagrance à propos de cette affaire d’espèce. Sera-t-il dans le confort de pouvoir supporter le regard perçant et, nonchalamment, influent du père de la partie civile, un rompu à la tâche judiciaire, même si celui-ci serait confiné au rang du public, en plus d’une possibilité qu’il soit témoin à charge ? Ne sera-t-il pas plutôt enclin à être timoré pour ne pas hypothéquer l’avancée de sa carrière qu’il entame précocement et faire peser la balance en faveur d’une solidarité corporatiste ? Si le père fait tout un plat, c’est pour régler le compte à l’entêtement de Mr Cheikh Yérim Seck d’avoir refusé d’obtempérer à cesser de fréquenter sa fille. Au plus profond de lui, ce père et magistrat chevronné sait bel et bien qu’un juriste-journaliste célèbre comme l’indexé ne va pas ternir sa réputation avec un viol alors que certainement des femmes voudraient bien partager sa couche, comme c’est connu au Sénégal.

    Il y a eu donc bien consentement et la fille (influencée ?) semble, avec froideur, faire volte-face en s’appuyant sur la base de précédents judiciaires et sociaux. Lesquels ? Mathiou et compagnie piégés par des filles mineures au corps précoce de femmes, l’affaire des fausses auto-stoppeuses qui font des chantages, l’affaire de la fille manipulée par sa mère et qui se disait enceinte de son père : mensonge éventé après accouchement et test d’ADN, l’affaire de filles et femmes qui simulent la recherche d’un travail de ménagère pour pouvoir ensuite désister après avoir mémorisé l’agencement et la décoration des pièces d’une maison sur la base desquels elles font des chantages à des hommes mariés ou vivant seuls, l’affaire de Dominique Strauss-Kahn à New York éventée, enfin l’affaire parisienne de l’avocat El Hadji Diouf, et tant d’autres affaires de l’esprit fécond en imaginations féminines. Donc Mlle Aïssatou Tall semble s’être inspirée du prétendu viol de l’avocat sénégalais en France et, sachant que si elle perdait sa virginité en France la justice française finira par démasquer son stratagème avant même le procès pénal, alors elle choisit délibérément de perdre sa virginité au Sénégal en comptant sur le rang et sur le statut de magistrat de son père et en feignant la stigmatisation de victime au « sexe faible » pour émouvoir la sympathie de l’opinion publique sénégalaise malléable et manipulable. Cette fille s’est défaite de sa virginité qui était un frein à sa conception de l’émancipation mais en même temps elle ne voulait pas heurter mais tenait à préserver l’apparence éducationnelle des coutumes et traditions de ses parents austères pour ne pas les décevoir et ne pas être considérée comme une fille de la semaine à petite vertu. C’est le modus operandi de cette cabale : il lui fallait un célèbre pigeon pour un scandale “People? retentissant à la Nafissatou Diallo ou à la Monica Lewinsky pour berner ses parents avant de pouvoir quitter le Sénégal pour Montpellier car si tel n’était pas le cas son austère père aurait peut-être, pour la punir, mis fin à ses ambitieux rêves à Montpellier.



    Arrêtons nous sur le cas parisien de l’avocat et député sénégalais : en France, la justice ne se laisse pas facilement démonter par des accusations de viol, c’est comme çà qu’elle a pu démasquer les mensonges de la fausse victime de l’avocat sénégalais. Cette affaire parisienne est similaire à celle de Yérim Seck et les deux affabulatrices sont des personnes majeures : la seule différence est que, au Sénégal, on a trop tendance à accorder foi à tout ce que dit la gent féminine sans isoler l’ivraie de la nuisance manifeste et délibérée du bon grain de la vérité. On donne toujours tort aux hommes (hélas beaucoup d’hommes sont en prison pour accusation fallacieuse sur la base d’une seule version prise en compte…celle féminine) et pourtant devant les enquêteurs, Yérim Seck a accepté l’humiliation de se mettre nu comme un ver de terre pour prouver qu’il n’y a pas lutte, griffures, écorchures, éraflures si sa prétendue victime avait vraiment opposé résistance.



    Devant une procédure d’enquête de police judiciaire lorsqu’il est impossible de démêler le problème avec des parties qui campent sur leurs positions, la police judiciaire refile obligatoirement la patate chaude au procureur de la République. Au niveau de ce dernier lorsqu’il délègue à un de ses substituts, celui-ci préfère fréquemment inculper et placer sous mandat de dépôt sans trop se poser de questions plutôt que de courir le risque d’être désavoué par sa hiérarchie (encore la prudence excessive du magistrat pour l’avancée dans la carrière). C’est le système bien sénégalais, contrairement à l’affaire parisienne de l’avocat sénégalais. Maintenant à charge pour le juge de première instance de trancher le litige (le bleu de la magistrature cité plus haut dans l’affaire d’espèce) entre les colitigants.



    Aujourd’hui, la nouvelle génération des filles et des jeunes femmes considère la virginité comme un poids lourd et un frein à leur liberté sexuelle. C’est connu ! Yérim Seck s’est fait piégé et toute la gent masculine est en péril face à ce genre de filles et femmes à l’esprit très raffiné dans le machiavélisme !

    Cheikh Yérim Seck, quoique victime d’une machination, n’en sortira pas pour autant indemne du point de vue de sa réputation ternie. Par contre, la jeune femme s’en sortira sans frais comme c’est fréquent au Sénégal et son père gloussera intérieurement de joie de voir le têtu courtisan irrémédiablement marqué à vie. Comme si Dieu et le jugement dernier n’existent plus lorsqu’il se regardera devant un miroir et s’adonnera à ses 5 prières quotidiennes (Subar, Tisbar, Takusaan, Timis et Geewee) ! Ah, l’aveuglement subjectif de l’amour parental ! Le comble, c’est que cette “fille à papa” a été exfiltrée vers Montpellier et la préinscription universitaire devient une bouée de sauvetage quant à la problématique de la mauvaise foi ou non. Il convient de revisiter, dans une finalité prospective, les règles procédurales judiciaires en mettant fin à la non présence de la partie civile lors du procès ou alors qu’elle soit obligée à se présenter à date échue pour la manifestation de la vérité. Au surplus, il est dans l’intérêt de la partie défenderesse d’exiger une contre-expertise dudit certificat médical par le biais d’une commission rogatoire adressée à la justice française car l’éloignement précipité de la partie civile dans l’hexagone semble suspect. Il faut verrouiller cette boîte de Pandore dont use et abuse la gent féminine pour accuser, à tout bout de champ, des hommes sans frais en retour. C’est trop facile de retenir un homme dans les liens de la prévention carcérale au Sénégal sur la base des seules allégations unilatérales de la femme. Où sont la parité, l’égalité, l’équilibre et l’éthique entre justiciables ?

    Pour une démarche toujours prospective d’une bonne justice équitable et équilibrée, on pourrait restreindre la liberté de circuler et de voyager en confisquant, peut-être, les documents de voyage (passeport…) le temps de vider l’affaire mais accorder le bénéfice de la liberté provisoire et du contrôle judiciaire à l’homme, partie défenderesse, si l’on accepte que la partie civile puisse s’évaporer dans la nature ou s’exfiltrer loisiblement.



    La douzième législature de l’Assemblée nationale du Sénégal est interpellée pour des propositions de loi au cas où l’Exécutif ne prend pas des projets de loi allant dans ce sens car les femmes bénéficient trop de facilités judiciaires en matière de contentieux. Et mieux c’est une femme, Mme Aïda Mbodji, actuelle députée libérale et démocrate de la 12ème législature, qui demandait à la défunte 11ème législature lors d’un passage à l’Assemblée nationale de faire très attention à ces filles vicieuses qui s’ingénient à piéger la renommée d’hommes célèbres et argentés, reconnaissant ainsi qu’il y a des pratiques peu orthodoxes qui se font sous nos cieux sénégalais.

    C’est sous ce même entrain qu’il y a lieu de ranger le prétexte fourre-tout de l’incompatibilité d’humeur pour se débarrasser d’un mari en inventant des violences pour l’abus de pensions alimentaires et les conséquences du divorce en cas d’option monogamique ou polygamique limitée ou non. En effet, l’homme qui a contracté à l’option monogamique est enfermé jusqu’à sa mort dans celle-ci même s’il a eu à subir une contrainte morale (chantage de désistement au mariage, menaces de la promise) émanant de la femme pour qu’il souscrive à cette option, avant le passage devant l’Officier de l’état civil. Toujours dans la prospective, il serait intéressant de procéder à l’application réciproque de l’option du statut conjugal (sauf consentement mutuel des parties en couple ou divorcés à se libérer de l’option souscrite pour une autre) car une femme vous enferme dans une option monogamique et demain, après le divorce, elle ne se gênera pas pour se retrouver dans un foyer polygamique et même revenir à satiété dans un mariage monogamique autant de fois qu’elle le souhaite, comme un oiseau marabout voyageur qui picote partout. Ainsi, la question de l’option au statut conjugal mettra à égalité le genre humain, plus personne ne pourra souscrire une autre option pour un autre mariage après avoir enfermé son ex-partenaire dans la bastille d’une option conjugale, sauf s’il y a consentement mutuel pour se libérer de l’option précédente.



    En conclusion, le revers de la médaille pour la jeune femme Aïssatou Tall c’est la voie de droit offerte à Cheikh Yérim Seck de servir une citation directe à partie civile pour engager soit sa responsabilité civile pour dénonciation téméraire, soit sa responsabilité pénale pour dénonciation calomnieuse. Et même l’État, du fait de sa justice, prompt, à tort et à travers, à toujours faire droit et à donner raison à la gent féminine en emprisonnant des hommes victimes de cabale, pourrait voir sa responsabilité engagée pour mauvais fonctionnement du service public de la justice lors d’un recours administratif de plein contentieux devant la chambre administrative de la Cour Suprême. C’est pour éviter cette déconvenue que le tribunal parisien de Versailles a relaxé, récemment, l’ex-international français de football, Claude Makélélé, des accusations de violences portées à son encontre par son intrigante ex-petite amie. Et ce tribunal est allé jusqu’à retenir contre cette affabulatrice le délit d’abus de constitution de partie civile, en sus d’une amende.

    Je doute fort que Cheikh Yérim Seck envenime les choses et usant de son droit de recours et de réplique. Et pourtant il est parfois recommandé de rendre les coups pour que ce genre de mauvaise graine féminine sache qu’on ne peut impunément salir la dignité des gens en usant de subterfuges judiciaires pour solder des comptes domestiques.
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    Pétaw

    En Septembre, 2012 (12:30 PM)
    CHEIKH BETHIO dou morom, un par un vous allez tomber...

    wait and see
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    Kit

    En Septembre, 2012 (12:40 PM)
    SIGUIL pourquoi éduquer seulement le filles? Et les garçons? Et qu'est-ce que ça veut dire que si une femme vient te rejoindre dans une chambre c'est pour passer à l'acte? En tout cas la justice reconnaît ce droit aux femmes ! Ou on peut assumer l'émancipation des femmes ou on les enferme .
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    Ah La Quequete

    En Septembre, 2012 (13:07 PM)
      <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">   :haha:  :dedet:  :sn:  :down:  :up:  :tala-sylla: :) :-D   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/cool.gif" alt=":cool:">   :hun:  :cry:  :love:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/khelou.gif" alt=":khelou:">   :?: 
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    Lu Sur Dakaractu

    En Septembre, 2012 (13:11 PM)
    Il faut s’offusquer de la fausse échappatoire de la plupart des juristes qui estiment ne pas vouloir se prononcer sur une affaire pendante devant la justice. Or, dans un passé encore récent, ces ouailles de la versatilité et girouettes de la tartufferie se sont données à cœur joie pour des débats épiques de doctrine, avant et après, à propos de la décision du conseil constitutionnel relative à la constitutionnalité et à la validité de la candidature controversée de l’ancien président de la République, Abdoulaye Wade, à la présidentielle de février et mars 2012.



    Dans l’affaire Aïssatou Tall c/ CheikhYérim Seck, il n’y a pas eu de viol mais conjonction sexuelle réciproquement consentie entre deux personnes majeures de sexe opposé (qu’importe l’écart de la majorité d’âge entre les deux parties) et jouissant de la plénitude de leurs facultés mentales dans un lieu privé et discret à l’abri des regards et des mœurs.



    Comment une jeune femme de 20 ans habillée a pu se faire dévêtir et ôter son linge intime (slip) sans opposer une résistance déterminée et farouche, sans crier et laisser des traces, stigmates et séquelles de griffures sur le corps de son présumé violeur ? D’ailleurs, les employés de l’auberge ne sont-ils pas vite venus s’enquérir de la situation lorsqu’il y a eu pénétration phallique et dépucelage à cause des cris, a fortiori ils auraient rappliqué à la phase préliminaire du flirt et du déshabillement vestimentaire si elle avait hurlé ? Quel est l’état de ses habits ? Avec quels habits a-t-elle pu quitter l’auberge si ceux-ci ont été arrachés et malmenés par le présumé violeur ? Comment le présumé auteur de viol sexuel a pu simultanément s’occuper à enfiler, peut-être, un préservatif à usage sexuel et en même temps user de force physique pour contrecarrer et contenir les velléités de résistance de sa potentielle victime qui disposait de la liberté de ses deux mains, ses bras, ses coudes, ses jambes, ses dents pour mordre et ses cordes vocales pour crier ? Comment un soi-disant génie primée au concours général, une nouvellement préinscrite à Montpellier pour des études supérieures a pu accepter de se rendre dans une auberge, pour un premier rendez-vous aussi galant, et de monter dans une chambre où elle aperçoit un homme torse nu sans redescendre aussitôt ? Pourquoi n’a-t-elle pas exigé qu’elle préfère attendre plutôt le monsieur à la salle d’attente publique ou dans toute autre pièce accessible au public ? Une femme qui est crédible et respectable n’a rien à faire dans la chambre d’un homme qu’elle vient, récemment, de connaître à peine. Ce n’est pas l’endroit le mieux indiqué pour faire ample connaissance, à moins de vouloir approfondir la curiosité de la découverte réciproque :…l’intimité !



    En réalité, elle y est venue pour un but bien précis et a délibérément offert sa virginité même si elle a avisé son partenaire de son état de vierge néophyte mais n’a pas opposé une résistance même molle avant la pénétration phallique, puis a pris peur (remords et regrets postérieurs ?) quand un jour ses parents découvriraient son manque de vertu au moment du mariage ainsi que son futur mari. Elle a voulu se défaire de sa virginité en se faisant passer pour une victime comme çà, arrivée à Montpellier, elle pourra continuer ses frasques sexuelles loin de la surveillance austère de ses parents et, si par mégarde, elle vient à tomber enceinte, elle pourra faire un tour dans les pays voisins de la France et se faire avorter en toute tranquillité ! Donc il lui fallait se défaire au préalable de cette virginité à Dakar avec un homme célèbre et feindre la victime !



    Par rapports aux cris aigus de soprane prétendument de détresse et d’alerte au secours, il est très facile de les expliquer et justifier :

    - d’abord, le premier rapport sexuel d’une fille ou d’une femme vierges est toujours douloureux quand il s’agit de la perte de l’hymen car l’étroitesse de son intimité n’a jamais été habituée à des pénétrations fréquentes pour un élargissement, a fortiori pour les femmes habituées à la conjonction sexuelle qui, à chaque relation avec un partenaire, procèdent à la lenteur et de petites poussettes de la pénétration phallique pour que l’appareil féminin constricteur se réapproprie progressivement à l’accoutumance ;



    - ensuite, il y a le facteur possible des mensurations de l’appareil génital mâle et le facteur du passage rapide et précipité à l’acte sexuel alors que l’organe féminin, peut être, n’a pas encore été préparé aux préliminaires, notamment l’autolubrification vaginale qui signe l’élargissement progressif de l’orifice féminin en vue d’une facilitation glissée de la pénétration phallique.



    Les cris perçants entendus par quelques employés du personnel (lequel positionné à l’extérieur ne peut témoigner avec certitude sur ce qui s’est réellement passé intra muros dans la chambre) se justifient, peut être, par ce qui précède au vu de l’inexpérience de la fille qui appréhende avec crainte son premier acte sexuel.

    Par suite, on pourrait courir le risque de l’instrumentalisation de la justice pour en faire une affaire de corporation où les magistrats se rendent des services entre eux. Ce qui y conforte est le choix porté sur la personne d’un bleu de la profession en la personne d’un tout nouveau magistrat sorti fraîchement de sa formation judiciaire à l’ENA pour tenir les rênes de l’audience de flagrance à propos de cette affaire d’espèce. Sera-t-il dans le confort de pouvoir supporter le regard perçant et, nonchalamment, influent du père de la partie civile, un rompu à la tâche judiciaire, même si celui-ci serait confiné au rang du public, en plus d’une possibilité qu’il soit témoin à charge ? Ne sera-t-il pas plutôt enclin à être timoré pour ne pas hypothéquer l’avancée de sa carrière qu’il entame précocement et faire peser la balance en faveur d’une solidarité corporatiste ? Si le père fait tout un plat, c’est pour régler le compte à l’entêtement de Mr Cheikh Yérim Seck d’avoir refusé d’obtempérer à cesser de fréquenter sa fille. Au plus profond de lui, ce père et magistrat chevronné sait bel et bien qu’un juriste-journaliste célèbre comme l’indexé ne va pas ternir sa réputation avec un viol alors que certainement des femmes voudraient bien partager sa couche, comme c’est connu au Sénégal.

    Il y a eu donc bien consentement et la fille (influencée ?) semble, avec froideur, faire volte-face en s’appuyant sur la base de précédents judiciaires et sociaux. Lesquels ? Mathiou et compagnie piégés par des filles mineures au corps précoce de femmes, l’affaire des fausses auto-stoppeuses qui font des chantages, l’affaire de la fille manipulée par sa mère et qui se disait enceinte de son père : mensonge éventé après accouchement et test d’ADN, l’affaire de filles et femmes qui simulent la recherche d’un travail de ménagère pour pouvoir ensuite désister après avoir mémorisé l’agencement et la décoration des pièces d’une maison sur la base desquels elles font des chantages à des hommes mariés ou vivant seuls, l’affaire de Dominique Strauss-Kahn à New York éventée, enfin l’affaire parisienne de l’avocat El Hadji Diouf, et tant d’autres affaires de l’esprit fécond en imaginations féminines. Donc Mlle Aïssatou Tall semble s’être inspirée du prétendu viol de l’avocat sénégalais en France et, sachant que si elle perdait sa virginité en France la justice française finira par démasquer son stratagème avant même le procès pénal, alors elle choisit délibérément de perdre sa virginité au Sénégal en comptant sur le rang et sur le statut de magistrat de son père et en feignant la stigmatisation de victime au « sexe faible » pour émouvoir la sympathie de l’opinion publique sénégalaise malléable et manipulable. Cette fille s’est défaite de sa virginité qui était un frein à sa conception de l’émancipation mais en même temps elle ne voulait pas heurter mais tenait à préserver l’apparence éducationnelle des coutumes et traditions de ses parents austères pour ne pas les décevoir et ne pas être considérée comme une fille de la semaine à petite vertu. C’est le modus operandi de cette cabale : il lui fallait un célèbre pigeon pour un scandale “People? retentissant à la Nafissatou Diallo ou à la Monica Lewinsky pour berner ses parents avant de pouvoir quitter le Sénégal pour Montpellier car si tel n’était pas le cas son austère père aurait peut-être, pour la punir, mis fin à ses ambitieux rêves à Montpellier.



    Arrêtons nous sur le cas parisien de l’avocat et député sénégalais : en France, la justice ne se laisse pas facilement démonter par des accusations de viol, c’est comme çà qu’elle a pu démasquer les mensonges de la fausse victime de l’avocat sénégalais. Cette affaire parisienne est similaire à celle de Yérim Seck et les deux affabulatrices sont des personnes majeures : la seule différence est que, au Sénégal, on a trop tendance à accorder foi à tout ce que dit la gent féminine sans isoler l’ivraie de la nuisance manifeste et délibérée du bon grain de la vérité. On donne toujours tort aux hommes (hélas beaucoup d’hommes sont en prison pour accusation fallacieuse sur la base d’une seule version prise en compte…celle féminine) et pourtant devant les enquêteurs, Yérim Seck a accepté l’humiliation de se mettre nu comme un ver de terre pour prouver qu’il n’y a pas lutte, griffures, écorchures, éraflures si sa prétendue victime avait vraiment opposé résistance.



    Devant une procédure d’enquête de police judiciaire lorsqu’il est impossible de démêler le problème avec des parties qui campent sur leurs positions, la police judiciaire refile obligatoirement la patate chaude au procureur de la République. Au niveau de ce dernier lorsqu’il délègue à un de ses substituts, celui-ci préfère fréquemment inculper et placer sous mandat de dépôt sans trop se poser de questions plutôt que de courir le risque d’être désavoué par sa hiérarchie (encore la prudence excessive du magistrat pour l’avancée dans la carrière). C’est le système bien sénégalais, contrairement à l’affaire parisienne de l’avocat sénégalais. Maintenant à charge pour le juge de première instance de trancher le litige (le bleu de la magistrature cité plus haut dans l’affaire d’espèce) entre les colitigants.



    Aujourd’hui, la nouvelle génération des filles et des jeunes femmes considère la virginité comme un poids lourd et un frein à leur liberté sexuelle. C’est connu ! Yérim Seck s’est fait piégé et toute la gent masculine est en péril face à ce genre de filles et femmes à l’esprit très raffiné dans le machiavélisme !

    Cheikh Yérim Seck, quoique victime d’une machination, n’en sortira pas pour autant indemne du point de vue de sa réputation ternie. Par contre, la jeune femme s’en sortira sans frais comme c’est fréquent au Sénégal et son père gloussera intérieurement de joie de voir le têtu courtisan irrémédiablement marqué à vie. Comme si Dieu et le jugement dernier n’existent plus lorsqu’il se regardera devant un miroir et s’adonnera à ses 5 prières quotidiennes (Subar, Tisbar, Takusaan, Timis et Geewee) ! Ah, l’aveuglement subjectif de l’amour parental ! Le comble, c’est que cette “fille à papa” a été exfiltrée vers Montpellier et la préinscription universitaire devient une bouée de sauvetage quant à la problématique de la mauvaise foi ou non. Il convient de revisiter, dans une finalité prospective, les règles procédurales judiciaires en mettant fin à la non présence de la partie civile lors du procès ou alors qu’elle soit obligée à se présenter à date échue pour la manifestation de la vérité. Au surplus, il est dans l’intérêt de la partie défenderesse d’exiger une contre-expertise dudit certificat médical par le biais d’une commission rogatoire adressée à la justice française car l’éloignement précipité de la partie civile dans l’hexagone semble suspect. Il faut verrouiller cette boîte de Pandore dont use et abuse la gent féminine pour accuser, à tout bout de champ, des hommes sans frais en retour. C’est trop facile de retenir un homme dans les liens de la prévention carcérale au Sénégal sur la base des seules allégations unilatérales de la femme. Où sont la parité, l’égalité, l’équilibre et l’éthique entre justiciables ?

    Pour une démarche toujours prospective d’une bonne justice équitable et équilibrée, on pourrait restreindre la liberté de circuler et de voyager en confisquant, peut-être, les documents de voyage (passeport…) le temps de vider l’affaire mais accorder le bénéfice de la liberté provisoire et du contrôle judiciaire à l’homme, partie défenderesse, si l’on accepte que la partie civile puisse s’évaporer dans la nature ou s’exfiltrer loisiblement.



    La douzième législature de l’Assemblée nationale du Sénégal est interpellée pour des propositions de loi au cas où l’Exécutif ne prend pas des projets de loi allant dans ce sens car les femmes bénéficient trop de facilités judiciaires en matière de contentieux. Et mieux c’est une femme, Mme Aïda Mbodji, actuelle députée libérale et démocrate de la 12ème législature, qui demandait à la défunte 11ème législature lors d’un passage à l’Assemblée nationale de faire très attention à ces filles vicieuses qui s’ingénient à piéger la renommée d’hommes célèbres et argentés, reconnaissant ainsi qu’il y a des pratiques peu orthodoxes qui se font sous nos cieux sénégalais.

    C’est sous ce même entrain qu’il y a lieu de ranger le prétexte fourre-tout de l’incompatibilité d’humeur pour se débarrasser d’un mari en inventant des violences pour l’abus de pensions alimentaires et les conséquences du divorce en cas d’option monogamique ou polygamique limitée ou non. En effet, l’homme qui a contracté à l’option monogamique est enfermé jusqu’à sa mort dans celle-ci même s’il a eu à subir une contrainte morale (chantage de désistement au mariage, menaces de la promise) émanant de la femme pour qu’il souscrive à cette option, avant le passage devant l’Officier de l’état civil. Toujours dans la prospective, il serait intéressant de procéder à l’application réciproque de l’option du statut conjugal (sauf consentement mutuel des parties en couple ou divorcés à se libérer de l’option souscrite pour une autre) car une femme vous enferme dans une option monogamique et demain, après le divorce, elle ne se gênera pas pour se retrouver dans un foyer polygamique et même revenir à satiété dans un mariage monogamique autant de fois qu’elle le souhaite, comme un oiseau marabout voyageur qui picote partout. Ainsi, la question de l’option au statut conjugal mettra à égalité le genre humain, plus personne ne pourra souscrire une autre option pour un autre mariage après avoir enfermé son ex-partenaire dans la bastille d’une option conjugale, sauf s’il y a consentement mutuel pour se libérer de l’option précédente.



    En conclusion, le revers de la médaille pour la jeune femme Aïssatou Tall c’est la voie de droit offerte à Cheikh Yérim Seck de servir une citation directe à partie civile pour engager soit sa responsabilité civile pour dénonciation téméraire, soit sa responsabilité pénale pour dénonciation calomnieuse. Et même l’État, du fait de sa justice, prompt, à tort et à travers, à toujours faire droit et à donner raison à la gent féminine en emprisonnant des hommes victimes de cabale, pourrait voir sa responsabilité engagée pour mauvais fonctionnement du service public de la justice lors d’un recours administratif de plein contentieux devant la chambre administrative de la Cour Suprême. C’est pour éviter cette déconvenue que le tribunal parisien de Versailles a relaxé, récemment, l’ex-international français de football, Claude Makélélé, des accusations de violences portées à son encontre par son intrigante ex-petite amie. Et ce tribunal est allé jusqu’à retenir contre cette affabulatrice le délit d’abus de constitution de partie civile, en sus d’une amende.

    Je doute fort que Cheikh Yérim Seck envenime les choses et usant de son droit de recours et de réplique. Et pourtant il est parfois recommandé de rendre les coups pour que ce genre de mauvaise graine féminine sache qu’on ne peut impunément salir la dignité des gens en usant de subterfuges judiciaires pour solder des comptes domestiques.

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    Tall

    En Septembre, 2012 (13:29 PM)
    Je me sui mis à la place d'aissatou mais honnetemen et d'aprè ce que l'on dit du tempérament du magistrat Tall réputé trè bouillant, je vois trè mal sa fille lui avouer quel à eu des rapports sexuels avk un homm, d'ailleur ki d'entre nous ose le faire que son papa soit severe ou pas un peu de bon sens, el n'a pas ete tou a fait honnet, ya une partie de sa version qui a ete erroné
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    Moy Deggue

    En Septembre, 2012 (14:04 PM)
    thioro khaw manaka may gnou diama bogue khaliss rek,tiens bon cys tu t'en sortiras "inchalla" sew dou diami borom.  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/khelou.gif" alt=":khelou:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/khelou.gif" alt=":khelou:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/khelou.gif" alt=":khelou:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/khelou.gif" alt=":khelou:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/khelou.gif" alt=":khelou:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/khelou.gif" alt=":khelou:">  
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    Zami

    En Septembre, 2012 (14:13 PM)
    CYS AU POTEAU. IL FAUT LE PENDRE PAR LES COUILLES. NEK FI DI DETOURNER DOOMI DIAMBOUR YI REK. IL N'A AUCUNE CIRCONSTANCE ATTENUANTE. IL A VIOLE, HE BIEN QU'IL PAYE SEVEREMENT. IL A DIFFAME, HE BIEN QU'IL PAYE. QUAND J'ENTEND SA MERE DIRE QUE SON FILS EST LE PLUS VERTUEUX DES GARCONS....NON MAIS IL YA DES BAFFES QUI SE PERDENT QUOI......ALLEZ VA POUR CINQ (JE DIS BIEN ) ANS DE PRISON POUR LUI APPRENDRE A TENIR SA QUEQUETTE. DOU ROUSS SAKH !!!
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    Nakhaaté

    En Septembre, 2012 (14:33 PM)
    vous savait YERIM é MOUNIROU SY 6 -9 golo ak danguine. bouniou gissé bénne fille incarner promettre ko mariage fénne ko teudéé ko bayiko si gatal aye tiagua you goor you deukk louga rékk laniou daal moi je koné pas mal de fille you MOUNIROU nakh
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    Auteur

    Prudence

    En Septembre, 2012 (16:18 PM)
    c etait le ang des regles, elle n etait pas vierge
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    Auteur

    Khagne

    En Septembre, 2012 (17:21 PM)
    je trouve que la déclaration de la fille laisse à désirer,



    pour pénétrer une fille vous savez les gars que cela n'est pas du tout facile encore moins une fille vierge, il va falloir écarter ses jambes !prendre son pénis pour le faire rentrer sur le vagin d'une fille qui se défoule pour ne pas qu'on la pénètre, pufffff du n'importe quoi



    réfléchissez ne serais ce q'une minute  :dedet: 

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