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QUEEN BIZ, ARTISTE CHANTEUSE : « J'ai eu un problème avec un professeur à l'université et j'ai été suspendue pour quatre ans »

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QUEEN BIZ, ARTISTE CHANTEUSE : « J'ai eu un problème avec un professeur à l'université et j'ai été suspendue pour quatre ans »

«Les hommes ont tendance à trahir» 

«Je ne peux pas être méchante avec les hommes» 

«Je n'ai même pas la tête à des relations, j'ai d'autres projets beaucoup plus importants» 

 

 

D'une mère mandingue et d'un père peul, Coumba Diallo alias Queen biz est en phase de devenir une star de la banlieue, des Parcelles assainies plus précisément, avec des sons comme «Wallou», «trahison», entre autres. Depuis 1999, date à laquelle elle est tombée amoureuse de la musique, plus précisément du rap, elle poursuit son chemin. Son engagement lui a même valu le titre d'ambassadrice de l'Usaid pour le respect des mesures d'hygiène dans la région de Ziguinchor. Coumba Diallo, c'est aussi une fille très brillante, dont le parcours à l'université Cheikh Anta Diop a été freiné par un contentieux avec un de ces professeurs. Une histoire sur laquelle elle reviendra dans son prochain album avec «Dirty fac».

 

Parlez nous un peu de Queen biz ? 

Queen biz est une jeune artiste issue de la banlieue, plus précisément les Parcelles assainies. J’ai débuté très tôt dans la musique vers les années 1999. J'étais au collège à l’époque. J'ai commencé avec la mouvance du mouvement hip-hop. C'était la tendance à l'époque. Donc, on était obligé d’entrer dans le mouvement. On avait formé un groupe avec des amis. C'était un groupe d'école parce qu'on animait les fosco du collège. On se prenait à l'époque comme les starlettes de l'école parce qu'on était très bien aimé. Après le Brevet de fin d'études moyennes (Bfem), un des membres du groupe a échoué. Elle a abandonné le groupe, les deux autres aussi et j'étais seule. Au lycée aussi, j'étais seule à continuer le chemin jusqu'à décrocher mon baccalauréat. Une fois à l'université, j'ai rencontré un ami qui s'intéressait au rap. Ensemble, on a formé un groupe qui s'appelait «The angels» et on habitait le même quartier. On a eu beaucoup de succès dans la banlieue, mais ça a été éphémère. Et j'ai décidé de poursuivre ma carrière en solo. 

 

Vous avez allié la musique et les études, comment vos parents ont vu cela ? 

Ce n'était pas du tout difficile de mon côté. Mon père était très exigeant côté études. Il exigeait qu'on ait à chaque fois de bonnes notes. Comme grâce à Dieu j'étais très brillante à l'école, j'ai tout le temps été première de ma classe. J'avais de bonnes moyennes. C'était ma technique de dompter mon père pour qu'il ne me fasse pas de reproche. À chaque fois qu'il voulait m'interdire, il ne pouvait pas parce que je lui donnais de bons résultats. Et du coup, il me laissait faire ce que je voulais. 

 

Si on vous demande de faire votre portrait physique et moral, qu'est ce que vous direz ? 

Je suis slim (taille fine) et j'aime être comme ça. C'est la tendance actuelle. J'aime m'habiller pop et sexy, mais aussi classe. Je n'aime pas les choses dévergondées. Côté moral, j'aime la sincérité, la loyauté surtout. Je déteste l'hypocrisie. Parfois je m'énerve vite. 

 

C'est quoi vos défauts ? 

On me reproche d'être têtue, car à chaque fois que je veux quelque chose, je persiste la-dessus. 

 

Et vous faisiez quoi à l'université ? 

J'ai fais deux ans à l'université Cheikh Anta Diop de Dakar. Quand je faisais ma deuxième année, j'avais eu un problèmes avec un de mes professeurs et puis j'ai quitté l'université. J'étais obligée de quitter parce que c'était un problème très délicat. J'ai même écrit une chanson sur cette histoire et ça fera partie de mon album. Le titre c'est «Dirty fac». Ensuite, je suis partie à l'université du Sahel où j'ai fait ma licence en droit. Puis, une maîtrise en droit international. Après, j'ai fait un Master en science politique diplomatie et relations internationales. 

 

Queen veut dire reine en anglais, qu'est ce qui fait de vous une reine ? 

C'est la témérité de Queen. C'est peut-être une audace de ma part, mais je me bats pour que ça devienne réel. 

 

Pouvez-vous nous en dire plus sur ce problème que vous avez eu avec votre professeur ? 

Non ! Ce sera la surprise de mon album. 

 

Votre premier clip «Wallou» a plu aux Sénégalais, est ce qu'il y a une part de vécue dans ça ? 

«Wallou» c'est déjà un vécu. Parce que moi je suis née dans la banlieue. J'ai rencontré les problèmes que les gens vivent dans la banlieue. J'ai vraiment souffert peut être de la pauvreté et des problèmes qu'on rencontre dans la banlieue. Vous savez comment ça se passe là-bas. Parfois, les gens n'ont même pas de quoi manger, même le matin en allant à l'école. On est confronté à l'inondation, à l'insalubrité. C'est ce qui m'a inspiré. À chaque fois, on dit que le pays va mal, alors qu'on voit les autres évoluer. On les voit avec des belles voitures ou envoyer leurs enfants à l'étranger et ils mangent très bien. 

 

QUEEN BIZ, ARTISTE CHANTEUSE : «J'ai eu un problème avec un professeur à l'université et j'ai été suspendue pour quatre ans»

Est-ce que le fait de dénoncer les maux de la société fait de vous une révolutionnaire ? 

Révolutionnaire oui, si vous le voyez comme ça. De toutes les façons, être révolutionnaire n'est pas péjoratif. Je pense que c'est toujours un plus dans notre société d'avoir des artistes révolutionnaires. On en a besoin parce que nous sommes comme la voix des sans voix. Tous les banlieusards ne peuvent pas se lever l'un seul coup et parler. Ils ont besoin des artistes qui sont là et qui conscientisent pour que les gouvernants sachent qu'il y a des gens qui sont là, prêts à dénoncer. 

 

Le titre «Trahison», c'est une histoire réelle ? 

C'est l'histoire personnelle de Queen. C'est la vraie l'histoire que j'ai vécue avec mon ex-mari. Ce n'est pas seulement Queen qui a motivé cette chanson. Je pense que la trahison est aujourd'hui d'actualité. Presque toutes les femmes ont une fois vécu cette histoire-là. Chaque jour des fans m'appellent pour me dire que c'est comme si c'était leur histoire que j'avais chantée. Donc je dirai que «Trahison» ce n'est plus pour moi, mais pour toutes les femmes. Les hommes ont tendance à trahir. Ce n'est pas méchant et peut-être avec la chanson, ils vont changer. 

 

Après cette étape de votre vie, comment voyez-vous les hommes ? 

Je ne peux pas être méchante avec les hommes. Ce sont des frères, des amis et ce sont des gens qui m'aiment très bien. Ce sont des gens qui me consolent et m'encourage et qui prient beaucoup pour moi. Mais personnellement, Queen n'est pas prête à revivre ce qu'elle a vécu. Je n'ai même pas la tête à des relations, j'ai d'autres projets beaucoup plus importants. 

 

Finalement cette trahison vous a beaucoup inspiré… 

Peut-être bien. Et je remercie le grand Dieu parce qu'il sait ce qu'il fait. Peut-être que sans cette trahison, Queen ne serait pas à ce stade, côté musique. Parfois, le mariage peut constituer une barrière dans nos carrières. Parce c'est une chanson que j'ai sortie naturellement en pleurs. C'est un cri de coeur que j'ai sorti. 


Est ce que vous prenez le temps de chercher un homme 

Je n'ai même la tête à cela. Dans l'avenir peut être. 

 

Mais des hommes vous font la cour quand même ? 

(Rire). ça ne manque pas, mais bon ce n'est pas ma priorité. 

 

Et comment doit être votre prochain homme ? 

Il doit être un homme pieux qui a de la foi. Il sera loyal et aura de la pitié. 

 

Parlez-nous de votre prochain album 

Il s’intitulera «Maux croisés» et il y aura beaucoup de choses à découvrir. 

 

Que pensez-vous de la violence qui gagne du terrain à l'université comme vous avez été là-bas ? 

J'en sais quelque chose pour avoir été déléguée d'amical à la faculté de droit. Donc je comprends très bien cette violence. C'est comme avec les partis politiques, c'est toujours une soif de gagner. Il faut seulement conscientiser les étudiants à ne pas trop verser dans la violence. ça doit cesser ce n'est pas ce qui fait la valeur de l'université. Ce sont les autorités universitaires qui doivent prendre des mesures par rapport à cela. Et j'ai bon espoir que ça va changer. 

 

Quel genre de femme est Queen biz en dehors de la musique ? 

J'aime bien être en famille bien que je n'ai pas assez de temps actuellement. Je n'ai pas d'activité spéciale. Je ne sors pas la nuit, sauf quand je joue quelque part. 

 

Et les travaux ménagères vous les faites bien ? 

Très bien même, comme toute bonne femme. 

 

Vous cuisinez aussi… 

Bien sûr et presque tous les plats sénégalais. 

 

Votre musique est engagée et par rapport à cela qu'est ce que vous pensez du mouvement «Y'en a marre» ? 

C'est un mouvement que je ne maîtrise pas beaucoup. Je soutiens l'esprit. Malal Talla (Fou malade) est venu me voir pour que j'adhère au mouvement, mais je lui ai dit que j'étais en train de réfléchir. Mais je ne suis pas encore dans le mouvement. 


Les femmes, surtout les rappeuses, ne restent pas longtemps dans la musique. En un moment donné, elles abandonnent pour se consacrer à d'autres choses, est ce que Queen biz sera toujours dans la sphère musicale d’ici quelques années ? 

C'est sûr que mon histoire avec la musique va durer, parce que moi je n'ai pas tendance a laissé facilement. Je veux réussir tout ce que j'entreprends. 


A vous entendre parler, on dirait que toutes vos chansons sont des vécus quotidiens. Est-ce qu'il aura d'autres thèmes dans votre prochain album ? 

Ce ne sera pas seulement le vécu de Queen qui sera au menu de mon prochain album.Il y a le vécu de presque tous les Sénégalais auxquels je m'y identifie. Je vais répéter la phrase de Victoire Hugo qui disait : «Oh insensé qui pense que quand je parle de moi, je ne parle pas de vous». Mais «Dirty fac» va relater l'histoire de Queen à l'université. 

 

Mais cette histoire, c'est quoi racontez là nous… 

Je ne vais pas enter dans les détails, car ce sera la surprise de l'album. Tout ce que je peux dire, c'est que j'ai eu un problème avec un des professeurs à l'université, j'ai été suspendu pour quatre ans. J'en parlerai plus largement dans mon album, c'est pourquoi d'ailleurs j'ai quitté l’université Cheikh Anta Diop pour aller à l'université du Sahel qui est un établissement privé. Le fond du problème sera une surprise pour mon album. Ce problème m'a formé, elle m'a même permis d'être major de ma promotion quand je faisais ma maîtrise. 


Comment étiez-vous à l'université pour avoir un problème avec un professeur ? 

J'étais une battante. Je passais toutes mes journées au «Bois sacré» à étudier. Certains m'appelaient même «Jinne Bois sacré». 


Et ce professeur, qu'est-il devenu ? 

Je ne veux même pas savoir. 

 

Et quand va sortir votre album ? 

On est en train de voir si ce ne sera pas en décembre. Tout dépendra de la situation politique du pays. Si c'est favorable, on va le sortir.

 

Et il sera composé de combien de titres ? 

Je suis en train de voir si ce sera 14 ou 12 titres. Mais je pense que ce sera probablement 14 titres. C'est une variété. Il y aura du Rnb, du rap, de l'acoustique et la musique traditionnelle mandingue, du reggae aussi. 

 

On va vers des élections et le pays est sous tension. Quel est votre message ? 

C’est un message de paix. Qu'on essaie de démocratiser les choses. 

 

Queen chante aussi bien Wolof, Français, Anglais que Mandingue. D'où vous vient cette inspiration ? 

Ma maman est Mandingue. On parle Mandingue chez nous, à la maison. J'ai eu l'amour de cette langue. Le Français, c'est notre langue officielle. Pour ce qui est de l'Anglais, c’est parce que j'aime cette langue. Et le Wolof, c'est la langue de tous les Sénégalais. 



56 Commentaires

  1. Auteur

    Levirus

    En Novembre, 2011 (19:07 PM)
      <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">   denio ko kep ! dafa done tricher mouy fén fi !
    • Auteur

      Reply_author

      En Novembre, 2022 (18:24 PM)
      Tu étais dans son manoir pour parler ainsi?, la calomnie et la diffamation semblent être tes valeurs, continue, tu iras loin!
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  2. Auteur

    Adiabou

    En Novembre, 2011 (19:12 PM)
    c'est grave comme elle se la pete.



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    Auteur

    Spaghetti

    En Novembre, 2011 (19:19 PM)
    bravo queen biz ,vous chanter a merveille et les textes sont engager d'un ancien du CEM oggo diop
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    Auteur

    Fam

    En Novembre, 2011 (19:21 PM)
    brava,les etudes avant tout.si tu ne reussis pas dans la musique,il te resteras tjrs plus d'un tour dans ton sac.tu as toute mon admiration.mes respects
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    Auteur

    Phoz

    En Novembre, 2011 (19:28 PM)
    nioune sister fa lagnou wakhhhh elle est un exemple a suivre si tu ve des conseisl approch delle elle est tres experimenter
    Auteur

    Ney

    En Novembre, 2011 (19:29 PM)
    Du voudrai sister
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    Auteur

    Daiveone

    En Novembre, 2011 (19:32 PM)
    arretez de raconter nimporte koi sur les gens k vs connaissez pas cellle la elle s'est tjr battue pour en arriver la donc respect bon courage coumbisss
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    Auteur

    C Grave

    En Novembre, 2011 (19:34 PM)
    banlieuzar moy lolou
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    Auteur

    Ouss

    En Novembre, 2011 (19:41 PM)
    vraiment sénégalais dal mo meuneu wakh loumou khamoul koi.moi j'etais présent le jour meme ou il ya eu cette dispute avec ce prof. mais je vais pas relater l'histoire vu que c'est la surprise de son album. en aucun cas il convient de dire qu'il s'agit d'une histoire de tricherie.

    et comme elle a dit elle etait tout le temps au bois sacré une vraie carrieriste ça m'etonne qu'elle ait eu son master.

    je temoigne juste pour eclairer les lecteurs de seneweb. dieu m'est temoin qu'on ne se connaissait meme pas a la fac. je l'ai revu pour la derniere fois le jour des déliberations, en 2eme annee, le jour ou cette histoire a eu lieu.



    Auteur

    Mala Beugue

    En Novembre, 2011 (19:46 PM)
    je suis dingue de cette fille mé bon comment faire :love:  :love:  :love:  :love: 
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    Auteur

    Levirus

    En Novembre, 2011 (19:56 PM)
    mane dama donne deconass rek ! beugouma lancé fi ayi rumeur !   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">   ki khamnako bou bakh ! tonton wam béne nguaynou kadhafi la !
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    Auteur

    Nina

    En Novembre, 2011 (19:59 PM)
    Queen la gnou wakh... bravo yako yor bilahiiii....

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    Auteur

    Xman

    En Novembre, 2011 (20:02 PM)
    dafa saga ndéye mohamed fall, le prof de finances publiques!!
    Auteur

    @levirus

    En Novembre, 2011 (20:45 PM)
    Tu mens, ce n'est pas une histoire de tricherie.Cette fille bossait dur ses cours et tous les étudiants qui bossaient leurs cours au bois sacré vous diront qu'elle était brillante et très battante.Elle a juste insulté Le prof de deuxième en finances publiques (sagua ndaye) et elle est passé en conseil de discipline et elle a été sanctionné.Ceux qui connaissent cette histoire vous diront que c'est juste de l'impolitesse et qu'elle a été puni.Elle aurait jamais dû se mêler à ces histoires d'amicale car c'est depuis cette époque, qu'elle a commencé di diaye affairou pègre.Bon, le prof qu'elle a insulté, est devenu une grande personnalité et elle aussi a réussi.Peût-être qu'ils se rencontreront un jour pour s'expliquer
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    Auteur

    @myopi

    En Novembre, 2011 (20:54 PM)
    Pourquoi me traites tu de menteuse?On dit la même chose, que c'est une battante.Sauf que tu ignores peut-être que Mouhamet fall a été contraint par ses collègues de sévir.Autrement dit sans les autres profs, y aurait pas eu de souci pour elle.Que tu aies couché avec elle, ne concerne personne ici.
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    Auteur

    Sa Liguey Rafetna

    En Novembre, 2011 (21:21 PM)
    bravo queen biz
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    Auteur

    Bebe Coumbis

    En Novembre, 2011 (21:59 PM)
    mais quesqu elle a fait elle a triche mais moi je t aime bien il ne faut plus le faire spt: :dedet: 
    Auteur

    @oumousalamata

    En Novembre, 2011 (22:03 PM)
    Arrête de mentir, ce n'est pas une histoire de cul mais d'insultes de mère à l'endroit d'un prof dont la matière est importante pour passer en licence(finances publiques).Wakh deug, bois sacré sacré, c'était le lieu où elle bossait ses cours.Elle a juste commis une erreur en insultant le prof.
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    Auteur

    Hummm

    En Novembre, 2011 (00:28 AM)
    je ne veux ni médire ni faire de faux témoigne ni faire de la calomnie mais dites moi mes amis au senegal est ce possible d'obtenir des diplômes en trichant ( acheté, corruption, service de mauvais gout ........;;
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    Auteur

    Wade Degage

    En Novembre, 2011 (01:57 AM)
    bravo queen biz   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">   continu comme sa rek si kaw si kanam  :haha:  :haha:  :haha:  :haha:  :up:  :up:  :up:  :up: 
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    Auteur

    Rosigna

    En Novembre, 2011 (03:00 AM)
    never give up Queen,tu as ta place
    Auteur

    Kham Kham

    En Novembre, 2011 (03:11 AM)
    Une boseuse qu'on recale ça arrive mais louche , il y'a bcp de de Coumba DIALLO qu'on a bloqué pour des détails . Quels gachis pour le contribuable senegalais , et pour des heures d'études, d'instruction et de galére de la part des profs des maitres et des parents . Heuresement pour elle, qui su rebondir tout en gardant sa pasion (musique) comme quoi, il suffisait juste d'avoir beaucoup plus de pédagogie, pour l'inciter à s'excuser publiquement surtout de la part des profs limités et de l'administration abusivement autoritaire .c'est normale que les éleves et étudiants soit representés c'est n'est pas une tare d'etre leader.ce qui n'est pas à la portée de tout le monde .Arretez de sacrifier l'avenir des surdoués ça ne vous honore pas .
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    Auteur

    Manynames

    En Novembre, 2011 (07:31 AM)
    Devant toutes ces declarations de parts et d'autres c'etait une bosseusse....elle a insulté le proff......:OK mais une question reste en suspens k lui à t'il fait pour k'il l'insulte,pas le temps d'attendre ton albolm et ta version
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    Auteur

    Evaa

    En Novembre, 2011 (07:51 AM)
    bonne continuation j su fiére de toi djiguén dafa wara bagne ba dé etre une battante comen faire pr t voir sa sujets chansons yi dafa am niam ca refléte la société du courage et vas de l'avant.

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    Auteur

    Mor

    En Novembre, 2011 (08:12 AM)
    non cé a cause de ses dread locks kel a été recalé.elle en avait et les juristes ne tolèrent pas cela.cé incorrect mais elle été douée kan meme.
    Auteur

    @mor

    En Novembre, 2011 (10:21 AM)
    Non, il ne faut pas réduire cettte histoire à ses dreads locks.Elle a insulté un prof et elle a été sanctionnée.Tu n'ignores pas le poids des finances publiques dans le passage en licence.De plus, des profs ont réclamé sa tête car il fallait un signal fort.Je te rappelle aussi que d'autres étudiants ont été suspendus, quand ils sont insulté le doyen lors des élections syndicales.Donc, les profs ne tolèrent pas l'indiscipline et c'est tout.Et je partage l'avis de la personne qui parle de surménage car il est vrai aussi que c'est dur de ne pas voir le fruit de son travail.
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    Auteur

    Fierrrrrr

    En Novembre, 2011 (10:46 AM)
    je surrrrkkiiiffff cette nouvelle vague de chanteuses sénégalaises, des chansons engagées, des filles intelligentes et naturelles, chansons ouvertes vers la soul, la pop, l blues tout en empruntant à notre mbalax national, c'est ça chanter: chanson dégnou kay togueu ba mou saf ! ça change des médiocres comme viviane, titi, et autres qui nous tympanisaient avec leur mauvais mbalax et leur wayaan ! Avec ça au moins notre musique sera encore plus exportable! big up  :sn:  :sn:  :sn: 
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    Auteur

    Fac

    En Novembre, 2011 (11:00 AM)
    Elle est quoi dans tous ça? mandingue, waoulof ou peule?
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    Auteur

    Ayato

    En Novembre, 2011 (11:31 AM)
    Encore une victime des NST (note sexuellement transmissile),elles sont légion.
    Auteur

    Lala

    En Novembre, 2011 (12:34 PM)
    belle,tete bien faite,naturelle et 2 singles qui cartonnent fort et k tout le monde aime.boull tite dara sister,dafay bakh,macha allah
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    Auteur

    Maye

    En Novembre, 2011 (12:37 PM)
    mais pourquoi ne parle tu pas le peul car tu est une peul
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    Auteur

    Révolution

    En Novembre, 2011 (13:01 PM)
    Bravo queen,té chansons dmontrent un engagement sans faille!!! Pr lé hstoire d'insultes cté vrémt une erreur kelken soit la cause pck c incorrect,mé au moins sa se compren ns connaissons ts la pression ki sévi à la fac,on boss ba sone et on se tape de movèz notes!!! Je suis contr ceux ki fustigent son engagemt ds lé histoirs d'amical,je trouv k c une cause noble elle a dc tjrs été engagé c bien ns devons ns engager pr mettre étudier ds de bonne conditions é ns frères et soeurs en profiteront!!! chapo!! :sn:  :sn: 
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    Auteur

    Ady Dieng

    En Novembre, 2011 (13:40 PM)
    Salut Queen

    Bon courage, j'atteste ton parcours brillant pour les études, puisqu'on a fait ensemble un Master en relations Internationales a ESSPRI. Et continue a avoir comme ça du caractère.

    BON VENT POUR LA SUITE.



    Sidy Ady DIENG



    Auteur

    Abdoul Salam

    En Novembre, 2011 (15:40 PM)
    Hé Sister ,je te suis de près tout en espérant que tu gardes la tête froide.Le sérieux que tu as eu dans les études si tu le transfères dans la préparation de tes chansons ; tu feras long feu

    Bonne continuation !
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    Auteur

    1passant!!!

    En Novembre, 2011 (16:25 PM)
    D’ailleurs, elle confesse avoir décliné plus d’une offre politique. Et renoncé tout le temps à assumer les charges de chef de département. « Mes enfants d’abord » a été sa ligne de conduite. « C’est une très bonne maman », « Elle est extraordinaire ! », « C’est la maman des étudiants », « C’est notre recteur ! ». Un torrent d’éloges qui trahit sa réputation de « mère-poule » dans un milieu rebelle comme l’université. Et passe pour l’antithèse du mental d’acier qui navigue, pourtant, en elle.



    Ne vous fiez pas à la tonalité attendrie de sa voix ! Ni aux larmes de collégienne qu’elle versait après avoir lu Jane Eyre. « J’ai séché mes larmes », prévient-elle. La terrible persécution vécue par son mentor, Macky Sall, président de l’Apr, est passée par là. Elle, qui a craqué le jour où elle a trouvé l’ex-président de l’Assemblée nationale, débarqué du perchoir, en train de faire ses cartons. Elle a retenu des images chocs de cet épisode fétide de la politique. C’est le cas lorsque Macky, amaigri, les mains ouvertes lui disant, dans son bureau : « heureusement, je n’ai pas pris leur argent ! » La persécution d’un homme « juste, travailleur et honnête » l’arrache de la neutralité. Marième Badiane bascule dans la politique militante. Et exhume le fonds argumentaire de son engagement.
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    Auteur

    1passant!!!

    En Novembre, 2011 (16:27 PM)
    Jeune professeur à l’Ucad, elle découvre son leader sur les bancs de l’Institut des sciences de la terre (Ist) où elle donne des cours complémentaires. Un euphémisme pour dire qu’elle se livrait ainsi au travail au noir. « Mon mari décédé, je suis seule à la barre », justifie-t-elle. « Courtois, discipliné, correct et brillant », Macky, reconnaissant ne cessait, une fois le Pds aux affaires, d’appeler son ancien prof. Ce dernier résiste jusqu’au jour où, partie féliciter son ancien étudiant promu Premier ministre, il se voit supplier d’accepter le poste de conseillère à la primature. Elle s’applique à merveille dans sa nouvelle fonction, s’attire l’admiration du Pm et rate de peu, au lendemain des Législatives de 2007, d’entrer dans le gouvernement. A l’Apr où elle est cooptée au poste de présidente du Mouvement national des femmes, Marième Badiane est sur le pied de guerre. « C’est le côté sale de la politique que nous voulons laver. C’est bien possible avec Macky Sall. C’est un garçon pétri de qualités et travailleur ». Voilée, le visage barré de lunettes correctrices, Mme Bâ, a un caractère en tiroirs.



    « C’est le côté sale de la politique que nous voulons laver. C’est bien possible avec Macky Sall. C’est un garçon pétri de qualités et travailleur »



    Normalienne, Marième Badiane a travaillé dur chez sa tante. Cette seconde maman, sœur cadette de sa mère, n’avait que des garçons. Un don de Dieu qui arrache des convoitises ailleurs « écrase » cette femme de servitudes ménagères. Marième dont la mère n’avait mis au monde que des filles est alors envoyée suppléer sa tante dans les travaux domestiques. Elle s’en acquitte telle une contrainte religieuse. « Je ne voulais pas qu’elle touche à quoi que ce soit », se souvient-elle. Ce caractère forgé dans la pugnacité est une sorte de viatique chez elle.
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    Auteur

    1passant!!!

    En Novembre, 2011 (16:28 PM)
    Son premier choc avec l’anglais en témoigne. Le 09/20 qu’elle récolte à la première composition en classe de 6è cisaille son enthousiasme. Elle en est meurtrie et dans sa cervelle résonne encore les mots de compassion de son condisciple Ndèye Diodio Badiane. Mais, dès la classe de 5è, elle s’en relève pour de bon. Et brille de mille feux dans la langue de Shakespeare. Marième Badiane est née le 24 septembre 1946 à Dakar. Son père, instituteur, a pesé de toute son influence dans son cursus scolaire. Admise à l’entrée en 6è et à l’Ecole normale des jeunes filles de Rufisque, elle choisit cette dernière qui conduit à l’enseignement. C’était l’époque où les instituteurs suscitaient tant d’admiration. Après le Bepc (classe de 3è), elle fait cap sur Saint-Louis au lycée Ameth Fall, puis revient à Thiès où toutes les « normaliennes » sont regroupées à l’Ecole normale des jeunes filles. En 1967, Marième décroche son bac philosophie. Classée deuxième, les portes de l’université lui sont alors ouvertes. Tout comme celui du premier mariage. Là, c’est tout un ravissement de l’entendre répandre tant de sensibilité et d’affection à la Shakespeare sur ce premier prince, aujourd’hui disparu. « Un grand monsieur ! », concède-t-elle à lâcher dans un élan trop enflammé. Puis, freine net des quatre fers. Le climat s’alourdit subitement dans son salon où le marron, couleur de son parti l’Apr, règne en...
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    1passant!!!

    En Novembre, 2011 (16:33 PM)
    . Puis, freine net des quatre fers. Le climat s’alourdit subitement dans son salon où le marron, couleur de son parti l’Apr, règne en maître. Heureusement, elle ne pleure pas. Des larmes qu’elle a dû réprimer grâce, sans doute, au silence de quelques secondes qu’elle s’est imposée. Quelques souvenirs déchirants coulent, tout de même, de sa mémoire. Et elle évoque furtivement ces virées à Soumbédioune durant lesquelles, son mari, pour lui épargner d’être happée par le sable marin collant allait lui-même chez les poissonniers. C’est encore ce mari qui coupait son sommeil et la contraignait à aller à la fac. Alors qu’elle accusait les spleens de la grossesse et se plaisait à prolonger son sommeil. Ou lui arrachait les bottes quand elle revenait de la fac, en France. C’est cet époux, M. Ndiaye, qui lui a donné son premier patronyme d’enseignant à l’Université. Qui sait, c’est peut-être aussi cet homme qui a bâti la philosophie qu’elle a de l’époux. « Le mari ? C’est insaisissable ! Il est plus fort que le père et la mère. On lui souhaite une réussite sociale qu’on ne souhaite pas à ses parents ou à ses frères », lance-t-elle. Pourtant, que d’atermoiements quand la question de son mariage s’est posée.



    « Le mari ? C’est insaisissable ! Il est plus fort que le père et la mère. On lui souhaite une réussite sociale qu’on ne souhaite pas à ses parents ou à ses frères
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    1passant!!!

    En Novembre, 2011 (16:34 PM)
    « Au départ, mon père était réticent. Il a, à demi-mots, refusé. Ce mariage, c’est ma mère et ma tante qui y tenaient. Je ne disais rien face aux hésitations de mon père. Mais, c’est connu, « qui ne dit rien consent », se souvient le chef du département d’anglais de la faculté des lettres de l’Ucad. A coup sûr, ce père reconverti dans les affaires a dû flairer que sa fille avait une bonne carte à jouer dans les études. Mais, à l’université où elle débarque en 1968, un revers l’attend. Prise dans le tourbillon de la ferveur militante et contestataire estudiantine, elle fait le piquet de grève. Alors que son père ne cessait de l’en dissuader. Pour une étudiante-fonctionnaire, l’audace était périlleuse. Elle est alors renvoyée de l’université. La voilà à l’Ecole normale supérieure (actuelle Fastef) comme c’était la règle. Un nouveau challenge se dresse devant Marième. Devenue professeur au lycée John F. Kennedy, elle s’inscrit à la fac, allie les deux et finit par décrocher la licence. Sa résignation se mue en rédemption quand Marième doit suivre son mari affecté en France. Les portes de la Sorbonne s’ouvrent devant elle après un test réussi. Le professeur encadreur, établi à l’Institut d’anglais, sis à 5, rue de l’Ecole de Médecine dont la réputation faisait frémir lui avait demandé d’écrire dix pages en anglais sur son sujet.



    Dans l’Hexagone s’engage une nouvelle vie quasiment sans...
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    1passant!!!

    En Novembre, 2011 (16:35 PM)
    Dans l’Hexagone s’engage une nouvelle vie quasiment sans pitié malgré une grossesse de deux mois.



    Il fallait allier des cours qui allaient jusqu’à 22 h, un ventre qui ne cessait d’enfler et plus d’un kilomètre sous la neige. Dans le bus ou le métro, tard le soir, sur le chemin du retour en banlieue, elle s’armait de sachets où elle vomissait de temps en temps. La maîtrise en poche, elle s’inscrit en Dess en anglais spécialisé. Ces moments de souffrance ont pour elle une incarnation vivante. C’est Sadibou. Grand et bagarreur, ce garçon, devenu ingénieur, est né juste après qu’elle a soutenu son mémoire de Dess. Elle rêve alors d’un job à la Bceao. Mais son mari n’a pas fini. L’aventure continue. Elle s’inscrit en Dea littéraire. Puis, pour sa thèse, se fait convaincre par son encadreur qui lui demande de se détourner des sentiers battus. C’est un nouveau contraste qui s’immisce dans sa vie. Ame sensible et cœur fragile, Marième Badiane choisit une œuvre marginalisée, Jonathan Wild qui raconte l’histoire du plus célèbre bandit britannique du 18ème siècle. Là où on l’attendait dénouer par exemple le drame de Hamlet. En 1985, elle débarque à l’Ucad, décroche un poste d’assistant grâce à Moctar Bâ, « un père et un maître pour moi ». Après quelque 30 ans de carrière, Marième Badiane, très peu affectée par ses maternités d’enfer, mariée une troisième fois, a décidé de garder son nom de...
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    1passant!!!

    En Novembre, 2011 (16:36 PM)
    En 1985, elle débarque à l’Ucad, décroche un poste d’assistant grâce à Moctar Bâ, « un père et un maître pour moi ». Après quelque 30 ans de carrière, Marième Badiane, très peu affectée par ses maternités d’enfer, mariée une troisième fois, a décidé de garder son nom de jeune fille. Comme elle garde depuis 27 ans la même cuisinière. Désormais à la retraite, elle caresse le rêve de pleurer au soir du 26 février 2012. Pas à cause de Jane Eyre. Mais du bonheur de voir Macky Sall élu Président. Good Luck âme sensible !



    Hamidou SAGNA

    LA GAZETTE.SN
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    Etudiante Ucad

    En Novembre, 2011 (20:01 PM)
    brao a Quenne biz Coumba diallo, on etait ensemble au college Ogo Diop, au Lycee, et a la Fac de Droit , je la connais tres bien c e tait une vraie battante ,une habituee du bois sacre ,dans cette affaire avec le prof tout les etudiants n en revenaient pas , la sanction etait trop dure ,

    je te souhaite bcp de succes



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    Dino

    En Novembre, 2011 (21:27 PM)
    Queen affaire bi yaw rek la
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    Mmmm

    En Novembre, 2011 (00:09 AM)
    Il faut eviter les blemes avec les profs!!!

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    Fb

    En Novembre, 2011 (09:23 AM)
    Niit dafaye mandou faut jamais dire du mal sur quelqu'un q'on ne connait pas bien. cette fille je la connais très bien nous avons cheminé ensemble à la faculté de droit nous etions 4 filles on nous appalé djiné bois sacré comme elle l'a dit.nous avons partagé un même lit nous étions toujours ensemble et j'avoue que c'est une battante.son histoire avec ce prof(MOUHAMET FALL) n'était pas un probléme de sexe ni de tricherie elle navait pas le temps de tricher ni de se donner à un homme.je la porte toujour dans mon coeur même si elle ma laché depuis cet histoire.

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    Bobby

    En Novembre, 2011 (12:20 PM)
    tiens bon et tout ira bien inchallah !
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    Réalité

    En Novembre, 2011 (13:27 PM)
    vous savez il ya 3 types de senegalais: ceux ki provoquent les choses, ceux ki les observent et ceux qui disent que c t'il passé. rester la a parler au lieu d'essayé kom elle de provoker les choses. thimmmmmmmmmmmmm :down: 
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    Gina

    En Novembre, 2011 (13:53 PM)
    Mouhamet fall fac droit,tu finiras mal toi.tu as fait echoue bcp d'etudiants
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    Aida

    En Novembre, 2011 (14:01 PM)
    cette fille est sans pudeur elle ne respect pas sa mère cause pour laquelle elle insulte ce prof de mère
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    Satou3456

    En Novembre, 2011 (15:47 PM)
    coumba tu eu se que tu a recolter rek quand tu etait dans ton menage tu te croyer la reine du monde tu fesai se qui te chante voila maintenent tu pleur et tu vera jamais bizo les hommes dofougnou nak
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    Wgye

    En Novembre, 2011 (15:55 PM)
    Bravo, et bon courage, nous t'aimons comme ça.
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    Je N'ai Pas Compris

    En Novembre, 2011 (20:46 PM)
    QUest ce que vous appelez Maitrise et MASTER au SENEGAL... car pour moi Master et Maitrise cest la meme chose.. aux Etats Unis ..quand tu dis ..I have a Masters... cela veut dire.. Maitrise... Walabok... Eclairez pour moi
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    Kiné

    En Novembre, 2011 (21:39 PM)
    se séparer de bizo é la meilleure dé choz ki puisse t'arriver queen .il é pire k bohiri .il é entrain de remuer ciel et terre pour te revoir mé cé trop tard.vas y fonce et ne les écoute pas car tous les sénégalais t'aiment et cé pas donné atout le monde.
    Auteur

    Fan's

    En Novembre, 2011 (15:41 PM)
    comment tu as fait pour avoir ton métrise à l'universié du sahel

    - en trichant ou

    - en faisant du yeureul li ma yore sa li sa lé - hasawlé ba dé
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    Fans Bizo

    En Novembre, 2011 (16:11 PM)
    mon bizo n' a pas besoin de courrir dérrière cette garce qui couche avec le premier venu

    coumba tu finira mal car à peine commencer tu te fais des ennemies
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    Bouba200

    En Novembre, 2011 (18:25 PM)
    tu es belle   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">   :haha: : :love: 
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