Le porte-parole du Parti démocratique sénégalais (Pds), Babacar Gaye, accuse Abdoulaye Daouda Diallo de vouloir réélire Macky Sall, à tout prix, quitte à frauder. “Le ministre de l'Intérieur et son équipe n'ont pas le profil de l'emploi. Car ils ont décidé de réélire vaille que vaille le Président de leur parti au risque de mettre notre pays en péril.
C'est en cela que la la Constitution d'un Front de l'opposition pour barrer la route à ces ennemis de l'Etat de droit, de la paix civile et de la stabilité du pays, arrive à son heure. Le jour du scrutin, il sera trop tard pour agir”, dit-il dans un entretien avec “Le Populaire”.
Selon lui, il est vrai que quand on tient compte de l'expérience des élections passées, on est tenté d'être fier de notre système électoral. Mais, ajoute-t-il, “depuis les cas de fraudes sur les cartes nationales d'identité signalés à Pékiné, à Matam, à Mbao, à Nioro et aux Etats-Unis, où des ressortissants de pays limitrophes sont inscrits dans notre fichier, il y a de quoi s'inquiéter de ce regain de la fraude”. “Le mode opératoire des fraudeurs qui agissaient en amont est plus pernicieux. Même si en matière électorale, le Sénégal n'a plus besoin d'institutions fortes ou de textes, on peut légitimement s'inquiéter. Notre démocratie a plus besoin d'hommes intègres et de démocrates au service de leur partie que d'organes et de législation”, explique-t-il.
C'est en cela que la la Constitution d'un Front de l'opposition pour barrer la route à ces ennemis de l'Etat de droit, de la paix civile et de la stabilité du pays, arrive à son heure. Le jour du scrutin, il sera trop tard pour agir”, dit-il dans un entretien avec “Le Populaire”.
Selon lui, il est vrai que quand on tient compte de l'expérience des élections passées, on est tenté d'être fier de notre système électoral. Mais, ajoute-t-il, “depuis les cas de fraudes sur les cartes nationales d'identité signalés à Pékiné, à Matam, à Mbao, à Nioro et aux Etats-Unis, où des ressortissants de pays limitrophes sont inscrits dans notre fichier, il y a de quoi s'inquiéter de ce regain de la fraude”. “Le mode opératoire des fraudeurs qui agissaient en amont est plus pernicieux. Même si en matière électorale, le Sénégal n'a plus besoin d'institutions fortes ou de textes, on peut légitimement s'inquiéter. Notre démocratie a plus besoin d'hommes intègres et de démocrates au service de leur partie que d'organes et de législation”, explique-t-il.
16 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2015 (08:08 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (08:15 AM)au secoure KARIM pour nous sortire de ce marasme !
La Vérité
En Juillet, 2015 (08:25 AM)Unitecentrale
En Juillet, 2015 (08:42 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (09:09 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (09:11 AM)Piff
En Juillet, 2015 (09:34 AM)Chemar
En Juillet, 2015 (09:44 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (10:29 AM)Fabb
En Juillet, 2015 (10:43 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:42 PM)Fatiq
En Juillet, 2015 (16:41 PM)En tout cas le Pds a de la matière avec l’équation des drive par Diagne Fada.et c'est de la diversion de la part du porte casserole du PDS EN évoquant cette histoire de fraudes .
LES SENEGALAIS ATTENDENT!!!!!!!!!!!!!!
Professeur
En Juillet, 2015 (16:55 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:57 PM)pds wado karimo kénène ak kénène lou bokh ci pds bakhna.les sénégalais en on marr chak jour todj todj bou gnou dèff fégn koudou 35mil cidjada50mil etccccccccccccccccccc
pa de coalition entre khalifa et karim ci khaf es dacor ma bayi voté ba fawwwwwwwwwwwwww
Politicard
En Juillet, 2015 (21:22 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (00:07 AM)Participer à la Discussion