L'Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) doit se résoudre à fonctionner, désormais, avec un budget revu à la baisse.
Selon Les Échos, qui donne l'information dans sa parution de ce mercredi, de 12 milliards en 2019, elle devra se contenter de 9,4 milliards Fcfa en 2020.
9 Commentaires
Kawteefanonyme
En Novembre, 2019 (11:25 AM)Dragon Ball
En Novembre, 2019 (11:59 AM)Ibrahima
En Novembre, 2019 (12:01 PM)Il décide du budget d’une agence, comme l’Artp, ce n’est pas son job, il y a un ministre, il y a un conseil d’aadministration, il y a plusieurs organes de l’Etat qui peuvent et doivent cela, même si c’est sur instruction.
On lit dans la presse de ce matin et ici sur Seneweb que le Président de la République, « en plein conseil des ministres « a mis fin au contrat de la Sde, pour ce qui concerne l’hydraulique rurale!
Etc etc et tout ceci ce n’est pas parce que le Sénégal n’a plus de Premier Ministre, mais parce que le Président s’implique dans des affaires qui ne devraient plus le concerner dès lors que lui même a nommé à chaque fonction gouvernementale des personnes compétentes pour le suivi et la gestion des affaires publiques, normalement.
C’est à peine croyable, comment le Président peut il trouver le temps de s’occuper de ces choses là et s’il le fait combien doivent lui échapper et enfin c’est la façon la plus royale de déresponsabiliser tout le monde autour de soi!
Au lieu de le féliciter ici et là on devrait plutôt s’inquiéter de la façon très primaire dont nous sommes dirigés : le Sénégal est un État, et comme tel il doit structuré, organisé, et avec des méthodes et moyens de gestion et de contrôle modernes.
Mais avant tout si on a les prérogatives de nommer à toutes les fonctions civiles et militaires et à l’échelon supérieur, on doit veiller scrupuleusement à n’y nommer que des personnels les plus compétentes t des lors qu’ils sont Sénégalais : ces compétences sont avant au service du pays et les résultats de leurs actions ne servent aucun parti politique mais tous ls Sénégalais et le mérite reviendrait d’abord au Chef qui les a promus pour servir le Sénégal.
La liberté d’expression est garantie en Belgique par des textes internationaux, européens et constitutionnels?[1][1]Cf. pour l’essentiel l’article 19 du Pacte international…. Mais les médias ne rêvent pas seulement de s’exprimer : ils ambitionnent également d’exercer une activité économique. À ce titre, singulièrement dans le cadre du droit européen, ils jouissent aussi de la liberté d’entreprise?[2][2]Cf. infra notre synthèse des règles issues de l'Union…. Toutefois, en matière d’audiovisuel comme dans bien d’autres, les libertés ne suffisent pas à « organiser » une activité. D’autant moins que les enjeux sous-jacents touchent au cœur du système démocratique, que le public a intérêt à bénéficier d’une certaine protection face à l’influence considérable qu’exercent les médias audiovisuels et dans la mesure où les ressources pour exercer ces libertés sont rares (pensons aux fréquences hertziennes). De plus, la liberté d’expression et la liberté d’entreprise ont des logiques potentiellement conflictuelles.
2 On l’aura compris, le domaine des activités audiovisuelles cristallise bien des nœuds du monde actuel. S’y confrontent la culture et le marché. S’y confrontent aussi les intérêts des médias, ceux des hommes politiques et ceux du public. Qui régule ces activités et comment ? Ces questions, objet de cette étude, ne peuvent s’appréhender en dehors de leur contexte socio-politique.
3 Tant l’accès à la communication audiovisuelle que le contenu de la communication audiovisuelle appellent des règles juridiques ? Mais le droit se déploie ici sous toutes ses modalités : depuis la réglementation jusqu’à l’autorégulation, en passant par la corégulation ; depuis le droit le plus contraignant jusqu’au droit le plus souple. Le droit de l’audiovisuel figure un bel exemple de droit post-moderne ?
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