Le président de la République, Macky Sall, reçoit l'opposition, aujourd’hui, au palais. Mais déjà, il y a une cacophonie au sein du Front "Mankoo Wattu Senegaal". Déthié Diouf, un des membres de l’opposition, confie que la délégation, qui sera conduite par Mamadou Diop Decroix, n’est pas mandatée par les leaders.
«Le groupe qui va aller au Palais n’est pas un groupe qui a été désigné pour discuter au nom du Mankoo Wattu Senegaal. C’est un groupe de copains, de manœuvriers, qui va se rendre au Palais cet après-midi. Ça ne passera pas. On ne laissera pas faire», a-t-il soutenu sur les ondes de la Rfm. Pour le président du parti politique ‘’Visions alternatives pour le Sénégal (VISA)’’,
« Mamadou Diop Decroix se comporte comme s'il est le coordinateur du front. Dans les réunions, il prend la parole comme il le veut. Il pense être le leader. Ce sont des méthodes marxistes-léninistes vraiment dépassées», ajoute-t-il
29 Commentaires
Ziiza
En Décembre, 2016 (13:33 PM)Cela prouve que vous etes une opposition anti- système a savoir contre le gouvernement en place. Vos objectifs sont simplement de mener le pays vers la dérive alors que nous sénégalais nous réclamons une opposition classique qui respecte et reconnait le gouvernement et surtout propose des alternatives aux politiques menées.
Si vous ne pouvez vous entendre sur une toute petite liste de représentants comment vous pensez convaincre le sénégalais.
Depuis un temps cest lexplosion dans cette opposition composée de leaders sans vision, incompétents.
Bonne opportunity pour Macky car depuis kil a annoncé vous recevoir alors il a eskivé vos attaques et vous regards sur son perchoire entrain de vous dénigrer entre vous.
Macky voila ta solution chaque mois annonce leur une invitation au palais
mdrrrrr
Anonyme
En Décembre, 2016 (13:34 PM)Bamba Sy
En Décembre, 2016 (13:35 PM)on n'a pas vécu une année 2000, et à plus forte raison, une année 2016.
arrêtez! ce que vous faites ne relève que d'illusions funèbres de plus de 15 ans, celle d'une humanité qui refuse d'accepter sa défaite.
alors réveillez vous avant que le bon Dieu ne le fasse.
Anonyme
En Décembre, 2016 (14:00 PM)Sociologue
En Décembre, 2016 (15:03 PM)Qu'est-ce qu'il fait dans la vie en dehors de la politique? Quelles sont ses sources de revenus en dehors de ce sphère? L'argent a lui remis par Wade étant épuisé, il lui faut des ressources pour vivre voire survivre et la seule prairie verte se trouve du côté de l'Avenue LSS. Je ne serais même pas surpris s'il regagner le cercle des alliés de Macky.
Y a des ces hommes politiques qui ne peuvent plus vivre en dehors des lambris dorés du pouvoir. Djibo et Ousmane Ngom ne s'en cachent plus mais ils sont nombreux. Même le Monsieur marteau (suivez mon regard) ayant goûté à la gestion d'un budget, commence à s'agiter.
Ah l'argent!
Anonyme
En Décembre, 2016 (15:10 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (15:12 PM)L'urbanisation est devenue, avec le changement climatique en cours, l'un des phenoménes sociaux récents dont l'évolution impacte le plus sur l'avenir des pays en voie de developpement.
A l'instar des pays du Nord qui ont vécu cette mutation depuis plus d'un siécle, les pays africains sont en train d'expérimenter le douloureux passage d'une société rurale à une société urbaine; les gouvernants actuels, mal préparés à ce "saut qualitif vers le progrés", subissent les contrecoups d'une demande sociale exigeante en infrastructures, en équipements collectifs et en services sociaux de base (eau potable, électricité, transports, éducation, etc...): de plus en plus, les villes connaissent des manifestations parfois violentes ou, mieux, les autorités municipales ou étatiques sont débarquées lors des élections et, trés souvent, à leur grande surprise
Au Sénegal, nous assistons à deux dynamiques qui laissent les urbanistes et Aménagistes dubitatifs sur la capacité de nos gouvernants à promouvoir un développment urbain harmonieux
Concernant précisement le secteur spécial des infrastructures lourdes,nous avons assisté à deux options d'amenagement totalement opposés depuis 2001
Tout le monde l'a constaté: avec l'arrivée au pouvoir de Me WADE en 2000, les Sénegalais ont vu surgir de terre des infrastructures de grand standing, à l'image de l'autoroute à péage, de l'aéroport AIBD ou encore des équipements collectifs de derniére géneration (tunnels, ponts à six étoiles, voiries urbaines modernes et assainies, Universités, grand Théatre, Chantiers de Thies, etc...)
A postériori, nous pouvons dire que ces "grands travaux" repondaient à une exigeance sociale avérée avec les embouiteillages monstres vécus à l'époque ou encore la dégradation avancée de la voirie urbaine/interurbaine et la vétusté des équipements collectifs
A l'analyse, et dans la pratique, nous pouvons dire que ces "travaux pharaoniques" constituaient une politique de rattrapage qui ont été bien accueillis par les Sénegalais du fait de l'impact de ces travaux sur le profil urbain de la capitale (et peu de citadins ont parlé de gaspillage à l'époque malgré les milliards engloutis de maniére peu transparente)
A contrario, depuis que le President Macky Sall est aux commandes, nous assistons à un phénoméne "insolite" et nouveau dans le domaine de l'urbanisation
Les "grands travaux" entamés par le President Sall ne correspondent pas à une demande sociale identifiée et, à moyen terme, n'auront pas d'impact sur le quotidien des citadins
Ces " grands chantiers de l'émergence" relevent plutôt de la volonté du Prince qui, sans nul doute, veut bien faire mais n'a consulté personne, contrairement à son predecesseur. Et, comme le dit l'adage"quand on decide toujours tout seul, on risque de se tromper lourdement tout seul"
Prenons quelques exemples de ces "projets décalés" avant de tenter une reflexion globale sur quelques mesures correctives car les infrastructures lourdes, une fois ancrées dans le sol, sont irreversibles
- Le Pôle Urbain de Diamniadio (80 milliards de fr Cfa): pour la premiere fois dans la riche histoire urbaine de la région de Dakar, nous assistons à la création d'une "ville virtuelle" sans lien physique avec les autres centres urbains mais, surtout, sans planification dans un PDU (Plan Directeur d'Urbanisme); rappelons seulement que Dakar est la plus belle ville d'Afrique de l'Ouest grâce aux cinq PDU qui ont jalonné son histoire depuis sa création en 1862.
Aussi, la localisation du nouveau Pôle urbain pose un probléme fondamental: le site est "hostile" à une urbanisation de type moderne (urbanisation verticale moins bouffeuse d'espace) car ne pouvant supporter ni immeubles ni espaces verts du fait de la qualité argileuse du sol; ce qui préfigure également des difficultés pour l'amenéé de reseaux divers (eau, assainissement et voiries) mais aussi la plantation d'arbres ou d'espaces verts pour créer un micro climat dans cette zone de forte chaleur
L'Autoroute Diamniadio -AIBD (120 Milliards de fr Cfa): une question s'impose: Quelle logique économique soustend la réalisation d'une autoroute aussi couteuse? Peut on construire une infrastructure d'environ quatre cent milliards qui ne servira qu'à desservir quelques centaines de voyageurs? Face à l'incrédulité des urbanistes et aménagistes, on a accollé à l'autoroute en cours une autre autoroute de prolongement jusqu'à Mbour; le cas échéant, il aurait été plus judicieux de redimensionner et éclairer la route de MBour existante et de réaliser des bretelles pour l'Aeroport et les autres villes environnantes afin de créer un maillage fort de la zone
Le Train Express Régional Dakar AIBD: ( 400 Milliards de fr Cfa): Quelle logique économique soustend la réalisation d'une voie ferroviaire aussi couteuse?Peut on construire une infrastructure d'environ quatre cent milliards qui ne servira qu'à desservir quelques centaines de voyageurs? Ici, le plus inquiétant c'est, avec le coût financier important, l'impact social risque d'affecter des milliers d'habitations sur le tracé du Ter
Nous pouvons également mettre dans ce lot "d'infrastructures du desert", l'Autoroute Thies- Diourbel...
La particulité qui frappe celui qui traverse ces infrastrucutres et projets en cours est l'absence d'âme qui vive dans ces zones, de veritables deserts entourés de béton
Certains brandiront l'argument classique de "l'utilité pour les génerations futures", il suffit rappeler qu'à chaque géneration ses priorités incompressibles et les priorités actuelles tournent autour de la formation professionnelle des millions de jeunes déseouvrés et découragés, la santé, l'éducation et le monde rural
Pour les urbanistes, un concept opératoire simple permet de determiner la pertinence voire l'efficience d'une infrastructure lourde: le Bilan= Coût sur Avantage; c'est à l'issue de cette prospection qui prendra en compte tous les aspects du projet urbain que l'Autorité doit prendre sa décision. Cette méthode repose, au préalable, sur des études urbaines et statistiques et des recherches locales qui sont toujours necessaires pour une bonne prise de décision.
Les projets susnommés ont ils été passés par ces filtres ou sont ils nés d'une volonté venue d'en haut?
En conclusion, certaines mesures correctives peuvent être prises par le President Macky sall dont personne ne remet en cause sa détermination à faire du Sénegal un pays émergent.
Dans le but de ne pas alourdir ce cri du coeur d'urbaniste, nous reviendrons dans une prochaine contribution sur certaines grandes mesures correctives qui peuvent faire de ces "grands travaux pour l'emergence" une politique comparable à la politique du "New deal" réalisée par le Président Roosevelt
Naby Soumah Diaw
urbaniste-Amenagiste
Diplômé de Sciences Pô Toulouse
[email protected]
Anonyme
En Décembre, 2016 (15:40 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (15:43 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (16:03 PM)L'urbanisation est devenue, avec le changement climatique en cours, l'un des phenoménes sociaux récents dont l'évolution impacte le plus sur l'avenir des pays en voie de developpement.
A l'instar des pays du Nord qui ont vécu cette mutation depuis plus d'un siécle, les pays africains sont en train d'expérimenter le douloureux passage d'une société rurale à une société urbaine; les gouvernants actuels, mal préparés à ce "saut qualitif vers le progrés", subissent les contrecoups d'une demande sociale exigeante en infrastructures, en équipements collectifs et en services sociaux de base (eau potable, électricité, transports, éducation, etc...): de plus en plus, les villes connaissent des manifestations parfois violentes ou, mieux, les autorités municipales ou étatiques sont débarquées lors des élections et, trés souvent, à leur grande surprise
Au Sénegal, nous assistons à deux dynamiques qui laissent les urbanistes et Aménagistes dubitatifs sur la capacité de nos gouvernants à promouvoir un développment urbain harmonieux
Concernant précisement le secteur spécial des infrastructures lourdes,nous avons assisté à deux options d'amenagement totalement opposés depuis 2001
Tout le monde l'a constaté: avec l'arrivée au pouvoir de Me WADE en 2000, les Sénegalais ont vu surgir de terre des infrastructures de grand standing, à l'image de l'autoroute à péage, de l'aéroport AIBD ou encore des équipements collectifs de derniére géneration (tunnels, ponts à six étoiles, voiries urbaines modernes et assainies, Universités, grand Théatre, Chantiers de Thies, etc...)
A postériori, nous pouvons dire que ces "grands travaux" repondaient à une exigeance sociale avérée avec les embouiteillages monstres vécus à l'époque ou encore la dégradation avancée de la voirie urbaine/interurbaine et la vétusté des équipements collectifs
A l'analyse, et dans la pratique, nous pouvons dire que ces "travaux pharaoniques" constituaient une politique de rattrapage qui ont été bien accueillis par les Sénegalais du fait de l'impact de ces travaux sur le profil urbain de la capitale (et peu de citadins ont parlé de gaspillage à l'époque malgré les milliards engloutis de maniére peu transparente)
A contrario, depuis que le President Macky Sall est aux commandes, nous assistons à un phénoméne "insolite" et nouveau dans le domaine de l'urbanisation
Les "grands travaux" entamés par le President Sall ne correspondent pas à une demande sociale identifiée et, à moyen terme, n'auront pas d'impact sur le quotidien des citadins
Ces " grands chantiers de l'émergence" relevent plutôt de la volonté du Prince qui, sans nul doute, veut bien faire mais n'a consulté personne, contrairement à son predecesseur. Et, comme le dit l'adage"quand on decide toujours tout seul, on risque de se tromper lourdement tout seul"
Prenons quelques exemples de ces "projets décalés" avant de tenter une reflexion globale sur quelques mesures correctives car les infrastructures lourdes, une fois ancrées dans le sol, sont irreversibles
- Le Pôle Urbain de Diamniadio (80 milliards de fr Cfa): pour la premiere fois dans la riche histoire urbaine de la région de Dakar, nous assistons à la création d'une "ville virtuelle" sans lien physique avec les autres centres urbains mais, surtout, sans planification dans un PDU (Plan Directeur d'Urbanisme); rappelons seulement que Dakar est la plus belle ville d'Afrique de l'Ouest grâce aux cinq PDU qui ont jalonné son histoire depuis sa création en 1862.
Aussi, la localisation du nouveau Pôle urbain pose un probléme fondamental: le site est "hostile" à une urbanisation de type moderne (urbanisation verticale moins bouffeuse d'espace) car ne pouvant supporter ni immeubles ni espaces verts du fait de la qualité argileuse du sol; ce qui préfigure également des difficultés pour l'amenéé de reseaux divers (eau, assainissement et voiries) mais aussi la plantation d'arbres ou d'espaces verts pour créer un micro climat dans cette zone de forte chaleur
L'Autoroute Diamniadio -AIBD (120 Milliards de fr Cfa): une question s'impose: Quelle logique économique soustend la réalisation d'une autoroute aussi couteuse? Peut on construire une infrastructure d'environ quatre cent milliards qui ne servira qu'à desservir quelques centaines de voyageurs? Face à l'incrédulité des urbanistes et aménagistes, on a accollé à l'autoroute en cours une autre autoroute de prolongement jusqu'à Mbour; le cas échéant, il aurait été plus judicieux de redimensionner et éclairer la route de MBour existante et de réaliser des bretelles pour l'Aeroport et les autres villes environnantes afin de créer un maillage fort de la zone
Le Train Express Régional Dakar AIBD: ( 400 Milliards de fr Cfa): Quelle logique économique soustend la réalisation d'une voie ferroviaire aussi couteuse?Peut on construire une infrastructure d'environ quatre cent milliards qui ne servira qu'à desservir quelques centaines de voyageurs? Ici, le plus inquiétant c'est, avec le coût financier important, l'impact social risque d'affecter des milliers d'habitations sur le tracé du Ter
Nous pouvons également mettre dans ce lot "d'infrastructures du desert", l'Autoroute Thies- Diourbel...
La particulité qui frappe celui qui traverse ces infrastrucutres et projets en cours est l'absence d'âme qui vive dans ces zones, de veritables deserts entourés de béton
Certains brandiront l'argument classique de "l'utilité pour les génerations futures", il suffit rappeler qu'à chaque géneration ses priorités incompressibles et les priorités actuelles tournent autour de la formation professionnelle des millions de jeunes déseouvrés et découragés, la santé, l'éducation et le monde rural
Pour les urbanistes, un concept opératoire simple permet de determiner la pertinence voire l'efficience d'une infrastructure lourde: le Bilan= Coût sur Avantage; c'est à l'issue de cette prospection qui prendra en compte tous les aspects du projet urbain que l'Autorité doit prendre sa décision. Cette méthode repose, au préalable, sur des études urbaines et statistiques et des recherches locales qui sont toujours necessaires pour une bonne prise de décision.
Les projets susnommés ont ils été passés par ces filtres ou sont ils nés d'une volonté venue d'en haut?
En conclusion, certaines mesures correctives peuvent être prises par le President Macky sall dont personne ne remet en cause sa détermination à faire du Sénegal un pays émergent.
Dans le but de ne pas alourdir ce cri du coeur d'urbaniste, nous reviendrons dans une prochaine contribution sur certaines grandes mesures correctives qui peuvent faire de ces "grands travaux pour l'emergence" une politique comparable à la politique du "New deal" réalisée par le Président Roosevelt
Anonyme
En Décembre, 2016 (16:07 PM)Alors en 2006 sous le régime de Wade la dette extérieur du Sénégal était à l'ordre de 21% de notre produit intérieur brut PIB.
Aujourd'hui en quatre années de règne, Macky Sall a tiré la dette extérieur du Sénégal à un record jamais atteint de presque 5000 mille milliard de francs CFA. Ce qui représente 60% du PIB, alors que la règle de l'UEMOA pour l'endettement des 8 États reste et demeure limitée à 70% .
Ce pays a perdu donc tout ses repères et va droit au mur si le peuple ne réagit pas en conséquence contre cette médiocrité inouïe pour arrêter ces nullards et Macky Sall en premier.
Anonyme
En Décembre, 2016 (16:08 PM)accéder à la modernité sans piétiner notre authenticité. disait le grand SENGHOR
maintenant nous somme face a une opposition qui ne cherche que le K.O du pays pour dire
que c le régime en place
mais bon nous ont croit qu'en Dieu
macky rekk
Leuz
En Décembre, 2016 (16:17 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (16:19 PM)c'est de l'extrême liberté que sort la servitude la plus totale et la plus rude.
dans se pays il est facile de voir que l'opposition ne se souci pas de la population mais
plutot ils esseye de faire perdre de ceux qui sont pouvoirs
Anonyme
En Décembre, 2016 (16:32 PM)Fatiq
En Décembre, 2016 (16:35 PM)Second
En Décembre, 2016 (16:57 PM)Alors en 2006 sous le régime de Wade la dette extérieur du Sénégal était à l'ordre de 21% de notre produit intérieur brut PIB.
Aujourd'hui en quatre années de règne, Macky Sall a tiré la dette extérieur du Sénégal à un record jamais atteint de presque 5000 mille milliard de francs CFA. Ce qui représente 60% du PIB, alors que la règle de l'UEMOA pour l'endettement des 8 États reste et demeure limitée à 70% .
Ce pays a perdu donc tout ses repères et va droit au mur si le peuple ne réagit pas en conséquence contre cette médiocrité inouïe pour arrêter ces nullards et Macky Sall en premier.
Ndeyssane Senweb a vendu sa dignité comme les autres. Thiéye li
Anonyme
En Décembre, 2016 (17:37 PM)Tof
En Décembre, 2016 (18:12 PM)Alors en 2006 sous le régime de Wade la dette extérieur du Sénégal était à l'ordre de 21% de notre produit intérieur brut PIB.
Aujourd'hui en quatre années de règne, Macky Sall a tiré la dette extérieur du Sénégal à un record jamais atteint de presque 5000 mille milliard de francs CFA. Ce qui représente 60% du PIB, alors que la règle de l'UEMOA pour l'endettement des 8 États reste et demeure limitée à 70% .
Ce pays a véritablement perdu donc toutes ses repères et va droit au mur si le peuple ne réagit pas en conséquence contre cette médiocrité inouïe pour arrêter ces nullards et Macky Sall en premier.
Macky Sall a corrompu presque toute la presse Sénégalaise et Seneweb n'est pas épargné.
Kelefa
En Décembre, 2016 (19:04 PM)Thioc Maraba
En Décembre, 2016 (19:20 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (19:34 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (20:42 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (20:56 PM)Eric
En Décembre, 2016 (22:13 PM)Vous êtes une fierté nationale car en quarante ans de carrière politique vous n'avez pas huit milliard de patrimoine déclarés plus sept comptes bancaires éparpillées un peu partout dans le monde. Donc s'il y a un traitre en chaire et en os dans ce pays c'est bien Macky Sall qui s'est vendu aux occidentaux.
Anonyme
En Décembre, 2016 (23:09 PM)Anonyme
En Décembre, 2016 (23:13 PM)Participer à la Discussion