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Politique

Le cortège d’Idrissa Seck attaqué à Mbao

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Le cortège d’Idrissa Seck attaqué à Mbao

Décidément, le candidat de la coalition Idy4President n'est guère ménagé par les temps qui courent. Après avoir été malmené par les forces de l'ordre le mercredi lors de la marche du M23, voilà que le cortège du candidat à la présidentielle, Idrissa Seck, a été attaqué, ce jeudi matin à Mbao, fief du président de l’Assemblée Nationale, Mamadou Seck. Entrée paisiblement à  l’intérieur de  Mbao, la caravane de Idy a vu son retour perturbé par des jets de pierres. Même des coups de feu ont été entendus, renseigne le reporter de la Rfm. Des voitures ont été endommagées lors de cette attaque.



28 Commentaires

  1. Auteur

    DÉm Ba Djiekh

    En Février, 2012 (20:16 PM)
    IL FAUT RENDRE LE COUP A THIES ET AUTRES REGIONS,CE WADE KI L'A DIT. KOULÉNE DAURR FAYOULÉNE
  2. Auteur

    Ah Bon

    En Février, 2012 (20:17 PM)
    c wade eh oui pas democrate du tout
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    Auteur

    Persone N'est A La Hauteur

    En Février, 2012 (20:18 PM)
    Personne n'est a la hauteur, Wade trop vieux, Idy contentieux financier de meme que Macky, les autres on ne les connais point, Niasse a trop vieilli, etc les femmes? Malheureusement le Senegal est a un tournant politique qu'on ne peut confier aux femmes.... il y a trop de defis a relever je ne saurai faire confiance a une femme
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    Auteur

    Fall

    En Février, 2012 (20:20 PM)
    idy lañou wakh
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    Auteur

    Personne N'est A La Hauteur

    En Février, 2012 (20:21 PM)
    j'allais ecrire on ne les connait (pas on ne les connais)
    Auteur

    Tyre

    En Février, 2012 (20:23 PM)
    MAMADOU SECK BE CAREFUL LITTLT MONKEY
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    Auteur

    Yaya

    En Février, 2012 (20:27 PM)
    IDRISSA SECK SERA LE 4 PRESIDENT DU SENEGAL EN 2012 INCHA ALLH  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  
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    Auteur

    Zairois

    En Février, 2012 (20:27 PM)
    Bravo, c'est au tour du senegal de bruler. Apres le congo, rwanda, burundi, cote d'ivoire, guinee, angola, etc, c'est le tour du senegal. Brulez tout et faites la guerre civile pour qu'il y ait egalité entre africains.

    Vive Alioune Tine, Youssou ndour, cheikh bamba dieye, idy, les meneurs de ce combat de mener les jeunes senegalais à s'entretuer avec la police. Plus les analphabetes de yen a marre.

    Que brule le senegal, demain `à la place de l'obelisque et a attaquer la police, le palais, l'assemblée car la candidature de wade est ilegale. FEUUUUUUU...
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    Auteur

    Regime Violence

    En Février, 2012 (20:28 PM)
    LE SENEGAL N'A JAMAIS CONNU UN REGIME SI VIOLENT, MALTRAITEUR QUE CELUI DE WADE.

    SENEGALAIS FIPPOU DJOTTNA

    COMBIEN DE JEUNES SONT MORTS DANS LA MER EN SE RENDANT EN ESPAGNE,( NGIIR TÉKKI ) ET VOILÀ KE L'ARGENT QUI ETAIT DESTINÉ AUX JEUNES REFOULÉS A ETE BOUFFÉ PAR L'ETAT.

    IL FAUT LUTTER POUR FAIRE SAUTER CE REGIME SINON LE SENEGAL SERA PIRE DEMAIN.
    Auteur

    First Things First

    En Février, 2012 (20:31 PM)
    La position actuelle du M 23 (Pas d'élections avec 3W) est une position de principe de haute portée ! C'est une décision intelligente et courageuse qui réaffirme la sacralité de la République et des Institutions !! First Things First !!!
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    Auteur

    Gratuit

    En Février, 2012 (20:31 PM)
    Samayobante. Com. . L'utilisation est gratuite . Profitez en !
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    Auteur

    Pro Idy

    En Février, 2012 (20:39 PM)
    Vite yen a marre, m23, alioune tine, idy, bamba dieye, ibrahima fall, que le senegal brule, car nous allons perdre, que tout brule. Ensuite, on dira que nous sommes des heros, nous idy et bamba dieye, tine, renaitrons de nos cendres, comme des heros pour vous gérer. C'est ça la politique. Faut etre intelligent pour exclusivement son interet. Alors, mes amis brulons ce pays.
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    Auteur

    Moywaaja

    En Février, 2012 (21:05 PM)
    votez pour Idy c'est l'homme qu'il nous faut !!!!

    Auteur

    Lol

    En Février, 2012 (21:18 PM)
    bruler ce pays pour un vieux de 94 ans, c dommage !sénégalais réveillez vous avant qu'il ne soit trop tard. Marabouts de ce pays, l'Histoire retiendra votre role
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    Auteur

    Dorkher

    En Février, 2012 (21:41 PM)
    La desobeissance civile devient un droit lorsque le garant de la constitution la viole, et wade a viole le droit fondamental en corrompanr la cour constitutionnelle malgres que dans ses moments de lucidite il avait lui meme avoue "JE VOUS DIT SERIEUSEMENT JE NE PEUX PAS ME PRESENTE, JE NE ME PRESENTERAI PAS"....QUE FAUT-IL FAIRE QUAND LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE VOLE, TUE ET MENT???
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    Auteur

    Dolé

    En Février, 2012 (21:45 PM)
    idy wade est jaloux défanetéléne ak niom aye sauvage lagnou aye yéte moléne fiye dieulé danio niak diome ce wade et sa famille de voleur tueur
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    Auteur

    Wi

    En Février, 2012 (21:54 PM)
    Voter Idy,l'exemple de la ville de Thies est patent.Avec lui,toutes les villes du senegal renaitront et l'espoir de bien vivre renaitra.
    Auteur

    Repugnant

    En Février, 2012 (22:51 PM)
    wade reelu !!!!.idy ou karim prezi !!!.wolofeeeement!!!!!!!!!!!!!!!!!!!.sunuggggalaiseement!!!!!!!!!!!!!!!!!!!.
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    Auteur

    Aissa

    En Février, 2012 (23:01 PM)
    j votez puor idrissa seck inchalah.
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    Auteur

    Seck

    En Février, 2012 (23:41 PM)
    L HEURE DE LA VENGEANCE A SONNE ATTAQUONS TOUS LES CONVOIS SAUF MACKY QUI EST UN PEU SERIEUX
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    Auteur

    Rone66

    En Février, 2012 (23:45 PM)
    Tout le monde connait Idrissa le voleur Eh ! bien il va pouvoir se consacrer à sa cuisine...avec détermination. Tout le monde va oublier le faux nain



    Auteur

    Anomyme

    En Février, 2012 (23:52 PM)
    c vrai k il y avait des affrontements a grand mbao entre partisans d wade et la cortège d idy.j étai témoin mais c st les gens d wade ki ont commence.car les partisans de mamadou seck s sent frustré puisk mamadou seck n vaut plus rien a mbao.les jeunes n veut plus d lui.
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    Un Citoyen Conscient

    En Février, 2012 (00:22 AM)
    je vote IBRAHIMA FALL pour 3 RAISONS au moins

    1 c'est le candidat le plus crédible ,il n'a jamais été impliqué de façon directe ou indirecte dans un scandale financier.Force est de rappeler que c'est le seul et unique ministre à avoir fait la déclaration de patrimoine dans l'histoire du Sénégal 1983 et en 1990 à l'expiration de ses fonctions de ministre

    2 SON CV est bien rempli Ibrahima fall est un professeur agrégé de droit public et de sciences politiques,ancien doyen de la faculté de droit et de sciences économiques ancien ministre sous l'ère Diouf de 1983 a 1990 ,sous secrétaire général de l'ONU de 1992 à 2007. en somme cet homme a l’expérience en matière de politique interne comme en diplomatie. qui dit mieux?

    3 Enfin,il a un programme pertinent, cohérent ,sérieux mis à la disposition du public depuis le 8 décembre ce qui témoigne de son sérieux et de sa détermination
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    Auteur

    Soldt

    En Février, 2012 (01:02 AM)
    URGENNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNIDY ACHETE DES ARMES NOUS SOMME UNE ASSOCIATION DES MILITAIR LIBERE ON SAI COMMA UTILISE LES M 16 LES LANCE ROKETE ET GRENADE ET KALASNICOF ONT NOUS ÄPRI COMA CAMOUFOULE NOUS SOMMES 120 JEUNES DU CONTINGENT 2003/3 VOICI NOTRE CONTACT J TE DONNE L NUMERO DE NOTRE CLASE QUI ES ESPAGNE POUR DES RAISON DE SECURITR 0034632462513

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    Auteur

    Repugnant

    En Février, 2012 (02:28 AM)
    wade,seck gnenio ballamalagne!!!.ballamalagnement!!!!..........wolofeeeement!!!!!!!!!!!!!!!!!!.sunuggggalaiseement!!!!!!!!!!!!!!.
    Auteur

    Mara

    En Février, 2012 (08:54 AM)
    idy notre espoir .vive idy
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    Auteur

    Solda

    En Février, 2012 (10:26 AM)
    sa koye ndeye yamou repondre soldat j sui pres pour fair l guerre avec wade si n laisse pas l pouvoir wade sai les senegal son des totes c pourkoi il fai ceux k il veux

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    Auteur

    Orléans45

    En Février, 2012 (07:54 AM)
    1

    Manifeste de « Devoir de Résistance »

    « Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge » Yevgeny Yevtushenko

    Il est des moments dans la vie d’une nation où le silence est complice et l’inaction coupable. Le Sénégal est en face d’un coup de force sans précédent, qui prend les allures d’un coup d’Etat constitutionnel, prélude à un hold-up électoral.

    Il est nécessaire de revenir quelque peu sur le débat de la constitutionnalité de la candidature de l’actuel Président de la République. L’initiateur de la réforme constitutionnelle du 22 janvier 2001, Abdoulaye Wade lui-même, en avait précisé l’esprit et fixé la compréhension en déclarant publiquement, urbi et orbi, qu’il ne pouvait se présenter à la magistrature suprême plus de deux fois, car il avait lui-même verrouillé la Constitution et limité la consécution des mandats à deux. Plus tard, dira-t-il « j’avais dit, je me dédis… ». Soit, grand bien lui en prenne. Se dédirait-il que toute la nation sénégalaise comme un seul homme devrait le faire avec lui ?

    Toujours est-il que débats d’interprétations, arguties juridiques et joutes sibyllines ne feront rien devant cette idée simple que nous avions tous comprise : pour garantir la respiration démocratique, un président élu ne pouvait faire au maximum que deux mandats consécutifs et s’en aller. Il lui était même loisible, s’il le souhaitait, de revenir plus tard briguer les suffrages du peuple, après qu’un autre sénégalais eût à son tour occupé la fonction présidentielle. Cette idée, nous l’avons confiée au langage et à un texte dit fondamental, notre Constitution.

    Les institutions ne valent que par les hommes qui les incarnent. Si ces derniers les trahissent en les vidant de leur substance, elles perdent de fait leur légitimité, deviennent des formes creuses et ne doivent plus être obéies. Nous ne pouvons et ne devons accepter la décision d’un conseil constitutionnel aux ordres qui ne dit point le droit, ne préserve point les valeurs communes que nous nous sommes choisies, mais l’intérêt privé et la surdité à l’intérêt général. Ce sont à des valeurs que nous donnons forme en créant des institutions qui sont les cadres devant garantir leur expression et préserver leur partage commun. Lorsque ces cadres ne les expriment plus et que les hommes censés les incarner foulent au pied, en toute conscience, celles que nous nous sommes données, il n’est d’autre choix que le refus et la résistance. Les gardiens de notre Constitution et du sens de notre loi fondamentale, ont déserté le temple, la besace remplie de pièces d’or rapinées, la livrant à des pilleurs. Nous devons les chasser et rebâtir nos édifices.

    2

    Qu’un clan tente de violer notre constitution, voici un fait indéniable que nous ne pouvons que constater. Si cependant, par lassitude, par manque de conviction et de courage, par faiblesse devant l’inéluctabilité supposée d’un fait accompli, nous y consentions, nous partagerions avec lui la responsabilité d’avoir totalement délégitimé et désacralisé notre loi fondamentale et par conséquent de ne plus pouvoir en faire un horizon, une référence intouchable, une ultima linea.

    Le temps des indignations feutrées de salon, des petits calculs, de la préservation d’intérêts mineurs et privés, de la posture d’intellectuels prudents « sages et avisés » est révolu. Des jeunes gens souvent sans diplômes ni grades, ayant beaucoup à perdre et peu à espérer ont montré le seul chemin qui vaille. Devant ce crachat projeté à la figure de tous les sénégalais, toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté qui sentent quelque part en eux, parfois obscurément, la profondeur de cette ignominie, doivent se lever, s’engager, agir concrètement devant l’urgence de la situation pour rétablir la dignité des règles du vivre ensemble que notre nation s’est choisie. Une dictature rampe et ne s’installe que lorsque les citoyens sont atomisés, retardent le moment de l’action, laissent le soin à d’autres de prendre en charge le refus nécessaire qui préserve la liberté de tous. Dans un Etat de droit, lorsque les normes sont désertées de l’esprit de préservation contre l’arbitraire des gouvernants et des juges, elles cessent d’être légitimes. La régularité formelle apparente de la règle ne suffit alors guère à réparer le vice de son irrégularité substantielle, son illégitimité augurant son ineffectivité ! L’insoumission, dans ce cas, est un devoir civique, si tant est que le civisme traduise encore notre « amour des lois ». Le fait peut rétablir le droit et c’est à cela que nous appelons nos concitoyens : ne pas entériner un fait apparemment accompli. Plus que ce qui arrive, c’est la manière dont nous y faisons face qui importe.

    Devant l’urgence de la situation, nous avons décidés de quitter le silence de nos amphithéâtres et de nos laboratoires de recherche pour lutter et préserver notre Démocratie et notre République. Nous nous devons en tant qu’Universitaires et Citoyens d’incarner les valeurs que nous professons. Instruire, éduquer, éclairer peut-être, telles sont les missions que la nation nous confie, ce sacerdoce nous enjoint également, lorsque les valeurs que nous transmettons tous les jours sont en péril, de prendre position et de les défendre. Il s’agit aujourd’hui de se dresser, de faire front contre la tentative de nous déposséder de notre liberté de choix. Cet appel s’adresse à tous les citoyens sénégalais soucieux de préserver le bien commun le plus précieux dont nous disposons : notre République.

    La bataille doit se mener sur plusieurs fronts. Celui d’abord de la délégitimation de la candidature inconstitutionnelle de Wade, celui ensuite de la transparence des élections, et enfin celui du refus d’un hold-up électoral qui se profile.

    3

    1) D’abord continuer à Résister contre cette candidature illégitime et illégale dans l’esprit et dans la lettre. Le faire avec toute la mesure, la dignité, la force et la sérénité de la conviction qui nous anime. Manifester inlassablement notre refus dans toutes les places symboliques de toutes les villes et bourgades du Sénégal, tous les jours, pacifiquement, autant de temps qu’il le faudra. Essuyer la répression qui va s’afficher hardiment, l’endurer, revenir, se dresser à nouveau, jusqu’au bout. La tentative de confisquer notre liberté de choix et notre souveraineté mourra à la barricade que nous lui aurons choisie. Aujourd’hui, elle prend le visage d’une candidature illégitime qu’il faut combattre avec la dernière énergie. Il importe de résister et d’empêcher Abdoulaye Wade, par un front de refus sans concession de se présenter à un troisième mandat, car aller aux élections avec sa candidature, c’est accepter de jouer un jeu dont les dés sont déjà pipés. Comme lorsque vous acceptez de jouer un match de foot avec douze adversaires en face au lieu de onze et que vous reprochiez à cet intrus de marquer un but avec la main. C’est une pente glissante, dès que nous y consentons, l’abîme nous guette. Le refus doit être ici primal, originel, de principe, total.

    La campagne électorale d’un scrutin originellement entaché est enclenchée et le passage en force pourrait sembler déjà consommé et inéluctable. En réalité, il n’en est rien. Si nous devons gérer le paradoxe d’une élection avec un candidat illégitime entré dans le jeu par effraction, les solutions existent et demeurent. 1. Se mobiliser, aller voter et lui infliger une sévère défaite qui, par son ampleur, exprimera le rejet populaire et massif de son régime, de ses pratiques et de celles de son clan. 2. Continuer à informer et à sensibiliser l’opinion sur le fait que la candidature de Wade est inconstitutionnelle et qu’elle le demeure. 3. L’exclure car il ne doit pas faire partie du jeu. Puisqu’il y est entré frauduleusement, en considérant qu’il n’en fait pas partie, en ne l’y associant pas, en ignorant tout simplement son bulletin le jour du vote, nous rétablirons le droit par le fait. Bokku ci, bouleen ko ci boole : il n’en fait pas partie, ne l’y associez pas. Le refus de sa candidature s’exprimera ici par la mise en quarantaine symbolique de ce bulletin qui n’a pas droit de cité sur le présentoir des urnes.

    2) S’organiser pour éviter les fraudes, être présent dans tous les bureaux de vote au moment du dépouillement. Mettre sur pied des comités citoyens de vigilance pour la transparence du vote. Tenir une comptabilité en temps réel des voix, les transmettre à toutes les radios instantanément. Eviter que les urnes ne soient transportées nuitamment. Faire preuve d’imagination, réfléchir aux antidotes de tous les mécanismes de fraude connus, les anticiper, les contrecarrer. Votez et surveillez, votez et veillez, votez et demeurez vigilants, restez sur place jusqu’au dépouillement. Ma voix, mon bureau de vote, ma vigilance. Dans les bureaux de vote les plus reculés du Sénégal, s’organiser pour assister au

    4

    dépouillement et s’assurer que des correspondants de radios puissent communiquer les résultats en temps réel.

    3) Dernier temps de cette bataille décisive ; se mobiliser pour que les vrais résultats des urnes soient proclamés et se dresser si, d’aventure, ce clan poussait la forfaiture jusqu’à confisquer les suffrages des sénégalais en proclamant de faux résultats. Nous pêcherions par une coupable naïveté, si nous songeons un instant que ce régime compte naturellement respecter les suffrages des Sénégalais. Il ne le fera que s’il y est forcé et contraint, cerné, empêché de manoeuvrer. Le rejet massif du coeur des sénégalais de ce système, largement exprimé, démontre qu’Abdoulaye Wade ne peut gagner ni au premier tour, ni au second tour. Il faudra dans le cas fort probable de la diffusion de faux résultats, qu’un conseil constitutionnel aux ordres se hâtera de proclamer, se battre résolument et reconquérir la souveraineté du Sénégal, car soyons en sûrs, ce régime qui ne recule devant rien, même pas devant le meurtre de citoyens honnêtes réclamant leur droit à choisir qui va les diriger, poussant l’indécence jusqu’à comparer cette tragédie à une brise, reculera qu’il le veuille ou non devant plus fort que lui, c’est-à-dire, le Peuple sénégalais.

    Pr Felwine Sarr, Maitre de Conférences Agrégé, Doyen de la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Ibrahima Silla, Enseignant-Chercheur en Sciences Politiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr François Joseph Cabral, Maitre de Conférences Agrégé, Enseignant-Chercheur en Economie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

    Dr Mohamadou Boye, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Adrien Dioh, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Dr Mohamed Moro Koïta, Chef du Département de Gestion, Université Gaston Berger, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr Abdou Sène, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques d’Aquaculture et de Technologie Alimentaire de l’Université Gaston Berger, de Saint-Louis

    Dr Abdoul Alpha Dia, Enseignant-Chercheur en Economie, Université de Bambey

    5

    Dr Aziz Diouf, Enseignant-Chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Dr Seydina Ndiaye, Enseignant-Chercheur en Informatique, Université Gaston Berger de Saint-Louis,

    Dr Omar Mbodj, Enseignant-Chercheur à l’UFR SAT, Université Gaston Berger

    Dr Benjamin Ndong, Chef du Département d’Economie, Université Gaston Berger

    Dr Ousmane Thiaré, Maitre de Conférence en Informatique, Université Gaston Berger

    Dr Boubacar Diallo, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger

    Dr Amadou Ka, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger

    Dr Mouhamadou Moustapha Ly, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Lina Husseini, Libraire, Dakar

    Mamadou Sarr, Colonel à la retraite

    Dr Moussa Zaki, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Dr Khadidiatou Diallo, Enseignant-Chercheur, UFR LSH, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Xavier Correa, Juriste, New-York

    Nayé Bathily, Banque Mondiale, Paris

    Dr Babacar Sène, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Pr Ousmane Kane, Columbia University, New-York
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