La crise qui secoue l’institution parlementaire inspire au M23 la dissolution toute simple de l’Assemblée nationale. Le mouvement qui dénonce l’immobilisme de l’institution et le recul de la démocratie, a demandé la dissolution du parlement ou la reprise de l’élection des membres du bureau, à l’origine des tiraillements entre pouvoir et opposition.
Dans les colonnes de L’Observateur, les camarades de Mamadou Mbodj de mettre en cause «le retard accusé dans la mise en œuvre des réformes attendues dans la gouvernance parlementaire et politique».
Dans les colonnes de L’Observateur, les camarades de Mamadou Mbodj de mettre en cause «le retard accusé dans la mise en œuvre des réformes attendues dans la gouvernance parlementaire et politique».
Ils ont exigé, sans délai, un dialogue entre les différents protagonistes, en vue d’une reprise de l’élection des membres du bureau et des commissions. Ce, dans la transparence et dans le respect de la souveraineté des groupes parlementaires.
A défaut, le mouvement des forces vives de la nation réclame la dissolution de l’Assemblée nationale.
Par ailleurs, le M23 déclare ne pas être concerné par le sit-in prévu le 7 novembre prochain à la Place Soweto, par la commission «orientation et stratégie» (Cos) M23, une structure qui n’a aucun lien avec le M23, ont précisé Mbodj et Cie.
A défaut, le mouvement des forces vives de la nation réclame la dissolution de l’Assemblée nationale.
Par ailleurs, le M23 déclare ne pas être concerné par le sit-in prévu le 7 novembre prochain à la Place Soweto, par la commission «orientation et stratégie» (Cos) M23, une structure qui n’a aucun lien avec le M23, ont précisé Mbodj et Cie.
22 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (11:22 AM)Anonyme
En Novembre, 2015 (11:28 AM)Anonyme
En Novembre, 2015 (11:33 AM)C'est un peuple souverain qui a élu cette Assemblée Nationale. Comment des énergumènes peuvent vouloir imaginer des sottises de ce genre à la place du peuple
Il faut arrêter çà.
Gnamokhoding
Bâtrading
Anonyme
En Novembre, 2015 (11:35 AM)Anonyme
En Novembre, 2015 (11:36 AM)Opa
En Novembre, 2015 (11:39 AM)Dynastie Faye Sall
En Novembre, 2015 (12:01 PM)parlez de la cause et les conséquences apres
Anonyme
En Novembre, 2015 (12:04 PM)Soigneur De Fous
En Novembre, 2015 (12:22 PM)D'ailleurs ceux qui parlaient de gâchis financier avec l'organisation du référendum, sont là les partisans qui appellent à l'organisation de 3 élections; référendum + élection présidentielle + élection législative anticipée. Quelle contradiction !!! Sincèrement on patauge dans la confusion.
A force de vouloir parler de tout et de rien sans tenir compte des dispositions légales encore en vigueur le M 23 joue à l'apprenti sorcier. Messieurs indiquez -nous si vous en êtes capables la disposition du Règlement intérieur qui donne raison à Aïda MBODJ. Nous avons parcouru de long en large ledit document mais pas une fois nous n'avons vu un article qui déclare que le Secrétaire général d'un parti politique peut adresser une lettre au président de l'assemblée s'agissant de la constitution d'un groupe parlementaire.
Anonyme
En Novembre, 2015 (12:32 PM)Thom
En Novembre, 2015 (13:08 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (13:13 PM)Hypocrit Race
En Novembre, 2015 (13:15 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (13:20 PM)Lala
En Novembre, 2015 (13:26 PM)Vrai
En Novembre, 2015 (13:28 PM)Diisoo Leen
En Novembre, 2015 (16:03 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (16:10 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (20:24 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (08:18 AM)Anonyme
En Novembre, 2015 (10:26 AM)La majorité des Sénégalais s’inquiétait de «
l’ethnisation » du pouvoir. Une innovation du président
Hal pulaar Macky Sall, qui fait se remuer le défunt père
de la nation Senghor dans sa tombe. Ce président-poète
tenait à la l’équilibre régional et ethnique dans
l’attelage gouvernemental, comme dans la représentation
parlementaire. Son héritier Diouf tentera de maintenir le
cap, duquel Me Wade ne s’écartera pas trop. Mais le
tombeur de celui-ci s’est, d’abord, attaché à la
constitution et au renforcement de la dynastie « Faye-Sall» :
celle de la sienne et de sa belle-famille. Ensuite, il
appela à des ministères stratégiques des Hal pulaar :
Finances, Affaires étrangères, Enseignement supérieur,
Intérieur. La primature et la Défense ont été confiées
à des cousins à plaisanteries, mais dans les principales
directions nationales trônent des « mbimi ». La
parfaite illustration en est la Police, dont le
ministre de tutelle et le directeur sont de la même ethnie
que Macky Sall, qui se plaît dans le manteau de descendant
des « Toorodos » (rois) et Déniankés (guerriers), que
son « griot » Farba Ngom lui a inventé, pour devenir «
député-maire ».Ainsi, Oumar Maal, qui vient d’être
nommé Directeur général de la police nationale a fait sa
première nomination : il a porté à la tête du Groupement
mobile d’intervention (Gmi) un Lam, Hal pulaar comme lui.
Nom qui inversé donne « Mal », comme le sien. Qui le lui
opposera, dans l’entourage présidentiel, au Parlement et
même au sein des forces armées, dont le chef
d’Etat-major est également un Toucouleur ? Ce sont les
Sénégalais et l’opposition qui doivent craindre le pire.
Car, le corps du Gmi a pour mission la garantie et le
rétablissement de l’ordre, dans un pays où les
frustrations et le manque de l’essentiel vital soulèvent
de plus en plus mécontentements et
révoltes. Et le Colonel Lam a toutes les cartes pour
être tenté de se comporter « mal », puisque son nouveau
fauteuil, celui de son chef et de leur ministre de tutelle
seront en jeu en cas de « résistance populaire ». Et
puis, une lame peut faire mal.
Xibar.net
Kontonto Kéba
En Novembre, 2015 (22:11 PM)Participer à la Discussion