Le Coordonnateur adjoint du Mouvement des forces vives du M23, Amadou Doudou, a réaffirmé sur les ondes de Sud Fm, leur position sur la traque des biens dits mal acquis.
Le M23 demande « la poursuite jusqu’au bout des auditions » des personnalités de l’ancien régime, qui sont suspectées d’enrichissement illicite et de détournement de deniers publics. Il faut récupérer « toutes les ressources dissipées » pour créer des projets allant dans le sens d’offrir des emplois aux jeunes. Le M23 n’adhère pas à l’idée de mettre les gens en « prison » pour éviter que ces ressources échappent au pays.
12 Commentaires
Laye
En Février, 2013 (19:41 PM)Ceddoo
En Février, 2013 (19:48 PM)Xeme
En Février, 2013 (19:52 PM)Pauvre Afrique
En Février, 2013 (20:01 PM)Sms Pour La France
En Février, 2013 (20:03 PM)La Côte d’Ivoire sera le premier tombeau de la France.
Le Mali sera le second tombeau de la France.
La Guinée, le Burkina Faso, le Gabon, et ainsi de suite, débarrassés de leurs malheureux suppôts de présidents et hommes politiques, seront tour à tour, les terres mouvantes qui enseveliront la France décadente, criminelle, méprisante et grossièrement maladroite dans son approche géostratégique du Grand Réveil Révolutionnaire de l’Afrique.
Nous avons dit : le Grand Réveil Révolutionnaire de l’Afrique.
A Très Bientôt.
Laye
En Février, 2013 (20:04 PM)Sms Pour La France
En Février, 2013 (20:13 PM)Comme hier en Libye et en Côte d’Ivoire, la France espère conquérir le cœur des Maliens désespérés, pleins d’ignorance, croyant que l’homme blanc est le dieu qui est envoyé par Allah qu’ils ne manquent de citer et d’invoquer pour aider la France à leur faire du "bien", à leur rapporter un Mali débarrassé des islamistes mais qui devra se contenter d’un Azawad comme province autonome, le moindre mal pour un Mali qui était menacé d’invasion barbare.
Mais pour toutes ces Nations qui se bercent de l’illusion autrefois ivoirienne de trouver en la France un pays qui fera leur bonheur en massacrant leurs femmes et enfants, il viendra ce jour, après avoir vécu et tiré les leçons de la libération brutale, totale et irréversible de la Côte d’Ivoire, où le désir de liberté sera plus fort que la libido de l’esclavage. Et alors, ils prendront les armes pour chasser la France qui y régna par les armes.
C’est ainsi que pour le Mali, ce jour viendra plus tôt que prévu, où le Malien du Sud se réveillera avec un seul vieux boubou comme patrimoine personnel et un morceau de terre sous occupation étrangère donné à gage par des hommes politiques ténébreux ; et alors, le Malien digne prendra les armes contre la France perfide, roublarde, escroc et malhonnête pour la chasser de ses terres ancestrales
Maion
En Février, 2013 (20:18 PM)Qui Vivra Verra
En Février, 2013 (20:38 PM)Senn
En Février, 2013 (21:20 PM)Mas65
En Février, 2013 (01:58 AM)Le M 23 en tant que mouvement populaire spontané n’a rien à avoir avec ce M 23 transformé aujourd’hui en GIE pour caser des syndicalistes et des politiciens en mal de popularité. En effet, les manifestations du 23 juin ont été une brèche opportune pour beaucoup de fantômes de ressusciter alors qu’ils étaient déjà cloîtrés sous la pierre tombale. Il fallait alors user de subterfuges pour faire semblant qu’on était bien là.
Le nouveau coordonnateur de ce GIE ne fait pas exception à la règle. M. Mamadou Mbodj n’a jamais été le secrétaire général du CUSEMS mais celui du Syndicat National des Enseignants du Moyen Secondaire, SNEMS. Ce label qu’il a usurpé pour se faire une place au soleil souffre de contradictions sémantique et juridique. En effet le secrétaire général du SNEMS et ses amis se sont réveillés un beau jour pour s’ériger en Cadre Unitaire Syndical en lieu et place du véritable cadre (Cadre Unitaire des Syndicats de l’Enseignement Moyen et Secondaire, CUSEMS) qui regroupait le SNEMS, dont Mamadou Mbodj était le secrétaire général et le SAEMSS, (Syndicat Autonome des Enseignants du Moyen Secondaire du Sénégal) dont Mamadou Lamine Dianté est l’actuel secrétaire Général. D’ailleurs, ce cadre n’a aucune reconnaissance juridique parce que n’ayant pas de récépissé. C’est un surnom que le SNEMS s’est donné pour enfin sortir de l’ombre après plusieurs années d’existence terne. Sur le plan sémantique, comment le SNEMS, à lui seul, peut s’ériger en cadre ? Cette usurpation de label a néanmoins permis à Mamadou Mbodj et Cie de forcer les portes du CASC qui mourra de sa belle mort aussitôt qu’il en aura franchi le seuil.
Sa propre organisation syndicale est en train de subir le même sort avec un congrès dont les conclusions nébuleuses peinent à sortir des claviers de notre « Jambar » en « Jambarisme ».
Dans sa volonté d’entrer dans l’histoire par effraction, monsieur Mbodj s’adonne toujours au forcing malheureusement sans biceps intellectuels et physiques. Ce n’est pas en allant boire du thé ou du café chez Macky Sall qu’on peut changer la Constitution sénégalaise et faire revenir le quinquennat. La Constitution n’est pas une sucette qu’on se passe entre copains comme Alioune Tine a passé le témoin à son copain Mamadou Mbodj après avoir obtenu une plus grosse sucette. Qui parlait de strapontins avec le Conseil Economique et Social ?
Le M 23, mouvement usurpateur, dirigé par un coordonnateur usurpateur ne peut pas se substituer ni à l’Assemblée Nationale, ni au Conseil Constitutionnel. On ne peut pas forcer les portes de l’histoire au risque de se faire écraser par elle, surtout qu’on est à quelques encablures de la retraite.
D’ailleurs ce M 23 nouvelle version mourra bientôt comme sont mortes toutes les structures que M. Mbodj a approchées ou touchées. Le M 23 en tant que structure n’est que l’ombre de lui-même, il ne représente qu’un groupe d’usurpateurs et d’opportunistes. In requiem.
Mas65
En Février, 2013 (08:32 AM)Sa propre organisation syndicale est en train de subir le même sort avec un congrès dont les conclusions nébuleuses peinent à sortir des claviers de notre « Jambar » en « Jambarisme ».
Dans sa volonté d’entrer dans l’histoire par effraction, monsieur Mbodj s’adonne toujours au forcing malheureusement sans biceps intellectuels et physiques. Ce n’est pas en allant boire du thé ou du café chez Macky Sall qu’on peut changer la Constitution sénégalaise et faire revenir le quinquennat. La Constitution n’est pas une sucette qu’on se passe entre copains comme Alioune Tine a passé le témoin à son copain Mamadou Mbodj après avoir obtenu une plus grosse sucette. Qui parlait de strapontins avec le Conseil Economique et Social ?
Le M 23, mouvement usurpateur, dirigé par un coordonnateur usurpateur ne peut pas se substituer ni à l’Assemblée Nationale, ni au Conseil Constitutionnel. On ne peut pas forcer les portes de l’histoire au risque de se faire écraser par elle, surtout qu’on est à quelques encablures de la retraite.
D’ailleurs ce M 23 nouvelle version mourra bientôt comme sont mortes toutes les structures que M. Mbodj a approchées ou touchées. Le M 23 en tant que structure n’est que l’ombre de lui-même, il ne représente qu’un groupe d’usurpateurs et d’opportunistes. In requiem.
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