Les violentes manifestations qui se déroulent au Sénégal contre la candidature du président Abdoulaye Wade, ont fait un deuxième mort dimanche, peu après 23 heures. Il s'agit d'un jeune étudiant de 26 ans du nom de Mamadou Ndiaye, qui a reçu une balle dans le dos à Keur Mbaye Fall, selon la radio ZikFM écoutée par SENEWEB-NEWS. Le jeune manifestant aurait succombé à ses blessures lors de son évacuation à l'hôpital Youssou Mbergane de Rufisque, après avoir été atteint par balle lors de manifestations contre la candidature du président Wade. Le même jour, un autre manifestant est mort à Rufisque, en banlieue située à la sortie de Dakar.
54 Commentaires
Wade2012
En Février, 2012 (02:13 AM)Nos salutations sincèrees mr le président Maitre Wade et a Ses vaillants ministres et toute la coalition Fal2012
Pour nous jeunes femmes , mamans l'avenir réside en Maitre Wade.
Resteons sereins, car nous avons un grand Président.
Il nous délivrera des griffes du hideux minorité( M23).
Resserrons nos coudes pour la bataille finale,nous LUI soutiendrons jusqu'à la mort,
Que Dieu Lui assiste ainsi que tes frères et soeurs Senegalais et Senegalaises
Que Dieu Nous protège contre ceS démon Sans.Moralité:
Votons tous Maitre Wade
Nous voulons vivre pour voir notre pays se développer, mais nous sommes aussi prêts à mourir pour que cette cause puisse se réaliser »
IL FAUT UN PEU D'IMMAGINATION POUR VAINCRE L'ENNEMI LE PLUS REDOUTABLE.
Informee
En Février, 2012 (02:14 AM)Un complot est en train d'etre préparé par Abdoulaye Wade, Cheikh sidi Moukhtar Mbacké et Macky Sall contre les Sénégalais. Ces trois connards sont ensembles, Ils bleuffent .
Macky sall Détient les plans pour truquer les éléctions ce qui explique d'ailleurs son impatience..
On y reviendra quand on en aurra d'autres informations via nos sources qui sont trés proches des camps.
Yet
En Février, 2012 (02:14 AM)Bien
En Février, 2012 (02:15 AM)Mssssssalik Jinan
En Février, 2012 (02:19 AM)Leur wassifa ou salatoul fatiha , Dieu ne va pas l'accpter car cela est fait avec hargne et colére et HAINE.
Serign Touba dit dans MAssalikoul Jinaan que la Haine, la Hargne, la Colére sont les attitudes de SATAN.
Alors calmez vous et soyez au dessus des Politiciens qui vous utilisent.
Allons voter le 26, on verra qui le peuple préfére
Doulnalist
En Février, 2012 (02:21 AM)Fichier Electoral Pas Fiable
En Février, 2012 (02:23 AM)elections2012.sn
remplissez la case
Numéro d'identification national
Remplissez la case
nom de famille
le résultat de recherche apparait avec votre nom , prénom etc....
ensuite remplacez le premier chiffre de votre Numéro d'identification national par 0 ensuite 1, ensuite 2 etc jusqu'à 9
Vous aurez autant de cartes d’identité avec votre nom, prénom seul Numéro d'identification national changera en fonction du chiffre que vous mettrez.
Qui a en mains toutes ses cartes d'identité?
Pourquoi autant de cartes d'identité pour une seule personne dans le fichier national?
Le fichier n'est pas correct!!!!!!!!
Kaw
En Février, 2012 (02:23 AM)Que Dieu accepte ces jeunes patriotes au Paradis .
Nous avons tous la responsabilite de faire en sorte qu'ils ne soient pas mort pour rien.
Adboulaye Wade et son regime doivent rendre compte aux senegalais.
Il faut que justice soit faite.
Pour cela, il faut arreter Wade et son gouvernement. Wade est devenu un dictateur sanguinaire que rien n'arretera plus. Il faut maintenir la pression jusqu'a son depart de la tete de l'Etat; juger ensuite tous ceux qui ont des responsabilites dans la situation du pays. Ce n'est qu'apres qu'on pourra organiser des elections libres et transparentes car beaucoup de sang a ete deja verse.
Je rends hommage a la jeunesse ardente de mon pays guarant de son destin.
Senegal i kaw ci kanaw.
Antefoqer
En Février, 2012 (02:26 AM)N'importe qui peut avoir tiré sur ce jeune homme pour qu'on accuse la police et que la violence monte.
Sevilla
En Février, 2012 (02:27 AM)Informee
En Février, 2012 (02:28 AM)Un complot est en train d'etre préparé par Abdoulaye Wade, Cheikh sidi Moukhtar Mbacké et Macky Sall contre les Sénégalais. Ces trois connards sont ensembles, Ils bleuffent .
Macky sall Détient les plans pour truquer les éléctions ce qui explique d'ailleurs son impatience..
On y reviendra quand on en aurra d'autres informations via nos sources qui sont trés proches des camps.
Informee
En Février, 2012 (02:36 AM)Un complot est en train d'etre préparé par Abdoulaye Wade, Cheikh sidi Moukhtar Mbacké et Macky Sall contre les Sénégalais. Ces trois connards sont ensembles, Ils bleuffent .
Macky sall Détient les plans pour truquer les éléctions ce qui explique d'ailleurs son impatience..
On y reviendra quand on en aurra d'autres informations via nos sources qui sont trés proches des camps.
Jean Pierre
En Février, 2012 (02:36 AM)Solutions
En Février, 2012 (02:40 AM)1) IL FAUT FERMER WALF-FM-TV & RFM-TFM. SINON CE PAYS SERA A FEU & A SANG.
2) OU BIEN ENVOYER DES EXPEDITIONS QUI LES DETRUISENT , LES BRÛLENT TOTALEMENT. SINON ……
3) FAIRE ATTAQUER VIOLEMMENT LES CONVOIS M23 AUSSI , DE MANIERE A CE QU’ILS GOÛTTE A CE QU’ILS ONT CREE
4) FAITES BRÛLER LES MAISONS DES EMPLOYES DE WALF & RFM ! IL FAUT QUE CES JOURNALISTES REGRETTENT !
5) IL FAUT QUE TOUS LES VA-T’EN-GUERRE COMPRENNENT QU’ILS NE PEUVENT TIRER LEUR EPINGLE DU FEU !
6) FAITES DETRUIRE & BRÛLER LES DEMEURES DE TOUT M23
7) QUE L’ON DISPERSE VIOLEMMENT TOUT MEETING OU MARCHE M23
Borodé
En Février, 2012 (02:40 AM)Noutypesene
En Février, 2012 (02:41 AM)Pierre
En Février, 2012 (02:49 AM)Ma Ko Wax
En Février, 2012 (02:57 AM)Le Lynx
En Février, 2012 (03:29 AM)Seck
En Février, 2012 (03:33 AM)Combien D'autres Badolos????
En Février, 2012 (03:37 AM)Les Pyromanes Du Senegal :
En Février, 2012 (03:39 AM)Barra GAYE PDS
Ousmane sene walf
birahim toure zik
ndiaye doss zik
maodo faye sud fm
djamil sy marre a bout
fadel barro yen a marre de lui
serigne mbacke ndiaye porte malheur
khalifa diakhate futur media
pape ngagne futur media
pape thiarre sud fm
awa diop ndiaye walf
dr correa mpcl
khalifa sall ps
bamba dieye n'importe ou n'importe koi
al badara cisse n'importe kan
tous les petits marabouts politiciens (na seny way diour wakh ak gnom waye)
gadiop mpcl
amath dansokho plus pres de sa tombe que du peuple
YOUSSOU NDOUR SEYTANE MOKO NGEMB
ALIOUNE TINE SEYETANE MOKO NGEMB
SYDI LAMINE NIASS
ABDOU LATIF COULIBALY
Bon Senegalais
En Février, 2012 (03:40 AM)Tonnerre
En Février, 2012 (03:54 AM)Lobé
En Février, 2012 (04:01 AM)James
En Février, 2012 (04:07 AM)llez à
elections2012.sn
remplissez la case
Numéro d'identification national
Remplissez la case
nom de famille
le résultat de recherche apparait avec votre nom , prénom etc....
ensuite remplacez le premier chiffre de votre Numéro d'identification national par 0 ensuite 1, ensuite 2 etc jusqu'à 9
Vous aurez autant de cartes d’identité avec votre nom, prénom seul Numéro d'identification national changera en fonction du chiffre que vous mettrez.
Qui a en mains toutes ses cartes d'identité?
Pourquoi autant de cartes d'identité pour une seule personne dans le fichier national?
Le fichier n'est pas correct!!!!!!!!
M24
En Février, 2012 (04:17 AM)WADE DEGAGE?,VIEILLARD INDIGNE
WADE DEGAGE,VIEUX CON
Solution L'armée
En Février, 2012 (04:53 AM)Solution L'armée
En Février, 2012 (05:01 AM)Si l'armée n'intervient pas RAPIDEMENT, NOUS ALLONS VERS UN BAIN DE SANG. LE PEUPLE N' ETANT PAS ARME, IL FAUT RÉAGIR VITE ET BIEN
Mimaradafe
En Février, 2012 (05:29 AM)Bah
En Février, 2012 (06:33 AM)Prof
En Février, 2012 (06:55 AM)Soro
En Février, 2012 (07:29 AM)Il faut maintenant s'en prendre au domicile des Ministres. Il faut neutraliser le gouvernement. Donnez les adresses des ministres et donnons leur une bonne leçon. Soit ils démissionnent soit on leur règle leur compte
Diogg
En Février, 2012 (07:32 AM)Orléans45
En Février, 2012 (07:57 AM)Manifeste de « Devoir de Résistance »
« Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge » Yevgeny Yevtushenko
Il est des moments dans la vie d’une nation où le silence est complice et l’inaction coupable. Le Sénégal est en face d’un coup de force sans précédent, qui prend les allures d’un coup d’Etat constitutionnel, prélude à un hold-up électoral.
Il est nécessaire de revenir quelque peu sur le débat de la constitutionnalité de la candidature de l’actuel Président de la République. L’initiateur de la réforme constitutionnelle du 22 janvier 2001, Abdoulaye Wade lui-même, en avait précisé l’esprit et fixé la compréhension en déclarant publiquement, urbi et orbi, qu’il ne pouvait se présenter à la magistrature suprême plus de deux fois, car il avait lui-même verrouillé la Constitution et limité la consécution des mandats à deux. Plus tard, dira-t-il « j’avais dit, je me dédis… ». Soit, grand bien lui en prenne. Se dédirait-il que toute la nation sénégalaise comme un seul homme devrait le faire avec lui ?
Toujours est-il que débats d’interprétations, arguties juridiques et joutes sibyllines ne feront rien devant cette idée simple que nous avions tous comprise : pour garantir la respiration démocratique, un président élu ne pouvait faire au maximum que deux mandats consécutifs et s’en aller. Il lui était même loisible, s’il le souhaitait, de revenir plus tard briguer les suffrages du peuple, après qu’un autre sénégalais eût à son tour occupé la fonction présidentielle. Cette idée, nous l’avons confiée au langage et à un texte dit fondamental, notre Constitution.
Les institutions ne valent que par les hommes qui les incarnent. Si ces derniers les trahissent en les vidant de leur substance, elles perdent de fait leur légitimité, deviennent des formes creuses et ne doivent plus être obéies. Nous ne pouvons et ne devons accepter la décision d’un conseil constitutionnel aux ordres qui ne dit point le droit, ne préserve point les valeurs communes que nous nous sommes choisies, mais l’intérêt privé et la surdité à l’intérêt général. Ce sont à des valeurs que nous donnons forme en créant des institutions qui sont les cadres devant garantir leur expression et préserver leur partage commun. Lorsque ces cadres ne les expriment plus et que les hommes censés les incarner foulent au pied, en toute conscience, celles que nous nous sommes données, il n’est d’autre choix que le refus et la résistance. Les gardiens de notre Constitution et du sens de notre loi fondamentale, ont déserté le temple, la besace remplie de pièces d’or rapinées, la livrant à des pilleurs. Nous devons les chasser et rebâtir nos édifices.
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Qu’un clan tente de violer notre constitution, voici un fait indéniable que nous ne pouvons que constater. Si cependant, par lassitude, par manque de conviction et de courage, par faiblesse devant l’inéluctabilité supposée d’un fait accompli, nous y consentions, nous partagerions avec lui la responsabilité d’avoir totalement délégitimé et désacralisé notre loi fondamentale et par conséquent de ne plus pouvoir en faire un horizon, une référence intouchable, une ultima linea.
Le temps des indignations feutrées de salon, des petits calculs, de la préservation d’intérêts mineurs et privés, de la posture d’intellectuels prudents « sages et avisés » est révolu. Des jeunes gens souvent sans diplômes ni grades, ayant beaucoup à perdre et peu à espérer ont montré le seul chemin qui vaille. Devant ce crachat projeté à la figure de tous les sénégalais, toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté qui sentent quelque part en eux, parfois obscurément, la profondeur de cette ignominie, doivent se lever, s’engager, agir concrètement devant l’urgence de la situation pour rétablir la dignité des règles du vivre ensemble que notre nation s’est choisie. Une dictature rampe et ne s’installe que lorsque les citoyens sont atomisés, retardent le moment de l’action, laissent le soin à d’autres de prendre en charge le refus nécessaire qui préserve la liberté de tous. Dans un Etat de droit, lorsque les normes sont désertées de l’esprit de préservation contre l’arbitraire des gouvernants et des juges, elles cessent d’être légitimes. La régularité formelle apparente de la règle ne suffit alors guère à réparer le vice de son irrégularité substantielle, son illégitimité augurant son ineffectivité ! L’insoumission, dans ce cas, est un devoir civique, si tant est que le civisme traduise encore notre « amour des lois ». Le fait peut rétablir le droit et c’est à cela que nous appelons nos concitoyens : ne pas entériner un fait apparemment accompli. Plus que ce qui arrive, c’est la manière dont nous y faisons face qui importe.
Devant l’urgence de la situation, nous avons décidés de quitter le silence de nos amphithéâtres et de nos laboratoires de recherche pour lutter et préserver notre Démocratie et notre République. Nous nous devons en tant qu’Universitaires et Citoyens d’incarner les valeurs que nous professons. Instruire, éduquer, éclairer peut-être, telles sont les missions que la nation nous confie, ce sacerdoce nous enjoint également, lorsque les valeurs que nous transmettons tous les jours sont en péril, de prendre position et de les défendre. Il s’agit aujourd’hui de se dresser, de faire front contre la tentative de nous déposséder de notre liberté de choix. Cet appel s’adresse à tous les citoyens sénégalais soucieux de préserver le bien commun le plus précieux dont nous disposons : notre République.
La bataille doit se mener sur plusieurs fronts. Celui d’abord de la délégitimation de la candidature inconstitutionnelle de Wade, celui ensuite de la transparence des élections, et enfin celui du refus d’un hold-up électoral qui se profile.
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1) D’abord continuer à Résister contre cette candidature illégitime et illégale dans l’esprit et dans la lettre. Le faire avec toute la mesure, la dignité, la force et la sérénité de la conviction qui nous anime. Manifester inlassablement notre refus dans toutes les places symboliques de toutes les villes et bourgades du Sénégal, tous les jours, pacifiquement, autant de temps qu’il le faudra. Essuyer la répression qui va s’afficher hardiment, l’endurer, revenir, se dresser à nouveau, jusqu’au bout. La tentative de confisquer notre liberté de choix et notre souveraineté mourra à la barricade que nous lui aurons choisie. Aujourd’hui, elle prend le visage d’une candidature illégitime qu’il faut combattre avec la dernière énergie. Il importe de résister et d’empêcher Abdoulaye Wade, par un front de refus sans concession de se présenter à un troisième mandat, car aller aux élections avec sa candidature, c’est accepter de jouer un jeu dont les dés sont déjà pipés. Comme lorsque vous acceptez de jouer un match de foot avec douze adversaires en face au lieu de onze et que vous reprochiez à cet intrus de marquer un but avec la main. C’est une pente glissante, dès que nous y consentons, l’abîme nous guette. Le refus doit être ici primal, originel, de principe, total.
La campagne électorale d’un scrutin originellement entaché est enclenchée et le passage en force pourrait sembler déjà consommé et inéluctable. En réalité, il n’en est rien. Si nous devons gérer le paradoxe d’une élection avec un candidat illégitime entré dans le jeu par effraction, les solutions existent et demeurent. 1. Se mobiliser, aller voter et lui infliger une sévère défaite qui, par son ampleur, exprimera le rejet populaire et massif de son régime, de ses pratiques et de celles de son clan. 2. Continuer à informer et à sensibiliser l’opinion sur le fait que la candidature de Wade est inconstitutionnelle et qu’elle le demeure. 3. L’exclure car il ne doit pas faire partie du jeu. Puisqu’il y est entré frauduleusement, en considérant qu’il n’en fait pas partie, en ne l’y associant pas, en ignorant tout simplement son bulletin le jour du vote, nous rétablirons le droit par le fait. Bokku ci, bouleen ko ci boole : il n’en fait pas partie, ne l’y associez pas. Le refus de sa candidature s’exprimera ici par la mise en quarantaine symbolique de ce bulletin qui n’a pas droit de cité sur le présentoir des urnes.
2) S’organiser pour éviter les fraudes, être présent dans tous les bureaux de vote au moment du dépouillement. Mettre sur pied des comités citoyens de vigilance pour la transparence du vote. Tenir une comptabilité en temps réel des voix, les transmettre à toutes les radios instantanément. Eviter que les urnes ne soient transportées nuitamment. Faire preuve d’imagination, réfléchir aux antidotes de tous les mécanismes de fraude connus, les anticiper, les contrecarrer. Votez et surveillez, votez et veillez, votez et demeurez vigilants, restez sur place jusqu’au dépouillement. Ma voix, mon bureau de vote, ma vigilance. Dans les bureaux de vote les plus reculés du Sénégal, s’organiser pour assister au
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dépouillement et s’assurer que des correspondants de radios puissent communiquer les résultats en temps réel.
3) Dernier temps de cette bataille décisive ; se mobiliser pour que les vrais résultats des urnes soient proclamés et se dresser si, d’aventure, ce clan poussait la forfaiture jusqu’à confisquer les suffrages des sénégalais en proclamant de faux résultats. Nous pêcherions par une coupable naïveté, si nous songeons un instant que ce régime compte naturellement respecter les suffrages des Sénégalais. Il ne le fera que s’il y est forcé et contraint, cerné, empêché de manoeuvrer. Le rejet massif du coeur des sénégalais de ce système, largement exprimé, démontre qu’Abdoulaye Wade ne peut gagner ni au premier tour, ni au second tour. Il faudra dans le cas fort probable de la diffusion de faux résultats, qu’un conseil constitutionnel aux ordres se hâtera de proclamer, se battre résolument et reconquérir la souveraineté du Sénégal, car soyons en sûrs, ce régime qui ne recule devant rien, même pas devant le meurtre de citoyens honnêtes réclamant leur droit à choisir qui va les diriger, poussant l’indécence jusqu’à comparer cette tragédie à une brise, reculera qu’il le veuille ou non devant plus fort que lui, c’est-à-dire, le Peuple sénégalais.
Pr Felwine Sarr, Maitre de Conférences Agrégé, Doyen de la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Dr Ibrahima Silla, Enseignant-Chercheur en Sciences Politiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Pr François Joseph Cabral, Maitre de Conférences Agrégé, Enseignant-Chercheur en Economie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
Dr Mohamadou Boye, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Dr Adrien Dioh, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Dr Mohamed Moro Koïta, Chef du Département de Gestion, Université Gaston Berger, Université Gaston Berger de Saint-Louis
Pr Abdou Sène, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques d’Aquaculture et de Technologie Alimentaire de l’Université Gaston Berger, de Saint-Louis
Dr Abdoul Alpha Dia, Enseignant-Chercheur en Economie, Université de Bambey
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Dr Aziz Diouf, Enseignant-Chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar
Dr Seydina Ndiaye, Enseignant-Chercheur en Informatique, Université Gaston Berger de Saint-Louis,
Dr Omar Mbodj, Enseignant-Chercheur à l’UFR SAT, Université Gaston Berger
Dr Benjamin Ndong, Chef du Département d’Economie, Université Gaston Berger
Dr Ousmane Thiaré, Maitre de Conférence en Informatique, Université Gaston Berger
Dr Boubacar Diallo, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger
Dr Amadou Ka, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger
Dr Mouhamadou Moustapha Ly, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Lina Husseini, Libraire, Dakar
Mamadou Sarr, Colonel à la retraite
Dr Moussa Zaki, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Dr Khadidiatou Diallo, Enseignant-Chercheur, UFR LSH, Université Gaston Berger, Saint-Louis
Xavier Correa, Juriste, New-York
Nayé Bathily, Banque Mondiale, Paris
Dr Babacar Sène, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Cheikh Anta Diop de Dakar
Pr Ousmane Kane, Columbia University, New-York
Seck Ndanane
En Février, 2012 (08:00 AM)Bissap
En Février, 2012 (08:08 AM)Fili
En Février, 2012 (08:11 AM)Khaddafi
En Février, 2012 (08:12 AM)Cestwade
En Février, 2012 (08:42 AM)Mer Mou Meetti
En Février, 2012 (08:49 AM)Opinion
En Février, 2012 (09:33 AM)Opinion
En Février, 2012 (09:36 AM)Thiessois
En Février, 2012 (09:59 AM)S´il y´a des éléments qui ne sont pas du corps de la police, que ceux qui ont le commandement les décélent, car ils devront rendre compte. Nous ne sortirons jamais de ce merdier avec un sytème de "Masla" patati patata, laissant tout le temps des crimes impunis, qui font que d´autres les suivent. Cela n´est pas oeuver pour la paix, mais protéger des coupables .
Patisco
En Février, 2012 (10:49 AM)Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier
Fili
En Février, 2012 (12:42 PM)Le Client
En Février, 2012 (12:49 PM)Au lieu d'insister à tenir un grand rassemblement avec l'appui d'un M23et de YEN A MARRE à cette place pour une contestation d'une candidature alors que le conseil constitutionnel a déjà tranché le débat? ou méne s'ils ne doivent pas oublier que sera le peuple de trancher et par les urnes c'est tout .
Cet homme tué à keur mbaye fall est un agrésseur et il était tué à l'épreuve d'agresser un civil qui a pris toute ces précautions pour se sauver donc ce cas n'est nullement politique
Kar
En Février, 2012 (13:18 PM)Gamou 2010 par serigne cheikh ahmed tidjane sy
Laskha
En Février, 2012 (13:59 PM)Nero
En Février, 2012 (14:30 PM)CES NERVIS SONT DES LACHES TOUS CEUX QU'ILS TUENT SONT SURPRIS. SOIT ILS TIRENT SUR LE DOS SOIT SUR LA NUQUE. DIEU SAIT TOUT. IL VOIT TOUT
Warou
En Février, 2012 (16:26 PM)ma question c'est :idy dafa ame machine bouye défare khaliss wala djinéla?
non ,je crois que ceux qui le traitent de voleur du siécle n'ont pas tort! et quand je pense que des enfants répondent à son appel vers la mort pendant qu'il cache abdoulaye seck,,,,,.
mais abdoulaye seck (fils d'idrissa seck et homonyme du président)payera pour tous les morts!
Antifarba
En Février, 2012 (16:45 PM)pour affaire sérieuse le concernant...
Babafou
En Février, 2012 (09:29 AM)Kholy
En Février, 2012 (09:39 AM)Participer à la Discussion