Dans son livre intitulé "Le Sénégal au cœur", le président Macky Sall raconte des épisodes de sa vie politique qu'il n'avait jamais évoqués auparavant. La crise entre lui et Wade, ses rapports avec Idrissa Seck dans le gouvernement, la naissance de son premier enfant, il dit tout dans cet ouvrage dont nous vous proposons quelques extraits publiés par le Journal "L'Observateur".
"Je ne peux passer sous silence, mes lecteurs et mes amis ne le comprendraient pas, un point relatif à des propos nauséabonds qui en surprirent plus d'un. Des propos que l'on n'attendait pas de celui qui les a tenus, quand on sait qu'il a eu la chance, l'honneur et le privilège d'avoir occupé les plus hautes fonctions dans un pays de mesure, qui a toujours donné une belle image de lui au reste du monde. La politique politicienne est ce qu'elle est et se prête à tous les coups bas, hélas. Lorsqu'en 2015, la justice a traduit Karim Wade devant un tribunal, son père - mon prédécesseur - a perdu toute mesure. Celui qui fut mon mentor, mon guide, cet Abdoulaye Wade qui a tant marqué mon pays, a déclaré :
"Macky Sall est un descendant d'esclaves. (…) Ses parents étaient anthropophages (…) Ils mangeaient des bébés et on les a chassés du village (…) Jamais mon fils Karim n'acceptera que Macky Sall soit au-dessus de lui. Dans d'autres situations, je l'aurais vendu en tant qu'esclave !"
Cette déclaration abjecte et révoltante est difficilement saisissable par quelqu'un qui n'est pas sénégalais ou africain. Or, j'écris aussi ce livre pour un public qui va bien au-delà de mon pays. J'ouvre donc une parenthèse : au Sénégal, notre société oscille entre la modernité et le poids de l'ancien temps. Autrefois, le groupe des esclaves était la caste la plus basse sur l'échelle sociale, dans la société traditionnelle. Etre descendant d'esclaves est encore considéré comme une tare. L'insulte était donc grave, particulièrement dans le Fouta, la région d'origine de mes parents, où les Maccubés (esclaves) restèrent longtemps objets de mépris.
Idrissa Seck
"Idrissa Seck est un homme à tendance autoritaire. Il y a des Premiers ministres plus "ronds", plus consensuels. Idrissa Seck est tranchant, il ne demande pas, il ordonne. Le premier dossier touchant mon domaine, dont il se saisit, concerne les carrières de Thiès. En 2003, alors que je suis en déplacement à Fatick, ville dont je suis le maire depuis 2002, le Premier ministre provoque une réunion autour de l'avenir des carrières de Thiès. (…) Ce vendredi-là, une réunion est donc organisée sur ce sujet. Mon directeur de cabinet me représente. La rencontre est terminée, il me téléphone immédiatement. "Le Premier ministre nous donne jusqu'à ce soir 18 h, pour présenter un projet de décret ordonnant la fermeture des carrières de Thiès !". Je suis abasourdi. Thiès est le fief d'Idrissa Seck, mais on ne prend pas une telle décision en un tour de main. Je demande ordre écrit, je veux avoir un document officiel. Vers 18 h, mon collaborateur reçoit le papier et m'en informe. Dès lors, mes instructions à mon directeur de cabinet sont claires : "Rangez le document et stoppez la procédure jusqu'à lundi." Je compte mettre à profit cette fin de semaine pour passer à Thiès et voir le Premier ministre qui s'y trouve. Son accueil est très cordial. Nous déjeunons ensemble, mais nos points de vue sur la question sont diamétralement opposés ! Je rentre à Dakar et je vais passer le reste de ce week-end à bâtir un solide dossier technique sur cette affaire. Je suis fermement opposé à la fermeture des carrières et j'entends bien me battre.
"Le Conseil des ministres suivant se révèle assez agité. Le Premier ministre a fait de la question de Thiès un élément central de l'ordre du jour. Il développe son point de vue : "Il faut fermer ces carrières, notamment pour des raisons environnementales." Je prends la parole à mon tour et affirme mon opposition au projet. Les implications en termes de pertes d'emplois seraient catastrophiques. De plus, il faudrait dénoncer tous les contrats qui lient l'État aux sociétés qui exploitent le site. Ce serait un imbroglio juridique et l'assurance de devoir payer des dédommagements importants. Le président Wade écoute les divers arguments, en toute logique, décide de différer la décision, en attendant une étude plus poussée, faite par une commission d'experts qui donnera ses recommandations. Je regarde le visage du Premier ministre, il peine à contenir sa colère. J'estime avoir eu gain de cause, car je n'ai pas de doute sur les conclusions de la future commission. Au pire, j'aurais tracé la voie d'une décision plus réfléchie et mûrement pensée.
Au cours des premiers mois à son poste, Idrissa Seck laisse percer des traits de caractère qui rendent le travail avec lui extrêmement difficile : arrogance, certitude d'avoir raison, autoritarisme… Je crois que, pour gouverner, il ne suffit pas de taper du poing sur la table et dire d'une voix cassante : "C'est comme ça et c'est tout, j'ai décidé !" dans un pays comme le mien, c'est important.
Les "tueurs" autour du président
"Les hommes d'État sont entourés de collaborateurs plus ou moins brillants. Parmi eux, certains endossent le costume de "tueurs". Devançant les supposés désirs de leur patron, interprétant à leur guise les fameux "silences" du grand manitou, ils décrochent le téléphone, donnent des ordres, exécutent : "Il faut virer untel, le président ne l'apprécie pas." Il suffit très souvent de dire "non" pour se rendre compte que ces exécutants n'ont que le pouvoir qu'on leur prête. Combien de fois m'a-t-on abordé en me demandant pourquoi j'avais pris telle ou telle décision ou comment se faisait-il que j'avais écarté telle personne ? Je n'étais même pas au courant ! C'est la politique des couloirs et des chuchotements, celle des petits meurtres entre amis, la petite soupe qui ne sent pas très bon.
"En prenant la succession d'Idrissa Seck, j'hérite de dossiers qui sont au point mort. La lutte entre le président Wade et son Premier ministre a fait une victime de taille : l'action publique. Le président avait été élu sur la base de promesses concrètes, notamment la réalisation de grands chantiers devant la somme de travail nécessaire pour cela. Mais ceux qui payent le plus lourd tribut, ce sont mes proches. Ma femme, qui est spirituelle autant qu'elle est dévouée, téléphonait souvent à mes collaborateurs pour leur demander : "As-tu des nouvelles de mon mari ?" Je n'ai pas beaucoup vu ma femme et mes enfants durant ces trois ans, c'est le revers de la médaille quand on occupe cette fonction.
La disgrâce
"Tout semble aller pour le mieux, alors que se profile l'élection présidentielle de 2007. Je suis nommé directeur de campagne de Wade. Je me suis fixé un objectif : faire réélire le président dès le premier tour. Pour ce faire, une équipe d'étude et de sondage d'opinion est constituée. Avec les enquêtes, nous pouvons affiner notre stratégie en temps réel. Au soir du premier tour, les jeux sont faits : Wade est réélu avec 55,90 % des voix. Quelques signes auraient dû m'alerter sur ma disgrâce à venir. Le contenu de réunions stratégiques qui filtre dans la presse, où je suis dépeint comme une sorte de Machiavel, l'interventionnisme forcené du fils du président, Karim, un soi-disant rapport de police qui affirmait que j'étais incapable d'assurer la victoire au premier tour… Je n'ai pas voulu lire ces augures, persuadé que les faits démonteraient tout cela. Lorsque la réélection fut actée, je pensais avoir échappé au pire, puisque j'avais gagné mon pari.
La fouille de la colère
"Un autre événement aurait dû faire plus fortement résonner en moi la sonnette d'alarme : le 19 juillet 2007, je me rends à une réunion de la direction du Pds au Palais présidentiel. Je viens de démissionner, comme prévu, de mon poste de Premier ministre, mais je suis toujours le numéro deux du parti. À l'entrée, le gendarme demande à me contrôler, je le laisse faire son travail. Mais voilà, c'est long, inutilement long, et insistant. Ma patience légendaire est mise à mal, puis s'émousse lorsque le gendarme me lance :
– "Monsieur, vous devez vous soumettre à la fouille corporelle !"
– Pardon ?
– "Désolé, nous avons reçu des ordres."
Jefais aussitôt demi-tour. À peine arrivé chez moi, le téléphone sonne, c'est le président Wade.
– "Je viens d'être informé de l'incident avec la sécurité. C'est réglé, tu peux revenir, nous t'attendons."
– Désolé, Monsieur le Président, je ne reviens pas. Ce qui s'est passé est scandaleux.
On me rapporte que Wade aurait alors dit : "Macky Sall ne devrait pas bouder pour si peu ! Son comportement est une erreur."
"Ce qui m'a révolté en 2008, c'était le sentiment d'une profonde injustice. Mon engagement avait été total à l'égard de Wade, et ma fidélité absolue. J'ai travaillé sous les ordres du président comme conseiller, puis ministre, chef du gouvernement, jusqu'à présider l'Assemblée nationale. Je rappelle les faits tels que je les ai vécus. Plusieurs enquêtes de presse évoquent des malversations financières dans la tenue du Sommet de l'Organisation de la conférence islamique à Dakar. La préparation de ce sommet était placée sous la responsabilité de Karim Wade, fils du président. De grosses sommes d'argent avaient été investies dans les travaux et les aménagements nécessaires pour accueillir la réunion. La Commission de l'économie générale du Parlement, présidée par un membre de la majorité présidentielle, veut entendre Karim Wade et Abdoulaye Baldé, respectivement président et directeur exécutif de l'Agence nationale pour l'organisation de la conférence islamique (Anoci). En demandant cette audition, elle est parfaitement dans son rôle. On parle du fils du président, certes, mais nous sommes dans une démocratie où chacun a sa partition à jouer et où nul n'est censé ignorer la loi, ni se mettre au-dessus d'elle. Je suis le président de l'Assemblée nationale, donc je contresigne la lettre officielle qui convoque Wade junior, c'est mon rôle. Si j'avais refusé de signer cette lettre, je me serais mis hors-la-loi, ce qui était impensable. Le président de l'Assemblée ne participe pas à cette commission, c'est celle-ci, comme toutes les autres, qui organise son programme de sessions comme elle l'entend. Lorsque la conférence des présidents se réunit, on examine le calendrier parlementaire. C'est là où chaque membre de la commission peut demander d'entendre qui il veut, à propos de tel ou tel sujet. Or, personne n'avait émis d'objection, bien au contraire, à l'audition des dirigeants de l'Anoci. Les députés membres de la commission l'ont dit et répété avant, pendant et après cette affaire : leur démarche n'avait rien d'hostile. Imagine-t-on, aux États-Unis ou en France, un président de la République exigeant la démission du président du Sénat ou de l'Assemblée nationale parce que celui-ci ou celle-ci auditionne un de ses proches ? Au moment où Wade m'avait demandé de prendre la présidence de l'Assemblée, il m'avait dit : "Il faut une Assemblée de rupture. Je compte sur toi !" On a vu de quelle rupture il parlait. Un matin, on vous réveille et on vous accuse d'avoir osé convoquer le fils du président. Et pour ça, je dois passer à la guillotine. Je dois démissionner. J'ai encore dans l'oreille les mots de Wade au téléphone :
"Tu dois me rendre ce que je t'ai donné ! Je ne te fais plus confiance."
Je n'ai pas hésité une seconde :
"Non !"
Il y eut un silence. Je crois que Wade ne s'attendait pas à ce que son fidèle Macky lui résiste. Il a sous-estimé mon sens de l'honneur et de la justice. Le président avait écarté tous ceux qui lui faisaient de l'ombre, il avait viré Idrissa Seck, il sombrait dans la paranoïa du pouvoir solitaire. Je suis sûr qu'il était persuadé que j'étais à la manœuvre et qu'en visant son fils, je voulais l'attaquer, lui ! Son entourage a certainement joué un rôle dans cette affaire, on l'a influencé. L'occasion était belle pour écarter un rival potentiel. Je venais de perdre ma mère, le 23 septembre 2008. Le 4 octobre, j'ai signé la convocation de Karim Wade. La presse s'en est mêlée. Courtisans et intrigants ont monté le président contre moi.
"La rupture avec Wade fut très dure"
"La rupture avec Abdoulaye Wade fut très dure à vivre. Cela faisait presque vingt ans que je combattais à ses côtés. Du jour au lendemain, j'étais devenu, pour le président et son entourage, le paria, l'ennemi à abattre, un effronté à détruire. Les gens vous évitent. Dans ces moments, on se retrouve face à une certaine solitude (…) On dit que c'est dans ces moments que l'on compte ses véritables amis. C'est exact, mais il faut nuancer le propos. Certains n'avaient d'autre choix que de m'éviter, je n'allais pas leur demander de mettre en péril leur carrière à cause de moi, je ne voulais pas les entraîner dans ma chute. Je n'avais pas envie non plus qu'ils subissent les effets de ma disgrâce. Je leur ai donc demandé de rester dans le parti, d'obéir aux ordres. Quelques-uns s'engagent ouvertement à mes côtés, me soutiennent et en payent le prix : mise en sommeil de leur carrière, menaces, exclusion… En ce qui me concerne, je vais me battre, mais ne désire absolument pas que d'autres paient le prix de ma résistance. Deux députés en font les frais : Mbaye Ndiaye et Moustapha Cissé Lô sont exclus de l'Assemblée nationale.
La dernière audience avec Wade
"Cette affaire commence à ressembler à un thriller politique, mais je ne sombre pas dans la paranoïa, je sais que tous les coups sont permis pour ceux qui veulent m'abattre. On fouille mon passé, on cherche la faute, avérée ou supposée. Un jour, on affirme que je ne serais qu'un "ingénieur de conception" et non un "ingénieur des travaux", j'aurais donc usurpé mon emploi ! Hélas, pour eux, le directeur de l'IST précise devant les médias que l'ingénieur de conception est plus qualifié que celui des travaux ! Raté ! Ensuite, on cherche le magot ! J'ai forcément dû magouiller, planquer de l'argent détourné… Les services de police sont mis sur le coup, mais en pure perte. Le palais ira même jusqu'à faire pression sur ma femme. Ils connaissaient bien mal cette dernière. Le président Wade change de tactique, il finit par me convoquer pour un entretien. Je me rends donc au palais, je n'ai aucune raison de refuser cette entrevue. Je suis président de l'Assemblée nationale, il est président de la République. Après quelques courtoisies de façade, le dialogue va vite tourner court :
"Comment ça va à l'Assemblée ?"
– Ça va, Monsieur le Président.
– "Arrête de me raconter des histoires, cela ne va pas du tout là-bas. L'Assemblée est bloquée, rien ne marche et tu t'obstines à vouloir rester !"
Un silence s'installe, le président Wade reprend, son ton de voix est ferme, cassant :
"Allez, cette affaire a assez duré, cela suffit, tu démissionnes."
"Je laisse passer encore un silence, puis je réponds – ma voix contraste avec la sienne, je reste calme et mesuré, je soutiens son regard :
"Désolé, Monsieur le Président, je confirme qu'il n'y a aucun problème à l'Assemblée et qu'il n'y a rien qui puisse être assimilé à un blocage. Je n'ai aucune raison de démissionner et je ne le ferai pas ! Vous avez manifestement des raisons de vouloir mon départ, c'est donc à vous de me faire partir. Mais je ne vous offrirai pas ma démission !"
Il ne s'attendait pas à une telle réaction, il est surpris, mais verse vite dans la menace :
"Tu cherches des histoires ? Tu seras servi !"
Puis il se lève, l'entretien est terminé. Il n'y a pas de poignée de main, il ne me raccompagne pas. Je me dirige vers la sortie et je l'entends me dire, dans un murmure :
"Tu l'auras voulu !"
La porte de son bureau claque derrière moi. Je sens qu'il était furieux. Je sais combien mon adversaire est redoutable. Depuis son entrée dans l'arène politique en 1974, chaque fois qu'il a voulu abattre quelqu'un, il a réussi, et nul ne s'est relevé. J'entends bien être l'exception qui confirme la règle ! Le 9 novembre 2008, la Chambre vote ma destitution par 111 voix contre 22. Le Sénat ratifie la loi, manquant l'unanimité d'une voix, celle du sénateur de Fatick, Woula Ndiaye, l'ancien président de la Commission de l'économie générale, qui refuse de se plier aux ordres du président Wade. Mamadou Seck devient président de l'Assemblée nationale. Une partie de ma vie est par terre.
"Le jour où j'ai fait irruption à l'amphi avec notre bébé"
"Notre premier enfant naquit alors qu'elle était étudiante. Un jour, afin de pouvoir aller en cours, elle avait confié notre fils à l'épouse de notre ami, le regretté Ousmane Masseck Ndiaye. C'est d'ailleurs le nom de cette dame que nous avons donné à notre fille. Installé chez nos amis, notre petit garçon n'arrêtait pas de pleurer. La dame, inquiète, et ne sachant quoi faire, finit par m'appeler. J'étais à mon bureau : elle m'explique qu'il refuse de s'alimenter et de prendre le biberon. Très inquiet, je me rends chez elle. Effectivement, il continuait de pleurer, je l'ai pris avec moi et nous nous sommes rendus à la Fac où étudiait ma femme. Nous avons fait irruption en plein cours. Je lui explique ce qui se passe. Elle a pris le bébé et elle lui a donné le sein : il s'est calmé aussitôt. Je lui ai dit :
"On rentre à la maison."
Ce fut son dernier cours :
"Maintenant, je vais m'occuper de mon fils", avait-elle dit.
Son mérite est d'autant plus grand qu'elle avait choisi de mettre un terme à une formation au bout de laquelle elle serait devenue ingénieure, comme son mari, et aurait exercé un métier dans lequel elle aurait sûrement brillé."
160 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2018 (18:39 PM)C’est Indigne D’un Président !
En Novembre, 2018 (18:41 PM)Un torchon bourré de TÉSSEUNTÈH, rempli de nettali de bas-étage, truffé de ragots de borne-fontaine, dégueulant de vieilles rancunes rances cuites et recuites … je n’arrive pas à croire qu’un président en exercice présente un torchon pareil comme « son livre » !!! On croirait que ce sont les mémoires d’une vieille mégère
Anonyme C'est Moi
En Novembre, 2018 (18:46 PM)La fin fut brève dirai-je ...
Le Patriote
En Novembre, 2018 (18:51 PM)Senenmut
En Novembre, 2018 (18:54 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (18:54 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (18:57 PM)Ceux qui ne voudront pas voir le soleil de 13h dans le Saloum ne verront rien car obsédés par leur jalousie et leur haine pour le fils de gardien d'école qui a fini par devenir Président de la République, et permis à nos enfants du fin fond du Sénégal de croire en leur en eux pour un heureux destin...
Pour ces leçons de vie face à l'épreuve, Merci Macky!!!!
Anonyme
En Novembre, 2018 (18:57 PM)Éternel Tocard !
Anonyme
En Novembre, 2018 (19:05 PM)Par Cécile Deffontaines
Publié le 27 novembre 2018 à 16h28
Un rapport d'enquête confidentiel, remis au Conseil d'Etat suisse le 31 octobre dernier et révélé par Radio Lac, confirme que Tariq Ramadan "aurait tenté de séduire sans succès l'une de ses élèves âgée de 14 ans et serait parvenu à entretenir des relations sexuelles avec les trois autres élèves âgées de 15 à 18 ans". L’affaire était sortie dans la presse helvète, dès novembre 2017, peu après deux plaintes pour viol en France contre le prédicateur Tariq Ramadan.
Anonyme
En Novembre, 2018 (19:15 PM)SaLe esclave. .
Anonyme
En Novembre, 2018 (19:18 PM)l'enfant du peuple qui a traversé et remporté la première place du pays
lorsque l on li le passage avec wade ça fait penser que le pouvoir pour celui qui en dépends trop et une drogue qui oublie de vous rappeler que ses effets sont temporaires...
le pouvoir a souvent les gens plus qu ils en ont... comme l argent
Anonyme
En Novembre, 2018 (19:21 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:21 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:22 PM)Archi
En Novembre, 2018 (19:26 PM)veuillez visiter notre page facebook pour plus de renseignements: GBS
Alibaba
En Novembre, 2018 (19:26 PM)Mais Mr le president les momentos c’est toujours après le retrait d’une activité que ce genre de livre sont produits.
Pour le moment au lieu de nous raconter ta vie
Vous devriez à 3 mois des élections venir devant le peuple qui vous avait fait confiance défendre vôtre bilan accepté les échecs.
Anonyme
En Novembre, 2018 (19:27 PM)veuillez visiter notre page facebook pour plus de renseignements: GBS
D.
En Novembre, 2018 (19:31 PM)Je suis fier de ce Président.
Anonyme
En Novembre, 2018 (19:32 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:32 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:34 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:34 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:36 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:36 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:37 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:41 PM)Liberte Egalite
En Novembre, 2018 (19:50 PM)2nd Term For Macky Sall Ngary
En Novembre, 2018 (19:56 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:57 PM)Normal. La fin est proche. Vivement Février 2019
Anonyme
En Novembre, 2018 (19:57 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:57 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:57 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:57 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (19:59 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:03 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:04 PM)Fatou
En Novembre, 2018 (20:05 PM)Kane
En Novembre, 2018 (20:07 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:08 PM)Le reste c est de l histoire...je dirais même des mémoires anticipées
Bon vent!!! Abalniou Rek
Anonyme
En Novembre, 2018 (20:08 PM)Le reste c est de l histoire...je dirais même des mémoires anticipées
Bon vent!!! Abalniou Rek
Anonyme
En Novembre, 2018 (20:10 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:15 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:17 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:25 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:30 PM)Pauvre Victime Macky
En Novembre, 2018 (20:33 PM)SONKO!!!!!!!!!!!!!!!!
Tchimm, qui a le temps d’écrire un tel livre alors qu’on te paie pour présider le pays? Les Présidents qui se respectent attendent la fin de leur mandat pour écrire!
Anonyme
En Novembre, 2018 (20:35 PM)Je suis sûr qu’Idy va répondre dans les jours qui viennent.
Vive Issa Fall PURÉE
Anonyme
En Novembre, 2018 (20:36 PM)Deux choses donc à retenir:
1- Connaissant les sénégalais, cela peut marcher. Le peuple sénégalais oublie vite et compose avec le mot "ndeyssane". La raison est hellène, l'émotion est...
2- C'est un aveu de taille. Les renseignements généraux politiques seraient alors sans appel: son bilan ne lui permet pas un second mandat aux yeux des populations.
Ousmane Sonko, la balle est donc dans ton camp. Foncer et administrer le coup de grâce ou l'observer enfumer ce pays par les épisodes poignants qui lui ont toujours valus la sympathie des sénégalais.
-
Bou lolou wesso, président iowit koula bayi ! Pour un enfant qui pleure, tu quittes ton job, fait le trajet chez ton ami et l'amènes directement dans l'amphi de sa maman, qui plus décide d'arrêter... Cela ressemble fortement à un acte prémédité. Et la dame semble avoir été cuisinée en amont pour qu'on lui amène le gosse qui chiale comme preuve de "je t'avais dit qu'il fallait arrêter et rester à la maison, en voilà les faits".
Mais alors si cette hypothèse est avérée, cela voudrait dire que notre ourson national dey toy toylou sunu kaw. Ce gars avait donc des ambitions présidentielles depuis le début. "Tu gères la maison, je vais à la chasse...".
Méfions nous des prédateurs qui se cloîtrent derrière des faux airs de victimes et font les mignons devant nous. Même dans la savane, il n'y a pas de fauve mignon, ils sont tous renfrognés.
Anonyme
En Novembre, 2018 (20:37 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:41 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:44 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:44 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:44 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:46 PM)Et sachez une chose Seul Le Très Haut Connait qui sera président en 2019. Que Dieu Maudisse les envieux et les clochards!
Mbaye
En Novembre, 2018 (20:46 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:48 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:52 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:53 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:55 PM)Comment se procurer le livre in the states?
Anonyme
En Novembre, 2018 (20:55 PM)Comment se procurer le livre in the states?
Anonyme
En Novembre, 2018 (20:55 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (20:57 PM)Bravo ,Monsieur le Président!
Anonyme
En Novembre, 2018 (20:57 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (21:00 PM)Je sûr d'une chose ce monsieur n'est pas un GOR. .
Bravo
En Novembre, 2018 (21:06 PM)sans convoquer l histoire, car dakar en 1945 etait la capitale de ce que tu appelles guinees, babouin que tu es, sans oublier qu avant la colonisation, niani, actuelle guinee etait la capitale de l empire du mali, ourang-outang....sans oublier qu il y a milles ans des peuls du senegal ont quitte le fouta, amenant l islam et la vache pour convertir les dialonkes et appeler ce pays FOUTA DJALLON, vrai nom de la guinee, le nom de leur terroir d origine le fouta senegalais...
en plus ces guineens sont marie a des lebous, wolofs, serreres et se sont metisses avec leurs parents du senegal....kofi saga yayam wala mamame mou niess sa ...ouy....connard
Camara
En Novembre, 2018 (21:16 PM)a occulter beaucoup de choses.
Anonyme
En Novembre, 2018 (21:20 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (21:20 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (21:30 PM)Ce ne sont pas toutes les femmes qui feraient la même chose à sa place.
Chapeau Madame pour cette preuve d'amour qui confirme que derrière chaque grand homme il y a une grande dame
Anonyme
En Novembre, 2018 (21:30 PM)Ce ne sont pas toutes les femmes qui feraient la même chose à sa place.
Chapeau Madame pour cette preuve d'amour qui confirme que derrière chaque grand homme il y a une grande dame
Justice Divine
En Novembre, 2018 (21:38 PM)Le tout puissant à mis Maky à la place de Wade et à celle que ce dernier visait pour son fils.
Celà s'appelle LA JUSTICE DIVINE .
Répétons nous !
Anonyme
En Novembre, 2018 (21:42 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (21:42 PM)Fatickois
En Novembre, 2018 (22:01 PM)Fatickois
En Novembre, 2018 (22:01 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (22:19 PM)on va vous dégagez en 2019.
Anonyme
En Novembre, 2018 (22:28 PM)Anonymendiaye
En Novembre, 2018 (22:43 PM)775202670
En Novembre, 2018 (23:06 PM)Xeme
En Novembre, 2018 (23:16 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (23:31 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (23:31 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (23:33 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (23:44 PM)tes histoires tn passe , on en a rien a foutre ...on en a et vecu pire que toi...
walahi sougnoula wakhone senegalais bou nekk liniouy doundeu dinga fater sa boss...
malgre ttes ces histoires et problemes politiques amngassi 8milliars ....
nioune bagnou dioudo diang ba am master 2 sarap ndeiim yorouniouko...
.
iow nga nkk fii beug nio thiokotane si khel ....
Reapect waay
Anonyme
En Novembre, 2018 (23:55 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (00:03 AM)A tout ceux qui rêvent de le dégager le 24 février, je leur demande de préparer leurs mouchoirs pour pleurnicher car sa victoire sera éclatante et ce jour certains mourront de crise cardiaque .
Condensé D Exercices De Rédact
En Novembre, 2018 (00:11 AM)Les tromperies, la trahison et la mal gouvernance sont le vrai bilan de macky. Cela, le peuple l a bien compris.
Anonyme
En Novembre, 2018 (00:11 AM)Tu t'es moqué de nous depuis 2012,tu vas degager,ton livre tele novelas,tu peux te le mettre au cul et te torcher comme du papier hygienique.degage!!
Anonyme
En Novembre, 2018 (00:19 AM)On écrit ce type de livre quand on plus rien a perdre!!!!
Anonyme
En Novembre, 2018 (00:24 AM)Mais je pense qu'il écrit ces mémoires sans en rendre compte car vivant ses derniers moments au pouvoir.
Anonyme
En Novembre, 2018 (01:07 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (01:20 AM)Travail à domicile bien rémunéré. En un clique!
Anonyme
En Novembre, 2018 (01:22 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (01:22 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (01:22 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (01:22 AM)Baba Schinkilling
En Novembre, 2018 (01:26 AM)Légendaire selon qui? En voilà un qui s'auto glorifie. Quel narcissiste!
Anonyme
En Novembre, 2018 (02:29 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (02:29 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (02:29 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (04:04 AM)Macky Degage
En Novembre, 2018 (04:13 AM)Les lèche-bottes ont baissé leur pantalon
Et ils s'érigent en donneurs de leçons
Le complot du silence persévère
La langue de bois exaspère
Ce triste constat me désespère
Pardonne-moi, si mes vers sont à l'envers...
Parce que tout est arbitraire
Le règne de l'arbitraire
Parce que tout est arbitraire
Le peuple se fait traire
Par ces dangereux béni-oui-oui
Les voleurs de la république
Des dangereux béni-oui-oui
Comme des moutons de Panurge
Le chant du cygne est un signe
Le peuple lit entre les lignes
Les gouvernants nous indignent
On n'est pas sorti de l'auberge
Et dans nos têtes ça gamberge
Et dans nos têtes ça gamberge
Ces dangereux béni-oui-oui
Les voleurs de la république
Ces dangereux béni-oui-oui
Sont des moutons de Panurge
Du café au lait ils sont capables de voler le lait
Les moutons de la république
Ils broutent le république
Comparaison n'est pas raison
SOS, SOS, les voleurs de la république
Ils volent les deniers publics
SOS, SOS, les voleurs de la république
Ils volent les deniers publics
SOS, SOS, les voleurs de la république
Ils volent les deniers publics
Kolo
En Novembre, 2018 (04:27 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (04:56 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (04:56 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (04:56 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (04:56 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (04:56 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (04:56 AM)Awa Balla
En Novembre, 2018 (05:19 AM)Awa Balla
En Novembre, 2018 (05:19 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (05:19 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (06:38 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (07:06 AM)Mbeur
En Novembre, 2018 (07:15 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (07:59 AM)dans ce livre ce que j'aime le plus cest la bravoure l'endurence de tenir tete l'abus d'auorite
d'etre humble mais lucide
ce livre en resume les aigris les mauvais les insulteurs ne vont jamais l'aimer
vive la dignite et l'humilite
Anonyme
En Novembre, 2018 (08:08 AM)Quand on me parle de solutions qui ne vont rien résoudre.....hahahahahah
Anonyme
En Novembre, 2018 (08:16 AM)Second
En Novembre, 2018 (08:21 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:39 AM)Purée, nous sommes mal barrés
Anonyme
En Novembre, 2018 (08:47 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:47 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:47 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:47 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:47 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:47 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:47 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:47 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:48 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:48 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:48 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:48 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:48 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (08:48 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (09:01 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (09:27 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (10:00 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (10:23 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (10:23 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (10:23 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (10:23 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (10:32 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (10:55 AM)Paul
En Novembre, 2018 (10:57 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (11:03 AM)les sénégalais sont amnésiques mais tu as raison ce vieux macaque est double d'un diable. je ne suis pas apr mais j'étais là.
Ainsi mon grand woula ndiaye est entré dans l'histoire du sénégal!!! big up grand woula j'ai toujours eu de l'estime envers toi
Anonyme
En Novembre, 2018 (11:16 AM)Anonyme
En Novembre, 2018 (11:29 AM)Le 24 février 2019 les Lions vont zigouiller du singes insulteurs.
Le 24 février 2019 les Lions vont zigouiller du singes insulteurs.
Lapuissance
En Novembre, 2018 (11:33 AM)Sourga
En Novembre, 2018 (11:52 AM)Tek
En Novembre, 2018 (12:15 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (12:40 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (12:48 PM)Td
En Novembre, 2018 (12:54 PM)Votre témoignage est attrayant à l'attention de tout le monde (je le pense). Vous êtes un bon exemple!
Vous aurez dû raconter cette histoire il y a longtemps notamment pendant votre campagne électorale de 2012. Vous avez été patients.
Anonyme
En Novembre, 2018 (13:00 PM)Bayil Karim ak Khalifa gnou concourir .
Comme on saura qui vient le vrai Patron du Sénégal
.
Anonyme
En Novembre, 2018 (13:12 PM)Anonyme
En Novembre, 2018 (13:12 PM)Le Témoin
En Novembre, 2018 (13:46 PM)Reconnaiissons en toute honnéteté à Macky cette posture de sphinx paré d'un calme légendaire et cet héritage humaniste qui le pousse à prendre la plume là où beaucoup de ses collègues présidents font preuve de carence.
Reconnaissons aussi que rares sont ceux qui osent tenir tête à leur mentor, mais surtout d'opter pour le silence quand, votre famille est trainée dans la boue. Accuser un croyant de "deums" comme l'a fait Wade, est le dépassement du rubicond que Wade n'aurait jamais dû franchir. J'en suis d'autant ébahi qu'en fouillant dans sa généalogie, il n'appartient à aucune branche royale connue au Sénégal.
Mais tout ce côté sombre des arcanes du pouvoir ne dédouane pas Macky de ses pêches capitaux. Ils ont consisté à vouloir coudre un habit neuf avec des hardes déglinguées, je veux dire de vieux morceaux.
Je comprends que Macky en quête de légitimité se voit obligé de composer avec ses contempteurs d'hier et toute la bande de tueurs qu'il connait bien, mais il faut savoir s'arretera à temps. J'espère qu'à son prochain mandat, si mandat, il y a, il opérera une purge autour de cette pourriture qui donne à sa politique cette puanteur nauséabonde sentie par la populace!
Euyineuw .......
En Novembre, 2018 (14:22 PM)Macky dans sa dite traque des biens SUPPOSÉS mal acquis , est allé farfouiller jusque dans les affaires de la DÉFUNTE épouse de Karim , cette dame si douce , qui avait beaucoup d'estime pour Macky lui-même et son épouse , elle les considérait comme des amis sincères , et Macky comme un oncle même . Alors , quand faisant fi de celà et surtout des orphelins que celle qui avait entièrement confiance en lui de son vivant a laissé , Macky par cette fouille dans les affaires de leur mère , fait de celle-ci et outre-tombe une des plus grandes voleuse de la terre ; le president Abdoulaye WADE qui a fait de lui ce que dans ses rêves les plus fous , il n'aurait jamais espéré, est bien en droit avec tous les sénégalais , et à juste titre , et de par notre culture , de le traiter de TRÈS,TRES GRAND DEUMM . "KOU DOMPOTE NEWW , NIOU TAMLA DEUMM !
Le PSE n'est pas de Macky véritablement. Encore que ce n'est que de la poudre aux yeux, parce que rien de ce programme n'est visible après sept très longues années, pour l'intérêt réel des populations sénégalaises .
Ce navet dont on veut faire un livre , en vérité n'est que le reflet de l'âme tourmentée d'un homme en perdition qui , se sachant au crépuscule , que dis-je , à la veille de la fin de toute son ignominie, tente hypocritement d'amadouer la nation , et d'apparaître au yeux de l'opinion internationale comme un homme de bien . Ce qu'il est très loin d'être .
Qui règne par la méchanceté, la trahison , le mensonge et l'hypocrisie, périra par eux !
Abdoulaye WADE est bon , et le monde entier le sait . TOI LE PREMIER ! TOUS LES SÉNÉGALAIS L'ONT VU TE FAIRE ET TE PARFAIRE .
Qu'est-ce-qui t'empêchait de t'entretenir avec le Président Abdoulaye WADE ton partenaire et chef de parti , de cette convocation de Karim par l'Assemblée Nationale ? Aucune commission n'est au dessus du president de l'Assemblée Nationale au sein de cette institution . C'EST QUE LA GRAINE DE LA TRAHISON ÉTAIT DÉJÀ SEMÉE . LA MÉDAILLE DU MAÎTRE BLANC , QUE TU AS REÇUE PRESQUE À L' INSU DE ABDOULAYE WADE QUI AVAIT FAIT DE TOI , LE PRÉSIDENT DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE, EN EST LA PREUVE IRRÉFUTABLE .
TU AS TRAHI ET TRAHIRAS TOUJOURS LE PEUPLE SÉNÉGALAIS AINSI QUE TU AS TRAHI ABDOULAYE WADE . TON RAPPORT À L'ARGENT ET AUX PRIVILÈGES EST MONSTRUEUX , DIABOLIQUE .
Tu as peut-être éliminé Karim WADE et Khalifa SALL , mais Ousmane SONKO tombe pile poil !
VIVEMENT 24 FÉVRIER 2019 !
EUYINEUW BADJI-BASSENE .....
Anonymexpert
En Novembre, 2018 (14:57 PM)NB: Qui avait dit j'ai décidé d’envoyer des soldats en Arabie Saoudite, un point un trait »
Anonyme
En Décembre, 2018 (20:07 PM)Participer à la Discussion