Analysant le débat suscité par le dépôt du rapport de la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri), accompagné d’une proposition d’avant-projet de nouvelle Constitution pour le Sénégal, Serigne Mansour Sy Djamil déclare totalement être en phase avec le doyen Mbow et son équipe. Il déclare sans détour que « Le Président de la République doit faire fi des positions partisanes et tonitruantes venant surtout de son propre entourage ».
Et, de l’avis de M. Sy et de ses camarades de Bës Du Ñakk, « Cet avant-projet de Constitution mérite d’être diffusé et discuté avec les partis politiques, la Société civile et surtout les populations sénégalaises, que la Cnri, de manière inclusive, avait d’ailleurs largement impliquées par des consultations citoyennes tout au long de l’élaboration de ce gouvernement stratégique pour l’avenir de notre pays ».
Serigne Mansour Sy Djamil en phase avec le Doyen Mbow : « Macky Sall doit faire fi des positions partisanes et tonitruantes venant surtout de son propre entourage »
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Auteur: Libération - Seneweb.com
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17 Commentaires
Fnpj Ajeb Anej
En Février, 2014 (10:52 AM)Jdj
En Février, 2014 (10:57 AM)Djamilooo
En Février, 2014 (11:03 AM)CNRI a jeter a la poubelle avec son projet.
On reprend tout a zero et on reflechit entre citoyens majeurs. Pas question d'une democratie selective avec des ''penseurs'' prives qui nous disent ce que nous devons faire ou devenir. Ce sont des fous ces gens-la, mais c'est bien fait pour leurs gueules: leur projet leur est retombe sur le visage avec le rejet massif qu'il subit !
Poisition Courageuse
En Février, 2014 (11:07 AM)Je n'ai jamais imaginé un seul jour que Madior Fall défendrait des positions de si courte vue.
Le plus désolant dans ses propos et ceux du "Président" du groupe parlementaire de BBY, c'est de dire que la commission a OUTREPASSER ses prérogatives. Quelles prérogatives a-t-elle outrepassé? Celles de mener la réflexion le plus loin possible pour un Sénégal prospére, démocratique, de justice etc...
Mr le Président si vous arrivez à faire passer la PATRIE avant le PARTI, même si vous ne faite qu'un seul mandat, vous auriez fait ce qu'aucun président de ce pays n'aura fait et la nation toute entiére vous sera reconnaissante
Xalim
En Février, 2014 (11:20 AM)CAR TOUT DOIT ETRE POUR LE PEUPLE PAR LE PEUPLE ET AVEC LE PEUPLE
Dof
En Février, 2014 (11:22 AM)Enfant Du Sénégal
En Février, 2014 (11:32 AM)Moi
En Février, 2014 (14:35 PM)Fans
En Février, 2014 (18:56 PM)Fans
En Février, 2014 (19:02 PM)Mamadou Ndiaye
En Février, 2014 (19:19 PM)La première c’est qu’on verrait mal un président de la république (qui a déjà réduit et volontairement de deux ans son mandat constitutionnel, dont le parti est déjà très jeune et même pas encore structuré) accepter de rompre les amarres avec le seul instrument pouvant lui permettre de négocier un second bail au sommet de l’état et espérer matérialiser ses ambitions et ses projets
La deuxième c’est qu’il y a peut être lieu de rappeler qu’on attend le président de la république –fondamentalement-sur deux orientations, deux postures:
-1- la défense, la prise en compte de l’intérêt national
-2-le souci de la préservation, de la protection des ressources pour une allocation rationnelle, juste et équitable.
Probablement qu’en faisant cette proposition, les membres de la CNRI avaient en vue ces mêmes préoccupations. Seulement, à mon avis, on pouvait bien atteindre ces mêmes objectifs autrement. Car l’exigence démocratique majeure aujourd’hui, c’est moins d’affaiblir celui là qui a été consacré par le suffrage universel direct que d’équilibrer les pouvoirs entre lui et les principales institutions. Car nous estimons que c’est seulement dans cet équilibrage que les intérêts nationaux sont réellement pris en compte et sauvegardés et aussi que les ressources sont protégées et affectées de la manière la plus efficace et la plus efficiente. C’est pourquoi si cela ne dépendait que de moi, le président de la république pourrait bien demeurer chef de parti. Seulement, il faudra lui ôter toute possibilité de réagir comme un militant en utilisant notamment et de manière discrétionnaire ses pouvoirs de nomination ( une source potentielle de financement indirecte, déguisée d’un parti) ou les ressources de la nation. On sait par exemple qu’aux Etats Unis le choix des femmes et des hommes chargés de conduire les politiques nationales, relèvent d’une triple responsabilité : celle du Président, de la Chambre des Représentants et du Sénat. Pourquoi ne pouvons-nous pas faire la même chose au Sénégal ? Nous croyons savoir aussi que s’il y a des fonds politiques affectés aux différentes institutions Américaines, on n’en dispose pas comme on veut, c’est encadré et la traçabilité des dépenses est exigée.
La proposition de la CNRI est peut être compréhensible dans le sens ou l’on cherche à donner au président une posture « au dessus de la mêlée « Seulement même dans les grandes démocraties ,le chef de parti une fois élu se démarque toujours de son parti, Mais ce n’est qu’un trompe l’œil car dans la réalité, le président continue toujours a influencé la vie de son parti.
Fans
En Février, 2014 (19:54 PM)Fans
En Février, 2014 (20:04 PM)Fans
En Février, 2014 (20:20 PM)Amadou Sakho
En Février, 2014 (20:46 PM)MACKY LE SAIT . CAR HORMI LE PDS QUI EST EN LAMBEAU, DONT PRESQUE TOUS LES ELEMENTS FONT LA QUEUE AU PALAIS, QUE RESTE T-IL. MAIS L'APR RISQUE DE FAIRE UNE ERREUR POLITIQUE QUI LUI COUTERA CHER. CAR LA FORCE ET LA LEGITIMITE DE MACKY C'EST LA GRANDE MAJORITE DES SENEGALAIS APPOLITIQUE QUI L'A ENTRE SES MAINS ET NE L'UTILISERA QU'AU MOMENT OPPORTUN.
ENFIN J'INVITE LES MEMBRES CE PARTI EN STRUCTURATION DE CE DEPARTIR, PENDANT QU'IL EST ENCORE TEMPS DES PECHES DU PDS : MANQUE DE CIVILITE, MANQUE DE PATRIOTISME, ARROGANCE.
Fans
En Février, 2014 (21:09 PM)Moom
En Février, 2014 (10:14 AM)Participer à la Discussion