Le secrétaire exécutif d’Amnesty International, Seydi Gassama, invite le pouvoir de Macky Sall au respect du droit de manifester des Sénégalais. Dans ce sens, il plaide pour « l’abrogation pure et simple de ‘’l’arrêté Ousmane Ngom’’, un arrêté scélérat que les tenants du régime actuel avaient dénoncé et défié lorsqu’ils étaient dans l’opposition et auquel ils s’accrochent maintenant pour restreindre le droit de manifester ».
Mais Seydi Gassama souhaite que l’État aille plus loin. Il suggère, dans le cadre de la réforme du Code pénale et du Code de procédure pénale, une révision de l’article 80 (atteinte à la sûreté de l’État) et une abrogation de l’article 254 (offense au chef de l’État). (Source : La Tribune)
7 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2016 (09:30 AM)Anonyme
En Octobre, 2016 (09:47 AM)Anonyme Nopil
En Octobre, 2016 (10:23 AM)Bouki Sine
En Octobre, 2016 (11:42 AM)Mais vous, M. Gassama, avez-vous dénoncé sous l'ancien régime, "l'arrêté Ousmane Ngom", cet arrêté que vous dite scélérate aujourd'hui avec l'opposition d'alors ? Si la réponse est "non" pourquoi le faire maintenant ? Est-ce seulement parce que c'est Macky Sall qui gouverne aujourd'hui et pas Abdoulaye Wade ? Expliquez-vous, M. Gassama !
Il serait temps pour Amnesty International, de se pencher sur vos réelles motivations que d'aucun juge plus que douteuses, au sein de cette structure...
Anonyme
En Octobre, 2016 (16:36 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (17:12 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (17:54 PM)Participer à la Discussion