En cas de victoire de Ousmane Sonko à l'issue de la présidentielle, la 13ème législature disparaîtra. "Si nous gagnons, nous allons dissoudre l'Assemblée nationale. Nous allons provoquer des élections législatives et communales", promet le candidat à la présidentielle. Le leader du Pastef estime que le Sénégal a besoin d'élus locaux compétents et qui se rapprochent et travaillent pour leurs collectivités. Cette initiative qui fera suite au départ de Macky Sall sera, selon lui, le début de la fin du système.
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Politique
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15 avril, 2024
111 Commentaires
Anonyme
En Février, 2019 (16:54 PM)Anonyme
En Février, 2019 (16:55 PM)QUE PROPOSE T IL ???????????
JE NE VOIS NULLE PART DANS LE PROGRAMME DE SONKO LES SOLUTIONS POUR REGLER DEFINITIVEMENT LE PROBLEME DE LA REBELLION EN CASAMANCE?????????
QUE PROPOSE T IL ???????????
JE NE VOIS NULLE PART DANS LE PROGRAMME DE SONKO LES SOLUTIONS POUR REGLER DEFINITIVEMENT LE PROBLEME DE LA REBELLION EN CASAMANCE?????????
QUE PROPOSE T IL ???????????
Anonyme
En Février, 2019 (16:57 PM)Anonyme
En Février, 2019 (16:59 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:01 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:01 PM)Fama
En Février, 2019 (17:04 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, étant donné la taille de sa coalition, c’est M. Ousmane Sonko
Fama
En Février, 2019 (17:04 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, étant donné la taille de sa coalition, c’est M. Ousmane Sonko
Fama
En Février, 2019 (17:04 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, étant donné la taille de sa coalition, c’est M. Ousmane Sonko
Fama
En Février, 2019 (17:04 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, étant donné la taille de sa coalition, c’est M. Ousmane Sonko
Fama
En Février, 2019 (17:04 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, étant donné la taille de sa coalition, c’est M. Ousmane Sonko
Fama
En Février, 2019 (17:04 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, étant donné la taille de sa coalition, c’est M. Ousmane Sonko
Fama
En Février, 2019 (17:04 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, étant donné la taille de sa coalition, c’est M. Ousmane Sonko
Fama
En Février, 2019 (17:04 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, étant donné la taille de sa coalition, c’est M. Ousmane Sonko
Fama
En Février, 2019 (17:04 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, étant donné la taille de sa coalition, c’est M. Ousmane Sonko
Anonyme
En Février, 2019 (17:08 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:08 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:09 PM)Focusactu.net
En Février, 2019 (17:10 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:10 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:10 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:12 PM)DE TOUTE FACONS VOUS N AVEZ AUCUNE CHANCE DE GAGNER LES PRESIDENTIELLES DEVANT MACKY SALL, ET ON NE CONFIERA JAMAIS CE PAYS A UN SALAFISTE MENTEUR MANIPULATEUR ESPIEGLE ET IRREDENTISTE "CASACAIS".
Le salafiste menteur os senghor wade diouf tarikhas
Anonyme
En Février, 2019 (17:13 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:14 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:15 PM)Khady
En Février, 2019 (17:15 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Khady
En Février, 2019 (17:15 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Khady
En Février, 2019 (17:15 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Khady
En Février, 2019 (17:16 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Khady
En Février, 2019 (17:16 PM)– « S’agissant de la gouvernance économique, je serai toujours guidé par le souci de transparence et de responsabilité dans la gestion vertueuse des affaires publiques. Je mets à ma charge l’obligation de dresser les comptes de la Nation et d’éclairer l’opinion sur l’état des lieux.
– Je compte restituer aux organes de vérification et de contrôle de l’État la plénitude de leurs attributions. Dans le même sens, l’assainissement de l’environnement des affaires et la lutte contre la corruption et la concussion me tiennent particulièrement à cœur.
– À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers public, je tiens à préciser que je ne protégerai personne. Je dis bien personne !
Et il engageait fermement le Gouvernement« à ne point déroger à cette règle ».
Des engagements, il en a pris de très nombreux autres. Il en a été ainsi de celui à réduire la durée du mandat présidentiel de sept à cinq ans et à se l’appliquer, de la primauté de la Patrie sur le parti, de la Traque des biens dits mal acquis, de sa ‘’ferme’’ décision de ne jamais prendre un décret pour nommer son frère bien aimé à un poste de responsabilité, etc. Tous ces engagements se sont volatilisés et sa gouvernance est tout sauf ce qu’il avait promis. Nous serions donc vraiment amnésiques, vraiment naïfs d’attendre encore quelque rupture que ce soit de ce politicien pur et dur. D’ailleurs, il ne s’aventure même plus dans ce domaine devenu pour lui désormais tabou, et s’accroche de toutes ses forces à son tonitruant bilan agrémenté (encore) de promesses et d’engagements. Oui, il a eu le courage d’en faire et d’en prendre bien de nouveaux. Qui va vraiment le croire ? Allons-nous commettre une seconde erreur qui nous sera fatale, en le réélisant sur la base de ce seul tonitruant bilan, se résumant en des infrastructures fortement surfacturées, destinées bien plus à frapper l’imagination de nos pauvres populations, qu’à développer harmonieusement le pays ? Nous aurons la réponse à cette question au soir du 24 février 2019. J’espère de tout cœur qu’elle sera négative. Si c’était vraiment le cas, nous aurions alors choisi d’élire un des quatre candidats de l’opposition.
Notre rêve d’une gouvernance vraiment sobre, vertueuse, transparente, efficiente, au service exclusif du peuple, donc de profondes ruptures, a été deux fois brisé. Lequel parmi les quatre candidats de l’opposition est-il susceptible, une fois élu, de nous apporter le changement tant attendu ? Pour ne plus courir le risque d’une alternance encore sans alternative, d’une alternance aussi décevante que ces deux devancières, nous devons donc beaucoup réfléchir dans le choix de ce candidat à qui nous confierons le pays pendant cinq ans.Pour le moment,celui que des observateurs de plus en plus nombreux considèrent comme le mieux placé, c’est M. Ousmane Sonko
Anonyme
En Février, 2019 (17:18 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:18 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:18 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:18 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:18 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:20 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:22 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:42 PM)Un futur Yaya Jammeh! C'est vrai qu'ils sont de la même ethnie
Anonyme
En Février, 2019 (17:45 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:49 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:49 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:50 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:51 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:51 PM)Monsieur Sonko doit édifier les sénégalais notamment sur:
- le financement de sa campagne;
- le rôle de Thullow Oil dans sa campagne et son projet de Cité pétrolière;
- son projet de société alternatif crédible (s'il en a).
Anonyme
En Février, 2019 (17:57 PM)Kou Yewou Yewekou
En Février, 2019 (17:57 PM)Anonyme
En Février, 2019 (17:58 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:00 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:03 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:05 PM)DE TOUTE FACONS VOUS N AVEZ AUCUNE CHANCE DE GAGNER LES PRESIDENTIELLES DEVANT MACKY SALL, ET ON NE CONFIERA JAMAIS CE PAYS A UN SALAFISTE MENTEUR MANIPULATEUR ESPIEGLE ET IRREDENTISTE "CASACAIS".
Le salafiste menteur os senghor wade diouf tarikhas
Vous ne pouvez le faire qu'en cas de défiance de l'Assemblée nationale, après une motion de censure contre votre premier ministre ! IL Y A UNE SEPARATION DES POUVOIRS ENTRE L EXECUTIF, LE LEGISLATIF ET LE JUDICIAIRE ! Que vous le vouliez ou pas vous allez cohabiter avec une majorité non acquise à votre régime jusqu'aux prochaines législatives ! Ce scénario est déjà arrivé entre wade et diouf. UNE FOIS DE PLUS VOUS FAITES MONTRE DE VOTRE IGNORANCE DU FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS AINSI QUE DE VOTRE AMATEURISME; IGNORANCE QUI VOUS FAISAIT DIRE AUX POPULATIONS DE DAHRA QUE VOUS CONNAISSEZ LEUR PROBLEME, C EST L EROSION COTIERE ALORS QUE DAHR EST CONTINENTAL ET TRES TRES LOIN DE LA MER.
DE TOUTE FACONS VOUS N AVEZ AUCUNE CHANCE DE GAGNER LES PRESIDENTIELLES DEVANT MACKY SALL, ET ON NE CONFIERA JAMAIS CE PAYS A UN SALAFISTE MENTEUR MANIPULATEUR ESPIEGLE ET IRREDENTISTE "CASACAIS".
Le salafiste menteur os senghor wade diouf tarikhas
Vous ne pouvez le faire qu'en cas de défiance de l'Assemblée nationale, après une motion de censure contre votre premier ministre ! IL Y A UNE SEPARATION DES POUVOIRS ENTRE L EXECUTIF, LE LEGISLATIF ET LE JUDICIAIRE ! Que vous le vouliez ou pas vous allez cohabiter avec une majorité non acquise à votre régime jusqu'aux prochaines législatives ! Ce scénario est déjà arrivé entre wade et diouf. UNE FOIS DE PLUS VOUS FAITES MONTRE DE VOTRE IGNORANCE DU FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS AINSI QUE DE VOTRE AMATEURISME; IGNORANCE QUI VOUS FAISAIT DIRE AUX POPULATIONS DE DAHRA QUE VOUS CONNAISSEZ LEUR PROBLEME, C EST L EROSION COTIERE ALORS QUE DAHR EST CONTINENTAL ET TRES TRES LOIN DE LA MER.
DE TOUTE FACONS VOUS N AVEZ AUCUNE CHANCE DE GAGNER LES PRESIDENTIELLES DEVANT MACKY SALL, ET ON NE CONFIERA JAMAIS CE PAYS A UN SALAFISTE MENTEUR MANIPULATEUR ESPIEGLE ET IRREDENTISTE "CASACAIS".
Le salafiste menteur os senghor wade diouf tarikhas
Vous ne pouvez le faire qu'en cas de défiance de l'Assemblée nationale, après une motion de censure contre votre premier ministre ! IL Y A UNE SEPARATION DES POUVOIRS ENTRE L EXECUTIF, LE LEGISLATIF ET LE JUDICIAIRE ! Que vous le vouliez ou pas vous allez cohabiter avec une majorité non acquise à votre régime jusqu'aux prochaines législatives ! Ce scénario est déjà arrivé entre wade et diouf. UNE FOIS DE PLUS VOUS FAITES MONTRE DE VOTRE IGNORANCE DU FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS AINSI QUE DE VOTRE AMATEURISME; IGNORANCE QUI VOUS FAISAIT DIRE AUX POPULATIONS DE DAHRA QUE VOUS CONNAISSEZ LEUR PROBLEME, C EST L EROSION COTIERE ALORS QUE DAHR EST CONTINENTAL ET TRES TRES LOIN DE LA MER.
DE TOUTE FACONS VOUS N AVEZ AUCUNE CHANCE DE GAGNER LES PRESIDENTIELLES DEVANT MACKY SALL, ET ON NE CONFIERA JAMAIS CE PAYS A UN SALAFISTE MENTEUR MANIPULATEUR ESPIEGLE ET IRREDENTISTE "CASACAIS".
Le salafiste menteur os senghor wade diouf tarikhas
Anonyme
En Février, 2019 (18:13 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:21 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:24 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:36 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:38 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:38 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:39 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:40 PM)Ibsondiop
En Février, 2019 (18:40 PM)un SONKO SONKO(SOCé) ne sera jamais président du Sénégal
Cést source d'instabilité car ethnies trés minoritaire
Anonyme
En Février, 2019 (18:41 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:41 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:42 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:42 PM)DISSOUDRE L ASSEMBLEE NATIONALE PK FAIRE SI C PUUR TOUJOOURS AVOIR UNE MAJORITE C DEUX FOIS ZERO
BEAUCOUPP D'iDEE DE SONKO SONT VOLER DU MOUVMENT M2C SUITE AU DOCUMENT QUE NOUS LUI AVONS TRANSMIS MAIS QU'IL VAHICULE DE MANIERE MALHONETTE
LE MOUVEMENT M2C PRONNE UNE ASSEMBLEE NATIONALE SANS PARTI PPOLITIQUE ETT SANS MAJORITE C'EST LA SEULE ASSEMBLEE QUI PPEU ETRE UTILE TT AUUTRE REFORME NNE SERVIRA A RIEN QUE DU BLA BLA TROOMPEUR
Anonyme
En Février, 2019 (18:43 PM)Donc qui suis je policier tout court?ou policier gangster
Anonyme
En Février, 2019 (18:43 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:43 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:44 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:44 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:44 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:51 PM)Anonyme
En Février, 2019 (18:55 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:08 PM)SONKO DIXIT; "« J’ai une mission de libération nationale pour libérer le pays et le continent de la mal gouvernance, de l’incompétence et du complexe vis-à-vis de l’étranger », au meeting au stade Jules François Bertrand Bocandé de Ziguinchor.
LIBERER LE PAYS ET LE CONTINENT ????? Preuves que ce pervers narcissique, salafiste menteur soufre en plus de mégalomanie ! EN UN MOT C EST UN ALLIENE MENTAL EN PUISSANCE
SONKO DIXIT; "« J’ai une mission de libération nationale pour libérer le pays et le continent de la mal gouvernance, de l’incompétence et du complexe vis-à-vis de l’étranger », au meeting au stade Jules François Bertrand Bocandé de Ziguinchor.
LIBERER LE PAYS ET LE CONTINENT ????? Preuves que ce pervers narcissique, salafiste menteur soufre en plus de mégalomanie ! EN UN MOT C EST UN ALLIENE MENTAL EN PUISSANCE
SONKO DIXIT; "« J’ai une mission de libération nationale pour libérer le pays et le continent de la mal gouvernance, de l’incompétence et du complexe vis-à-vis de l’étranger », au meeting au stade Jules François Bertrand Bocandé de Ziguinchor.
LIBERER LE PAYS ET LE CONTINENT ????? Preuves que ce pervers narcissique, salafiste menteur soufre en plus de mégalomanie ! EN UN MOT C EST UN ALLIENE MENTAL EN PUISSANCE
Anonyme
En Février, 2019 (19:09 PM)Sango
En Février, 2019 (19:13 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:25 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:25 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:25 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:25 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:25 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:26 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:26 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:26 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:26 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:26 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:26 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:26 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:38 PM)Anonyme
En Février, 2019 (19:44 PM)Atepa fut un conseiller de Wade et c'est lui qui a recommandé Aliou Sall frère du Président à Frank Timis de petrotim
Doyna War
Moulaye Abale siège ak voiture
De qui se moque t on ?
Anonyme
En Février, 2019 (19:44 PM)Atepa fut un conseiller de Wade et c'est lui qui a recommandé Aliou Sall frère du Président à Frank Timis de petrotim
Doyna War
Moulaye Abale siège ak voiture
De qui se moque t on ?
Anonyme
En Février, 2019 (19:44 PM)Atepa fut un conseiller de Wade et c'est lui qui a recommandé Aliou Sall frère du Président à Frank Timis de petrotim
Doyna War
Moulaye Abale siège ak voiture
De qui se moque t on ?
Anonyme
En Février, 2019 (19:54 PM)Anonyme
En Février, 2019 (20:09 PM)Anonyme
En Février, 2019 (20:34 PM)??
En Février, 2019 (20:42 PM)Anonyme
En Février, 2019 (21:11 PM)1– Nous voulons une justice libre et Indépendante .
Zéro pression sur les magistrats.
2 – Une lutte contre la corruption et la traque des voleurs
de la République .
3 – Une autorité indépendante pour organiser
l’élection présidentielle .
4 – La démission du Conseil Constitutionnel et la
suppression du parrainage .
5 – La mise à disposition d’un fichier électoral fiable .
6 – L’intégration dans le fichier électoral , tous les
sénégalais ayant la mention » Non Inscrit sur le
fichier électoral » sur leur CNI .
7 – La libération de tous les détenus politiques .
8 – La satisfaction au plus vite des revendications
des syndicats : justice , santé , enseignants , etc .
9 – Une solution aux 41 000 étudiants renvoyés des
universités privées .
10 – Le paiement immédiat de la dette intérieure qui
a fini d’étrangler les entreprises locales .
Ceux sont les exigences des citoyens sénégalais pour une transparence totale dans ces
Présidentielles . Et ramener le calme et la sérénité dans le pays à la gloire de notre démocratie .
Ad
En Février, 2019 (21:18 PM)Anonyme
En Février, 2019 (21:18 PM)Anonyme
En Février, 2019 (21:48 PM)Anonyme
En Février, 2019 (21:49 PM)Anonyme
En Février, 2019 (22:36 PM)vive sonko
Anonyme
En Février, 2019 (23:55 PM)Aziz Sow
En Février, 2019 (00:36 AM)Aucune expérience de la real politique...encore moins de l'administration..
Comment dissoudre une assemblée légitimement élue par le peuple???
Anonyme
En Février, 2019 (06:50 AM)Risofe
En Février, 2019 (16:46 PM)Il disait que Ila Touba n'était pas nécessairement ne sera président que pour les institutions la grande classe c'est à dire les hauts fonctionnaire car c'est ça qu'il connait la bourgeoisie, écoutez tous ses propos vous ne lui entendrez jamais parler de se qu'il fera pour le sport ni pour monde rural ni pour la culture et le transport. tout se qu'il pense dans la tète c'est le pétrole , le Gaz comme il sait que le pétrole et le gaz c'est dans l’immédiat il fait tout pour être au pouvoir être le premier à bénéficier. je vous demande de bien réfléchir sur se que sonko pourrai faire après être au pouvoir avant de lui donner vos carte.
Anonyme
En Février, 2019 (11:22 AM)#Votonsutile #votonsidy
PR Idrissa SECK SG Lamine BA VPR Dethié FALL PP Abdourahmane DIOUF , liguey bi rafet na , vous etes dignes competents et pertinents
MERCI A LA GRANDE COALITION PR AMSATOU SOW ABDOUL MBAYE HADJIBOU SOUMARE CHEIKH BAMBA KHALIFA SALL , vous avez fait le choix de l'intellect, le choix de la patrie
RV le 24 FEVRIER inchallah
Anonyme
En Février, 2019 (12:04 PM)Anonyme
En Février, 2019 (12:04 PM)Anonyme
En Février, 2019 (12:04 PM)Anonyme
En Février, 2019 (12:04 PM)Anonyme
En Février, 2019 (14:16 PM)Anonyme
En Février, 2019 (02:14 AM)Participer à la Discussion