Réponse du berger à la bergère ! Les progressistes n’ont
pas mis beaucoup de temps pour répondre aux attaques de Moustapha Cissé
Lô qui accusait leur leader d’avoir porté préjudice à la coalition Benno
Bokk Yakaar (Bby) de Macky Sall lors des élections législatives de
dimanche dernier. Le responsable des jeunes de Dakar, Zator Mbaye,
membre du bureau politique de l’Alliance des Forces de Progrès (Afp), a
tenu à mettre les points sur les i. Pour lui, c’est du réchauffé. Depuis
les investitures, Cissé Lô ne cesse de s’attaquer à Moustapha Niasse.
« Le choix de faire du Secrétaire général de l’Afp la tête de liste
nationale de Bby a été partagé par la majorité des Sénégalais du fait de
son expérience, de son expertise et de sa bonne connaissance de
l’Etat », a-t-il expliqué dans les colonnes du Populaire. M. Mbaye est
d’avis que Niasse « permettrait à la nouvelle Assemblée d’être une
Assemblée de rupture. Contrairement à Moustapha Cissé Lô qui
transformerait l’Assemblée en un far-west, avec des coups de feu et tout
ce qui s’ensuit. Nous comprenons qu’il ne puisse pas comprendre les
enjeux du moment ».
24 Commentaires
Verites
En Juillet, 2012 (12:35 PM)Jo
En Juillet, 2012 (12:53 PM)Lion
En Juillet, 2012 (13:01 PM)Mecdeparis
En Juillet, 2012 (13:07 PM)Deug-rék!
En Juillet, 2012 (13:09 PM)Et Niasse de transformer l'assemblée nationale en ring de boxe avec des coups de poing !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Bala
En Juillet, 2012 (13:14 PM)Ahlou Kitab
En Juillet, 2012 (13:22 PM)Éternel des armées l'a juré, en disant : Oui, ce que j'ai décidé arrivera, Ce que j'ai résolu s'accomplira.es14:24
Avant tout j'annule cette prophétie dans le non de JÉSUS si c'est pas la volonté de DIEU, père si c'est ta volonté qu'elle soit faite amen. Cher frères et sœurs dans le christ connaissant le puissant nom de notre seigneur et sauveur JÉSUS CHRIST qui fait peur aux démons, qui fait tremblé à leurs adeptes et même qui leurs faire fuir une fois que ce nom est invoquée ne soyez pas ignorant et ne devenez pas trop naïf je vous exhorte à méditer sur cette passage de l'écriture :
'' Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.''1jean4:1
pourquoi croire à la prophétie des païens ou païennes qui ne confesse même pas le non de notre saint seigneur et sauveur ( JÉSUS CHRIST) souvenez vous quand l'écriture nous dit que c'est le seul nom qui a été élevé au dessus de tout nom quel nom? le nom saint sauveur JÉSUS je cite:
9
C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom,
10
afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre,
11
et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père ph2
Bien aimé nous devons pas rester comme des spectateurs, commencez a expérimenté le puissant nom de saint sauveur JÉSUS CHRIST en annulant cette fausse prophétie par les armes par lesquelles l'écriture nous recommande de combattre avec rappelez vous aussi que le seigneur nous a donné l'autorité de lier ou de délier toute chose qui ne confesse pas son saint nom je cite :
Je vous le dis en vérité, tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel. Je vous dis encore que, si deux d'entre vous s'accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux''mth18:18-19''
prenez garde de cette prophétie que la femme a fait elle semble tirée son origine des djinn arrêter de la prêter l'oreille car elle ne croit pas au seigneur elle veut se faire un nom, ne mettez pas votre confiance en elle écoutez ce que dit l'écriture :
Ainsi parle l’Éternel : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, Qui prend la chair pour son appui, Et qui détourne son cœur de l’Éternel ! jém17:5
Levez vous frère et sœur dans la foi et commencer à combattre non pas avec les armes que le monde a créé ( chapelet, récitation des pierres , ou m16 ou lance roquette toutes ces armes viennent du diable ) par contre combattons avec les armes que le saint seigneur nous a légué qui sont : son saint nom et sa sainte parole sans ces deux armes point de victoire dans le combat contre le diable, c'est un exemple de l'église de Philadelphie qui est dans la bible ap3:8 cette église avait gardé le nom du saint sauveur sans oublier sa sainte parole.
LOUANGE au SAINT PÈRE ET A SON SAINT FILS JÉSUS CHRIST NOTRE SEIGNEUR ET SAUVEUR.
Tornado
En Juillet, 2012 (13:52 PM)NdigËl
En Juillet, 2012 (13:56 PM)Piter
En Juillet, 2012 (14:05 PM)Mbottté
En Juillet, 2012 (14:13 PM)cisse lo a droit de demandé tout ce qu'il veut c'est quoi votre probleme
Lolo
En Juillet, 2012 (14:26 PM)Apr
En Juillet, 2012 (14:29 PM)"deug Bou Wer"
En Juillet, 2012 (14:40 PM)Selon moi , le post N° 1 (VERITES) correspondrait mieux à l'attitude qu'il sied de prendre face aux attaques méchantes et injustifiées de Mr Cissé Lo qui ne mérite que d'être traité par le mépris. Si enfin je devais lui donner un conseil, je lui suggérerai d'essayer de faire jouer au moins un brin de son intelligence avant de sortir des paroles monstrueuses et horribles de sa bouche.
La Belle
En Juillet, 2012 (16:29 PM)Doktooru Kajoor
En Juillet, 2012 (16:47 PM)Daa Baax
En Juillet, 2012 (17:16 PM)Sene
En Juillet, 2012 (17:32 PM)Diop_ahmadou
En Juillet, 2012 (18:21 PM)Désinformation, manipulation, désintoxication et trahison tous azimuts lors des présidentielles de 2012. Tous les ingrédients des religieux sur la scène politique.
Malgré la vaste campagne de désintoxication systématique sur fond de désinformation et de manipulation à tout vent, à quelques jours du premier tour des élections présidentielles, les instituts de sondage attribuaient largement la victoire à Moustapha Niasse, suivi de wade. Macky Sall était donc classé troisième par ordre décroissant. Tanor Dieng occupait la quatrième, tandis que le maire de la Cité du Rail, Idrissa Seck, qui s’autoproclamait le quatrième président, avant l’heure, se contentait du bonnet d’âne, cinquième sur la liste des favoris.
Mais contre toute attente, la courbe s’inversait, puisque le 26 février 2012, au premier tour des présidentielles, par surprise, Moustapha Niasse, qui est arrivé troisième et Tanor Dieng, quatrième sont recalés, pour laisser librement la place à wade et son élève, en l’occurrence, Macky.
Le 25 mars 2012, tous contre Wade, Macky Sall a été choisi à défaut et par dépit. Que s’est-il donc passé en mars avant le premier tour ? L’opposition réunie, y compris Macky Sall, lui-même, décidait ensemble de battre campagne. Mais Macky Sall, beaucoup plus futé, qu’il n’y paraît, qui avait donné son accord, était présent dans la vidéo, le même qui avait signé sous réserve les conclusions des assises nationales, viola unilatéralement l’accord et décide alors de battre campagne tout seul, pendant que l’opposition affrontait les forces de l’ordre à la place de l’indépendance, car en politique, tous les coups sont permis, s’ils peuvent rapportent gros. Ce à quoi l’opposition répondait, quand on signe les conclusions des assises nationales, on doit les signer, sans réserve. Peu importent donc les moyens pour y parvenir !
Donc Moustapha Niasse, vilipendé par rapport à son âge, qui ne relève que d’une stratégie huilée des snippers, déclarés et non- éclairés, convertis en directeurs de campagne déguisés, pour le compte des nouveaux riches de l’alternance, n’avait aucune chance de l’emporter, quelle que soit sa stature d’homme d’Etat, non plus, Tanor Dieng houspillé, décrié, diabolisé, décrédibilisé, livré aux chiens, pour avoir distribué des maisons des femmes, sans compter, dit-on, était laminé d’ores et déjà, alors que celui du camp d’en face, bien que gloutonné par le raccourci politique, doit être nécessairement le bienvenu et le meilleur. C’est dire qu’une campagne électorale arbitraire et déloyale par sa nature surréaliste, ubuesque, était parfaitement orchestrée à l’encontre de ces deux figures de proue.
De surcroît, dans un pays où l’électorat rural, majoritairement illettré à plus de 70%, détermine l’issue du scrutin, dans lequel les présidents des communautés rurales, qui sont des porteurs de voix, bien servis par ceux qui sont au sommet de l’état, il va sans dire que les meilleurs soient, nécessairement, les médiocres et qui ont des poches extensibles, par rapport aux autres en mauvaise posture. Nous ne sommes pas dans une "normalitude" de la démocratie. Voilà la réalité d’un pays étrange !
Pourtant, dix ans, avant, Moustapha Niasse, cajolé, béni, le chef de file de l’opposition, entre, autres Abdoulaye Bathily, l’incorruptible sentinelle de la République, furent les faiseurs de rois, car grâce à eux wade a pu accéder au pouvoir.
Rebelote, l’histoire se répète, au prétexte que cette fois-ci, Tanor Dieng et le leader de l’AFP n’ont pas pu trouver une entente à avoir un candidat unique de Bennoo pour gagner les élections. Une explication trop simpliste, qui ne tient que sur du fil blanc, car contrairement aux idées reçues, toute chose n’est pas égale par ailleurs, car en France, la référence de la démocratie, la gauche contre Nicolas Sarkozy de l’ump, n’avait pas besoin d’un candidat unique pour faire battre la droite. En démocratie, il faut savoir mesurer sa force. Selon la règle, le candidat de la gauche qui arrive le premier, sera soutenu par toute la gauche. Ce fut bien le cas. En réalité, il y a eu bien d’autres raisons obscures, évidentes, qui ont contribué à la défaite de l’AFP. Est-ce à dire que nul n’est prophète chez lui. Nous nous interrogeons sur le vote rationnel sénégalais, même si la question reste un tabou. Voilà les contradictions d’une société en perte de repères, puisque par définition, le camp libéral, en la personne de Macky reste l’unique gagnant. Il y a là quelque chose d’étrange. Allez savoir ! Dans une démocratie tangible, Moustapha Niasse, le candidat de la Coalition Bennoo Siggil Sénégaal du rassemblement et de l’unité, était le plus à même de diriger le Sénégal par ses compétences et ses expériences parfaitement avérées. Qu’on l’accepte ou qu’on ne l’accepte pas.
Quoiqu’on puisse dire, l’intrusion directe du religieux sur la scène politique est un échec cuisant du politique, qui est éloquemment comptable de son bilan lourd, un contre modèle du politiquement correct, pour ne pas dire de l’immoralité proéminente. L’épine dorsale de ce maelström surréaliste, résulte de la frontière ténue entre Abdoulaye Wade et le religieux.
Le candidat indocile reste bien le fil conducteur direct de ce que l’on pourrait appeler l’entrisme fracassant de la double casquette des rôles, qui constitue un péril pour la démocratie. Bien que limitée pour sa présence au sein de l’hémicycle, l’abondance des chapelets pourrait donner du fil à retordre au pouvoir, dans l’avenir, car il faut un début pour toute chose. C’est le cas maintenant et peut être, demain sera pire, à l’instar des pays arabes. Le discours finit par prendre et la mayonnaise prend forme. Renforcement de la démocratie pour les uns, recul pour les autres. Des Islamistes modérés ou au contraire, des islamo- affairistes ? On semble brouter par la ruse à la fois dans tous les râteliers, en se couvrant sous l’étiquette de la religion, en bénéficiant des retombées de celle-ci et avoir un pied sur la chose publique. C’est vouloir obtenir par la ruse, l’argent du beurre et le beurre à la fois.
Nous l’avions martelé hier, car le nombre de partis politiques extravagant ne convainc nullement les populations à se mouler dans la musique de la supercherie. Les candidats préoccupés par des sinécures de la république ne défendent que leur bifteck. Le poste de député n’est plus un sacerdoce, mais plutôt un gagne- pain au pluriel, plus rentable que tout autre métier. Les populations méprisées ne sont pas des gueux, au point qu’elles se laissent faire. C’est un message clair pour le nouveau pouvoir et leurs alliés du moment. La grâce risque d’être plus courte si on ne comprend pas la mesure de la gravité.
Ici, le parquet tenu en laisse agit sur instruction de l’exécutif, le tout puissant, diligente en filigrane les opérations sur commande. La liberté du juge n’est qu’une vue de l’esprit. Il y a là une contradiction flagrante et une collusion inacceptable des rôles et ce n’est pas notre vision de la démocratie.
Les audits de la discorde et à géométrie variable, continuent en grande pompe, selon les mauvaises postures au mauvais endroit et au mauvais moment. Nous sommes au cœur d’un régime présidentiel, qui tourne en plein régime. Il dispose de tous les leviers du pouvoir par sa posture que lui confère la constitution. Il est donc par essence juge et partie. Point de contre-pouvoir, aucune ligne Maginot n’est dressée contre lui. Il décide tout seul in fine. C’est un véritable monarque de la République. Ce n’est pas pour rien qu’il demande orbi, urbi, une majorité présidentielle à l’assemblée nationale.
Si l’on veut réguler des prévarications à répétitions, il faudrait que l’on mette nécessairement un directoire collégial de magistrats totalement libres et indépendants du pouvoir politique. A l’instar des grandes démocraties, il est souhaitable de réformer le statut pénal du président de la République. Mais faut-il qu’on ait le courage de dire haut et fort que le principe d’immunité du Chef de l’Etat devient dans les faits, une impunité inacceptable, alors que pendant ce temps, le citoyen lambda est embastillé le plus souvent pour des broutilles ?
La probable cohabitation en perspective traduit bien le malaise d’une débâcle du politique.
Est pire celui qui est aveugle et sourd et qui ne l’admet pas. Jamais de mémoire, dans l’histoire politique de ce pays, bien que le spirituel flirtait avec le pouvoir politique, le religieux n’est jamais arrivé à mettre le pied dans l’étrier, malgré ses accointances remarquées, remarquables avec le pouvoir temporel, sur fond de deal politique sur lequel nos élites surfaient, à grands risques, sans coup férir, pour arriver à ses fins, ce que nous appelons un retour sur investissements, ou simplement le retour de l’ascenseur, mais aujourd’hui, pour la première fois, ce qui était jusque là, hier une impossibilité, devient, une réalité. C’est donc l’arroseur arrosé, même si on s’offusque de dire le contraire par des pirouettes, qui ne convainquent personne. Il y a là une collusion insoutenable à tambour battant dans une république présumée laïque. Cela n’augure rien de bon dans notre démocratie. Et pour cause. Car l’irresponsabilité notoire du pouvoir face à ses contradictions les plus criardes à résoudre la sempiternelle problématique de l’orthodoxie, ouvre bien un marché de dupes. Soit, on est religieux, soit, on est politique. Mais on ne peut pas avoir les deux caquettes à la fois. La double casquette des rôles constitue à nos yeux, un péril de la démocratie.
Le combat continue !
Ahmadou Diop
Koppati
En Juillet, 2012 (19:21 PM)Le Vrai
En Juillet, 2012 (20:53 PM)Est-ce une manière subtile de dire que la place de Barthelemy Diaz n'est pas à l'assemblée? D'ailleurs on en est où de l'enquête sur le meurtre de Ndiaga Diouf?
Le vrai.
Bopsabop
En Juillet, 2012 (09:23 AM)NIASSE n'est pas President a cause de WADE et MACKY , il ne l'oubliera jamais et attend une occasion, mais nous l'attendons de pied ferme. Les éléctions sont terminées retournez à vos partis YOBALEMA et vos assassins !
MAIS QUEL DEPUTE A TUE NDIAGA DIOUF ? DANSOKHO OU BATHILY ?
Pater
En Juillet, 2012 (09:46 AM)Daly
En Juillet, 2012 (10:12 AM)Les sénégalais ont une préférence pour les gens éloquents et intelligents et détestent les populistes,ce qui ne les empêche pas des les utiliser à temps opportun.
Talla sylla est un exemple tout comme B. Diaz.Ces deux gosses réussiront difficilement.
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