Pour avoir levé le lièvre dans l’affaire de trafic de drogue éclaboussant des gradés de La Police, le journal Le Quotidien fait depuis l’objet d’injures et de menaces de mort contre ses responsables. « Le standard du journal est envahi d’appels anonymes…Ce sont des insultes, des menaces de mort contre les responsables du journal », indique un communiqué du journal publié ce mardi. Lequel informe aussi que « Le Quotidien dépose une plainte contre X ».
34 Commentaires
Zaki
En Juillet, 2013 (14:20 PM)Gadji
En Juillet, 2013 (14:24 PM)demandent que la lumiere soit faite sur cette affaire
Kemtana
En Juillet, 2013 (14:26 PM)Le peuple vous soutient
Ani nioom Latif Coulibaly Thieuy Aduna !!!
Boy Brooklyn
En Juillet, 2013 (14:30 PM)C est irresponsable de laisser quelqu un diriger un poste aussi strategique qu est l octis pendant 10 ans .
C est incroyable ce gars devait avoir un protecteur aupres de l ancien regime
Keykendo
En Juillet, 2013 (14:32 PM)Pathe Seck
En Juillet, 2013 (14:35 PM)Bfr
En Juillet, 2013 (14:38 PM)Moi
En Juillet, 2013 (14:41 PM)Boldak
En Juillet, 2013 (14:44 PM)W
En Juillet, 2013 (14:54 PM)Modou Pitche
En Juillet, 2013 (14:58 PM)Deug Rek
En Juillet, 2013 (15:01 PM)Maïmoune
En Juillet, 2013 (15:07 PM)Lipo
En Juillet, 2013 (15:12 PM)Peuls,
En Juillet, 2013 (15:18 PM)PEULS.
Tias
En Juillet, 2013 (15:19 PM)Leda
En Juillet, 2013 (15:19 PM)Sdf
En Juillet, 2013 (15:31 PM)Contrat
En Juillet, 2013 (15:37 PM)Je soussigné à
Demeurant à
titulaire de la cni num délivrée le
occupe
quartier villa num
Jo
En Juillet, 2013 (16:00 PM)Les autorités politiques d'alors étaient-elles impliquées ?
Opinion+
En Juillet, 2013 (16:22 PM)Just Like Traning Day
En Juillet, 2013 (16:23 PM)Le Fil D'ariane
En Juillet, 2013 (16:41 PM)Maïmoune
En Juillet, 2013 (16:47 PM)Mane Moussa
En Juillet, 2013 (17:45 PM)Realit
En Juillet, 2013 (17:48 PM)On peut facilement se trouver dans une situation ou l'on voie le policier autrement
Le Senegal Digne
En Juillet, 2013 (18:50 PM)Nous étions tous surpris hier de voir autant de blancs et de drapeaux africains dans une manifestation pro-Gbagbo en Europe. Alors qu'on a du mal à les apercevoir dans les manifs pro-Mandela, devant la clinique de celui qui jouit d'une opinion favorable des deux côtés de la barque, ils débordent pour la cause de Gbagbo.
Le paradoxe s'explique lorsqu'on déchire le voile du racisme primaire et qu'on arrête de catégoriser les hommes en fonction de la couleur de leur peau. Dans cette mobilisation qui ne cesse de grandir, je préfère voir l'humanité qui se soulève pour défendre les principes élémentaires et rationnels qui devraient régir notre coexistence.
En fait la vague de blancs, venue gonfler le rang des manifestants pro-Gbagbo est celle des Egyptiens. C'est par leur drapeau qu'ils brandissent qu'on les reconnait. Ils ont compris que ce qui les révolte aujourd'hui est le même que ce qui révolte les Ivoiriens dans les rues d'Europe depuis deux ans et demi. La ligne de démarcation est nette. Derrière toutes les crises crées de toutes pièce dans les Etats tranquilles, il y a un seul conflit qui traverse le temps depuis des millénaires: celui de la force brutale contre les principes de base de notre aspiration légitime à être des humains. Les détenteurs de la force brutale et terroriste défendent dans les conflits qu'ils créent des intérêts bassement matériels et civilisationnels. Les pauvres, les faibles, hier, les serfs, esclaves, les colonisés se battent pour faire valoir leur droit à l'humanité, à la fraternité à l'égalité et à la liberté.
Je lisais hier matin dans un organe panafricain que le parti politique du président Morsi demande à ses partisans de rester dans la rue jusqu'à ce que ce dernier retrouve son fauteuil présidentiel.
Qu'est-ce que l'armée égyptienne, Adly Mansour et Mohamed Elbaradei croyaient? C'aurait été trop facile de réunir quelques milliers de manifestants dans les rues d'une ville pour renverser un chef d'État démocratiquement élu, s'emparer du pouvoir et se prévaloir d'une certaine légitimité. Le président Morsi, quel que soit ce qu’on peut lui reprocher, est le chef d'État élu de l'Égypte. Il est le chef que le peuple désormais libre d'Égypte s'est donné.
Nous ne pouvons faire comme si le coup d'État en Égypte était la continuation de la révolution. Celle-ci a pris fin avec une élection démocratique. La démocratie a ses règles et ces règles ne sont nullement édictées par la combinaison qu'on pourrait faire entre la rue et un coup de force.
Tant que l'élection de Morsi n'est pas remise en cause selon les principes de la démocratie Égyptienne, tous les égyptiens, je dis bien tous, pourraient descendre dans la rue avec toute l'armée égyptienne, cela ne rendrait pas Morsi destituable. Une fois encore la démocratie a ses règles et c'est elle la fin de la révolution et non le moyen. Ceux qui ont marché contre Morsi devront montrer qu'ils sont plus nombreux que ceux qui marchent aujourd'hui pour Morsi.
Comment vont-ils s'y prendre?
Pa
En Juillet, 2013 (18:53 PM)Rick Hunter
En Juillet, 2013 (19:48 PM)L'oeil De Cain
En Juillet, 2013 (20:46 PM)Policier1000fr
En Juillet, 2013 (23:06 PM)Ss
En Juillet, 2013 (02:01 AM)Douter
En Juillet, 2013 (04:17 AM)Baden
En Juillet, 2013 (16:02 PM)Participer à la Discussion