Le président Macky Sall ne perd pas de temps pour essayer de trouver une solution à la crise universitaire. En effet, il a démarré hier les consultations pour établir un dialogue en relation avec tous les acteurs du monde universitaire; discussions qu'il avait promises dès sa descente d'avion dimanche dernier.
En effet, le Chef de l’Etat a reçu le médiateur de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), le professeur Mamadou Ndiaye, ainsi que son prédécesseur, Bouba Diop, les discussions des deux universitaires ont tourné autour des moyens à utiliser pour pacifier l’espace universitaire. Toujours dans ses audiences, le chef de l’Etat va rencontrer aujourd’hui le recteur de l’UCAD, le professeur Ibrahima Thioub, le professeur Abdou Salam Sall, les Doyens des facultés et les directeurs des Unités de Formation et de Recherche (UFR) de l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint louis. Les directeurs des centres universitaires viendront boucler le programme d’audience du président Sall. La dernière rencontre est prévue demain samedi à savoir la rencontre avec le Syndicat Autonome des Enseignants du Supérieur (SAES) qui sera suivie par celle avec les étudiants.
Selon
"L'Observateur", le président se réjouit de l’appel au calme et à la
sérénité lancé ces derniers jours par les chefs religieux.
41 Commentaires
Hercule
En Août, 2014 (15:01 PM)Scat7171
En Août, 2014 (15:02 PM)Niagas
En Août, 2014 (15:08 PM)Coincidence
En Août, 2014 (15:09 PM)Namur
En Août, 2014 (15:14 PM)Fvg
En Août, 2014 (15:14 PM)Tous Contre Macky
En Août, 2014 (15:16 PM)Polt
En Août, 2014 (15:16 PM)Damabakh
En Août, 2014 (15:19 PM)Cira
En Août, 2014 (15:20 PM)Nguélor
En Août, 2014 (15:20 PM)La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent
Nous sommes dans quel pays dommage
Mboure
En Août, 2014 (15:21 PM)Pensons à cela et liberez les otages politique
Ndiaganiao
En Août, 2014 (15:21 PM)Attention à la traque ciblée de l'opposition
Vins
En Août, 2014 (15:22 PM)Sarko
En Août, 2014 (15:23 PM)Diop
En Août, 2014 (15:24 PM)Solou
En Août, 2014 (15:28 PM)Diop
En Août, 2014 (15:34 PM)KARIM ne peut pas échapper a la justification de sa fortune Karim Wade convoque ses avocats à Rebeuss retour de argents des SENEGALAIS karim wade et associers
Répondre
Mafdrec
En Août, 2014 (15:35 PM)Weuz
En Août, 2014 (15:36 PM)Solo
En Août, 2014 (15:38 PM)Diop
En Août, 2014 (15:38 PM)Répondre
Pape Fall
En Août, 2014 (15:41 PM)Sene
En Août, 2014 (15:42 PM)Diop
En Août, 2014 (15:45 PM)Ahh
En Août, 2014 (15:46 PM)Ahh
En Août, 2014 (15:49 PM)Diop
En Août, 2014 (15:57 PM)Nana
En Août, 2014 (16:02 PM)Nita
En Août, 2014 (16:03 PM)????
En Août, 2014 (16:03 PM)Diop
En Août, 2014 (16:05 PM)Le 25 novembre 2011, par ordonnance N°42/11 rendue par Monsieur Kanga Penond Yao Mathurin, premier président de la Cour d’appel d’Abidjan, la Chambre d’accusation d’Abidjan sera autorisée à «se transporter et siéger au lieu de détention de monsieur Gbagbo Laurent et autres».
Korhogo fut ainsi investi par toute la Cour d’appel d’Abidjan, les avocats s’interrogeant sur cette présence massive et insolite de Hauts Magistrats, ignorant tout de l’Ordonnance précitée, mais soupçonnant que quelque chose se tramait.
Et alors que «l’interrogatoire» au fond du Président Laurent Gbagbo devait commencer le lundi 28 novembre 2011 à 09 heures devant le Tribunal de Première Instance de Korhogo, il ne débutera que le soir vers 16 heures, des membres des Nations Unies devant rendre visite au détenu pour s’enquérir de sa situation et vérifier les conditions de sa détention, selon les explications servies aux Avocats.
Le Président était assisté par cinq (05) avocats, le Sénégalais Ciré Clédor Ly qui rentrait de l’audience de Porto Novo, ainsi que quatre (04) avocats ivoiriens : Agathe Baroan Dioumency, Dako Zahui Toussaint, Dohora Blédé et Félix Bobré.
Kool
En Août, 2014 (16:06 PM)Acoolj
En Août, 2014 (16:06 PM)Diop
En Août, 2014 (16:07 PM)Etant donné l’heure tardive, l’interrogatoire au fond n’a pu être mené à terme pour des raisons sécuritaires et fut reporté au lendemain 29 novembre 2011. Mais avant que celui-ci ne débuta, le procureur général près la Cour d’appel d’Abidjan informa les avocats de son intention d’enrôler séance tenante la demande de transfèrement du Président Laurent Gbagbo formulée par la Cour pénale internationale. Pris de court par cette nouvelle pour le moins inattendue, les Conseils n’ont pu bénéficier que d’une seule et unique heure pour se préparer et ce, contrairement à la Loi ivoirienne qui organise les droits de la défense et prévoit un délai suffisant de préparation des avocats avant leur comparution et plaidoirie devant la Chambre d’accusation, quel que soit le motif de la saisine.
Le mandat d’arrêt fut alors notifié sur le champ par le Procureur de la République près le Tribunal de 1ère Instance d’Abidjan, Monsieur Koffi Kouadio Simplice, lequel procéda immédiatement à la vérification d’identité et à «l’arrestation» du Président. Ce dernier fut informé des incriminations qui lui sont imputées ainsi que de ses droits prévus par l’article 55 du statut de Rome.
Il convient de souligner que l’arrestation d’un Président de la République ou d’un ancien président de la République, lequel est membre de droit du Conseil constitutionnel, ne peut se faire que sur autorisation de la Commission d’instruction près la Haute Cour de Justice, le Procureur de la République n’étant nullement habilité à opérer une telle démarche, aux termes de la Constitution ivoirienne du 23 août 2000 et de la Loi n° 2005-201 du 16 juin 2005 portant statut d’ancien Président de la République, d’ancien Chef ou Président d’institution nationale et d’anciens membres du gouvernement.
Naturellement, les cinq (05) avocats présents et confirmés par le Président Laurent Gbagbo n’eurent d’autre choix que de plaider, la Chambre d’accusation ayant catégoriquement refusé tout renvoi, n’accordant à la défense que quinze (15) minutes pour consulter le dossier avant les plaidoiries.
A l’examen, il est apparu que l’Accord de coopération entre la Cour pénale internationale et l’Etat de Côte d’Ivoire ne figurait pas dans le dossier. Les avocats n’avaient donc pas pu prendre connaissance dudit Accord, ce qui constitue une violation inadmissible des droits de la défense. La Chambre d’Accusation donnera finalement un avis favorable au transfèrement du Président à la Cour pénale internationale, rejetant à l’occasion et toujours sur le siège la demande de liberté provisoire présentée par les conseils du Président.
Toutes les recommandations prévues par le Statut de Rome et qui garantissent les droits de la défense étaient royalement ignorées. Après le retrait de la Chambre, le Procureur Général près la Cour d’Appel d’Abidjan, Monsieur Ibrahima Fofana, demanda au Président de décharger la notification de l’Avis qui venait d’être rendu sur le transfèrement. Les Avocats s’y opposèrent, exigeant de voir la décision, laquelle n’était naturellement pas disponible. C’est ainsi que le Président Laurent Gbagbo, dépité par cette mascarade judiciaire, trancha en ces termes : «Maîtres, laissez-moi signer…Tout cela est politique».
L’Homme était visiblement exténué, déçu et dégoûté de tout cela. La maxime selon laquelle «la plus éloquente des plaidoiries se brise immanquablement sur le récif d’un dossier partisan» venait d’être encore confirmée. Les Avocats n’auront finalement que quelques petites minutes pour parler au Président, les conditions sécuritaires donnant tous les prétextes pour arracher la proie à ses défenseurs impuissants et sans arme. Ils ne furent même pas informés de l’immédiateté du transfèrement, et c’est ainsi que celui qui présidait aux destinées d’une grande nation, la Côte d’Ivoire, avait été embarqué sans même avoir eu la possibilité de s’armer de sa paire de lunettes.
L’Homme était emporté dans le noir, le droit élémentaire d’écarquiller les yeux pour essayer de percer l’obscurité lui étant refusé. Nous sommes incontestablement à la croisée du droit national et du droit international, à l’intersection des illégalités et de l’Arbitraire."
Par Maître Ciré Clédor Ly, Avocat au barreau de Dakar, membre du collectif des avocats du président Gbagbo
Boy Laobe
En Août, 2014 (16:12 PM)Yeet
En Août, 2014 (16:16 PM)Diop
En Août, 2014 (16:19 PM)Le ressortissant guinéen accusé d’avoir tenté de soutirer la mallette, le téléphone portable et d’autres objets de valeur et causé des blessures à l’ancien ministre Me Madické Niang et à son épouse a été condamné, lundi par la Cour d’assises de Kaolack (centre), aux travaux forcés à perpétuité.
Mr Sall
En Août, 2014 (16:22 PM)Disco
En Août, 2014 (16:23 PM)Peuls,
En Août, 2014 (16:33 PM)Participer à la Discussion