Ameth Dansokho est rentré à Dakar après un séjour de six mois à l’étranger. Selon les Echos, le ministre d’Etat se porte comme un charme. Il passe son temps à lire et discute géopolitique, selon ses proches. Qui assurent qu’il garde toute sa clairvoyance et sa lucidité.
En août dernier, une rumeur l'avait donné pour mort.
27 Commentaires
Samuel
En Mars, 2018 (08:59 AM)Talibe
En Mars, 2018 (09:03 AM)Talibe
En Mars, 2018 (09:03 AM)Mansawali Walimansa Bill Haqq
En Mars, 2018 (09:04 AM)OUI POUR UNE BONNE NOUVELLE C'EST BIEN SÛR UNE BONNE NOUVELLE
OUI A LA NOBLE ADRESSE DE CE GRAND COMBATTANT DE LA DEMOCRATIE
:sunugaal
NOUS LUI SOUHAITONS UNE MEILLEURE SANTE TOUTE
COMMISE AU SERVICE DE SON PAYS ET DE SON PEUPLE
Anonyme
En Mars, 2018 (09:10 AM)La Verite
En Mars, 2018 (09:29 AM)Fils
En Mars, 2018 (10:08 AM)Takou
En Mars, 2018 (10:29 AM)Ano
En Mars, 2018 (10:30 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (10:45 AM)Senef4444
En Mars, 2018 (11:19 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (11:36 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (12:02 PM)Ok
En Mars, 2018 (12:06 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (12:42 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (13:10 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (14:13 PM)On s'attarde trop sur le passé
Avançons avec des hommes neufs qui sont imprégnés des réalités du moment pas avec des gus qui passent leur temps à nous debitér le passé
Anonyme
En Mars, 2018 (18:52 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (20:13 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (06:10 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (06:14 AM)La politique est une entreprise financièrement rentable au Sénégal. Le pays est un immense gâteau de chef étoilé à partager entre plus de 300 partis dont 290 vautours n’osant pas voler de leurs propres ailes à une présidentielle car n’ayant ni le quotient électoral, ni la surface financière pour payer la caution, si ce n’est pas le pouvoir qui s’en acquitte à leur place pour berner les masses, astakhfiroullah !, baiser devrais-je dire. Les polluants politiques persistants et vrais faux opposants se réfugient derrière le nid douillet des coalitions, désertent le terrain politique pour envahir le terrain médiatique et exister par l’unité de bruit ; ni permanence, ni structures, zéro activité. Le récépissé ne sert point à conquérir le suffrage des électeurs, mais c’est un permis de combinazione, de spoliation, de prédation, d’accaparement de ressources sur le dos du Sénégal. La stratégie est simple. Le parti-media dit soutenir l’action du Président de la république en fonction qui lui jette un grand os à ronger rembourré avec fromage : salaire, avantages en nature et espèces, impunités garantis durant le mandat.
Si c’est à la veille du premier tour de la présidentielle, il faut faire semblant de se présenter sans en avoir le courage. Aucune consigne et on attend le deuxième tour pour le grand chantage du maître en la matière. Au président sortant qui détient la caisse noire de milliards, il est exigé des frais de campagne. Les soi-disant souteneurs du challenger prétendent que leur soutien est sans condition. De ce fait, ils reçoivent des frais de campagne. Si le challenger passe, c’est le jackpot : rentes assurées durant le mandat du nouvel élu. Le supporter du candidat battu va transhumer par contournement, pour, dit-il, soutenir l’action du Président de la République. Dans tous les cas, les entrepreneurs politiques ne perdent rien de leur investissement et suceront le sang du contribuable sénégalais : salaires, passeport, logement, couverture maladie, parc automobiles, carburant, voyages à l’autre bout du monde. C’est pourquoi les partis yobbaléma, altoppé prospèrent. Violence au summum sur le peuple dépouillé ne saurait être plus pernicieuse. Ainsi déguisé, le vol est institutionnalisé et le crime organisé sans porter le nom de camorra ou oser appeler au « legalize it » à propos du yamba de Peter Tosh et du mouvement rastafari. Personne ou peu pour défendre les intérêts supérieurs de la nation orpheline et impunément violée à répétitions sur recommandation juridiquement encadrée. Le seul métier qui vaille est la politique. Inutile de travailler ; point de curriculum-vitae à faire valoir. Le parcours politique prime sur parcours professionnel.
Faites de la politique et toujours de la politique, rien que de la politique, ainsi ventre et bas-ventre sont éternellement satisfaits. Les compétences en politique politicienne payent plus que les compétences pures.
Ah tchim !, tchim mbaye ! transhumance !, appellation d’origine contrôlée de la prostitution politique dans le maquis avec ou sans la carte sanitaire du parti au pouvoir! Et si la proposition de l’ex- Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye avait abouti, combien d’hommes politiques, pardon, de bêtes en transhumance à la recherche de pâturages d’abord verts-PS, ensuite bleus-PDS, après marron-beige-APR, voulant goinfrer à tous les râteliers, de Senghor à Diouf, en passant par Wade et Macky, seraient fusillés ?
Rage du Sunugal, les politichiens émergent, l’homo-senegalensis s’immerge et se noie mais quand le peuple se réveillera, le monde des politichiens s’effondrera. Donald Trump ne parlera plus de pays de merde. Le rire du nègre bon banania, comme pendant l’époque coloniale, ne se rappellera plus au bon souvenir de l’homo-africanus, risée du monde.
Tuubé Waalo
Anonyme
En Mars, 2018 (07:16 AM)Anonyme
En Mars, 2018 (07:26 AM)Dansokho le plus grand escrot, il mérite la pendaison.
Un autre qui touche de l argent du contribuable et que ne fou rien, autre que mentir et sucer macky
Anonyme
En Avril, 2018 (01:52 AM)Anonyme
En Avril, 2018 (12:35 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (03:57 AM)Anonyme
En Juin, 2018 (13:56 PM)Il ne sont plus d'aucune utilité pour le Sénégal ! Au contraire ils survivent grâce à nos maigres deniers : budget de l'Etat ou Fonds politiques, qu'importe !
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