Macky Sall avait désigné «pupilles de la Nation» les enfants des femmes décédées dans le drame de Bettenty, en avril 2017. Un peu plus d’un an après cette déclaration, les 58 orphelins concernés attendent toujours que le chef de l’État tienne sa promesse.
Pape Seydou Dianko, le maire de Toubacouta, commune qui polarise le village de Bettenty, a rappelé la promesse présidentielle devant la ministre de la Bonne gouvernance et de la Protection de l’enfant, Ramatoulaye Guèye. C’était hier, mardi 17 juillet, en marge de la célébration de la Journée de clôture de la Semaine de l’enfant africain.
L’AS, qui relaie le rappel du maire, rapporte que la ministre a déclaré avoir pris bonne note et que les enfants concernés seront pris en charge dans le cadre du programme Pupilles de la Nation.
2 Commentaires
Dialalé
En Juillet, 2018 (09:49 AM)Anonyme
En Juillet, 2018 (13:21 PM)En réaction de votre commentaire, je voudrais humblement vous faire savoir que le Chef de l'Etat a fait ce qu'il devait faire. C'est au Directeur en charge des pupilles de suivre les instructions provenant de ses supérieurs.
Maintenant, nonobstant la non diligence du directeur dans la prise en charge de ces enfants, il y a lieu de dire à l'égard du journal L'AS que relativement aux deux notions qui sous-tendent la profession journalistique (éthique et déontologie), les bonnes actions du gouvernement pourtant louées et criées haut et fort par les populations de Bententi et de Toubacouta par la voix du Maire Dianko n'ont pu être relayées par le journaliste de L'AS.
Ainsi, à la lumière de tout ce qui précède, n'avons-nous pas affaire à une presse politicienne, militante et responsable incontestéé et incontestable d'un parti de l'opposition???
Tôt ou tard, la vérité se saura.
On veut une presse impartiale, libre et républicaine. NONNN à une presse de politicienne!!!
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