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Grève à l’Aibd : « C’est la sécurité des passagers qui était en jeu »

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Grève à l’Aibd : « C’est la sécurité des passagers qui était en jeu »

François Paul Gomis, secrétaire général du syndicat des aiguilleurs du ciel, explique les motifs de leur grève qui a perturbé le trafic à l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd) jeudi et vendredi. Dans un entretien accordé à L’Observateur, il justifie leur mouvement d’humeur en exposant la frustration de ses collègues, qui a abouti au blocage du nouvel aéroport durant 24 heures.

Il dit : «En cas d’accident, le contrôleur aérien est très vite pointé du doigt. Parce que, nous sommes responsables de l’espace aérien, du guidage des avions. Donc, quelqu’un qui fait un tel travail a besoin d’être mis dans de très bonnes conditions alors qu’en ce moment nos conditions de travail ne sont pas bonnes.»

François Paul Gomis s’est empressé de signaler que, depuis six mois, les autorités sont au courant de leurs complaintes. «Elles n’ont pas voulu réagir. C’est pourquoi, comme la sécurité était menacée, nous nous sommes dit que nous allons ouvrir Diass et une semaine après, nous allons faire grève pour que les autorités réagissent. Parce que si nous continuons comme ça, cela risque de nous mener à la catastrophe.»

Malgré les désagréments causés par leur mouvement, les aiguilleurs du ciel ne regrettent pas leur grève. Au contraire. «Si c’était à refaire, nous n’hésiterons pas pour améliorer nos conditions de travail, assume leur secrétaire général. Puisque ce sont ces conditions qui garantissent une bonne sécurité de la navigation aérienne. Nous n’avons pas fait la grève pour décrocher la lune. C’est la sécurité des passagers qui était en jeu. Il faut que les compagnies aériennes sachent que ceux qui ont leur sécurité en vol ne sont pas dans de bonnes conditions de travail.»



35 Commentaires

  1. Auteur

    Macbookpro

    En Décembre, 2017 (09:25 AM)
    De toute façon, vous avez le droit de faire la grève. En plus, vous avez déposé un préavis et les autorités ont fait la sourde oreille. C'est toujours le médecin après la mort. Il aura fallu que vous décrétiez la grève pour qu'ils veuillent bien se bouger. C'est lamentable.

    Et l'autre qui disait que tout est prêt à Diass, elle est toujours dans le coin ?
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  2. Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (09:26 AM)
    Quelle sécurité? Est-ce le transport des aiguilleurs depuis Dakar et le fait d'habiter en ville qui empêche la sécurité des voyageurs? Ces gens là ne pensent qu'à leurs avantages. Qu'ils fassent bien leur travail et il y aura la sécurité
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (09:27 AM)
    Sans blesser qui que se soit le titre de cet article pourrait s'appeler : Voyage au pays de la culture sauvage. Pourquoi.?



    Parce que : Dans les aéroports modernes, le mobilier installé plus leurs automaticités sont inconnues par la majorité des senegalais. Bientôt vous verrez l’état des toilettes !



    2éme : Le senegalais mise tout sur la force physique, sur la vélocité et sur les choses dites « obscurs », (omnipuissance des marabouts et pratiques mystiques).

    Vous voyez donc tout repose l’ignorance ou la culture sauvage ; même ici à Ndiaganiaw

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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (10:10 AM)
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    Auteur

    Awa

    En Décembre, 2017 (10:45 AM)
    Entiérement d´accord avec les aiguilleurs du ciel qui disposent du droit de grêve quand leur conditions de travail sont bafouillées. Comme c´est souvent le cas lors des conflits sociaux au Sénégal les pouvoirs politiques en place jouent souvent au pourissement. En matière de revendication il faut agir là cela fait le plus mal pour atteindre ses objectifs.

    Un aéroport comme tout nouveau système ne se résume pas seulement à des batiments, des machines il y´a aussi des hommes et des femmes qu´il faut gérer former et prendre en compte dans sa globalité.

    Les autorités de tutelle auraient dû signer une charte de qualité sur 5 à 10 ans avec tous les acteurs impliqués dans le bon fonctionnement de l´aéroport pour ainsi assurer un flop pareil. Le Sénégal est gouverné par des incapables et la sanction n´existe pas que l´on a la bonne couleur politique. Ce gouvernement est une honte
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    Auteur

    Xalaxina

    En Décembre, 2017 (11:02 AM)
    Et maintenant sommes nous plus en sécurité qu'avant hier ? Qu est ce qui a vraiment changé entre temps ? des promesses ou une réelle prise en charge des I.M.M des aiguilleurs du ciel ?

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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (11:53 AM)
    Ces aiguilleurs se rendent ils seulement compte des conséquences incommensurables de leurs actes ? Dont le coté financier est le moindre , il faut vraiment tous les virer , c'est tout simplement inadmissible un tel niveau d'irresponsabilité .
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (12:43 PM)
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (12:46 PM)
    Je suis fatigué de voir les messages de ce technicien en je ne sais quoi.... De grace les reseaux sociaux sont là pour ça, ou alors imprime des tracts par millions et balance le ds tous le pays, mais de grace laisse nous lire tranquilement les articles et les commentaires s'y afférents........ Prete attention à la nuisance visuelle que tu pose à tous ces gens....
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (12:59 PM)
    Vous n'avez pas honte! de quelles conditions vous parlez, quelle sécurité. Au lieu de vous fessez et présentez vos plates excuses, vous montrez la tête, honte à vous.



    l’état doit tirer une belle leçon de cette situation, en formant d'équipes militaires qui feront mieux le travail sans tambour. Au moins eux n'auront pas de problèmes de lecture de transpondeur, bande de fainéants. Contrairement à ce vous vous prêtez, eux ne mettront pas la vie des usagers en danger.
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (13:13 PM)


    iGFM – (Dakar) Soune, Kathialick, Thiambokh et Diass, villages lovés aux limites de l’Aéroport international Blaise Diagne, vivent l’enfer. Dépouillées de leurs champs et quotidiennement perturbées par les vrombissements des moteurs, leurs populations passent les journées à regarder les avions survoler leurs terroirs.



    Assise en tailleur, Marie Pouye, 51 ans, tourne la tête dans tous les sens. Le regard perdu, elle a presque la peau sur les os. Noyée dans son boubou aux couleurs défraichies, elle cherche dans son imaginaire les avions qui décollent de l’Aéroport international Blaise Diagne (Aibd), à quelques mètres de son domicile. «Ces avions me rendront folle. Je veux les voir voler très haut dans le ciel. Je les entends seulement vrombir», lance-t-elle. Elle ne termine pas sa phrase. Elle pleure comme une madeleine, rien que pour voir les avions prendre leur envol et survoler son village Thiambokh (40 km au sud-est de Dakar), situé sur les limites de l’Aibd, dans la commune de Keur Mousseu. Atteinte d’accident vasculaire cérébral (Avc), Marie Pouye a perdu l’usage de ses jambes. Ses deux mains aussi affectées, ont réduit toutes ses possibilités de mouvement. Elle reste, toute la journée, cloîtrée. Depuis la toiture de zinc qui coiffe sa chambre, elle entend seulement le ronronnement des avions décollant ou atterrissant sur le tarmac de l’Aibd. «J’ai eu cette attaque il y a 2 ans. Je ne quitte pas ma chambre. Et pourtant, j’ai tellement envie de sortir pour voir les avions voler. Tout le monde en parle. Cela a changé notre quotidien. Ces avions ! Ces bruits de moteurs ! Les enfants vont me rendre folle. Quand un avion passe, je crie pour leur demander où il se trouve. Ils me disent de regarder derrière ou devant moi. Je tourne la tête dans tous les sens, comme une folle», confie-t-elle. Marie pleure de plus belle, se cache le visage avec un pan de son grand boubou. «Je veux voir l’aéroport. Je veux voir les avions. Je risque de rouler à quatre pattes pour aller dans la cour et voir les avions», dit-elle. Autour d’elle, les femmes de son village tentent de la consoler avec des paroles plaisantes. Le cœur apaisé, Marie lance un cri du cœur. Elle suit un traitement pour recouvrer l’usage de ses membres. Toutefois, elle ne dispose d’aucune source de revenus pour se prendre en charge. Elle compte sur l’appui de son frère. Victime d’Avc, abandonnée par son époux, elle a quitté le domicile conjugal. Valide, elle allait en brousse chercher des fagots de bois qu’elle vendait pour nourrir ses 7 enfants. Aujourd’hui, ses capacités motrices réduites, elle est incapable de soulever la plus petite brindille. «J’espère que de bonnes volontés viendront m’aider à me soigner. J’ai juste un besoin de 100 000FCfa pour ma prise en charge médicale. Si je guéris, la première chose que je ferai, c’est d’aller à l’aéroport de Diass, chercher du travail. Je suis une bête de travail», signale-t-elle. Marie vit une angoisse existentielle terrible. Son dernier enfant, âgé de 14 ans, a fugué et dort chez des voisins.



    «Nous sommes devenus des étrangers dans notre propre univers». Dans la cour de la maison, d’autres femmes prennent leurpetit-déjeuner. Du matin au soir, elles se tournent les pouces. Mariama Ciss, cure-dent en bouche, déverse sa bile sur les pouvoirs publics. Comme elle, les habitants de Thiambokh, au réveil, s’assoient dans la cour de leurs maisons pour regarder les avions voler dans le ciel. «Nous n’avons pas de travail. Le Gouvernement nous a pris nos champs. Ce qui nous reste à faire, c’est passer la journée à regarder les avions dans le ciel. A cet endroit où le Centre d’épuration de l’aéroport a été construit se trouvaient nos champs. L’Etat les a pris. On n’a plus de terres pour cultiver. Outre l’agriculture, on avait la possibilité d’aller dans les bois chercher des fagots ou du kinkéliba que nous vendions. L’Etat nous prive de tout cela. Pis, on a été très mal indemnisé. Puisque que cet aéroport ne nous a apporté, pour le moment, rien de spécial, nous passons la journée dans nos maisons à contempler les avions qui volent dans le ciel», confie-t-elle,dépitée. Les villageois de Thiambokh, Soune, Kathialick ont le même cri du cœur. Ils font le pied de grue, pendant toute la journée, à l’aéroport, pour trouver du travail. En vain. Ibrahima Faye, la soixantaine, croise aussi les doigts et attend de voir son village changer de visage. Thiambokh manque de tout. Il n’y a ni eau potable ni électricité. L’unique borne fontaine débite une eau infecte et impure. Les populations préfèrent boire l’eau de l’unique puits du village. «Nous avons même peur que le Gouvernement vienne nous déguerpir. Nous sommes coincés entre l’aéroport et l’autoroute à péage. La Descos donne des injonctions à toute personne qui essaie de construire dans la localité. Avec l’aéroport, nous sommes devenus des étrangers dans notre propre univers», regrette-t-il. Dans ce village où les habitants vivaient des produits de leurs récoltes, l’érection de l’Aibd a généralisé l’oisiveté. Les enfants sont pressés de se réveiller pour scruter le ciel. Les avions qui survolent le village leur est un spectacle amusant. Puisque c’est un phénomène nouveau, certains écoliers désertent les salles de classes, rien que pour voir les avions. A Kathialick et Soune, c’est la même rengaine. Scruter les avions occupe les paysans sans terre.



    «J’ai l’impression que ma maison va s’effondrer». Assis devant une mosquée face à la Route nationale, dans la commune de Diass, de vieux hommes discutent de tout. L’Aéroport international Blaise Diagne a complètement changé leur quotidien. Souleymane Seck, 81 ans, engoncé dans un caftan de couleur marron, porte des lunettes de soleil. Écharpe autour du cou, l’octogénaire semble souffrir de la fraîcheur matinale.Les avions l’angoissent. La vie paisible des habitants de Diass est devenue un enfer pour certains. Par contre, d’autres parviennent à s’accommoder des bruits des avions. Domicilié au quartier Sakirack à Diass, Souleymane Ciss a surtout peur de voir ses deux maisons s’affaisser. Il a d’ailleurs assez d’énergie pour s’y rendre. A moins d’une centaine de mètres des limites de l’aéroport, sa maison ne tient sur rien de solide. Sa vieille bâtisse résiste à peine aux vrombissements des moteurs des avions. Les murs sont totalement lézardés. «J’ai construit cette maison vers les années 1990. Je n’avais pas mis de fer. C’est juste des murs sans poteaux. Quand les avions décollent ou atterrissent, j’ai l’impression que le bâtiment va s’effondrer. Il est secoué de partout. Les portes claquent. Et je me dis que la toiture faite de zinc va s’envoler. J’ai peur que la maison s’affaisse. Le bruit des avions est insoutenable, surtout la nuit. Quand les avions sont en mouvement, on a l’impression que c’est un volcan qui se réveille. Les murs et les portent sont fortement secoués», signale-t-il. A Diass, une bonne partie des maisons sont couvertes de zinc, d’ardoise ou de tuile. Tout de même, les villageois commencent à s’accommoder à cette nouvelle situation. Ils saluent l’implantation de l’aéroport dans leur localité, surtout que des jeunes y sont recrutés pour certains travaux. «C’est un moindre mal. Si les populations de Yoff ont pu vivre cela, nous nous en sortirons. Il n’y a rien de dramatique», confie El Hadji Ciss, d’avis que c’est une chance que l’aéroport soit délocalisé dans la région de Thiès. Aussi conseille-t-il de faire avec ces impairs, comme dans toutes villes aéroportuaires. Astou Ciss, étudiante, est toute honorée d’avoir l’aéroport dans sa commune, aujourd’hui connue à travers le monde entier. «C’est tout nouveau. Et je crois que les gens vont s’habituer au bruit des avions. C’est infernal, surtout vers 3h du matin, quand les villageois commencent à s’assoupir», souligne-t-elle. Les premiers jours, les tout-petits avaient vraiment peur, s’accrochant aux basques de leurs parents, criant à se rompre les cordes vocales, dès qu’ils entendaient le vrombissement des avions. «Quand certains gros avions décollent ou se posent au sol, on a l’impression qu’il y a un tremblement de terre. Je me demande si à la longue, les populations environnantes de l’aéroport ne seront pas dures d’oreilles. J’ai peur que ces bruits affectent notre écoute», signale Moussa Ciss. Les populations aux limites de l’Aibd sont revenues petit à petit de leurs craintes et ont commencé à s’habituer au bruit des avions. Et les villageois passent la journée à contempler le ciel, scrutant un avenir meilleur.
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (13:37 PM)
    VOUS N'AVEZ QU'A LA FERMER, VOUS N'AVANCEZ RIEN DE VALABLE. VS ETES DEPOURVU DE FIERTE NATIONALE. VS FAITES LA HONTE DU SENEGAL
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (13:39 PM)
    ce qui me desole ,c'est des senegalais memes qui sabotent la reputation de leur propre aeroport au lieu d'en etre fiers et de pousser à la perfection en encourageant les acteurs à parfaire l e fonctionnement de leur ouvrage ,
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (14:01 PM)
    Nous étions tellement dotés de fierté nationale qu’il nous a fallu 1800 morts pour oser dénoncer les conditions catastrophiques d’exploitation du Diola.

    Je suis déjà passé par Diass, dont la dernière fois hier. La bâtisse est superbe, les installations ne sont pas prêtes. On a fait du senegalais quoi.
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (14:18 PM)
    Incroyable! mais le minimum est de nous dire quelles sont les revendications de ces aiguilleurs du ciel
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (14:28 PM)
    ILS N'ONT PAS DE REVENDICATIONS, AUCUNE, C'EST DES VILES PERSONNES A PASSER AU POTEAUX, UNE BANDE DE NUUULLARDS. L'ETAT D SENEGAL DOIT SEVIR ET FORT CONTRE CES CONS DE LA NATION
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (14:50 PM)
    Des amis arrivés hier ont mis plus de 3 heures pour récupérer leurs bagages. Quelle honte.

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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (14:55 PM)
    Si vous pensez que le gouvernement va vous pardonner et repondre a vos doleances vous vous mettez le doigt dans l oeil!!! C est du chantage pur et simple!wait and see.
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    Auteur

    Fafa

    En Décembre, 2017 (15:03 PM)
    Ça ne sent pas bon cette ouverture précipitée de l'aéroport. je crois que nos autorités ont oublié la valeur de l'être humain,à moins qu'elles nous prennent pour des moutons
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    Auteur

    Ip18

    En Décembre, 2017 (15:07 PM)
    Les conséquences de ''Oubi Tey, Naaw Tey''. Il fallait effectuer des simulations et planifier l'ouverture.
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    Auteur

    Samane

    En Décembre, 2017 (15:12 PM)
    Il faut sanctionner, les controlleurs
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    Auteur

    Samane

    En Décembre, 2017 (15:12 PM)
    Il faut sanctionner, les controlleurs
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    Samane

    En Décembre, 2017 (15:12 PM)
    Il faut sanctionner, les controlleurs
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    Samane

    En Décembre, 2017 (15:12 PM)
    Il faut sanctionner, les controlleurs
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    Auteur

    Samane

    En Décembre, 2017 (15:12 PM)
    Il faut sanctionner, les controlleurs
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    Auteur

    Samane

    En Décembre, 2017 (15:12 PM)
    Il faut sanctionner, les controlleurs
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    Auteur

    Samane

    En Décembre, 2017 (15:12 PM)
    Il faut sanctionner, les controlleurs
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (15:30 PM)
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (16:10 PM)
    OK c'est la fin de la grève des aiguilleurs du ciel, mais les problèmes ne sont pas finis. Vols en retard, correspondance à coup sûr ratée ! Sur place, à Dakar, les passagers n'arrivent pas à récupérer leurs bagages 3 jours après leurs arrivée à cause du manque de moyen humain. Un scandale dans un pays où tant de jeunes diplômés cherchent un emploi ! Mais je n'entends aucun représentant de l'Etat s'exprimer sur ce qui se passe et comment résoudre ces dysfonctionnements à 5 jours des fêtes de Noël ! Le pire est a venir, si rien n'est fait...
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    Auteur

    Deug

    En Décembre, 2017 (18:09 PM)
    on est pas organise ou discipline pour les grands infrastructures . mieux vaut retourner a lss. les aigulleurs profitent pour faire le chantage ils demandent des villas et des cars. alors que des travailleurs quittent chaque jour dakar et thies pour rallier leurs lieux de travail.il n'est pas normal de ceder a leurs chantages pas d'ordre au senegal a cause des politiciens et des marabouts . a cause des interventions plus de sanction chacun n'en fait qu'a sa tete on construit sur le domaine maritime a diamalaye sur la plage une villa r plus est bati irregulierement personne ne pipe un mot. les autres autorites attendent de mettre devant le fait accompli. alors que la plage appartient aux quinze millions de senegalais la plage a guedjawaye a aussi des villas construits avec les mairies plus de terrains de foot les gens construisent sous les fils a haute tension de la senelec les informels ambulants etalent les chaussures sur la voie publique et meme des jeans le long des trottoirs des trottoirs il ya en plus les trottoirs sont transformes en stands de voitures d'occasion. les mairies louent les espaces vides des fois je me demandent est ce que cétait positif de devenir independant dakar deviendra invivable partout ay door voila la technique devant le lycee deavant le satde lss des baols baols ont fait mettre des pots de fleurs pour pouvoir legaliser ces endroits le long des murs de l'aeroport yoff. discretement des immeubles sont construits et meme le long des corniche plus d'espaces fou noiu dieum et en faire des parkings de location regarder derriere la station au niveau du peage au rond point de camberene il ya des vehicules en vente occasion ces partiques ont ete possibles avec la complicité de certains boss. mais continuons quequ'un viendra corriger tout cela
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    Auteur

    Slot

    En Décembre, 2017 (18:26 PM)
    Encore une fois la greve des aiguilleurs du ciel qui etait annoncée depuis 2 mois , selon leurs dires, mais non gérée par l'autorité compétente, n'est en rien responsable du chaos qui règne à Aibd, mais elle n'a fait qu'amplifier et confirmer le fait patient que ce nouvel aéroport n'était pas prêt au démarrage de ses activités!

    Depuis des mois nous le disons : on ne décrète pas comme cela l'ouverture d'un aéroport !

    Un de nos doyens nous rappelle que le transfert des activites en 1972/73 de l'aéroport du Bourget à Roissy 1 a pris 2 ans, activité par activité et avec chaque activité une période de rodage!

    Dans le cas de Aibd , tout a été précipité, rien a ete programmé, planifié : il n y a pas eu de période de rodage avant le démarrage car certaines zones , comme le fret ne sont pas encore terminées, ce qui est incroyable car les avions transportent deux choses: les passagers en cabine et le fret en soute et ce dernier, parfois est plus important en termes de recettes que ce que rapporte la billetterie des passagers!

    Certains passagers, pendant cette grève des aiguilleurs du ciel, ont constaté des lacunes et manquements comme quoi les cuisines et restaurants n'étaient achevés et qu'ils ne pouvaient acheter que des sandwiches et plus grave un passager a meme qu'il n y a pas d'extincteur dans le hall !!!!!

    Tout le transfert des activités, toute l'affectation des activités à des entités, tout les transfert du personnel, pres 2000 de plusieurs métiers, n'a pas été pensé dans l'espace et dans le temps car depuis mars 2017 au moins tout ceci aurait dû être bien ficelé , après des concertations , des décisions claires.

    Tout le monde a vu que ce n'est qu'au mois d'octobre dernier que le problème du transport des passagers a officiellement posé et en tout cas mal résolu évidemment : car Ddd qui a été pour le transport n'a du tout les bus adaptes pour le transport de voyageurs intercontinentaux qui voyagent avec une franchise de bagages de 2 valises et un bagage a main: on voit donc qu'aucunement on n'avait pensé a cet aspect pourtant si évident!

    C'est de même pour tout ce qui est de l'environnement de cet aéroport car un aéroport n'est pas qu'une aérogare !

    En tout cas de cause, il n y a pas de fatalité : une mauvaise gestion de cette affaire est manifeste, de la responsabilité du ministère des transports aériens certes, mais également une incompetnce dans le choix des hommes et dans ce métier précis de l'aviation , c'est un risque : un choix judicieux des compétences est indispensable quelque soit l'obédience des hommes et des femmes , l'essentiel est qu'ils soient Sénégalais !

    Il importe d'en tirer les conséquences et de rectifier le plus rapidement : il faut mettre fin aux approximations et à la médiocrité !

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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (19:20 PM)
    Des problèmes, ça arrive dans tous les aéroports du monde.Tenez hier dimanche l'un des aéroports les plus fréquentés du monde ,celui d'ATLANTA ,AU USA à subi une panne de courant obligeant l'aéroport à annuler , tenez vous bien des MILLIERS de vols et et autant de passagers bloqués dans des avions durant des heures avant de rejoindre les terminaux pour attendre.Par rapport à AIBD ou l'on compte pas plus de 100 vols journalier, on continue de râler. Informez vous svp.
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (19:20 PM)
    Des problèmes, ça arrive dans tous les aéroports du monde.Tenez hier dimanche l'un des aéroports les plus fréquentés du monde ,celui d'ATLANTA ,AU USA à subi une panne de courant obligeant l'aéroport à annuler , tenez vous bien des MILLIERS de vols et et autant de passagers bloqués dans des avions durant des heures avant de rejoindre les terminaux pour attendre.Par rapport à AIBD ou l'on compte pas plus de 100 vols journalier, on continue de râler. Informez vous svp.
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2017 (19:20 PM)
    Des problèmes, ça arrive dans tous les aéroports du monde.Tenez hier dimanche l'un des aéroports les plus fréquentés du monde ,celui d'ATLANTA ,AU USA à subi une panne de courant obligeant l'aéroport à annuler , tenez vous bien des MILLIERS de vols et et autant de passagers bloqués dans des avions durant des heures avant de rejoindre les terminaux pour attendre.Par rapport à AIBD ou l'on compte pas plus de 100 vols journalier, on continue de râler. Informez vous svp.
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    Auteur

    Rippitt

    En Décembre, 2017 (21:27 PM)
    De quels problemes de securite s'agit-il  :question:  :question:  :question: 
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