À travers des arguments tirés par les cheveux, l’Institut de Technologie alimentaire (Ita) a tenté de convaincre la Direction centrale des Marchés publics (Dcmp), puis l’Autorité de Régulation des Marchés publics (Armp), pour être autorisée à signer un contrat de gré à gré pour l’achat de pièces de rechange et d’accessoires de la chaîne Hplc de marque Jasco. Les contrôleurs a priori des marchés et les « juges » ne sont pas tombés dans le panneau.
Au contraire. La Dcmp a fait observer qu’en l’absence d’un contrat d’exclusivité permettant d’apprécier, à leur juste mesure, les obligations des parties, l’étendue des droits d’exploitation concédés ainsi que la durée et la zone d’exercice de l’exclusivité, elle ne peut autoriser la conclusion du marché par entente directe. Des arguments largement partagés par l’Armp qui a douté de la sincérité des déclarations de l’Ita.
7 Commentaires
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En Janvier, 2014 (12:53 PM)Pepes
En Janvier, 2014 (13:28 PM)Secka
En Janvier, 2014 (15:36 PM)Ryogakusei
En Janvier, 2014 (19:29 PM)C'est un appareil qui sert a separer les composantes dans un melange, a les quantifier par la suite avant de pouvoir interpreter les resultats.
Bien que c'est un appareil tres sophistique et tres cher, il faudra toujours privilegier la competition car nul ne detient le monopole du savoir.
Bravo à L'armp
En Janvier, 2014 (19:46 PM)Passant
En Janvier, 2014 (08:56 AM)Le véritable gré à gré à déplorer dans ce genre de structure comme ISRA, ITA, c'est le recrutement du personnel scientifique. On a besoin d'avoir des cadres compétents qui puissent innover, impulser le développement économique et social mais y a beaucoup de jeunes sortants des universités qui ne peuvent pas intégrer ces instituts à cause de ces gré à gré dans la sélection. A beau mettre des milliards, sans staff compétent, sa n'ira pas loin.
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