Le footballeur Sadio Mané figure dans le Top 100 des Jeunes Africains les plus influents. Il figure dans ce classement, qui a été révélé hier à Accra (Ghana), aux côtés de deux autres Sénégalais, Anta Babacar Ngom de Sedima et le top-modèle Khoudia Diop. Le classement est établi par Africa Youth Awards, une organisation basée dans la capitale ghanéenne. Vingt jeunes issus de pays francophones figurent dans le Top 100. Le Cameroun, avec 4 représentants, est le pays le plus présent.
Jeunes Africains influents : Sadio Mané dans le Top 100
Par: Source : Les Échos - SenewebNews-RP |
07 septembre, 2017 à 11:09:08
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7 Commentaires
Auteur: Source : Les Échos - SenewebNews-RP
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4 Commentaires
Xmen
En Septembre, 2017 (12:41 PM)Arrêtez de nous fatiguer avec vos concepts vides de sens...
Fx
En Septembre, 2017 (13:47 PM)C'est pas avoir des millions qui fait de vous une personne influente ....! Arretez la propagande a la mediocrite et dites aux jeunes d'aller chercher le savoir avant d'aller chercher une autre richesse !
Anonyme
En Septembre, 2017 (14:09 PM)slave mentality
Anonyme
En Septembre, 2017 (15:44 PM)Le Directeur général de la Poste, un autre ami du président-politicien et responsable de l’APR à Thiès, a été lourdement épinglé par les enquêteurs de l’OFNAC. Suite à une plainte faisant état de « l’existence de dysfonctionnements graves au sein du Groupe de la Société nationale de la Poste », les enquêteurs ont mis en évidence « l’existence d’arriérés de paiement d’un montant de plus de quatre-vingts (80 000 000 000) milliards de francs CFA dus au Trésor public, dans le cadre de la compensation du paiement des chèques postaux ». Ce montant a probablement continué de monter. Des spécialistes de finances publiques interrogés affirment que de tels dysfonctionnements n’auraient jamais dû se produire si les services du Trésor public avaient convenablement fait leur travail. Ils expliquent notamment ce dérapage par la tendance lourde qui jette dans la mare politicienne, un nombre de plus en plus grand de hauts fonctionnaires des régies financières. La politisation outrancière de ces régies risque de coûter très cher à nos maigres finances publiques, si elles n’ont commencé déjà à en souffrir.
Les enquêteurs se sont aussi intéressés aux dépenses exécutées, notamment à celles concernant les fournitures de bureau pour lesquelles « des indices graves d’irrégularités avaient été décelés ». Ils ont exactement constaté de graves « pratiques de faux et usages de faux », largement développés dans le dossier qui concerne la Poste. Signalons que ce DG, comme son homologue du COUD, s’adonne au recrutement massif et inconsidéré d’individus sans aucune qualification professionnelle, et appartenant pour l’essentiel à son ethnie et à l’APR.
C’est la mise en cause de ses trois amis et camarades qui a profondément dérangé le président-politicien. N’ayant pas réussi à les faire extraire du Rapport d’activités 2014-2015 de l’OFNAC, il décide de ne pas recevoir la Présidente pour la présentation de ce rapport.
Rappelons quand même que l’article 17 de la Loi n° 2012-30 du 28 décembre 2012 portant création de l’OFNAC dispose : « L’OFNAC établit chaque année un rapport d’activités qui comporte notamment les propositions et mesures tendant à prévenir les actes de fraude ou de corruption. Ce rapport est remis au Président de la République. Il est rendu public par tous les moyens appropriés. » Comme le prévoit donc la loi, la Présidente de l’OFNAC devait présenter au Président de la République le Rapport public 2014-2015. Elle n’y est jamais parvenue, le Directeur de cabinet du Président-politicien lui opposant imperturbablement son agenda chargé. Pourtant, dans la même période, dans l’intervalle de deux jours, le président-politicien reçoit sans aucun problème le Rapport d’activités de la Présidente du Conseil économique, social et environnemental et celui de la Présidente du Haut Conseil du Dialogue social. En réalité, le président-politicien ne supportait pas que le rapport de l’OFNAC fasse état des trois dossiers où ses amis et camarades de l’APR étaient épinglés.
Comme le lui permet la loi, la Présidente de l’OFNAC rend public le Rapport, au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée au King Fahd Palace. Cette initiative, pourtant en accord avec la loi, plonge le président-politicien dans une colère noire et le fait sortir carrément de ses gonds. Après avoir tout essayé, vraiment tout essayé pour la convaincre de quitter à l’amiable la présidence de l’OFNAC, il la limoge le 25 juillet 2016. Dans ces conditions, elle rejoint son corps d’origine, l’Inspection générale d’Etat. C’était sans compter avec la colère du président-politicien qui lui interdit de fait, l’accès à la Présidence de la République. Le Vérificateur général de l’IGE qu’elle fut pendant plus de six ans, est affecté hors du palais présidentiel, dans un modeste bureau annexe qu’elle n’a jamais rejoint.
L’OFNAC, qu’il se glorifiait d’avoir créé pour lutter efficacement contre la corruption, est morte de sa belle mort depuis le 25 juillet 2016, et retrouve dans la tombe la CRÉI. Les autres corps de contrôlés sont surveillés comme de l’huile sur le feu : ils ne présentent plus (publiquement) de rapports et même si c’était le cas, ni citent plus de noms de ministres, de directeurs généraux, etc.
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